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Actualité politique en Turquie
algeriedrs :: Actualité politique, économique, monétaire, financière, sociale et environnementale :: Actualité politique, sociale et environnementale internationale :: Actualité politique,sociale et environnementale en Asie
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Turquie
Quinze personnes blessées dans une explosion en Turquie
ISTANBUL (AP) — Une bombe visant une voiture de police a explosé mardi à Istanbul, blessant légèrement 15 personnes, ont annoncé la police et des informations.
La bombe placée dans la rue a explosé dans le quartier de Kucukcekmece, dans la banlieue de la ville, au passage du véhicule. Les policiers à bord de la voiture et plusieurs passants ont été blessés.
Le chef de la police d'Istanbul Huseyin Capkin a expliqué à l'agence de presse officielle Anatolia que personne n'était blessé grièvement. La police enquête pour savoir si la bombe avait été activée à distance, a-t-il précisé.
"Nous ne disposons d'aucune information sur les coupables pour l'instant. Nous allons oeuvrer pour les identifier". AP
ljg/v163
ISTANBUL (AP) — Une bombe visant une voiture de police a explosé mardi à Istanbul, blessant légèrement 15 personnes, ont annoncé la police et des informations.
La bombe placée dans la rue a explosé dans le quartier de Kucukcekmece, dans la banlieue de la ville, au passage du véhicule. Les policiers à bord de la voiture et plusieurs passants ont été blessés.
Le chef de la police d'Istanbul Huseyin Capkin a expliqué à l'agence de presse officielle Anatolia que personne n'était blessé grièvement. La police enquête pour savoir si la bombe avait été activée à distance, a-t-il précisé.
"Nous ne disposons d'aucune information sur les coupables pour l'instant. Nous allons oeuvrer pour les identifier". AP
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Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
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Actualité politique en Turquie
La fin du rôle des chefs militaires ?
La démission fracassante des principaux chefs militaires en Turquie pourrait annoncer la fin d’une époque, selon des analystes : celle où l’armée jouait un rôle clé, parfois par la force, dans la vie politique.
«La vieille garde militaire a jeté l’éponge», assure l’universitaire Ahmet Insel, auteur de deux livres sur l’armée turque, commentant la démission, vendredi, du chef d’état-major des armées et des commandants de l’armée de terre, de l’air et de la marine. Ces démissions sont le signe d’un «bouleversement total dans les relations entre politiques et militaires», estime pour sa part le directeur du journal Hürriyet Daily News, Murat Yetkin. Critiqués par les milieux proches du gouvernement islamo-conservateur, poursuivis par les juges – un général sur 10 est en prison pour implication dans des complots contre le régime – les chefs militaires ont réagi, vendredi, par une démission en bloc au plus haut niveau, provoquant un choc à travers le pays. Selon la presse, ils exigent que leurs collègues en détention puissent bénéficier de promotions, même s’ils sont en prison dans l’attente de la fin de leur procès ; ce que refuse le gouvernement.
Et l’inculpation de six nouveaux généraux, vendredi, accusés notamment d’avoir créé des sites internet de propagande anti-gouvernementale, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, mettant un terme à la patience des militaires, ajoutent les médias. Il est loin le temps où l’armée turque, la deuxième en nombre au sein de l’OTAN, avait son mot à dire en politique et se posait en défenseur de la laïcité, face à ce qu’elle considérait comme une menace d’islamisation rampante de la société.
Depuis 1960, quatre gouvernements ont été chassés du pouvoir par l’armée, dont celui en 1997 de l’islamiste Necmettin Erbakan, mentor de l’actuel Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. Depuis, la société turque a évolué et s’est considérablement développée – le taux de croissance est actuellement de 11% – et le Parti de la justice et du développement (AKP) de M. Erdogan a été brillamment reconduit au pouvoir pour la troisième fois consécutive, aux législatives de juin.
La démission des chefs militaires «est essentielle pour montrer l’impact déterminant des élections de juin sur les relations entre gouvernement et armée», estime Derya Sazak, du journal Milliyet. «Cette crise est le résultat inévitable d’une lutte de pouvoir entre l’armée et le gouvernement, qui se poursuit depuis 2007. Le gouvernement ne veut pas travailler avec ces chefs qui avaient essayé d’empêcher l’élection du Président (Abdullah Gül) et qui étaient impliqués dans des tentatives de coups d’Etat. Il veut les éliminer», ajoute-t-il. «En fait, l’armée a perdu la partie dès le 27 avril 2007, lorsqu’elle a mis, sans aucun résultat, son veto à l’accession d’Erdogan ou de Gül à la tête du pays», note pour sa part M. Insel.
Renvoyée dans ses casernes, l’armée conserve-t-elle cependant la capacité de refaire irruption dans la politique, par un nouveau coup d’Etat ? «Je ne vois rien de semblable», estime Murat Yetkin, avec d’autres commentateurs, et d’ajouter : «Le gouvernement contrôle la situation.» Pour Ahmet Insel, ces démissions sont «une implosion» dans l’institution militaire, et il est peu probable qu’on assiste à un coup d’Etat en Turquie. «Aujourd’hui, un général arrêté ne fait pas plus d’effet dans les journaux qu’un grave accident de voiture», note-t-il. «Il pourrait y avoir un jour la tentative chevaleresque d’un colonel, d’un pistolero, mais pas au-delà.» Et ce, pour plusieurs raisons : «l’appui fort» d’une partie importante de la population au gouvernement, l’évolution de la société, les contre-pouvoirs de la police et de la justice, «qui sont proches de l’AKP». Et aussi, «au niveau international, il n’y a plus le danger communiste, qui permettait de faire des coups d’Etat dans les années 1960 et 1970, avec le soutien des Etats-Unis».
