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Démantèlement d'un réseau d'espionnage

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Personne à contacter Démantèlement d'un réseau d'espionnage

Message par Sphinx Sam 5 Juin - 1:37

Espionnage en Belgique au profit du gouvernement colombien.

« Les interceptions ne sont pas de la responsabilité des détectives du DAS. Elles ont été ordonnées depuis le siège présidentiel »
(Ernesto Samper Pizano, ex-président de Colombie, interview parue dans le journal Público, Madrid, 17 mai 2010)


Dans son édition du 19 mai passé, l’un des plus importants journaux de Belgique, Le Soir, a annoncé que le principal objectif de l’espionnage et des infiltrations du DAS, service de renseignement politique colombien, était de faire en sorte qu’il n’y ait pas d’opposition à la signature de l’Accord de libre échange entre l’Union européenne et la Colombie. Accord qui a été signé à Madrid, le jour même du Sommet Europe – Amérique Latine – Caraïbes. « En d’autres termes, l’Union prend le risque de signer un accord dont la prémisse a peut-être été manipulée par Bogotá », a déclaré le journal.

Ces enquêtes illégales du DAS n’ont pas été menées qu’en Belgique. Selon les informations connues jusqu’à présent, elles ont aussi eu lieu en France, en Suisse et en Espagne, et ont touché des personnalités politiques, des parlementaires européens, des défenseurs des droits humains, des ONG et des résidents colombiens. Il existait un autre but : enquêter pour manipuler, déformer et essayer de mettre un frein aux dénonciations de ces personnes quant aux constantes et graves violations des droits humains en Colombie. Et de la même manière, fouiller dans leurs activités politiques, leur vie personnelle et leurs relations présumées avec les guérillas colombiennes, afin d’utiliser des aspects qui pourraient nuire à leur image et ôter ainsi toute crédibilité à leur travail de dénonciation.

D’autre part, Le Soir et d’autres médias belges ont annoncé que le magazine MO*, dans son édition de juin, donnerait des détails sur les activités d’espionnage réalisées par les agents colombiens en Belgique à l’encontre du Parlement européen et des Organisations non gouvernementales Broederlijk Delen, Oxfam Solidarité, ainsi que du Bureau International des Droits Humains Action Colombie, Oidhaco. Selon ce que publiera MO*, ces noms figurent dans les documents que le Ministère public colombien a trouvé dans les bureaux du DAS pendant les enquêtes. [1] La revue déclare que le gouvernement colombien a enquêté pour savoir « si les collaborateurs de Broederlijk Delen avaient d’autres relations que professionnelles avec les collaborateurs des organisations partenaires colombiennes. » MO* dit que le directeur du DAS s’est déplacé jusqu’en Belgique pour tenter de limiter l’impact du scandale, et a eu une réunion avec la directrice de Broederlijk Delen, entre autres.

Dans le même temps, les trois grandes fédérations syndicales de Belgique ont rendu public un communiqué, auquel se sont associées de nombreuses Associations non gouvernementales, dans lequel elles se disent « stupéfaites »par les activités d’espionnage du DAS, « car ceci constitue une ingérence extrêmement grave dans la souveraineté de notre pays », dit le texte. La forte réaction de ces organisations, passée sous silence en Colombie et dans presque toute l’Europe, ainsi que le malaise provoqué dans l’opinion publique, a mis en danger la ratification d’accords commerciaux entre l’Union Européenne et la Colombie, pour laquelle la signature de la Belgique est décisive.

Les signataires ont demandé que soit menée de toute urgence une enquête complète sur les activités du DAS en Belgique, et que les responsables rendent des comptes devant la justice. « Nous demandons dans l’immédiat que le ministère des Affaires étrangères fasse les démarches nécessaires vis-à-vis de l’Ambassadeur de Colombie en Belgique, et que le ministère de la Justice et celui de l’Intérieur ainsi que nos services de renseignement fassent eux aussi les démarches nécessaires que la gravité de la situation impose, » ponctue le communiqué.

par Hernando Calvo Ospina
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Personne à contacter Re: Démantèlement d'un réseau d'espionnage

Message par Sphinx Sam 5 Juin - 1:40

Quand l’Etat colombien espionne ses opposants

Depuis cinq ans, d’influents médias colombiens – entre autres la revue Semana – ont commencé à ébruiter ce que les organisations de défense des droits humains savaient déjà : les hauts responsables du Département administratif de Sécurité (DAS), service de renseignement politique qui dépend directement du président de la République, chargeaient des chefs paramilitaires d’assassiner les opposants. L’un de ces fonctionnaires, M. Rafael García, a reconnu que nombre d’opérations de « guerre sale » menées par le DAS ont été financées grâce à l’argent du trafic de cocaïne. Malgré leur gravité, ces informations, comme tant d’autres, sont restées sans suite dans la rubrique « justice nationale ».

En parallèle, on découvrait que l’ordre d’espionner illégalement des défenseurs des droits humains, des opposants politiques et des journalistes « étiquetés » de gauche partait du Palais présidentiel de Nariño. Ces personnes étant « censées collaborer » avec les « terroristes » de la guérilla, la mise en lumière de ces méthodes a été traitée comme une information banale. Les réactions ont commencé à changer lorsque les médias ont dévoilé que cet espionnage illégal touchait aussi des magistrats de la Cour suprême de justice et des dirigeants des partis traditionnels.

La tension est montée lorsque des fonctionnaires du DAS ont été mis en examen. Le chef suprême du DAS, c’est-à-dire le président Alvaro Uribe, a pris leur défense, proposant même de mettre sa main au feu tant il était convaincu de leur innocence. Peu de temps après, certains d’entre eux – dont l’ancien directeur général de l’institution, M. Jorge Noguera – ont été incarcérés. M. Uribe a alors affirmé que cela ne faisait que servir la « stratégie de déstabilisation » des « terroristes ». A force d’être répétées, ces phrases ont fait office de chantage menaçant.

