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Géopolitique de Chypre
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Géopolitique de Chypre
Chypre
Chypre (grec Κύπρος ; turc Kıbrıs) est une île située dans le bassin Levantin qui constitue la partie la plus orientale de la mer Méditerranée, souvent considérée comme européenne1 mais située au sud de l'Anatolie (partie asiatique de la Turquie moderne) et en face de la Syrie, tout en étant membre de l'Union européenne de facto pour sa partie sud, de jure pour toute l'île. Elle est peuplée d’environ 1 300 000 habitants, majoritairement grecs, avec une minorité turque ainsi que britannique installée dans des enclaves militaires sous souveraineté de la Couronne. L'armée turque occupant environ 40 % du territoire dans la partie nord depuis 1974, Chypre (y compris sa capitale Nicosie) est aujourd'hui divisée en deux entités séparées par la Ligne verte dite « ligne Attila ».
La population de Chypre avant et depuis 1974, d'après G. Ténékidès
la République de Chypre est la seule internationalement reconnue. Elle dispose d'un siège à l'ONU et est membre de l'Union européenne (UE). Elle est réputée exercer sa souveraineté sur l'ensemble de l'île cependant elle ne contrôle en pratique que la partie méridionale (environ 50 % du territoire, 10 % étant contrôlés par la Grande-Bretagne).
la partie nord, autoproclamée République turque de Chypre du Nord (RTCN) le 13 novembre 1983, occupe environ 40 % de l'île et n'est reconnue que par la Turquie. Elle est peuplée presque exclusivement par des Chypriotes d'origine turque (qui formaient 18 % de la population avant 19742) et par des Turcs issus de la politique de colonisation organisée à partir de 1974 ; quelques villages mixtes, avec minorité Chypriote grecque, subsistent dans la presqu'île de Karpassia ou Kırpaşa. Depuis 2004, l'Organisation de la conférence islamique accorde à la RTCN le statut d'observateur sous le nom de l'État turc de Chypre. L'Azerbaïdjan et le Pakistan sont les rares pays présentant le souhait de considérer cette République autoproclamée comme un État à part entière.
les enclaves britanniques d'Akrotiri et Dhekelia : au sud de l'île, sont deux bases militaires que le Royaume-Uni a conservées en pleine souveraineté après l'indépendance de l'île. Là aussi, des villages mixtes ont subsisté.
Malgré l'échec des initiatives de l'Union européenne (UE) et le rejet par la partie grecque (à 75 %) du plan de l'ONU (plan Kofi Annan approuvé par l'UE en 2004), la République chypriote est entrée dans l'Union européenne. Même si l'Union européenne se disait tout d'abord réticente à accepter une île divisée, il est précisé aux termes du protocole n°10 du Traité d'Adhésion à l'Union européenne de 2003 que toute l'île de Chypre appartient à l'Union européenne, y compris la partie échappant effectivement au contrôle de la République de Chypre et où l'acquis communautaire est suspendu. Le statut de l'île est donc devenu un point de contentieux majeur des relations entre la Turquie et l'Union européenne. Néanmoins sur le terrain des progrès ont été faits vers un statut fédéral de facto, les deux entités ayant ouvert des points de passage dans la Ligne Attila et permis aux habitants de chaque côté de se rendre dans l'autre.
