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Conseil de coopération des États arabes du golfe Persique (CCEAG )
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algeriedrs :: Politiques,relations extérieures et diplomatie :: Politique étrangère, diplomatie et coopération internationale :: Organisations internationales
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Conseil de coopération des États arabes du golfe Persique (CCEAG )
Conseil de coopération du Golfe
Le Conseil de coopération des États arabes du Golfe (arabe : مجلس التعاون لدول الخليج) ou Conseil de coopération du Golfe (CCG) (arabe : مجلس التعاون الخليجي) est une organisation régionale regroupant six États arabes du golfe Persique : l'Arabie saoudite, Oman, le Koweït, Bahreïn, les Émirats arabes unis et le Qatar.
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Histoprique
Le Conseil a été créé sous l'impulsion de l'Arabie saoudite et sous la pression des États-Unis le 25 mai 1981 dans un but essentiellement économique et social. Les questions politiques y sont rarement évoquées. Il est composé de l'Arabie saoudite, d'Oman, du Koweït, de Bahreïn, des Émirats arabes unis et du Qatar.
Le Conseil a pour but d'instaurer dans le Golfe un marché commun. Dès le 1er décembre 1981, les pays membres ouvrent leurs frontières économiques aux biens produits dans la région.
Le Conseil a également pour but d'assurer la stabilité économique et politique de la région et une unification du système économique et financier des États membres.
Créée lors de la guerre Iran-Irak, l'un des buts de cette organisation est de contrer l'expansionnisme iranien et le baathisme irakien.
Un accord de sécurité intérieure est signé en 1982 entre les États membres suite à une tentative de putsch à Bahreïn en décembre 1981 et, au niveau militaire, les forces armées des pays du Conseil de coopération du Golfe organisent depuis 1983 des manœuvres communes baptisées « Bouclier de la Péninsule ». Aux sommets de Koweït (1984) et de Mascate (1985), il est décidé que les unités participant à ces manœuvres forment une « force de déploiement conjointe » dont le quartier général se trouve au nord-est de l’Arabie Saoudite. Son commandant est un général saoudien. Enfin, les ministres de la défense du CCG réactivent le projet de l’Organisation des Industries Arabes (OIA) dans lequel l'Égypte était impliquée et construisent plusieurs usines d’armement fabriquant munitions et armes légères ainsi que des blindés légers sous licence brésilienne.
À la fin de la guerre Iran-Irak, Saddam Hussein crée une organisation concurrente, le Conseil de coopération arabe (en) (CCA) qui regroupe alors la Jordanie, l'Irak, la Yémen du nord et l'Égypte. Le CCA est ouvertement hostile au royaume saoudien. Le 10 août 1990, les États du Conseil soutiennent le Koweït suite à l'invasion de l'émirat par l'armée irakienne.
Les forces des Etats membres participant à ce conflit ne sont pas sous un drapeau commun mais regroupées avec les autres unités panarabes dans les Joint Forces Command-East et Joint Force Command-North.
La chute de Saddam Hussein entraine la fin du CCA et le Yémen est actuellement en cours de négociation pour rejoindre le Conseil de Coopération du Golfe, dont il devrait devenir membre en 2016.
Début mars 2007, inquiet de la progression de la grippe aviaire due au virus H5N1 HP au Koweït, le comité de la Santé du CCG a décidé de travailler cette question à l'échelle de la sous-région.
Le Marché Commun du Golfe s’est ouvert officiellement le 1er janvier 2008, première étape avant la difficile mise en place d'une monnaie unique prévue en 2010.
Suite à une discussion entre les membres concernant le siège de la future Banque Centrale (proposition pour Ryad (Arabie saoudite), les Émirats arabes unis ont décidé de se retirer du projet d'Union Monétaire, craignant une totale domination de l'Arabie saoudite sur la future monnaie Abou Dabi espérait aussi détenir le siège de la Banque Centrale au vu du fait qu'il s'agit de l'une des nouvelles grandes "Capitale Economique du Monde".
Secrétaires généraux du CCG
Abdullah Bishara (Koweït) : 26 mai 1981 - avril 1993
Fahim bin Sultan Al-Qasimi (Émirats arabes unis) : avril 1993 - avril 1996
Jamil ibn Ibrahim Al-Hujailan (Arabie saoudite) : avril 1996 - 31 mars 2002
Abdul Rahman ibn Hamad Al-Attiyah (Qatar) : 1er avril 2002 - occupe toujours le poste.
http://fr.wikipedia.org
Les militaires du Golfe envahissent Bahreïn
Un contingent a débarqué dans cette pétromonarchie pour mater la rébellion. Comme si de rien n’était, les États-Unis vaquent à leurs intérêts géostratégiques.