Ce jusqu’au 15 avril, jour où le très populaire directeur de l’information de RCN-Radio, Juan Gossain, a lu des extraits de quelques pages arrivées jusqu’à lui, et qui font partie des documents trouvés par le Corps technique d’investigation (CTI) de la Fiscalía General de la Nation (sorte de ministère public) lors d’une perquisition dans les locaux du DAS. Il y est prouvé que, depuis 2005, une stratégie globale a été mise sur pied : espionnage, discrédit des organisations non gouvernementales (ONG) et des opposants – en particulier le Front social et politique (centre-gauche) et la sénatrice Piedad Córdoba (centre-gauche elle aussi) –, programmation d’attentats terroristes qui, ensuite, auraient été attribués aux organisations de guérilla.

Toute cette information se trouve dans des dossiers portant le nom d’opérations : « Amazonas », « Transmilenio », « Bahia », « Halloween », « Arauca », « Intercambio », « Risaralda », « Internet » et « Europa ». Dans leur contenu figurent les méthodes suivantes : « Désinformer la population favorable aux détracteurs du gouvernement » ; « Créer des divisions à l’intérieur des mouvements d’opposition » ; « Empêcher la concrétisation de manifestations convoquées par l’opposition » ; « Neutraliser les actions déstabilisatrices des ONG en Colombie et dans le monde » ; « Stratégies : discrédit et sabotage. Action : alliance avec services de renseignement étrangers, communiqués et dénonciations sur des sites Internet, guerre juridique » ; « Utilisation des médias, des enquêtes d’opinion (…) des chats » ; « Sabotage : terrorisme, explosifs, incendies, service public, technologique. Pression : menaces et chantage. »

Après avoir lu ce qui précède, le journaliste en colère a déclaré : « Nous, Colombiens, avons le droit de savoir qui a essayé de transformer le pays en un Etat de policiers et de terroristes d’Etat. (...) Qui a conçu le plan macabre consistant à persécuter les opposants, réels ou imaginaires, comme s’ils étaient des délinquants ? Qui est derrière cela ? Trois détectives du DAS ? Ne me faites pas rire ! (…) Nous voulons savoir si le DAS est une institution respectable de l’Etat ou un repaire de bandits. Il n’y a que les bandits pour agir ainsi : persécuter les autres, poser des bombes pour faire croire que c’est l’œuvre de l’opposition... (…) »

Le 20 avril, c’est RCN-TV qui fait d’autres révélations : les activités du DAS ont dépassé les frontières de la Colombie. « Les actions de surveillance apparemment illégales que le DAS a exercées à l’étranger sur ceux que le gouvernement considérait comme des ennemis ou des opposants du gouvernement ont été inscrites dans un dossier nommé “Europe ” (…) ». L’Opération Europe a eu comme objectif de neutraliser l’influence du système juridique européen, de la Commission des droits humains du Parlement européen, du Bureau du Haut-commissariat aux droits humains de l’Organisation des Nations unies (ONU) et des gouvernements nationaux. Unique stratégie : discréditer ces organismes en lançant des communiqués et des dénonciations sur Internet et en menant une guerre juridique contre eux.

Des séminaires, des forums et des ateliers organisés par différentes ONG ont donné lieu à des rapports confidentiels et à la constitution d’un « album photographique et clinique » de ceux qui y assistaient. « L’album clinique » est le nom donné depuis les années 1950 par la Central Intelligence Agency (CIA) à l’étude psychiatrique personnelle (Psychiatric Personality Study, PPS) de ceux qu’elle considère comme des « ennemis ». Il comprend des rapports d’enquête de psychologues, de psychiatres, de journalistes, etc., sur la personnalité présumée et le comportement du sujet étudié, depuis son enfance, y compris ses éventuelles maladies et même ses « goûts » sexuels. Les « études » sont menées à partir de l’analyse des conférences, écrits et autres activités réalisées par le sujet étudié .

« Dans les archives du DAS récupérées par le CTI, a révélé RCN-TV, figurent, par exemple, les copies des passeports et les CV de citoyens européens, centraméricains et sud-américains ayant visité la Colombie ou ayant participé à ces événements. (…) Le DAS a envoyé en Europe son fonctionnaire German Villalba qui a installé, dans différentes capitales de ce continent, un bureau satellite d’où il dirigeait un groupe chargé de la surveillance ; [celle-ci inclut] des enregistrements vidéo et audio, des photographies et un registre de déplacements des personnes visées, pour la plupart des Colombiens résidant ou en visite dans des pays comme la Suisse, la France et l’Espagne, et auxquels le DAS a collé l’étiquette d’“adversaires de l’actuel gouvernement colombien”, et d’“agitateurs contre Uribe en tournée”. »

Par ailleurs, « la découverte d’un dossier nommé “Parlement européen” dans lequel étaient cités les noms des parlementaires européens sympathisants du gouvernement colombien, et ceux des non sympathisants, a attiré l’attention des enquêteurs (…). »

Après avoir écouté les déclarations de quelques fonctionnaires devant la Fiscalía, M. Cesar Julio Valencia Copete, ancien président de la Cour suprême de justice, s’est dit, sur RCN-TV, « horrifié » de constater que le palais présidentiel « était non seulement le destinataire des informations liées à ces surveillances illégales, mais aussi celui qui dirigeait et manipulait ces surveillances, ou chuzadas comme on les a surnommées ».

Le président Uribe s’est contenté d’affirmer qu’il ignorait tout de cette affaire. Reste une question : que savent de tout cela les autorités des pays européens concernés ?

Par:Hernando Calvo Ospina
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Message par Sphinx Sam 5 Juin - 1:44

