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Barack Obama

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Personne à contacter Barack Obama

Message par Sphinx Sam 8 Mai - 1:30

I Have a Dream

I Have a Dream (« Je fais un rêve ») est à la fois le nom du discours le plus célèbre de Martin Luther King et le point d'orgue du Mouvement des droits civiques. Ce discours est généralement considéré comme un des plus grands et des plus marquants de l'histoire de l'humanité. Selon le député américain John Lewis, qui prit également la parole ce jour là au nom du Comité de coordination des étudiants non violents, « En parlant comme il l'a fait, il a éduqué, il a inspiré, il a guidé non pas simplement les gens qui étaient là, mais les gens partout en l'Amérique ainsi que les générations à venir ».

Passage le plus connu

Ce message d'espoir est célèbre dans le monde entier, bien au-delà des frontières des États-Unis.

Le discours fut prononcé sur les marches du Lincoln Memorial pendant la Marche vers Washington pour le travail et la liberté à Washington DC le 28 août 1963. Il illustre clairement le désir de voir à l'avenir les Noirs et les Blancs coexister en harmonie et vivre égaux.

Le titre du discours I Have a Dream vient de son passage le plus connu :

« I say to you today, my friends, so even though we face the difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream deeply rooted in the American dream.
I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed : “We hold these truths to be self-evident : that all men are created equal.”
I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit down together at a table of brotherhood.
I have a dream that one day even the state of Mississippi, a state sweltering with the heat of injustice, sweltering with the heat of oppression, will be transformed into an oasis of freedom and justice.
I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character. I have a dream today!
I have a dream that one day down in Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips dripping with the words of interposition and nullification; one day right down in Alabama little black boys and black girls will be able to join hands with little white boys and white girls as sisters and brothers.
I have a dream today.
I have a dream that one day every valley shall be exalted, every hill and mountain shall be made low, the rough places will be made plain and the crooked places will be made straight and the glory of the Lord shall be revealed and all flesh shall see it together. »


Traduction en français

« Je vous le dis aujourd'hui, mes amis, bien que, oui bien que nous ayons à faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, je fais pourtant un rêve. C'est un rêve profondément ancré dans le rêve américain.
Je rêve qu'un jour, notre nation se lèvera pour vivre véritablement son credo : “Nous tenons pour vérité évidente que tous les hommes ont été créés égaux.”
Je rêve qu'un jour, sur les collines rousses de la Géorgie, les fils d'anciens esclaves et les fils d'anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.
Je rêve qu'un jour, même l'État du Mississippi, un État où l'injustice et l'oppression créent une chaleur étouffante, sera transformé en une oasis de liberté et de justice.
Je rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère. Je rêve aujourd'hui !
Je rêve qu'un jour, dans l'Alabama, avec ses abominables racistes, avec son gouverneur qui n'a aux lèvres que les mots d'"opposition" aux lois fédérales et d'"annulation" de ces lois, que là même en Alabama un jour les petits garçons noirs et les petites filles noires avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches pourront se donner la main, comme sœurs et frères.
Je rêve aujourd'hui.
Je rêve qu'un jour toute vallée sera élevée, toute colline et toute montagne seront abaissées. Les endroits raboteux seront aplanis et les chemins tortueux redressés. Et la gloire du Seigneur soit révélée et toute chair la verra.»

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Personne à contacter Re: Barack Obama

Message par Sphinx Sam 8 Mai - 1:36

Barack Hussein Obama II, né le 4 août 1961 à Honolulu, dans l'État d'Hawaï, est le 44e et actuel président des États-Unis d'Amérique.

Fils d'un Kényan noir et d'une Américaine blanche du Kansas, il est le premier afro-américain ayant accédé à la présidence des États-Unis. Son parcours a suscité chez les électeurs comme dans les médias du monde entier un grand intérêt.

Né à Hawaï, élevé plusieurs années en Indonésie, diplômé de l'Université Columbia et de la Faculté de droit de Harvard, il est, en 1990, le premier Afro-Américain à présider la prestigieuse Harvard Law Review. Après avoir été travailleur social, plus spécifiquement « organisateur de communauté » (community organizer en anglais), dans les quartiers sud de Chicago durant les années 1980, puis avocat en droit civil à sa sortie d'Harvard, il enseigne le droit constitutionnel à l'Université de Chicago de 1992 à 2004, événement historique dans un pays qui a connu une ségrégation raciale jusque dans les années 1960.