Après s’être rassemblés devant l’ambassade des États-Unis, des milliers de Bahreïnis ont manifesté hier à Manama, devant la représentation diplomatique d’Arabie saoudite, cet autre pays « tutelle » de leur pétromonarchie. Les revendications du mouvement de contestation qui a débuté le 14 février contre l’absolutisme de la dynastie des Al Khalifa a pris un caractère régional après l’intervention militaire de lundi. Pas moins de 1 000 soldats à bord de 150 blindés ont envahi, lundi, la presqu’île d’un million d’habitants. Sans soulever la moindre vague d’indignation des puissances internationales. Officiellement, ce déploiement du Conseil de coopération des États arabes du golfe Persique (CCEAG – Bahreïn, Arabie saoudite, Koweït, Oman, Qatar et Émirats arabes unis) a pour mission « de protéger les installations clés, comme les réserves de gaz et de pétrole ainsi que les institutions financières ». Autrement dit d’étouffer la révolte en cours, et par là même d’adresser un avertissement aux autres soulèvements populaires en cours dans la péninsule du Golfe, pompe à pétrole par excellence. Un manifestant a été tué hier, au sud de Manama, portant à au moins huit le nombre de victimes de la répression. Comme si le recours au militarisme régional ne suffisait pas, le roi Hamad Ben Issa Al Khalifa a décrété l’état d’urgence pour trois mois.
Hier encore, les États-Unis se bornaient à inviter « leurs partenaires » du CCEAG « à la modération et au respect des droits du peuple bahreïnien, et à agir de manière à soutenir le dialogue au lieu de l’étouffer », par la voix du porte-parole de la Maison-Blanche, Tommy Vietor. Une déclaration de circonstance. Sans plus. Et pour cause, on imagine mal les États arabes du golfe Persique agir sans l’aval de Washington dont le siège de la Ve flotte se trouve à Bahreïn. Les basses œuvres ont été déléguées à son principal allié régional, l’Arabie saoudite. Cette dernière, inquiète des actuels soubresauts sociaux sur son propre sol, ne peut voir Manama lui échapper. Exutoire des élites wahhabites, cette micromonarchie est reliée à l’Arabie par un pont de 25 kilomètres. Sa position géographique en fait une place stratégique de choix. Militaire d’abord : comme lors des deux guerres du Golfe où elle servit de base arrière aux États-Unis. Elle offre par ailleurs un vis-à-vis, face à « l’ennemi déclaré » qu’est l’Iran, qui ne s’est pas privé de dire tout le « bien » qu’il pensait de la récente invasion militaire. Économique surtout, et c’est là le nœud gordien, car près de 33 % des réserves pétrolières du golfe Persique transitent par le détroit d’Ormuz. La nature des revendications actuelles à Bahreïn – confessionnelles mais aussi sociales et institutionnelles – sonne comme un rappel à l’ordre pour le régime féodal de Riyad.
l’ultimatum des syndicats
« Le gouvernement doit démissionner, quarante ans avec le même premier ministre, c’est assez, a déclaré Salman Jaffar Al Mahfoodh, le secrétaire général de la Fédération générale des syndicats du Bahreïn (GFBTU). Nous voulons une vraie démocratie, par la réforme de la Constitution et un système de gouvernement électif. Ces revendications sont sur la table du gouvernement, la balle est dans leur camp. »
Cathy Ceïbe
http://www.humanite.fr
Le Conseil de coopération des États arabes du Golfe (arabe : مجلس التعاون لدول الخليج) ou Conseil de coopération du Golfe (CCG) (arabe : مجلس التعاون الخليجي) est une organisation régionale regroupant six États arabes du golfe Persique : l'Arabie saoudite, Oman, le Koweït, Bahreïn, les Émirats arabes unis et le Qatar.
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Histoprique
Le Conseil a été créé sous l'impulsion de l'Arabie saoudite et sous la pression des États-Unis le 25 mai 1981 dans un but essentiellement économique et social. Les questions politiques y sont rarement évoquées. Il est composé de l'Arabie saoudite, d'Oman, du Koweït, de Bahreïn, des Émirats arabes unis et du Qatar.
Le Conseil a pour but d'instaurer dans le Golfe un marché commun. Dès le 1er décembre 1981, les pays membres ouvrent leurs frontières économiques aux biens produits dans la région.
Le Conseil a également pour but d'assurer la stabilité économique et politique de la région et une unification du système économique et financier des États membres.