Corée du Sud général interrogé dans le cas d'espionnage

SEOUL, Corée du Sud – militaire en Corée du Sud enquête sur un suspect générale de divulgation de secrets d'un ancien espion de Séoul, qui a ensuite vendu les informations à la Corée du Nord, fonctionnaires et ont rapporté les médias vendredi.
Le général d'armée, qui n'a pas été identifié, aurait remis un plan des opérations militaires pour faire face aux situations d'urgence en Corée du Nord établi par la Corée du Sud et les États-Unis, le grand tirage Chosun Ilbo journal.
La violation de la sécurité apparemment eu lieu quelques années avant la flambée actuelle des tensions plus naufrage présumé Corée du Nord d'un navire de guerre sud-coréen en Mars qui a tué 46 marins. L'ancien espion, qui travaillait pour la Corée du Sud dans les années 1990, a été arrêté et accusé d'avoir transmis des secrets militaires dans le Nord entre 2005 et 2007, selon le journal.
Il a déclaré l'ancien espion avait servi dans l'armée et a rencontré le général, il ya, mais n'a pas donné plus de détails sur leur relation.
Les responsables du Commandement de la défense et de sécurité du National Intelligence Service a confirmé que le général était à l'étude dans le cas. Les responsables, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, a refusé de donner plus de détails sur la sonde, car il était en cours.
Les responsables de Séoul Office central des procureurs de district n'a pas immédiatement un commentaire.
La Corée du Nord nie toute implication dans le naufrage du navire de guerre Cheonan, qui a souligné la Corée du Sud militaire nécessité d'affiner ses défenses. Corée du Sud prévoit d'organiser des exercices militaires avec les États-Unis dans la mer Jaune – côte ouest de la Corée du Sud – au milieu de ce mois, suivie d'exercices anti-sous-marine avec les États-Unis soit à la fin Juin ou début Juillet, le ministère de la Défense a dit.
Les États-Unis envisagent l'envoi du porte-avions USS George Washington dans la région où le Cheonan coulé, responsables de la défense des États-Unis ont dit.
A Genève, cette semaine, l'ambassadeur nord-coréen Ri Jang adjoint Gon menaces répétées que les tensions actuelles pourraient facilement dégénérer en conflit armé.
«La situation actuelle de la péninsule coréenne est tellement grave que la guerre peut éclater à tout moment", at-il dit lors de la Conférence de 65 nations sur le désarmement.
Corée du Nord Ministère des Affaires étrangères, le vendredi a réitéré sa demande que les inspecteurs de la Corée du Nord puisse rendre visite à Séoul et à examiner les résultats d'une enquête multinationale sur le naufrage de Cheonan.
Le ministère a également laissé entendre que le Nord pourrait prendre une non spécifié "réaction ultra-dur" si les Etats-Unis et de ses disciples prendre la question au Conseil de sécurité des Nations unies, du Nord centrale coréenne Nouvelles agence.
Les tensions persistantes ont été largement prévu de donner parti au pouvoir en Corée du Sud – qui soutient une politique de fermeté sur la Corée du Nord – un coup de pouce aux élections locales mercredi. Mais le parti du président Lee Myung-bak a remporté que six des 16 principaux postes de maire et de gouverneur.
La Corée du Nord goûté la défaite. "Les résultats des élections sont les Sud-Coréens" punition sévère et un marteau de fer contre le parti des traîtres Lee Myung-bak, qui sont pris de folie "de sa centrale coréenne Nouvelles Agence a déclaré jeudi soir.

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Message par Sphinx Sam 5 Juin - 4:12

SERVICES SECRETS BRITANNIQUES

Une enquête sur les tortures infligées à des terroristes présumés va s'ouvrir à Londres

À peine en place, le gouvernement de David Cameron s'attaque à un dossier chaud : celui du scandale des tortures. Les services secrets anglais, le MI5, sont soupçonnés d'avoir participé à des actes de torture sur des terroristes présumés, retenus en secret par les Américains de la CIA. Une enquête devrait déterminer si les services de renseignements britanniques sont coupables de complicité de torture.

William Hague, ministre des Affaires étrangères, à la tête de la nouvelle coalition conservatrice - Libéraux-démocrates, est en passe de faire la lumière sur ce que l'administration Obama n'ose, elle, encore éclairer. Le ministre britannique a annoncé, jeudi soir, sur la BBC la nomination d'un juge spécial pour enquêter sur ces soupçons qui pèsent sur le MI5. "Nous présenterons dans un avenir proche ce que nous allons faire au sujet des accusations de complicité de torture", a déclaré William Hague. "Oui, les deux partis au sein de la coalition travaillent sur la forme [que l'enquête] devrait prendre. Des propositions là-dessus vont suivre très rapidement", a-t-il repris.

La polémique enfle en février dernier, lorsqu'un haut magistrat anglais qualifie le bilan du MI5 sur ce sujet de "douteux". Une supputation que le gouvernement travailliste de l'époque avait alors vivement contredite. "Le Royaume-Uni possède l'un des meilleurs services de renseignements du monde entier. J'ai constaté par moi-même leur courage immense et leur expertise pour nous défendre", soutenait alors Gordon Brown.

CIA et MI5 dans le secret des prisons

L'affaire avait été rapidement étouffée par le successeur de Tony Blair, à trois mois des législatives. En 2008, David Miliband, le ministre des Affaires étrangères de Gordon Brown, décide de ne pas divulguer des informations de la CIA, transmises au MI5. Dans ces notes, finalement publiées à la demande d'une cour d'appel, est décrit le traitement reçu par Binyam Mohamed, un détenu arrêté au Pakistan en 2002 et transféré en 2004 sur la base américaine de Guantanamo. Le MI5 britannique aurait participé à son interrogatoire au Maroc, où il était détenu avant Guantanamo. Là, "enchaîné", il aurait subi des "privations continuelles de sommeil", des "menaces et des méthodes de persuasion" ou "des craintes de disparaître", utilisées par les services américains et britanniques, comme le rapporte le document. Mais David Miliband ne publie pas la note, invoquant alors la "sécurité nationale" et la nécessité de préserver le secret des renseignements échangés entre Londres et Washington.

Si l'implication du MI5 anglais est avérée, le dossier pourrait bien remonter jusqu'aux anciens dirigeants travaillistes, déjà mis en cause par une commission sur leur décision d'envahir l'Irak. Début mai, Manfred Nowak, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, regrettait l'absence de "soutien des alliés européens" sur le scandale des actes de torture. Un silence que le gouvernement de David Cameron compte, lui, bien réparer.

le point
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Message par Sphinx Lun 7 Juin - 7:53

Ali Fodhil : Les services de renseignements britanniques ont tenté de m’enrôler

Le directeur de publication du quotidien algérien arabophone Ech-Chourouk El-Youmi, M. Ali Fodhil, a déclaré que les services des renseignements britanniques, qui l’ont interpellé lors de son déplacement dans le royaume il y a quelques jours, ont tenté de l’«enrôler». Dans un entretien accordé à Algérie News, Ali Fodhil est revenu en détail sur les circonstances de son arrestation puis sur l’interrogatoire auquel il a été soumis.