Michel Sailhan. Journaliste à l’AFP
La démission fracassante des principaux chefs militaires en Turquie pourrait annoncer la fin d’une époque, selon des analystes : celle où l’armée jouait un rôle clé, parfois par la force, dans la vie politique.
«La vieille garde militaire a jeté l’éponge», assure l’universitaire Ahmet Insel, auteur de deux livres sur l’armée turque, commentant la démission, vendredi, du chef d’état-major des armées et des commandants de l’armée de terre, de l’air et de la marine. Ces démissions sont le signe d’un «bouleversement total dans les relations entre politiques et militaires», estime pour sa part le directeur du journal Hürriyet Daily News, Murat Yetkin. Critiqués par les milieux proches du gouvernement islamo-conservateur, poursuivis par les juges – un général sur 10 est en prison pour implication dans des complots contre le régime – les chefs militaires ont réagi, vendredi, par une démission en bloc au plus haut niveau, provoquant un choc à travers le pays. Selon la presse, ils exigent que leurs collègues en détention puissent bénéficier de promotions, même s’ils sont en prison dans l’attente de la fin de leur procès ; ce que refuse le gouvernement.
Et l’inculpation de six nouveaux généraux, vendredi, accusés notamment d’avoir créé des sites internet de propagande anti-gouvernementale, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, mettant un terme à la patience des militaires, ajoutent les médias. Il est loin le temps où l’armée turque, la deuxième en nombre au sein de l’OTAN, avait son mot à dire en politique et se posait en défenseur de la laïcité, face à ce qu’elle considérait comme une menace d’islamisation rampante de la société.
Depuis 1960, quatre gouvernements ont été chassés du pouvoir par l’armée, dont celui en 1997 de l’islamiste Necmettin Erbakan, mentor de l’actuel Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. Depuis, la société turque a évolué et s’est considérablement développée – le taux de croissance est actuellement de 11% – et le Parti de la justice et du développement (AKP) de M. Erdogan a été brillamment reconduit au pouvoir pour la troisième fois consécutive, aux législatives de juin.
La démission des chefs militaires «est essentielle pour montrer l’impact déterminant des élections de juin sur les relations entre gouvernement et armée», estime Derya Sazak, du journal Milliyet. «Cette crise est le résultat inévitable d’une lutte de pouvoir entre l’armée et le gouvernement, qui se poursuit depuis 2007. Le gouvernement ne veut pas travailler avec ces chefs qui avaient essayé d’empêcher l’élection du Président (Abdullah Gül) et qui étaient impliqués dans des tentatives de coups d’Etat. Il veut les éliminer», ajoute-t-il. «En fait, l’armée a perdu la partie dès le 27 avril 2007, lorsqu’elle a mis, sans aucun résultat, son veto à l’accession d’Erdogan ou de Gül à la tête du pays», note pour sa part M. Insel.
Renvoyée dans ses casernes, l’armée conserve-t-elle cependant la capacité de refaire irruption dans la politique, par un nouveau coup d’Etat ? «Je ne vois rien de semblable», estime Murat Yetkin, avec d’autres commentateurs, et d’ajouter : «Le gouvernement contrôle la situation.» Pour Ahmet Insel, ces démissions sont «une implosion» dans l’institution militaire, et il est peu probable qu’on assiste à un coup d’Etat en Turquie. «Aujourd’hui, un général arrêté ne fait pas plus d’effet dans les journaux qu’un grave accident de voiture», note-t-il. «Il pourrait y avoir un jour la tentative chevaleresque d’un colonel, d’un pistolero, mais pas au-delà.» Et ce, pour plusieurs raisons : «l’appui fort» d’une partie importante de la population au gouvernement, l’évolution de la société, les contre-pouvoirs de la police et de la justice, «qui sont proches de l’AKP». Et aussi, «au niveau international, il n’y a plus le danger communiste, qui permettait de faire des coups d’Etat dans les années 1960 et 1970, avec le soutien des Etats-Unis».
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Actualité en Turquie
Le bilan du séisme en Turquie s'élève à 432 morts
Le tremblement de terre qui a secoué dimanche la province orientale turque de Ban a fait 1 352 blessés.
Le séisme de magnitude 7,2 qui a secoué dimanche la province orientale turque de Van a fait 432 morts et 1 352 blessés, selon un nouveau bilan provisoire annoncé mardi par la Direction officielle des situations d'urgence (Afad). Un précédent bilan officiel faisait état de 370 morts et de 1 300 blessés. Selon l'Afad, 2 262 bâtiments se sont effondrés dans la zone sinistrée, principalement dans les villes d'Ercis et de Van, la capitale de la région, peuplées en majorité de Kurdes et proche de l'Iran.
Source:http://lepoint.fr
Le tremblement de terre qui a secoué dimanche la province orientale turque de Ban a fait 1 352 blessés.
Le séisme de magnitude 7,2 qui a secoué dimanche la province orientale turque de Van a fait 432 morts et 1 352 blessés, selon un nouveau bilan provisoire annoncé mardi par la Direction officielle des situations d'urgence (Afad). Un précédent bilan officiel faisait état de 370 morts et de 1 300 blessés. Selon l'Afad, 2 262 bâtiments se sont effondrés dans la zone sinistrée, principalement dans les villes d'Ercis et de Van, la capitale de la région, peuplées en majorité de Kurdes et proche de l'Iran.
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