Barack Obama entre en politique en 1996 : il est élu au Sénat de l'Illinois où il effectue trois mandats, de 1997 à 2004. Il connaît l’échec lors de sa candidature à l’investiture du Parti démocrate pour la chambre des représentants en 2000 mais l'obtient en mars 2004 pour le Sénat des États-Unis. Barack Obama se distingue notamment par son opposition précoce à la guerre lancée par George W. Bush en Irak et par le discours qu’il prononce en juillet 2004 lors de la convention démocrate qui désigne John Kerry comme candidat à la présidence, prestation remarquée qui le fait connaître pour la première fois au plan national.

Élu sénateur en novembre 2004, il déclare sa candidature à l’investiture démocrate pour la présidence des États-Unis le 10 février 2007 à Springfield. Il remporte les primaires face à Hillary Clinton et est officiellement désigné candidat lors de la convention de son parti à Denver, le 27 août 2008.

Après avoir remporté avec 52,9 % des voix et 365 grands électeurs, le 4 novembre 2008, l'élection présidentielle contre le républicain John McCain, Barack Obama entre en fonction le 20 janvier 2009. Sa présidence intervient dans un contexte de guerre en Irak, de guerre en Afghanistan, de crise au Moyen-Orient, d'importante récession de l'économie américaine et de crise financière et économique mondiale.

Le 9 octobre 2009, il reçoit le prix Nobel de la paix.

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Personne à contacter Re: Barack Obama

Message par Sphinx Dim 9 Mai - 0:29

Barack Obama et le monde musulman : de la beauté du verbe aux dures réalités

"Barack Obama et le monde musulman :

16 mois après l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis d'Amérique et 9 mois après le discours historique qu'il a prononcé à l'université Al Azhar du Caire, le 4 juin 2009, il est possible d'esquisser un premier bilan de la nouvelle approche américaine, d'en appréhender les grandes ruptures symboliques et concrètes, et d'en définir les limites.
Si elle fut accueillie avec une grande joie dans la quasi-totalité des pays du monde, la victoire de Barack Obama a suscité, dans chacun des pays se situant entre le Maroc et l'Indonésie, un enthousiasme parfois délirant, qui s'expliquait aussi bien par l'énorme " ouf de soulagement " de voir George W. Bush quitter le pouvoir que par la personnalité pour le moins atypique et l'itinéraire surprenant du nouvel occupant de la Maison Blanche. L'ouvrage autobiographique de Barack Obama, Dreams from my Father, livre au demeurant aussi émouvant que remarquablement bien écrit, s'est vendu comme des bouchées de pain dans la plupart des capitales arabes et musulmanes. L'obamania, dont on a pu penser qu'elle n'était qu'un nouvel avatar de l'anti-bushisme, s'est avérée être un phénomène plus profond, qui ne saurait être expliqué uniquement par l'allergie épidermique qu'avait suscité George Bush et par la grande vague de colère qu'avaient provoqué l'invasion de l'Irak et ses conséquences humaines et géopolitiques.

Qu'en est-il aujourd'hui ? Il était inévitable que les désillusions soient au rendez-vous. Il était à craindre que ces désillusions ne provoquent un dépit inversement proportionnel à l'enthousiasme des débuts. Or, en dépit d'un certain scepticisme bien compréhensible après des années d'espoirs déçus, en dépit du fait qu'une partie de la gauche radicale continue de penser que le changement est purement cosmétique, il n'en reste pas moins que les opinions publiques de la région ont majoritairement le sentiment qu'un changement profond s'est opéré à Washington. Les sondages indiquent que l'état de grâce dont bénéficie Barack Obama au sein des mondes arabes et musulmans depuis son élection n'est pas encore tout à fait terminé, même si les taux d'opinion favorables ne dépassent plus, depuis quelques mois, les 75 %.

Au commencement était le verbe

S'il est un domaine dans lequel la rupture fut incontestable, c'est celui de la rhétorique. Dès les premiers jours, fut abandonnée la malencontreuse expression de " guerre globale contre le terrorisme ". Cette formule était malheureuse non seulement parce que certains y voyaient, à tort ou à raison, un nom de code pour une " guerre contre l'islam ", mais aussi pour son imprécision et son manque total d'intérêt stratégique. Tout d'abord parce que le terrorisme est une tactique, et qu'on ne peut pas déclarer la guerre à une tactique. Toutes les guerres déclarées contre des " noms communs " (guerre contre la pauvreté, guerre contre la drogue…) portent en elles le risque d'être des guerres sans fin. A partir de quel moment et sur la base de quels critères pourra-t-on affirmer que de telles guerres sont terminées et qu'elles ont atteint leurs objectifs ? Ensuite, parce que cette expression tant ressassée pendant huit ans de " guerre globale contre le terrorisme " venait empêcher une compréhension fine de la réalité moyen-orientale, puisqu'elle amalgamait des dizaines de mouvements n'ayant rien en commun les uns avec les autres, créant ainsi des solidarités de fait entre des groupes qui se vouaient une détestation peu commune. Le fait d'englober sous un même vocable des mouvements terroristes transnationaux comme Al Qaeda, mouvement avec lequel il n'y a absolument rien à négocier, et d'autres mouvements, qui sont quant à eux ancrés dans un territoire, soutenus par une large partie de la population dont ils sont issus et ayant des revendications claires, revient à faire un amalgame peu judicieux.