L’interrogatoire avait duré cinq heures, rappelons- le. M. Ali Fodhil affirme, en fait, avoir été gardé pendant cinq heures dans les locaux de Scotland Yard où on a vainement essayé de lui soutirer des renseignements relatifs aux sources d’informations du journal concernant les questions sécuritaires. En parlant de l’agent qui le questionnait, Ali Fodhil dira qu’«il commençait à m’interroger sur les détails du fonctionnement interne du journal, jusqu’à ce qu’il abordât le volet des sources d’informations. J’ai refusé de répondre à la question», affirme-t-il «pour des raisons inaliénables», précise-t-il. Le dirigeant d’ Ech-Chourouk,qui qualifie l’interrogatoire de «réquisitoire», ajoute que l’agent en question lui a carrément demandé de coopérer avec les services des renseignements de son pays, avant de modérer le ton en usant du terme «échange d’informations ». Devant le refus de Ali Fodhil de céder à la pression et à la proposition de l’agent, ce dernier lui avoua que «beaucoup de titres arabes procèdent de la sorte et approuvent cette collaboration», explique-t- il encore.

Source: Le Soir d'Algérie
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Message par Sphinx Jeu 10 Juin - 1:42

MondeEnlèvement d'un atomiste iranien: Téhéran accuse Washington

Démantèlement d'un réseau d'espionnage 18684110

Les autorités iraniennes ont convoqué mardi l'ambassadeur suisse à Téhéran pour lui remettre des matériaux qu'elles qualifient de preuves de l'enlèvement du physicien nucléaire iranien Shahram Amiri par les services de renseignement américains, rapportent les médias internationaux.

Comme il n'y a pas de relations diplomatiques entre Washington et Téhéran, les intérêts iraniens aux Etats-Unis sont représentés par le Pakistan, et ceux des Etats-Unis en Iran par la Suisse, rappelle l'agence IRNA.
Shahram Amiri a disparu en juin 2009 à son arrivée en Arabie saoudite où il se rendait en pèlerinage.

Lundi dernier la télévision d'Etat iranienne a diffusé un film vidéo dans lequel un homme se présentant comme M.Amiri affirme avoir été enlevé par les services secrets américains et être actuellement détenu près de Tucson (Arizona, ouest des Etats-Unis).

"Ce film confirme que ce ressortissant iranien a été enlevé par les services de renseignement américains et saoudiens", a déclaré mardi Ramin Mehmanaparast, porte-parole de la diplomatie iranienne.

Téhéran nie le plus catégoriquement l'implication du physicien enlevé dans le programme nucléaire iranien.

Néanmoins, selon une autre version, publiée dans les médias occidentaux, le physicien iranien aurait fait défection et collaborait avec la CIA.

Début décembre dernier, l'hebdomadaire britannique Sunday Telegraph écrivait notamment que Shahram Amiri, disparu dans des circonstances mystérieuses, se serait rencontré en octobre à l'aéroport de Frankfort avec les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui se rendaient en Iran pour la première inspection de la deuxième usine d'enrichissement d'uranium à Fordo, près de la ville sainte de Qom (au sud de Téhéran), et leur aurait remis des informations "exceptionnellement utiles".

RIA Novosti
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Message par Sphinx Lun 14 Juin - 0:47

l'agence d'espionnage pakistanais soutient Taliban

ISLAMABAD – Le Pakistan agence d'espionnage principale continue de former, financer et d'armer les talibans, malgré les pressions américaines pour couper les liens avec le groupe qui a contribué à Islamabad au pouvoir en Afghanistan dans les années 1990, selon un rapport de recherche publié dimanche.

Les résultats pourraient accroître les tensions entre le Pakistan et les États-Unis, qui a fourni des milliards de dollars en aide militaire à Islamabad depuis 2001 pour aider à combattre les talibans. Les responsables américains estiment le soutien du Pakistan est la clé pour vaincre l'insurrection.
Mais puissants du pays Inter-Services Intelligence Agency, ou ISI, continue de collaborer étroitement avec les talibans et est même représentée au conseil de leadership du groupe, selon le rapport, qui a été publié par la London School of Economics et est basée sur des entretiens avec des commandants talibans , d'anciens responsables taliban, les diplomates occidentaux et de nombreux autres.
Le major-général Athar Abbas, porte-parole de l'armée pakistanaise, qui contrôle l'ISI, a rejeté le rapport, le qualifiant de "bêtises".
«Dans le passé, ces types d'allégations sans fondement et non étayées ont refait surface et nous les avons rejetées", a déclaré Abbas.
Il a souligné que l'ISI a subi de nombreuses pertes lutte contre les militants dans le pays.
La campagne militaire du Pakistan a été porté sur talibans pakistanais aux prises avec l'Etat, non talibans afghans en guerre contre les troupes de l'OTAN en Afghanistan.
De nombreux analystes ont suggéré dans le passé que les liens actuels ou anciens fonctionnaires ISI ont maintenu les talibans. Mais le rapport offre l'un des cas les plus fortes que l'aide au groupe est la politique officielle de l'ISI, et s'étend même aux plus hauts niveaux du gouvernement pakistanais.
«La participation apparente du Pakistan dans un double-jeu de cette envergure pourrait avoir d'importantes implications géopolitiques et pourrait même provoquer des contre-mesures des Etats-Unis", a déclaré le rapport, qui a été écrit par Matt Waldman, un homme à l'Université Harvard, John F. Kennedy School of Government.
"Sans un changement de comportement du Pakistan, il sera difficile voire impossible pour les forces internationales et le gouvernement afghan de faire des progrès contre l'insurrection," il dit.
Une des allégations les plus surprenants du rapport est que le président pakistanais Asif Ali Zardari et un haut fonctionnaire ISI a visité quelque 50 hauts combattants talibans ce printemps se tient dans une prison secrète dans le pays et leur a dit qu'ils ont été arrêtés parce que des États-Unis pression.
Zardari leur auraient dit qu'ils allaient être libérés et que le Pakistan aider à soutenir leurs activités, selon un membre des talibans qui a été l'un des insurgés autour d'une douzaine de mise en liberté trois jours seulement après la visite du Président.
porte-parole de Zardari n'a pas été immédiatement disponible dimanche de répondre à cette demande.
"Il est difficile de voir comment la coalition internationale ne peut continuer à traiter le Pakistan comme un allié et partenaire« efficace », dit le rapport. "Toutefois, une réaction agressive américaine de mener le Pakistan est seulement susceptible de générer davantage d'instabilité, surtout compte tenu de bataille en cours contre l'armée pakistanaise et les groupes militants large sentiment anti-américain parmi la population."