Créée lors de la guerre Iran-Irak, l'un des buts de cette organisation est de contrer l'expansionnisme iranien et le baathisme irakien.
Un accord de sécurité intérieure est signé en 1982 entre les États membres suite à une tentative de putsch à Bahreïn en décembre 1981 et, au niveau militaire, les forces armées des pays du Conseil de coopération du Golfe organisent depuis 1983 des manœuvres communes baptisées « Bouclier de la Péninsule ». Aux sommets de Koweït (1984) et de Mascate (1985), il est décidé que les unités participant à ces manœuvres forment une « force de déploiement conjointe » dont le quartier général se trouve au nord-est de l’Arabie Saoudite. Son commandant est un général saoudien. Enfin, les ministres de la défense du CCG réactivent le projet de l’Organisation des Industries Arabes (OIA) dans lequel l'Égypte était impliquée et construisent plusieurs usines d’armement fabriquant munitions et armes légères ainsi que des blindés légers sous licence brésilienne.
À la fin de la guerre Iran-Irak, Saddam Hussein crée une organisation concurrente, le Conseil de coopération arabe (en) (CCA) qui regroupe alors la Jordanie, l'Irak, la Yémen du nord et l'Égypte. Le CCA est ouvertement hostile au royaume saoudien. Le 10 août 1990, les États du Conseil soutiennent le Koweït suite à l'invasion de l'émirat par l'armée irakienne.
Les forces des Etats membres participant à ce conflit ne sont pas sous un drapeau commun mais regroupées avec les autres unités panarabes dans les Joint Forces Command-East et Joint Force Command-North.
La chute de Saddam Hussein entraine la fin du CCA et le Yémen est actuellement en cours de négociation pour rejoindre le Conseil de Coopération du Golfe, dont il devrait devenir membre en 2016.
Début mars 2007, inquiet de la progression de la grippe aviaire due au virus H5N1 HP au Koweït, le comité de la Santé du CCG a décidé de travailler cette question à l'échelle de la sous-région.
Le Marché Commun du Golfe s’est ouvert officiellement le 1er janvier 2008, première étape avant la difficile mise en place d'une monnaie unique prévue en 2010.
Suite à une discussion entre les membres concernant le siège de la future Banque Centrale (proposition pour Ryad (Arabie saoudite), les Émirats arabes unis ont décidé de se retirer du projet d'Union Monétaire, craignant une totale domination de l'Arabie saoudite sur la future monnaie Abou Dabi espérait aussi détenir le siège de la Banque Centrale au vu du fait qu'il s'agit de l'une des nouvelles grandes "Capitale Economique du Monde".
Secrétaires généraux du CCG
Abdullah Bishara (Koweït) : 26 mai 1981 - avril 1993
Fahim bin Sultan Al-Qasimi (Émirats arabes unis) : avril 1993 - avril 1996
Jamil ibn Ibrahim Al-Hujailan (Arabie saoudite) : avril 1996 - 31 mars 2002
Abdul Rahman ibn Hamad Al-Attiyah (Qatar) : 1er avril 2002 - occupe toujours le poste.
http://fr.wikipedia.org
Les militaires du Golfe envahissent Bahreïn
Un contingent a débarqué dans cette pétromonarchie pour mater la rébellion. Comme si de rien n’était, les États-Unis vaquent à leurs intérêts géostratégiques.
Après s’être rassemblés devant l’ambassade des États-Unis, des milliers de Bahreïnis ont manifesté hier à Manama, devant la représentation diplomatique d’Arabie saoudite, cet autre pays « tutelle » de leur pétromonarchie. Les revendications du mouvement de contestation qui a débuté le 14 février contre l’absolutisme de la dynastie des Al Khalifa a pris un caractère régional après l’intervention militaire de lundi. Pas moins de 1 000 soldats à bord de 150 blindés ont envahi, lundi, la presqu’île d’un million d’habitants. Sans soulever la moindre vague d’indignation des puissances internationales. Officiellement, ce déploiement du Conseil de coopération des États arabes du golfe Persique (CCEAG – Bahreïn, Arabie saoudite, Koweït, Oman, Qatar et Émirats arabes unis) a pour mission « de protéger les installations clés, comme les réserves de gaz et de pétrole ainsi que les institutions financières ». Autrement dit d’étouffer la révolte en cours, et par là même d’adresser un avertissement aux autres soulèvements populaires en cours dans la péninsule du Golfe, pompe à pétrole par excellence. Un manifestant a été tué hier, au sud de Manama, portant à au moins huit le nombre de victimes de la répression. Comme si le recours au militarisme régional ne suffisait pas, le roi Hamad Ben Issa Al Khalifa a décrété l’état d’urgence pour trois mois.