Localisation de Chypre
Économie de Chypre
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_Chypre
Géopolitique de Chypre
Lire la suite sur:
https://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:A54oSnr5QbUJ:www.beaujeant.com/GeoRheto/telecharger/PPTconflitsgeopol/6D/%25206DChypre.ppt+g%C3%A9ostrat%C3%A9gie+de+Chypre&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEEShRQYDVT_p9Z_cdDJkQqVNsLOV0-rGFeavo_dpUadYKSnFC9BL2Ytvqge4DxgSfMgOSPipAHy7L_QEC9cmZe5-_zxx457bc59fARJvcd9rbYoM93vYGyi9PgJ0doxR_Ue-mdh2n&sig=AHIEtbQ2TgkHkyprJGGo4B2AZ3I8FgOPVg
Les différends Greco-Turcs et le problème de Chypre
INTRODUCTION
"Frères ennemis", la Grèce et la Turquie ont connu, ces dernières années, des moments de tensions relativement inquiétants, durant lesquels les termes de "menaces" et de "casus belli" ont été bien souvent évoqués. Délimitation des eaux territoriales, militarisation des îles égéennes, question des minorités, Chypre... Autant de différends bilatéraux, nés d’un lourd héritage historique, qui constituent une préoccupation majeure non seulement pour les intéressés, mais également pour l’Europe et les Etats-Unis. Ces derniers ont d’ailleurs multiplié les initiatives et les pressions pour tenter de réunir Athènes et Ankara, tous deux membres de l’OTAN, à la fois alliés et adversaires, autour d’une même table. Malheureusement, ces efforts en faveur d’un dialogue sont restés vains, balayés par des considérations de politique intérieure. En effet, de part et d’autre de la mer Egée, les surenchères nationalistes et populistes continuent de nourrir les fantasmes populaires, qui représentent probablement les principaux obstacles au règlement des différends gréco-turcs. L’actualité récente nous a d’ailleurs donné une nouvelle illustration de l’état de tension permanente dans cette région de la Méditerranée. La crise de l’îlôt rocheux, "Kardak" pour les Turcs, "Imia" pour les Grecs, qui a failli dégénérer en un conflit entre les deux pays, a en effet montré que la mer Egée restait une région à risque tant les points de litiges étaient encore nombreux.
Dans un premier temps, nous aborderons les relations bilatérales, avec notamment la situation en mer Egée (le cas du plateau continental et celui de la mer territoriale) et la question des minorités nationales. Nous nous arrêterons ensuite sur Chypre, qui reste un point central de cristallisation conflictuelle entre Athènes et Ankara. Enfin, nous nous intéresserons à la dimension internationale de la rivalité gréco-turques, en évoquant notamment la situation dans les Balkans, et en nous penchant sur les rapports que ces deux Etats égéens entretiennent avec les Etats-Unis et l’Union européenne.
I - Des rapports bilatéraux difficiles
1) La situation en mer Egée
L’origine du contentieux égéen est à rechercher dans la question du partage des îles, posée en 1830 dès l’indépendance de la Grèce. Aujourd’hui, les différents traités et conventions censés définir le statut de cette zone ne suffisent pas à régler les différends qui opposent la Grèce à la Turquie, dans la mesure ou l’une comme l’autre, en fonction des intérêts nationaux et de l’évolution du contexte international, deviennent soit des légalistes purs et durs, soit des critiques du formalisme légal abstrait. Néanmoins, de façon générale, Athènes est plutôt favorable à un règlement judiciaire de ses différends avec la Turquie, tandis qu’Ankara préfère les négociations bilatérales [1].
La mer Egée, par ses richesses maritimes (notamment des gisements de pétrole avérés [2] ou supposés), mais surtout comme un espace de souveraineté à se partager, se trouve donc au centre de la rivalité turco-grecque. Les deux pays se livrent ainsi un complexe et intense débat juridique autour de cette question, qui est composée de plusieurs volets : la délimitation du plateau continental, le problème de la mer territoriale, et la remilitarisation par la Grèce des îles orientales (la question de l’étendue de l’espace aérien, notamment grec, étant de moindre importance, nous ne nous arrêterons pas dessus. Nous n’aborderons que les trois points présentés ci-dessus, qui constituent, à nos yeux, l’essentiel du différend gréco-turc en mer Egée)
Le premier aspect du contentieux égéen est donc celui du plateau continental. Le coeur du problème est ici de savoir si les îles ont droit en leur nom propre à un plateau continental. Pour Athènes, qui pense que oui, les îles égéennes doivent être considérées sur un pied d’égalité avec la terre ferme continentale.