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Message par Sphinx Mar 22 Juin - 23:01

De Jérusalem à Téhéran en passant par Riyad, le ciel est à vous !

Il y a de cela quelques jours, je vous indiquais que la semaine ou le Conseil de Sécurité des Nations Unies décidait d’un nouveau train de sanctions contre Téhéran, sanctions dont on sait qu’elles seront insuffisantes et inefficaces, l’Arabie Saoudite a fait passer le message à Israël, par les Etats Unis, que l’état juif pourrait emprunter un morceau de son couloir aérien pour faciliter le passage de ses avions vers l’Iran.

L’Arabie Saoudite est allée plus loin.

Riyad, en collaboration avec le département d’Etat Américain, nous rapporte une source du ministère de la défense des Etats Unis dont le nom est gardé confidentiel en raison de la sensibilité du dossier, a désactivé ses systèmes de défense aériens afin de conduire une série de tests taille réelle. Elle a vérifié ensuite que ses propres jets pouvaient circuler dans le dit couloir aérien sans que leurs systèmes de navigation ne soient brouillés, ni que les missiles de défense ne s’activent automatiquement.

Une autre source, à Riyad cette fois, et toujours confidentielle, expliquait ces jours ci que malgré les tensions entre les deux gouvernements (israélien et saoudiens), ils partagent les mêmes vues concernant l’Iran. Les deux Etat seront la première cible du régime des mollahs, ils partagent la même peur concernant son armement nucléaire, et le même besoin vital de s’en débarrasser. « Nous savons tous cela, et nous les laisserons (les israéliens) passer, et nous ne verrons rien » ajoute un commentateur saoudien.

Sur le plan militaire, les quatre principales cibles sont les usines d’enrichissement de l’uranium de Natanz et de Qom, la réserve de stockage de gaz de Isfahan, et le réacteur de production d’eau lourde d’Arak.

La cible secondaire est le réacteur de Bushehr, qui pourrait, une fois terminé, produire des armes au plutonium.

Les cibles se situent donc à 2250 Km d’Israël, ce qui est l’autonomie maximale des bombardiers, même en refaisant le plein de carburant en plein ciel. Le corridor ouvert par l’Arabie Saoudite réduira énormément cette distance, sachant que l’attaque aérienne devra se faire en passant par la Jordanie, le nord de l’Arabie Saoudite, et l’Irak, et, pour ce qui est de la cible de Bushehr, par le ciel du Koweit.

Emprunter le ciel d’Irak implique donc pour Israël d’obtenir l’accord de Washington, ce qu’Obama refuse de donner. Plusieurs analystes militaires américains affirment que c’est la seule chose qui retient encore Israël, ainsi que la confirmation de plusieurs états arabes. Ils doutent pourtant que le raid aérien contre les installations atomiques sera à lui seul suffisant pour les neutraliser, du fait qu’elles sont profondément enfouies sous terre et extrêmement fortifiées.

Les services de renseignement israéliens affirment que l’Egypte, la Jordanie et l’Arabie Saoudite sont au moins aussi inquiets du nucléaire iranien que les pays de l’Ouest et eux-mêmes. En 2009, Israël a stationné au moins un sous marin nucléaire et plusieurs navires lance missiles dans la mer rouge, et Aharon Zeevi Farkash, responsable du renseignement militaire israélien jusqu’en 2006 déclarait au Times le 12 juin dernier : « je suis au fait que l’Arabie Saoudite a encore plus peur que nous du nucléaire iranien ».

Meir Dagan, le chef du Mossad, a rencontré ses homologues saoudiens afin de s’assurer que Riyad « ne verrait pas passer » la force aérienne israélienne. Les deux pays ont nié que cette rencontre a eu lieu.

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Message par abdelmalek Mer 23 Juin - 14:27

L4ESPIONNAGE EST CUISINE ?CHACUN SA SOUPE :nous pouvons avoir des interets differents mais le même objectif.
ET le contraire aussi.nous devons être toujours les meilleurs.
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Message par Sphinx Lun 5 Juil - 9:56

RENSEIGNEMENT ISRAËL - LE PATRON DU MOSSAD VA ÊTRE VIRE A LA SUITE DE L'ECHEC DE DUBAÏ

« Soldats, les cieux du Moyen-Orient que vous rencontrerez à bord de votre avion abondent de menaces proches et lointaines. Les tentatives de délégitimation d’Israël, menées par plusieurs pays et organisations terroristes, prouvent que dans cette lutte, seule une armée forte, s’appuyant sur une puissante force aérienne, peut faire face à ces défis. Cette période sensible que nous traversons fait peser sur nos épaules une plus lourde responsabilité ».

Bien plus que quelques mots solennels, il y avait comme un passage de témoin dans l’allocution du général Gaby Ashkénazi, prononcée jeudi après-midi à Hatzerim, l’une des plus grandes bases aériennes de Tsahal. Le chef d’état-major israélien assistait à la cérémonie récompensant les cadets de l’école de l’armée de l’air, la dernière de son mandat. En février 2011, Gaby Ashkenazi sera probablement remplacé par l’un des généraux qui l’entourent actuellement.

Pour l’heure, deux candidats paraissent bien placés pour lui succéder : son second, le général de division Benny Gantz, ainsi que le chef du commandement sud, le général Yoav Galant, artisan de l’opération « Plomb durci », menée contre le Hamas en janvier 2009. Deux autres prétendants pourraient également se joindre à cette course : Gadi Eizenkot, qui dirige le commandement nord, considéré comme un « dur », et le général de réserve Moshe Kaplinsky, CEO de l’entreprise Better Place au coté de Shaï Agassi, qui a déjà officié comme adjoint au chef d’état-major pendant la deuxième guerre du Liban.

