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Opposition politique en Belgique

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Personne à contacter Opposition politique en Belgique

Message par Syfou Mer 19 Mai - 17:20

Opposition de la population flamande et wallonne sur le fédéralisme

Les opinions publiques francophone et flamande sont aux antipodes face à l'évolution du modèle fédéral belge. Alors qu'un tiers des Flamands favorisent l'une ou l'autre forme d'indépendance, les francophones y sont majoritairement opposés et voudraient même moins d'autonomie pour les Régions.

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Le lion flamand et le coq wallon ne sont pas nécessairement
en phase sur la question du futur de la Belgique © Belga


Selon un sondage en ligne réalisé par iVox à la demande de RTL, près d'un tiers des francophones (32,2%) souhaitent que la Belgique soit "un Etat unitaire avec moins d'autonomie pour les Régions qu'aujourd'hui", tandis que 28,1% voudraient maintenir l'Etat fédéral "comme aujourd'hui".

Les francophones ne plébiscitent pas un modèle d'Etat fédéral avec plus d'autonomie pour les Régions (14,2%), ni un Etat confédéral (8,8%). Quant aux diverses formules de divorce, elles ne recueillent qu'un soutien faible à marginal.

Ainsi, la formule de deux Etats distincts, Flandre d'un côté, Wallonie-Bruxelles de l'autre obtient 7,6%, devant une solution à trois Etats (5,8%). Les francophones ne semblent même pas imaginer une solution à deux Etats distincts avec Flandre-Bruxelles d'un côté et Wallonie de l'autre (0,7%).

Le sentiment flamand est radicalement différent. Environ un tiers des personnes interrogées favorisent une séparation, en particulier dans une formule où la Flandre et Bruxelles feraient partie du même Etat (15,7%).

Un quart des Flamands (24,3%) voudraient un Etat fédéral avec plus d'autonomie pour les Régions, tandis que 16,8% donnent leur préférence au modèle confédéral. A peine 13,8% voudraient maintenir le statu quo, et 10,4% envisagent un Etat avec moins d'autonomie pour les Régions.

http://levif.rnews.be


Dernière édition par Syfou le Jeu 19 Aoû - 22:14, édité 1 fois
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Personne à contacter Re: Opposition politique en Belgique

Message par Sphinx Dim 13 Juin - 23:39

La victoire des séparatistes flamands fragilise la Belgique

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Bart De Wever s'impose, mais sans être maître du calendrier ni du rapport de force.

La Belgique tente de recoller les morceaux, au bout d'un scrutin législatif qui a fragilisé ce qui lui reste d'unité. Champion d'une Flandre tentée par le large, le parti de Bart De Wever dépassait dimanche soir les 25 % de suffrages espérés dans la province majoritaire. L'avenir du royaume va dépendre de ce que le vainqueur fera d'un succès historique.

Bart De Wever, porté par la «vague jaune» et patron de ce qui s'impose comme le premier parti de Flandre, garde encore ses cartes pour lui. Souhaite-t-il s'asseoir à la table des partis, user du capital électoral de la Nouvelle Alliance flamande (NVA) pour avancer vers l'indépendance et réduire le pouvoir fédéral à la portion congrue ? Ou veut-il, au contraire, s'installer dans une opposition qui risque d'hypothéquer tout compromis négocié par des partis traditionnels émiettés ? À 39 ans, cet Anversois poupin et à l'éternelle chemise blanche avait réussi à s'imposer comme un politicien fréquentable. Depuis dimanche soir, il devient plus difficile à contourner.

Pour une Belgique plus distendue que jamais, la première gageure est aujourd'hui de se remettre de l'ivresse, ou du désespoir. La NVA flamande, pour galvanisée qu'elle soit, n'est maîtresse ni du calendrier, ni du rapport de force. Malgré son triomphe, elle pèse à peine 15 % des voix dans le royaume. Sur une scène fédérale habituée à toutes les géométries et à toutes les contorsions, Bart De Wever peut voir se nouer sans lui - ou contre lui - de nombreuses majorités. Fait nouveau, mais moins remarqué, les élections de dimanche ont fait des socialistes le premier «parti» de Belgique, dans ses deux composantes, francophone et flamande. Le royaume, privé de gouvernement depuis le 22 avril, a besoin d'un premier ministre. Au bout d'une campagne qui a vu les deux communautés se tourner le dos, la seconde urgence est d'identifier les hommes et les femmes de compromis. Après les élections de 2007, il fallut neuf mois, empoisonnés par la surenchère linguistique, pour s'entendre sur le nom d'Yves Leterme, futur démissionnaire à répétition.

Aujourd'hui, la tâche paraît d'autant plus ardue que les grands partis traditionnels du Nord, étrillés par la NVA, pèsent à peine 50 % de l'électorat flamand. Faute d'accord entre eux, tous les scénarios sont permis. Mais pour resserrer les rangs, ils ont désormais un aiguillon : Bart De Wever, qu'il soit à l'intérieur ou à l'extérieur de la future coalition. En Flandre, le grand perdant du scrutin semble être le parti libéral VLD, précisément celui qui a fait tomber le gouvernement Leterme pour se rapprocher des thèses de Bart De Wever.