Hier encore, les États-Unis se bornaient à inviter « leurs partenaires » du CCEAG « à la modération et au respect des droits du peuple bahreïnien, et à agir de manière à soutenir le dialogue au lieu de l’étouffer », par la voix du porte-parole de la Maison-Blanche, Tommy Vietor. Une déclaration de circonstance. Sans plus. Et pour cause, on imagine mal les États arabes du golfe Persique agir sans l’aval de Washington dont le siège de la Ve flotte se trouve à Bahreïn. Les basses œuvres ont été déléguées à son principal allié régional, l’Arabie saoudite. Cette dernière, inquiète des actuels soubresauts sociaux sur son propre sol, ne peut voir Manama lui échapper. Exutoire des élites wahhabites, cette micromonarchie est reliée à l’Arabie par un pont de 25 kilomètres. Sa position géographique en fait une place stratégique de choix. Militaire d’abord : comme lors des deux guerres du Golfe où elle servit de base arrière aux États-Unis. Elle offre par ailleurs un vis-à-vis, face à « l’ennemi déclaré » qu’est l’Iran, qui ne s’est pas privé de dire tout le « bien » qu’il pensait de la récente invasion militaire. Économique surtout, et c’est là le nœud gordien, car près de 33 % des réserves pétrolières du golfe Persique transitent par le détroit d’Ormuz. La nature des revendications actuelles à Bahreïn – confessionnelles mais aussi sociales et institutionnelles – sonne comme un rappel à l’ordre pour le régime féodal de Riyad.
l’ultimatum des syndicats
« Le gouvernement doit démissionner, quarante ans avec le même premier ministre, c’est assez, a déclaré Salman Jaffar Al Mahfoodh, le secrétaire général de la Fédération générale des syndicats du Bahreïn (GFBTU). Nous voulons une vraie démocratie, par la réforme de la Constitution et un système de gouvernement électif. Ces revendications sont sur la table du gouvernement, la balle est dans leur camp. »
Cathy Ceïbe
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Daûphin_zz_47- Adm
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Nombre de messages : 2215
Age : 42
Date d'inscription : 06/08/2010
Localisation : tlc
Re: Conseil de coopération des États arabes du golfe Persique (CCEAG )
Les monarchies arabes du Golfe décident de s'unir
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Les monarchies arabes membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont décidé de créer une union des Etats arabes du Golfe, a annoncé mardi le ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud al-Fayçal.
Le 32e sommet annuel des pays membres du CCG a débuté lundi à Riyad. Le roi d'Arabie saoudite, Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud, a invité les souverains des Etats voisins à "passer de la coopération à l'unification, à la mise en place d'une structure commune".
"Les leaders des pays du CCG ont salué la proposition du Gardien des deux saintes mosquées (titre officiel du roi saoudien, ndlr). Il s'agit de passer de la coopération à l'union. Une commission comprenant trois représentants de chaque pays sera prochainement créée à cet effet", a déclaré le chef de la diplomatie saoudien à l'issue du sommet.
Le CCG regroupe six monarchies riveraines du Golfe persique: l'Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, le Royaume de Bahreïn, le Sultanat d'Oman, le Koweït et le Qatar. En mai 2011, le Maroc et la Jordanie ont également annoncé leur intention d'intégrer cette organisation régionale influente.
RIYAD, 20 décembre - RIA Novosti
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Les monarchies arabes membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont décidé de créer une union des Etats arabes du Golfe, a annoncé mardi le ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud al-Fayçal.
Le 32e sommet annuel des pays membres du CCG a débuté lundi à Riyad. Le roi d'Arabie saoudite, Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud, a invité les souverains des Etats voisins à "passer de la coopération à l'unification, à la mise en place d'une structure commune".
"Les leaders des pays du CCG ont salué la proposition du Gardien des deux saintes mosquées (titre officiel du roi saoudien, ndlr). Il s'agit de passer de la coopération à l'union. Une commission comprenant trois représentants de chaque pays sera prochainement créée à cet effet", a déclaré le chef de la diplomatie saoudien à l'issue du sommet.
Le CCG regroupe six monarchies riveraines du Golfe persique: l'Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, le Royaume de Bahreïn, le Sultanat d'Oman, le Koweït et le Qatar. En mai 2011, le Maroc et la Jordanie ont également annoncé leur intention d'intégrer cette organisation régionale influente.
RIYAD, 20 décembre - RIA Novosti
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
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