Autre expression ayant fait florès sous le mandat de George W. Bush puis ayant été abandonnée sous l'administration Obama : celle de " fascisme islamique ", qui heurtait profondément les sentiments d'un milliard et trois cent millions de personnes, toutes tendances confondues. La formule était de surcroît indéfendable du point de vue de la rigueur académique et historique. Aussi détestables que puissent être les idéologies de mouvements islamistes, ces idéologies relèvent d'un tout autre cadre théorique que celui du fascisme européen de l'entre-deux guerres.

Troisième formule bushiste ayant été remise au placard, celle d' " axe du mal ", qui ressortait elle aussi d'une vision théologique de l'histoire, et était de surcroît rigoureusement inexacte, puisque le terme d'axe sous-entend clairement qu'il existe une alliance ou du moins une coopération entre les pays concernés, ce qui n'était certainement pas le cas entre l'Iran, l'Irak et la Corée du Nord.

Après s'être débarrassé de ces slogans simplistes et guerriers qui obscurcissaient la vision géopolitique et ne faisaient que jeter de l'huile sur le feu, Barack Obama est allé encore plus loin dans sa volonté de réinstaurer le respect envers le monde musulman et a choisi de tenir une série de grands discours, le plus important d'entre eux ayant été celui du Caire. Ce discours a fait couler beaucoup d'encre et est d'ores et déjà entré dans l'histoire. C'était un discours de très belle facture, qui continue de résonner dans l'ensemble des capitales de la région. Sa portée symbolique était si forte que certains défauts du discours ont été occultés. C'était en effet un discours peut-être trop imprégné de références religieuses, alors même que les laïcs du monde musulman peinent à faire entendre leur son de cloche. Il y avait par ailleurs quelques maladresses, comme un parallèle entre les maronites et les coptes, dont les situations sont fort différentes. Mais au-delà des quelques petits reproches que l'on puisse lui adresser, ce discours a montré que Barack Obama avait compris deux points absolument fondamentaux.

Le premier point, c'est celui de l'interdépendance qui marque notre époque, de l'interpénétration entre l'islam et l'occident, de l'interpénétration entre les cultures et les civilisations. Obama n'hésita pas à rappeler qu'il y avait dans l'Amérique " une part d'islam " et que l'occident ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans l'apport de l'islam. Il a rappelé tout ce que l'occident doit aux civilisations arabo-musulmanes. On est donc sorti des sempiternelles visions binaires, opposant eux et nous, et présupposant que les civilisations sont des blocs monolithiques et homogènes destinés à s'affronter. Homme de grande culture politique, littéraire et historique, étant lui-même issu d'un couple mixte et ayant vécu en Indonésie, Barack Obama semble imperméable aux visions essentialistes et culturalistes qui ont prédominé au cours des huit dernières années et dont l'inanité continue de faire des dégâts.

Le deuxième point fondamental dans le discours d'Obama, c'est qu'il a également bien compris que les principaux enjeux étaient d'ordre strictement géopolitique. Qu'il ne s'agissait pas d'une guerre de religion, d'un conflit théologique entre le bien et le mal, mais d'enjeux plus profanes, comme notamment celui d'un conflit territorial non réglé, le conflit israélo-palestinien. Il a parlé de la terrible situation des Palestiniens, des petites et grandes humiliations qu'ils subissaient au quotidien. Il a saisi l'occasion pour condamner sans ambages l'antisémitisme et le négationnisme. Il a clairement affirmé que cette région du monde devait cesser d'être une arène dans laquelle se déroule le jeu des puissances qui y mènent des guerres par procuration, selon l'expression très juste qu'il a utilisée. Il fut en outre le premier président américain à reconnaître l'implication des Etats-Unis dans le coup d'état contre un premier ministre démocratiquement élu en Iran, en 1953, M. Mossadegh. Mme Albright avait précédemment fait elle aussi cet aveu, mais dans la bouche d'un président, cette remise en question prend une toute autre dimension. Il a finalement reconnu que la guerre d'Irak avait été fondée sur des mensonges, que ce fut une guerre de choix et non pas de nécessité. Réaliste, libéral et pragmatique, il a compris qu'on ne pouvait pas transformer le réel par la violence.
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Personne à contacter Re: Barack Obama

Message par Sphinx Dim 9 Mai - 0:31

Face aux dures réalités

On voit donc clairement que loin d'être uniquement rhétorique, le changement est plus profond et témoigne d'une nouvelle vision du monde. M. Obama a accepté de publier une partie des mémorandums qui prouvaient que la torture pratiquée sous l'administration Bush n'était pas le fait de quelques brebis galeuses mais qu'il s'agissait d'une politique justifiée et légitimée au plus haut niveau de l'Etat. Il a tenu ses engagements en ce qui concernait le retrait des agglomérations irakiennes. Il tient envers Israël un discours amical tout en faisant comprendre que la période précédente, celle de la carte blanche, était aujourd'hui révolue.