Dans le contexte régional actuel, marqué par un risque d’escalade à la frontière nord et de nombreuses incertitudes autour du « problème » iranien, le retrait prochain de Gaby Ashkenazi n’apparaît pas des plus judicieux. Loin de faire consensus, il serait lié à des querelles autour d’Ehoud Barak et de sa gestion trop personnelle des affaires sécuritaires du pays. En avril dernier, le ministre de la défense a refusé de prolonger le mandat de Gaby Ashkenazi à la tête de Tsahal. Les deux hommes seraient depuis en conflit ouvert.

Plusieurs sources militaires israéliennes ont récemment déploré l’absence de vision stratégique d’Ehoud Barak et du Premier ministre Benyamin Netanyahou, notamment pour ce qui est des orientations futures à donner à l’armée et aux différents corps du renseignement. Les deux principales figures du gouvernement auraient choisi d’évincer tout responsable en désaccord avec leurs décisions.

Outre Gaby Ashkenazi et l’état-major de Tsahal, c’est la totalité de l’appareil sécuritaire israélien qui s’apprête à faire peau neuve dans les prochains mois. Tout comme Gaby Ashkenazi, le patron du Mossad Méïr Dagan s’est vu refusé une prolongation de son mandat.

En fonction depuis 2002 et crédité de plusieurs « succès » opérationnels, Dagan paye les conséquences diplomatiques désastreuses qui ont fait suite à l’assassinat à Dubaï de Mahmoud Al-Mabhouh, l’un des anciens leaders en exil du Hamas. A l’instar de la Grande-Bretagne, plusieurs pays occidentaux avaient vivement protesté contre l’utilisation de faux passeports européens par des agents des services secrets israéliens. Des diplomates de l’Etat hébreu avaient été expulsés.

D’ici mai 2011 au plus tard, Méïr Dagan devrait être remplacé par Youval Diskin ou Amos Yadlin, respectivement chefs du Shabak et des renseignements militaires, qui sont également annoncés sur le départ. A défaut d’être un casse-tête, ces successions en série pourraient donner lieu à un grand jeu de chaises musicales.

http://www.israelvalley.com
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Message par abdelmalek Lun 5 Juil - 12:44

l'interet supreme de l'état prime:cela montre la maturité de leur service.
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Message par Sphinx Ven 9 Juil - 22:58

Une affaire d'espionnage qui fait pschitt

Pour ne pas compromettre le redémarrage de leurs relations bilatérales, Moscou et Washington ont décidé de procéder à un échange d'agents afin de mettre un terme à une affaire plus médiatique que réelle. Un règlement désavantageux, selon la presse moscovite.

"Le violent et passager scandale d'espionnage, digne de l'époque de la guerre froide, s'est apparemment terminé : la Russie et les Etats-Unis ont échangé des agents", note Vedomosti. "Plusieurs événements importants se sont déroulés durant les dernières vingt quatre heures" et le journal observe la synchronisation du processus de règlement. D'une part, les dix agents travaillant pour la Russie ont plaidé coupable lors de leur comparution le 8 juillet devant un tribunal fédéral à New York. "Ce fut le procès le plus court de l'histoire des scandales d'espionnage aux Etats-Unis et qui a abouti à l'un des verdicts les plus cléments." "Côté russe, la réponse fut pratiquement instantanée" avec la grâce accordée par le président Dmitri Medvedev à quatre détenus russes, Alexandre Zaporojski, Guennnadi Vassilienko, Sergueï Skripal et Igor Soutiaguine, qui ont reconnu leur culpabilité en tant qu'espions.

Selon un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères, "le règlement du conflit donne des raisons de croire que [le redémarrage des relations bilatérales] proclamé par la Russie et les Etats-Unis sera logiquement poursuivi dans la pratique et que les tentatives de détourner les parties de cette voie sont vouées à l'échec", rapporte Gazeta.ru. Le journal note que "la partie américaine est tout autant satisfaite. Le ministre américain de la Justice a qualifié l'accord obtenu de 'règlement réussi' du point de vue des Etats-Unis et de leurs intérêts".

Pour Vedomosti, il s'agit d'un échange de valeur inégale au détriment de la Russie. "Alors que les dix ‘agents illégaux' [attrapés aux Etats-Unis] n'ont même pas été convaincus d'espionnage, les noms de Zaporojski et Vassilenko, deux des agents choisis comme monnaie d'échange, sont sérieusement liés avec le démasquage et l'arrestation en 2001 de Robert Hanssen", un agent double américain du FBI condamné pour espionnage au profit de l'Union soviétique et la Russie. "Zaporojski a été accusé de transmission de renseignements sur des dizaines d'espions russes aux Etats-Unis". Skripal a travaillé pour le compte du Royaume-Uni pendant plus dix ans et "a porté un lourd préjudice à la sécurité de la Russie selon les conclusions de l'accusation". Le cas de Soutiaguine est franchement discutable. Ce scientifique russe condamné à 15 ans de prison pour trahison a toujours clamé son innocence. Selon sa mère, il ne veut pas quitter la Russie. Reconnu prisonnier de conscience par Amnesty International, il comptait obtenir gain de cause devant la Cour européenne.

Le Moskovski Komsomolets n'en revient pas de l'accord négocié entre Washington et Moscou. "En échangeant un soi-disant groupe d'espions russes, dont l'amateurisme frise l'idiotie, avec des citoyens russes accusés d'espionnage, nous reconnaissons qu'il s'agit là de notre détachement avancé du renseignement extérieur. Et ces héros comiques d'un film d'action sont récompensés par un décret spécial du président. Reste que le seul intérêt à ce qu'ils rentrent dans leur patrie et qu'ils puissent rembourser pour le restant de leur vie les centaines de milliers de dollars investis pour eux". Et le journal de déplorer l'abandon par Moscou d'agents bien plus valeureux emprisonnés aux Etats-unis. Des agents qui, "pour l'argent ou par conviction peu importe, ont espionné consciencieusement et avec professionnalisme pour notre compte. Des gens que personne ne se presse d'échanger".