Pour Ankara, au contraire, elles ne peuvent bénéficier d’un tel statut étant donné la situation particulière de la mer Egée. Au nationalisme insulaire de l’un répond donc le nationalisme côtier de l’autre. Cette question a en fait une grande importance car les enjeux économiques et politiques sont considérables. En effet, en Droit international de la mer, le concept de plateau continental fait référence à l’ensemble des fonds marins et de leur sous-sol au-delà de la mer territoriale. C’est donc un espace sur lequel l’Etat côtier exerce des droits souverains en matière d’exploration et d’exploitation de ses richesses naturelles. Dans la mesure où le plateau peut être riche en minéraux, et spécialement en hydrocarbures (il existe à ce niveau la possibilité d’une exploitation industrielle), on comprend dès lors l’âpreté de l’opposition greco-turque.
Sur ce point particulier, la Cour internationale de justice (CIJ) a été saisie par une requête grecque unilatérale datée du 10 août 1976. Or, la Turquie ayant refusé de comparaître, la CIJ n’a pu statuer faute de compétence. Elle a néanmoins reconnu qu’"un différend d’ordre juridique existait entre la Turquie et la Grèce au sujet du plateau continental en mer Egée". Depuis 1979, la situation est au point mort.
Le second volet de la question égéenne est relatif à la délimitation de la mer territoriale. Ce problème est probablement le point de crispation le plus important entre la Grèce et la Turquie en Egée. En effet, ce différend pourrait avoir des effets désastreux si jamais la Grèce essayait d’étendre ses eaux territoriales à 12 milles (l’étendue de la mer territoriale est actuellement de 6 milles marins pour les deux pays). Car ce qui est en jeu, ce n’est pas seulement la limitation de l’accès de la Turquie à la haute mer, mais également l’appropriation par la Grèce de toute la mer Egée y compris le lit et le sous-sol de la mer, ce qui revient à régler, d’une certaine manière et de façon unilatérale, la question du plateau continental.
Aujourd’hui, "l’opinio juris" montre que la plupart des Etats en viennent à la règle des 12 milles. Or, si la Grèce décidait d’appliquer cette règle, elle augmenterait sa part de mer territoriale, qui passerait de 35% à 64% de la surface maritime totale en mer Egée. Cette "thalassocratie" grecque serait insupportable pour la Turquie, et constituerait un "casus belli". Aujourd’hui, qu’en est-il ? Bien que le Parlement hellène ait approuvé, en juin 1995, la loi relative à l’extension des eaux territoriales de 6 à 12 milles, elle n’a pas été mise en application devant les avertissements répétés des autorités turques. De plus, pendant que cette loi était votée à Athènes, l’Assemblée nationale turque donnait au même moment les pleins pouvoirs au gouvernement sur cette épineuse question, et notamment celui de déclarer la guerre si la Grèce décidait d’étendre ses eaux. Le statu quo dure toujours.
Lire la suite:
http://www.tetedeturc.com/home/spip.php?rubrique4
Géopolitique de Chypre
Pour l’auteur, la Turquie n’entrera pas dans l’Union européenne sans un règlement de la question de Chypre, mais il n’y a guère de chances de résoudre cette affaire si la Turquie reste en dehors de l’Union. Dans ce dernier cas, on irait sans doute dans le sens de la partition.
Pour l’auteur, la Turquie n’entrera pas dans l’Union européenne sans un règlement de la question de Chypre, mais il n’y a guère de chances de résoudre cette affaire si la Turquie reste en dehors de l’Union. Dans ce dernier cas, on irait sans doute dans le sens de la partition.
Par:Par François DOPFFER
Lire la suite:
http://www.diploweb.com/Geopolitique-de-Chypre.html
Israël - Diplomatie: les enjeux du développement des relations bilatérales avec Chypre
Benjamin Netanyahou a entamé jeudi une visite d'une journée à Chypre, la première visite jamais effectuée par un Premier ministre israélien dans cette ile pourtant située à 30 minutes d'avion de Tel Aviv.