Pendant des années, les Américains se sont posé la question : " Why do they hate us ? " Pourquoi sommes-nous détestés ? Et George W. Bush avait apporté une réponse terriblement à coté de la plaque, en soutenant qu'ils nous détestent pour nos libertés, pour notre démocratie, pour notre mode de vie… S'il existe certainement une pette minorité de musulmans qui sont hostiles, pour des raisons religieuses, aux valeurs et au mode de vie américains, la majeure partie d'entre eux sont critiques envers les Etats-Unis pour des raisons beaucoup plus prosaïques. Toutes les enquêtes d'opinion, tous les chercheurs n'ayant pas de préjugés ou d'arrière-pensées et ayant visité les pays concernés confirment que les musulmans ne sont hostiles ni à la liberté, ni à la démocratie, mais tout simplement à la politique extérieure des Etats-Unis, précisément parce qu'ils estiment qu'elle les prive de liberté et de démocratie… La plupart des sociétés arabes et musulmanes sont beaucoup plus américanisées qu'on ne le pense. Le ressentiment trouve sa source dans deux raisons principales : le soutien américain aux régimes autoritaires arabes, et le fait que l'Amérique autorise Israël à s'affranchir du droit international. Ce qui est condamné, ce ne sont pas donc les valeurs américaines, mais plutôt l'hypocrisie qui fait que ces valeurs ne sont évoquées que lorsque les intérêts stratégiques américains sont en jeu. Le Financial Times, qui n'est pourtant pas un haut lieu de la contestation gauchiste antiaméricaine, soulignait récemment cette hypocrisie en rappelant que la plupart des pays arabes pro-américains connaissent eux aussi des élections truquées, comme en Iran, sans que cela ne suscite à Washington autre chose que quelques froncements de sourcil.

Et c'est précisément en raison de la faible marge de manœuvre dont dispose Barack Obama pour agir efficacement sur les véritables sources du ressentiment musulman que la nouvelle approche risque vite de se heurter aux dures réalités du terrain. On voit mal comment, dans le contexte actuel marqué par l'enjeu nucléaire iranien, les Etats-Unis pourraient exiger de leurs alliés égyptiens et saoudiens de libéraliser et de démocratiser leurs régimes, de plus en plus impopulaires dans la région. On voit mal par ailleurs comment un président des Etats-Unis pourrait, sans l'appui du Congrès, imposer au gouvernement d'ultra-droite en Israël de mettre un terme à l'occupation et à la colonisation. Or, comme l'écrivait récemment l'éditorialiste du New York Times Roger Cohen, toute stratégie d'ouverture envers le monde musulman est vouée à l'échec si les Etats-Unis se montrent incapables de permettre enfin la naissance de l'Etat palestinien tant attendu. Jérusalem demeure l'épicentre de la géopolitique internationale, et le conflit israélo-palestinien continue d'être une plaie béante et de mobilier les opinions publiques à travers le monde. La question palestinienne est devenue emblématique, comme ce fut le cas naguère pour l'Algérie, le Vietnam ou l'Afrique du Sud.

C'est donc à un véritable jeu d'équilibriste auquel doit aujourd'hui se livrer Barack Obama. Il s'agit pour lui de poursuivre la politique de la main tendue envers le monde musulman sans pour autant apparaître pusillanime face à des régimes comme ceux de la Syrie et de l'Iran. Il s'agit d'obtenir d'Israël des concessions sans s'aliéner les congressistes et sénateurs pro-israéliens. Il s'agit de mener à son terme le retrait des troupes américaines d'Irak et d'éviter que l'Amérique ne s'enlise en Afghanistan. Il s'agit d'empêcher le Yémen et la Somalie de devenir de nouveaux foyers de tensions. Sa marge de manœuvre est extrêmement étroite et il serait à ce stade profondément injuste de lui reprocher l'absence de résultats spectaculaires.