Pour un chroniqueur du quotidien en ligne Vzgliad, le spectacle de cette affaire d'espionnage n'est que de la poudre aux yeux. "Qui voudra se soucier des espions réels après avoir vu en une la photo d'Anna Chapman ? Sur fond de scandale aux Etats-Unis, personne n'a remarqué une nouvelle d'importance. La Chine est devenue leader mondial de l'industrie automobile. Elle produit le plus de véhicules au monde. Ce n'est pas l'Amérique, berceau du travail à la chaine, ni le Japon servile. Le réseau d'espionnage de la Chine est depuis longtemps installé dans le milieu des affaires de tous les pays économiquement développés. On crée allègrement des usines en Chine. Cela a commencé par des jouets et des chiffons, puis cela a continué par des voitures et cela finit par la technologie militaire. Mais en Amérique comme chez nous, personne ne s'offusque de cet espionnage."

http://courrierinternational.com

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Message par abdelmalek Sam 10 Juil - 12:39

dans la période de boumedienne:j'avais lu des échanges avec la france.cela montre que nos services sont faits en OR:
il y a l'affaire de la nationalisation du pétrole:nos jeunes ont joués un role prépanderant:notre petrole était légé moins de souffre dons un meilleur qualité.
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Message par Sphinx Lun 12 Juil - 23:38

abdelmalek a écrit:dans la période de boumedienne:j'avais lu des échanges avec la france.cela montre que nos services sont faits en OR:
il y a l'affaire de la nationalisation du pétrole:nos jeunes ont joués un role prépanderant:notre petrole était légé moins de souffre dons un meilleur qualité.

Certainement et on ne doute pas à leur capacités meme en l'an je ne sais Razz



Dernière édition par sphinx le Lun 12 Juil - 23:42, édité 1 fois
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Message par Sphinx Lun 12 Juil - 23:40

Valse d'espions à Vienne

Dans un final digne de la guerre froide, les "Dix" arrêtés aux Etats-Unis ont été échangés samedi contre quatre hommes détenus en Russie.

Deux avions, un Boeing 767 et un Yak-42, nez à nez au bout d’une piste de l’aéroport de Vienne. Sur le tarmac, seul un minibus aux vitres fumées est autorisé à circuler pour transférer les passagers d’une passerelle à l’autre. L’opération s’est déroulée en plein jour: une grande différence avec les années de guerre froide, lorsque ce genre de swap était organisé de nuit, ou à l’aube, et loin des regards indiscrets. Pour le reste, l’échange d’espions qui a eu lieu samedi entre les Etats-Unis et la Russie rappelait furieusement un passé révolu. En provenance de New York, les fameux "Dix", comme les a surnommés la presse américaine. Surveillés depuis des années, certains vivaient tranquillement en couple avec enfants dans les banlieues proprettes du New Jersey, du Massachusetts ou de la Virginie. Un de leurs sympathiques voisins regrettait même hier que leurs deux petites filles soient obligées de faire leurs valises alors qu’elles n’étaient pour rien dans "ce feu croisé tragique" des agences de renseignements américaine et russe.

Selon le FBI, aucun des "Dix" n’aurait tenté de s’emparer de secrets d’Etat; mais tous ont plaidé coupable avant-hier, devant un juge fédéral, d’activités illégales au service d’une puissance étrangère. Recrutés du temps où Vladimir Poutine dirigeait le KGB, ils avaient été envoyés sous de faux noms aux Etats-Unis pour analyser l’actualité américaine et envoyer leurs rapports cryptés à Moscou.

En route vers Londres et Washington, les quatre autres Russes de l’échange, libérés par le Kremlin après des années de détention. Pas de brume ni de mots de passe hier, donc. Mais le nom de la compagnie charter qui a affrété le Boeing méritait le détour. Vision Airlines n’est pas seulement connue pour ses tarifs bradés sur Cuba, c’est aussi l’un des transporteurs utilisés depuis des années par la CIA pour convoyer ses personnels ou ses prisonniers vers les destinations les plus sensibles. Elle s’est retrouvée hier au centre du pari tenté par Barack Obama, plus communément appelé "nouveau départ" dans la relation américano-russe. Comme l’a expliqué le ministre de la Justice Eric Holder sur CBS, "Nous voulions procéder à cet échange le plus rapidement possible pour ne pas avoir à subir l’impact négatif qu’une détention prolongée et un procès auraient pu avoir sur notre bonne relation avec Moscou."

"Nous ne laissons pas tomber ceux qui nous servent"

Au-delà du décor à la John Le Carré que se sont plu à décrire les médias dans cette affaire, et de l’exploitation de la personnalité d’Anna Chapman, la fausse négociatrice immobilière passée de Volgograd à Manhattan, cet échange viennois est une vraie curiosité. Selon John Martin, un ancien responsable du ministère de la Justice, qui a supervisé 46 affaires d’espionnage (dont l’exfiltration organisée du dissident Natan Sharansky via Berlin-Est), les Etats-Unis n’ont renvoyé qu’une seule fois depuis la guerre un espion russe sans qu’il ait purgé de peine de prison. En 1984, se souvient-il, "nous avions échangé une femme est-allemande qui servait de courrier pour le KGB aux Etats-Unis, avant qu’elle ne soit jugée et condamnée, contre vingt-cinq Européens accusés par Moscou d’espionnage derrière le “rideau de fer”".

Les spécialistes du renseignement estiment, par ailleurs, que les autorités américaines peuvent se frotter les mains. "Nous venons de démontrer notre fidélité à ces quatre Russes que nous utilisions de l’autre côté: nous ne laissons pas tomber ceux qui nous servent", commente John Flattery, ancien patron du contre-espionnage à la CIA. En outre, l’un d’entre eux, l’ex-colonel Alexandre Zaporojski, serait détenteur d’informations encore exploitables. C’est lui qui aurait permis l’arrestation du fameux agent double américain Aldrich Ames en 1994. L’étendue des dégâts, à la suite de ses nombreuses années de coopération avec le KGB, avait été jugée telle que le directeur de la CIA avait dû démissionner, tandis que l’agence était contrainte de reconstruire ses réseaux.

http://www.lejdd.fr/International/Actualite/Valse-d-espions-a-Vienne-206380/
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Message par abdelmalek Mar 13 Juil - 11:00

de bonne guerre et sa continue:l'oeil de moscou continue: et depuis l'orchestre rouge qui a formé et plus depuis la 2eime guerre mondial et même avant .
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Message par Sphinx Mar 13 Juil - 23:42

Semana Negra : L’espion qui venait de Cuba

Son nom est Escalante. Fabián Escalante. Mais que fait un général de division deux étoiles à la retraite, ex chef du renseignement et du contre-espionnage cubain, dans un festival multiculturel ? C'est Paco Taibo II qui donne la réponse : “il est l'auteur d'une douzaine de livres tous plus intéressants les uns que les autres, c'est pour ça que nous l'avons invité.”