Plan «B»

Le troisième défi sera de délimiter un terrain d'entente. Les élections de dimanche laissent entrevoir des recoupements de part et d'autre de la frontière linguistique. Marianne Thyssen, possible premier ministre de compromis bien qu'à la tête d'un Parti chrétien-démocrate flamand diminué, a fait un pas vers les francophones. Dans les derniers jours, elle assurait que 84 % des électeurs «veulent voir leur pays réformé, mais pas disloqué».

De l'autre côté, le chef des socialistes francophones Elio Di Rupo sent son heure venue, malgré une médiocre pratique du néerlandais. Sûr d'une alliance moins lâche avec ses cousins flamands du SPA, il n'exclut même pas de négocier en force avec Bart De Wever «pour arriver à une solution équilibrée».

Politiquement, le point de passage obligé est ce qu'on appelle pudiquement au Sud «la réforme de l'État» et au Nord «la transition vers le confédéralisme». En clair, le transfert de nouveaux pouvoirs de la capitale vers les régions. Les partis flamands visent une quasi-indépendance sur le plan économique. Pour les Wallons, l'inacceptable serait le démembrement de ce qui touche à la sécurité sociale et aux retraites. Le Sud, moins riche et deux fois plus touché par le chômage, bénéficie de transferts substantiels au titre de la solidarité fédérale.

Dans une Belgique en survie, chacun pourtant garde en tête le plan «B». Chiffon rouge de la campagne, le sort des 130 000 francophones qui résident en territoire flamand à la périphérie de Bruxelles peuvent une fois de plus enflammer les extrêmes si les tractations s'éternisent.

le figaro
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Personne à contacter Re: Opposition politique en Belgique

Message par Sphinx Sam 26 Juin - 22:24

L’INDÉPENDANCE DE LA FLANDRE AVEC LA BÉNÉDICTION EUROPÉENNE

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« N’ayez pas peur ». Après sa victoire aux élections fédérales belges, Bart de Wever, patron de la NVA (Nouvelle Alliance flamande) a tenté de rassurer les francophones en citant le Pape Jean-Paul II.

Elections fédérales belges : vers une séparation de corps à l’amiable ?

C’est peu dire que l’homme fort de la Flandre se veut plus catholique que le Pape en matière d’intégration européenne et de désintégration nationale. Un positionnement détonnant venant d’un parti qualifié de conservateur et de nationaliste, qui ornait ses affiches électorales d’un lion flamand entouré de douze étoiles d’or sur fond bleu. Tout un symbole. Plus détonnant encore, la NVA appartient au Groupe des Verts au Parlement Européen : si elle est en effet peu réputée pour ses accointances idéologiques avec le gauchisme, elle partage en revanche avec ce groupe parlementaire l’idée d’une Europe construite autour de régions ethniquement et culturellement homogènes.

Une façon, en somme, de mieux démanteler les Etats. Bart de Wever ne fait d’ailleurs pas mystère de ses convictions sur le sujet : récemment, il déclarait que l’Europe et les grandes régions confédérées sont appelées à devenir les « deux niveaux de compétence les plus importants ». Tentant de rassurer les francophones, il ajoutait: « Nous ne voulons pas la révolution. Nous ne voulons pas proclamer l’indépendance de la Flandre du jour au lendemain. Mais nous croyons néanmoins en une évolution progressive (des pouvoirs) vers la Flandre et l’Europe, et dans cette évolution, le système confédéral peut constituer une étape douce ». Bref, une « étape » vers l’indépendance à mots couverts.

La complicité des francophones ?

Bart de Wever est sur le point de réaliser un coup de maître. Alors que les francophones attendaient depuis 1979 de prendre la tête du Gouvernement belge, il se déclare prêt à offrir sur un plateau le poste de Premier Ministre au vainqueur des élections en Wallonie, le socialiste Elio di Rupo, considéré comme étant un Wallon relativement ouvert sur la régionalisation.

Une concession sans grande importance pour la NVA, puisque la Belgique est appelée à devenir une coquille vide chapeautant deux gouvernements autonomes, ce qui induit notamment la séparation des régimes de Sécurité sociale, grand sujet de discorde entre francophones et flamands, ces derniers se plaignant d’assister la Wallonie touchée par un chômage endémique. Mais les francophones, qui ne représentent que 40% de la population de la Belgique, savent que le destin du Royaume n’est pas entre leurs mains.

Bruxelles DC

C’est surtout le statut de Bruxelles qui risque d’évoluer à la faveur des changements institutionnels opérés par le prochain Gouvernement belge. Dans la perspective d’une dissolution inéluctable de la Belgique discrètement envisagée par l’ensemble de la classe politique du pays, la capitale de la Flandre, toutefois peuplée à 80% de francophones, pourrait devenir le fruit d’un arbitrage européen, qui confierait tout ou partie de son territoire à l’Union Européenne, seule solution à la fois équitable et neutre pour les deux parties.

Alors que le Traité de Lisbonne consacre la citoyenneté européenne et la personnalité juridique de l’Union, la création d’un territoire spécifique lui permettrait de pouvoir être considérée comme un Etat à part entière tout en faisant de la dissolution de la Belgique le laboratoire d’une Europe qui se construit désormais sans les Nations.

20 juin 2010 par Paul-Alexandre
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