L'éditorialiste de Newsweek et de CNN, Fareed Zakaria, soutient que Barack Obama est le premier président d'une Amérique " post-impériale " dans un monde " post-américain. " Il a hérité d'un véritable champ de ruines et cherche à jouer au mieux la main très imparfaite dont il dispose. La politique de Barack Obama ne repose ni sur le radicalisme, ni sur l'angélisme ou le pacifisme béat. S'il a lu WEB Du Bois, Frantz Fanon et Malcolm X, s'il admire Gandhi, Martin Luther King et Mandela, Obama a surtout été marqué par la pensée du théologien protestant Reinhold Niebuhr, l'un des principaux théoriciens du concept controversé de " guerre juste ". On retrouve très clairement l'influence de Niebuhr dans le discours qu'a prononcé Obama devant le Comité Nobel à Oslo. Barack Obama, bien qu'ayant des tendances libérales et internationalistes, mène une politique qui s'inscrit parfaitement dans le cadre de l'école " réaliste", assez proche de celle menée naguère par George Bush père et de celle défendue par des personnalités comme Brent Scowcroft ou Zbigniew Brzezinski. L'objectif du nouveau président américain n'est donc pas de militer pour la " paix perpétuelle " dont ont rêvé Kant ou Habermas, mais tout simplement de restaurer l'image des Etats-Unis et d'endiguer leur déclin. Il a plusieurs atouts en main pour mener à bien la première de ces deux missions. Pour ce qui est de la deuxième, seule une action volontariste de longue durée pourra obtenir les effets escomptés. Mais si l'on en juge par la mobilisation actuelle de la droite radicale américaine, le succès des Tea Parties et l'audience toujours croissante d'animateurs aussi fanatiques et extrémistes que Glenn Beck et Rush Limbaugh, il est à craindre que Barack Obama ne soit qu'une parenthèse (une parenthèse heureuse, mais une parenthèse néanmoins) et que nous assistions dans quelques années à un backlash, un retour de bâton et un retour en force de cet ultranationalisme décomplexé et de ces idéologues qui n'ont rien appris et rien oublié, pour reprendre la formule qu'utilisait Talleyrand à propos des royalistes émigrés et des bourbons après 1789.

Barack Obama et le monde musulman : de la beauté du verbe aux dures réalités" par Karim Emile Bitar - Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS)
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Personne à contacter Re: Barack Obama

Message par Sphinx Dim 9 Mai - 0:39

La stratégie d'Obama au Proche-Orient

Barack Obama Obamam10

L'ouverture prochaine de négociations indirectes, dites « de proximité », entre Israël et les Palestiniens marque un premier succès de la stratégie de Barack Obama au Proche-Orient.

C'est un succès mitigé puisque rien ne dit que ces pourparlers peuvent aboutir. Dix-sept ans après les accords d'Oslo, la méfiance est telle que l'équipe de George Mitchell (Sur la photo avec Obama), représentant spécial du président américain, devra faire la navette entre le bureau du premier ministre Benyamin Nétanyahou à Jérusalem et la présidence de l'Autorité palestinienne, à Ramallah.

C'est tout de même un succès si l'on se souvient du début mars lorsque la droite israélienne avait fait échec à ces discussions en annonçant, en pleine visite à Jérusalem du vice-président Joe Biden, la construction de 1 600 logements dans le quartier de Ramat Shlomo, à Jérusalem-Est. Depuis, le gouvernement israélien a tacitement accepté, si ce n'est un gel, du moins de ne pas entreprendre de mise en chantier de logements à Jérusalem-Est.

L'ouverture prochaine de négociations indirectes est surtout un succès qui peut en amener d'autres, dans la mesure où il s'inscrit dans une stratégie américaine plus globale. Pour obtenir que Palestiniens et Israéliens consentent à en arriver là, le président américain a multiplié les moyens de pression. Les leviers qu'il a actionnés pour que la négociation s'engage pourront servir par la suite à obtenir des résultats.

Vis-à-vis d'Israël, Barack Obama a agité la menace d'un plan de paix américain qui pourrait être présenté à l'automne, dans l'hypothèse où la démarche de George Mitchell ne donnerait pas de résultats. Des fuites en ce sens ont été organisées par la Maison-Blanche à la suite d'une réunion, le mois dernier, entre le président et les conseillers pour la sécurité nationale de ses prédécesseurs.

Zbigniew Brzezinski, l'ancien conseiller de Jimmy Carter, a été le plus explicite en suggérant que Barack Obama devrait se rendre à Jérusalem, pour s'exprimer devant la Knesset, et à Ramallah, pour parler devant le Conseil législatif palestinien, accompagné de dirigeants arabes et de représentants du Quartette, et présenter sa vision d'un règlement définitif de la question palestinienne. Écartée pour l'instant, l'option d'une proposition formelle américaine reste une arme à laquelle peut recourir Washington, le moment venu.