De l'assassinat de Kennedy à la crise des missiles, de la révolution cubaine aux 634 tentatives d'élimination de Fidel Castro entre 1961 et 1963, Escalante a vécu l'Histoire avec un grand H, il est même l'un des acteurs majeurs de la Guerre Froide, mais toujours dans l'ombre. Un tel personnage, qui semble tout droit sorti d'un roman d'espionnage, en impose. Grand, droit comme un i, il parle posément en choisissant toujours ses mots. Son parcours ne laisse planer aucun doute : Escalante est un pur produit de la révolution et un fidèle de Fidel. Il avait à peine 20 ans quand Castro a renversé Batista, il a connu le Che, la guerre au Nicaragua et en Angola et il a gravi tous les échelons de la hiérarchie militaire cubaine.

Fondateur des services de sécurité et de renseignements castristes, il tempère le mythe de l'espion qui venait du chaud. “James Bond n'existe pas, explique-t-il à la terrasse du Don Manuel, le QG de tous les invités de la Semana Negra. C'est un travail d'équipe. Nous étions jeunes et n'avions aucune expérience, mais il fallait agir. Nous avons pas mal improvisé au départ.”

Il est sans doute l'un des hommes les mieux informés de Cuba, malgré son départ à la retraite il y a quelques années déjà. Et cet homme partage ses informations (une partie du moins) et sa vision du monde dans ses livres, distribués uniquement à Cuba mais que les organisateurs de la Semana Negra ont réussi à faire venir jusqu'à Gijón. On peut ne pas être d'accord avec lui sur certains points (ou de nombreux), mais il faut l'avouer, l'écouter raconter ses anecdotes est fascinant.

Dans l'un de ses ouvrages, il recense les plus de 600 tentatives d'assassinat contre Castro, des plus sérieuses aux plus folles. “La CIA n'a eu de cesse de vouloir tuer Fidel et s'y est parfois pris de manière bizarre, dit-il dans un sourire ironique. Mais elle ne voulait pas simplement l'éliminer, elle voulait aussi le ridiculiser. Nous avons appris, un jour, une tentative d'empoisonnement de son chocolat au lait. L'homme qui devait verser le poison dans sa tasse était si nerveux, qu'il a cassé la capsule contenant le produit toxique dans le frigo. Une autre fois, nous avons déjoué une tentative de destabilisation médiatique ridicule. La CIA voulait pulvériser du LSD dans un studio de télévision où devait se rendre Fidel pour qu'il tienne des propos incohérents, elle a aussi voulu lui faire perdre les poils de sa barbe avec une poudre spéciale.”

Les anecdotes s'enchainent, invérifiables bien sûr. Escalante est comme un bon roman, on passe un moment agréable et on attend la suite. Mais son discours n'est pas qu'anecdotique, il est aussi sérieux. Présent à Paris en mai 68 (sans vouloir dire s'il était en service ou non…), ce spécialiste de l'infiltration affirme qu'aujourd'hui, les relations entre nos deux pays sont au plus bas. “Depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy, elles sont totalement bloquées. Rien à voir avec ce que nous avons pu connaître sous l'ère Mitterrand.”

Quant à l'avenir de Cuba une fois Castro mort, il élude la question et rebondit sur le continent latinoaméricain dans son ensemble. “Je vois Cuba comme je vois l'Amérique latine dans les prochaines années. Nous vivons un moment de changements révolutionnaires et ce n'est pas fini.” Le continent entier, selon lui, se débat dans une grande guerre, qui est celle de la drogue. Mais l'ennemi numéro un n'a pas changé : les Etats-Unis. Malgré Obama. “Un homme seul ne peut rien changer. Les USA ne s'en sortiront pas de toute manière. Ils doivent lutter contre le blanchiment d'argent sale, contre le trafic d'armes et contre la consommation de drogue. C'est trop.” Selon Escalante, la seule solution pour l'Amérique latine de remporter la guerre contre la drogue tient en un seul mot : revolución. Tout a changé, rien n'a changé.

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Message par abdelmalek Mer 14 Juil - 13:44

je voudrais lui serré la main gauche ,celle du coeur.
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Message par Syfou Lun 9 Aoû - 23:31

Al-Qaïda au Maghreb appartient aux services secrets français (vidéos)

Al-Qaïda au Maghreb, c’est le nouveau nom du GSPC, qui était lui-même le nouveau nom du GIA. Il y a des preuves comme quoi ce groupe, originellement localisé en Algérie, est manipulé par les services secrets français. Tout ce que fait Al-Qaïda au Maghreb est par conséquent commandité par l’État français !

http://www.cemab.be/news/2010/07/9921.php
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Message par Syfou Ven 13 Aoû - 2:02

USA: une femme aux renseignements

Les Etats-Unis ont connu trois femmes secrétaires d'Etat mais n'avaient encore jamais vu une femme diriger l'une des 16 principales agences du renseignement.

Letitia Long, 51 ans, vient de prendre ses fonctions comme directrice de l'Agence nationale du renseignement géospatial (NGA) lors d'une cérémonie à Springfield en Virginie.

En 32 ans de carrière, elle a occupé plusieurs postes de responsabilités au sein du renseignement américain, dont récemment, au sein de l'agence du renseignement de la défense (DIA).

Les femmes représentent 38% de la totalité des effectifs du renseignement américain, selon Wendy Morigi, une porte-parole de la direction du renseignement américain (DNI).


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Message par Syfou Ven 20 Aoû - 0:34

les révélations "choc" d'un espion israélien à Gaz

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