Vis-à-vis des Palestiniens, l'Administration américaine a insisté pour que les pays arabes modérés donnent leur aval à Mahmoud Abbas et le soutiennent dans sa démarche de négociation. Le président de l'Autorité palestinienne a reçu samedi au Caire le feu vert de ses pairs arabes et poursuit une tournée dans la région avant l'ouverture des discussions.
Selon le Wall Street Journal, la Maison-Blanche aurait assuré les Palestiniens que les États-Unis n'opposeraient pas leur veto au Conseil de sécurité de l'ONU à une résolution condamnant Israël si l'État hébreu venait à renouveler ses projets de construction à Jérusalem-Est.

L'appui conséquent donné par Washington au premier ministre Salam Fayyad, et à sa démarche visant à créer sur le terrain les conditions d'un État palestinien, constitue, enfin, un autre moyen de pression pour inciter Mahmoud Abbas à jouer la carte des négociations.

Tout cela s'inscrit dans le cadre d'un durcissement à l'égard de l'Iran et de la Syrie - contre laquelle les sanctions américaines viennent d'être renouvelées - qui permet à la Maison-Blanche de détourner, au moins partiellement, les critiques des partisans d'Israël au Congrès.

Par Pierre Rousselin le 4 mai 2010
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Personne à contacter Re: Barack Obama

Message par Gallagher88 Lun 10 Mai - 12:18

écoutez l'avis de Michel Collon sur B.Obama

https://www.youtube.com/watch?v=x_8o8KVSgQc
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Personne à contacter Re: Barack Obama

Message par Sphinx Sam 14 Aoû - 23:05

Ground Zero: Obama persiste et signe

Barack Obama a défendu aujourd'hui les propos qu'il avait tenu la veille sur le droit de construire une mosquée près du site des attentats du 11-Septembre à New York, affirmant qu'il s'agissait d'une question de "valeurs" pour les Etats-Unis. Intervenant pour la première fois dans ce dossier potentiellement explosif, le président américain avait créé de forts remous en défendant vendredi soir le droit d'installer une mosquée près du site des attentats du 11-Septembre à New York.

Revenant aujourd'hui sur cette affaire en marge de sa visite à Panama City (Floride, sud-est) où il passe un week-end en famille pour montrer sa solidarité avec la région affectée par la marée noire, M. Obama a rappelé que "dans ce pays, nous traitons tout le monde sur le même pied d'égalité, et conformément à la loi, sans tenir compte de la race ou de la religion". "Je ne m'exprimais pas, et je ne m'exprimerai pas, sur le bien-fondé de prendre la décision d'installer une mosquée là-bas", près du site des tours jumelles détruites lors des attentats du 11 septembre 2001, a expliqué le président aux journalistes l'accompagnant en Floride.

"Je m'exprimais très spécifiquement sur le droit que les gens ont, et qui date de la fondation" du pays, a-t-il ajouté, en allusion à la Constitution des Etats-Unis qui défend la liberté de culte. "C'est ce que notre pays signifie", a insisté le président. "Et je pense qu'il est très important, aussi difficiles que soient ces questions, que nous restions concentrés sur ce que nous sommes en tant que peuple et ce que nos valeurs représentent", a ajouté Obama.

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Message par Syfou Jeu 3 Mar - 0:07

Obama "attristé"

Fusillade/Allemagne

Le président américain Barack Obama s'est dit "attristé" et "outré" par la fusillade qui a fait aujourd'hui deux morts et deux blessés parmi des militaires américains à l'aéroport de Francfort (ouest de l'Allemagne).

Le gouvernement américain "n'épargnera aucun effort" afin de déterminer les circonstances du drame, a ajouté le président américain, apparaissant de manière inhabituelle dans la salle de presse de la Maison Blanche. "Je suis attristé et outré par cette attaque", a dit Barack Obama. "Le peuple américain est uni pour exprimer notre gratitude envers le service rendu par ceux qui sont partis", a-t-il ajouté.

"Michelle et moi nous unissons dans la prière à leurs familles et à leurs amis et prions en vue d'un prompt rétablissement de ceux qui ont été blessés". "Nous n'allons épargner aucun effort pour apprendre comment cet acte odieux a eu lieu", a souligné le président américain.

Deux militaires de l'armée de l'air américaine ont été tués aujourd'hui et deux autres grièvement blessés alors qu'ils se trouvaient à bord d'un autobus et qu'ils étaient en partance pour les Etats-Unis. La police allemande a arrêté peu après le tireur présumé, un jeune homme de 21 ans originaire du Kosovo et qui vivait à Francfort. Ses mobiles n'ont pas été déterminés pour le moment.

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Message par Syfou Mar 19 Juil - 0:40

Obama décore ses murs en noir et blanc !

Barack Obama Norman10

Le célèbre tableau de Norman Rockwell, The Problem We All Live With- Notre problème à tous- fait son entrée à la Maison Blanche. Emblème de la lutte contre la ségrégation et pour les Droits Civiques aux US, il représente la petite Ruby Bridges, fillette noire en robe blanche, se rendant à l'école entre des policiers blancs,et incarne la prise de conscience de l'Amérique des années 60 de sa difficulté à respecter la fin de la séparation des enfants noirs et blancs à l'école. La décoration de la Maison Blanche jusqu'ici plutôt pâlichonne s'enrichit d'une oeuvre aussi symbolique que personnelle. Un bon point pour Potus? Et un signal vers la communauté africaine américaine.

Potus a invité Ruby Bridges à fêter ses 50 ans à la Maison Blanche et être la première à voir ce tableau mythique. Norman Rockwell, icône des publicitaires, dont l'oeuvre a exalté la vie familiale américaine en représentant les gens ordinaires dans tous les moments qui comptent de leur vie, avait voulu faire prendre conscience à ses concitoyens que, six ans après la décision de la Cour Suprême Brown vs Board of Education de 1954- qui rendait inconstitutionnelle la ségrégation des enfants noirs à l'école blanche- la réalité était différente et Ruby allait à l'école entre 4 policiers blancs. Norman Rockwell, gloire nationale, avait décidé de prendre position et d'en faire un tableau manifeste politique.

Bien sûr la présence de Ruby, le 16 juillet à la Maison Blanche faisait l'évènement. Quand a-t-elle découvert cette peinture? Vers 18 ou 19 ans dans un catalogue... Elle se souvient de l'atmosphère électrique quand elle passait dans la rue avec des cris et des injures. Charles Burke, policier sur le tableau, se souvient très bien de cette enfant "si courageuse, marchant comme un petit soldat". Aujourd'hui, Elle est au board de la Fondation Norman Rockwell et veut mettre en exergue le courage du peintre qui à une époque très tourmentée sur la ségrégation a voulu faire preuve de courage et dire " c'est faux, nous ne le faisons pas": Regardez vous-même ce tableau prêté jusqu'à fin octobre à la Maison Blanche.

Par Véronique Saint-Geours le 17 juillet 2011
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Message par Daûphin_zz_47 Jeu 8 Déc - 13:18

Message à l'Elite Nègre:L'islam avait libéré les nègres mais vous , vous avez préféré la servitude en plus vous (Africains ) êtes content absolument content gif2

Roots / Korzenie 1977 NAPISY PL część 1

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Message par Invité Sam 14 Jan - 1:26


RT - Le changement d'Obama : De la torture à l'assassinat direct !


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Message par Daûphin_zz_47 Jeu 1 Mar - 14:58

Stratégie et politique étrangère américaine : la « doctrine » Obama

Barack Obama Mid-pr10

Lors de son élection en 2009, Barack Obama a soulevé de nombreuses attentes, surtout au sein des sociétés européennes, israéliennes ou arabo-musulmanes. Attendu comme le messie par certains, craint par d’autres attachés à la politique étrangère de George W Bush, le nouveau président américain a également du affronter l’opinion domestique, épuisée par une décennie de « guerre à la Terreur » et de « longue guerre ».

Dans le contexte électoral actuel, nombreux ont été ses opposants, mais aussi des journalistes ou des analystes, à critiquer l’approche du président et son souci pédagogique d’adapter les États-Unis aux évolutions quant à sa position géopolitique. Le reproche le plus courant concerne sa doctrine: tantôt accusé de ne pas en avoir, tantôt mis en demeure de ne pas affaiblir la puissance américaine face à la Chine, l’Iran ou la Russie, tantôt contesté pour être intervenu en Libye ou avoir laissé les Européens conduire cette affaire.

Read more » :
http://alliancegeostrategique.org/2012/02/29/strategie-et-politique-etrangere-americaine-7-la-doctrine-obama/#more-11494


  • Written by Stephane Taillat on février 29, 2012 – 6:00 -
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Message par Syfou Jeu 31 Mai - 23:21

Un porc peut-il en caché un autre Question

Etats-Unis: Obama honore Bush enterre un instant la hache de guerre

Barack Obama 77e78c106f2b185a587a8c7f517324a6?l=320&h=240

Le président des Etats-Unis Barack Obama a mis en sourdine ses critiques contre le bilan de son prédécesseur George W. Bush et lui a même exprimé sa gratitude jeudi lors d'une cérémonie en son honneur à la Maison Blanche.

«Nous avons peut-être des opinions politiques différentes, mais la présidence transcende ces différences. Nous aimons tous ce pays. Nous voulons tous que les Etats-Unis réussissent», a déclaré M. Obama lors de la présentation des portraits officiels de M. Bush et de son épouse Laura.

Obama, en campagne pour sa réélection, ne manque jamais de souligner qu'il a hérité d'une situation économique catastrophique à son arrivée à la Maison Blanche le 20 janvier 2009, mais il a préféré remarquer jeudi que l'administration républicaine sortante avait «tout fait pour que la transition se fasse de la meilleure façon possible».

«Je vous en serai toujours reconnaissant», a assuré M. Obama à M. Bush, en saluant aussi en lui celui qui avait «communiqué une résolution et une force extraordinaires» aux Américains en s'adressant à eux depuis les ruines du World Trade Center peu après le 11 septembre 2001.

Lire:
http://www.20minutes.fr/ledirect/944469/etats-unis-obama-honore-bush-enterre-instant-hache-guerre

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Message par Sphinx Mar 19 Juin - 0:25

photo du couple Obama dans sa jeunesse Smile

Barack Obama 40162910
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Message par Syfou Lun 11 Mar - 22:05

LIBYE. Malik Obama : « La volonté de tuer Mouammar Kadhafi était plus forte chez Barack »


Barack Obama Malik-et-barack-obama-lors-du-mariage-du-prc3a9sident-amc3a9ricain
Malik et Barack Obama lors du mariage du second.

Le frère aîné de Barack Obama, Malik, qui vient d’être battu mors de l’élection des Gouverneurs au Kenya, vient de faire des révélations qui présentent son frère comme un être froid, un monstre froid, qui fonce tête baissée. A moins d’être fou, tout le monde sait qu’il n’y a jamais eu de révolution populaire en Libye.

A cet effet, le ministre de la Nation of Islam, Farrakhan, avait dénoncé l’action de Barack Obama contre la Libye et Mouammar Kadhafi mais, le président américain restait ferme sur ses positions. Il fallait en découdre avec Mouammar Kadhafi. C’était le calendrier. La preuve, qui se préoccupe encore de la Libye ? Personne.

Barack Obama Malik-obama-et-mouammar-kadhafi
Malik Obama et Mouammar Kadhafi

http://allainjules.com/2013/03/10/libye-malik-obama-la-volonte-de-tuer-mouammar-kadhafi-etait-plus-forte-chez-barack/
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Message par Sphinx Lun 18 Mar - 21:21

Un Obama sans plan au Proche-Orientarticle bloqué

Le président américain avait fait rêver les Palestiniens en 2009-2010. Mais l’Iran et la Syrie devraient passer avant la Palestine dans les priorités de l’heure. Et le nouvel exécutif israélien est sous l’influence des colons…

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Obama et les Palestiniens, c’est un peu comme une histoire d’amour flétrie par la dure réalité des choses. Lors d’un discours décrit comme historique en juin 2009 au Caire, le premier président noir des Etats-Unis avait soulevé un espoir considérable dans la région, montrant une empathie qui n’avait pas paru feinte envers les souffrances et les frustrations du peuple palestinien.

http://www.lesoir.be/209714/article/actualite/monde/2013-03-18/un-obama-sans-plan-au-proche-orient
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Message par Syfou Dim 23 Juin - 15:52

Etats-Unis: ils voulaient assassiner Obama à coups de rayons laser

Le FBI a arrêté mercredi deux hommes qui préparaient plusieurs attentats aux rayons X dont un contre le président Barack Obama. Les deux Américains, dont l’un serait membre de l’organisation suprémaciste blanche Ku Klux Klan, avaient mis au point un système de radiations létales qui pouvait être enclenché à distance. Glendon Scott Crawford, 49 ans et Eric Feight, 54 ans entendaient mener une expédition punitive contre les « ennemis d’Israël » et le président américain, qu’ils tiennent pour responsable des attentats de Boston.
Glendon Scott Crawford, mécanicien industriel chez General Electric à Schenectady, a rencontré Eric Feight, un ancien de General Electric spécialisé dans la mécanique et l’ingénierie, via leur travail. D’après le Huffington Post, Feight devait dessiner, fabriquer et tester le système d’enclenchement à distance, destiné à activer les rayons laser létaux depuis le toit d’un camion.
Ils avaient baptisé leur projet « Hiroshima sur l’interrupteur de lumière »
http://senego.net/international/2013/06/22/etats-unis-voulaient-assassiner-obama-coups-rayons-laser_99917.html

Barack Obama Images?q=tbn:ANd9GcQ-5uzuRIEHYcvnP0Z0wcdHi51O6r37WBCnJFUm4Cd2fGZdPpBUTg
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