Il y a quatre ans, Chypre était considéré comme le pays d'Europe le plus hostile à Israël.
Aujourd'hui, c'est un des plus importants partenaires régionaux d'Israël, avec la Grèce, la Roumanie et la Bulgarie.
Les relations entre Chypre et l'état hébreu – comme d'ailleurs avec la Grèce -se sont considérablement resserrées au fur et à mesure que celles d'Israël et la Turquie se détérioraient au cours des quatre dernières années.
La Chypre, comme la Grèce, ont un lourd contentieux territorial (et de définition de zone maritime exclusive) avec la Turquie.
Ces cinq pays forment petit à petit un véritable contrepoids régional à l'influence grandissante de la Turquie.
Un plus concernant Chypre : ce pays constitue, selon Israël, une porte d'entrée, un pont vers l'Europe, notamment en matière d'Energie, d'autant que la proximité géographique est réelle puisque Chypre est le pays européen le plus proche d'Israël.
Lorsqu'on parle d'énergie, on parle aussi d'une autre alliance qui se constitue autour des gisements de gaz "phénoménaux", découverts par Israël dans sa zone économique exclusive (c'est-à-dire l'espace maritime sur lequel un état exerce sa souveraineté).
La définition de cette ZEE avec Chypre et la Grèce renforcent Israël dans la définition de sa zone à l'égard du Liban, comme les accords avec Israël renforcent les prétentions de Chypre et de la Grèce, sur leurs ZEE respectives, alors que ces deux pays sont en conflit avec la Turquie sur le sujet.
La question des zones économiques exclusives, comme l'avenir d'une exploitation commune des infrastructures d'exportation de gaz israélien vers l'Europe, ont occupé une place centrale dans la visite du Premier ministre israélien à Chypre.
Une des hypothèses est la construction d'un pipeline gazier depuis les gisements israéliens vers Chypre, pour des exportations vers l'Europe – projet dans lequel Chypre serait un partenaire privilégié.
Tout comme Israël pourrait aider Chypre à exploiter ses propres gisements – pour lesquels un conflit virulent est ouvert avec la Turquie.
Celle-ci, qui occupe le nord de Chypre depuis le coup d'état de 1974, refuse aux chypriotes du sud (chypriotes grecs) l'exploitation exclusive de ces gisements.
Rappelons que la partie nord, autoproclamée République turque de Chypre du nord, n'est reconnue…que par la Turquie.
Mais la relation avec Chypre a aussi une visée stratégique en raison de la situation géographique de l'ile, située face à la Syrie, à la Turquie.
Lors de la dernière tentative "avortée" de la dernière flottille pour Gaza, Chypre – et la Grèce – a joué un rôle clé en empêchant les bateaux qui mouillaient dans les ports chypriotes de reprendre la mer.
Erato Kozakou-Marcoullis, ministre chypriote des Affaires étrangères déclarait mercredi à la radio militaire israélienne qu'elle considérait que les manœuvres militaires turques "étaient une menace pour Chypre, mais également pour Israël", ajoutant qu'il s'agissait pour Ankara "d'une tentative de prendre le contrôle des ressources naturelles gazières, un comportement criminel".
Benjamin Netanyahou a notamment rencontré le Président chypriote, Dimitris Christofias.
Les entretiens ont porté essentiellement sur la coopération energétique...et la Turquie.
Ankara menace en effet d'empêcher Chypre de mener des forages gaziers au large de ses côtes.
"La Turquie n'autorisera aucune compagnie étrangère à effectuer des forages pétroliers ou gaziers, ou des activités d'exploitation dans ces régions ", a déclaré jeudi le ministre turc des Affaires étrangères, ajoutant, faisant référence ouvertement à l'état hébreu, "que cette interdiction s'appliquait aux états étrangers ou aux compagnies étrangères qui seraient intéressés par ces activités d'exploration".
Alors que Dimitris Christofias attaquait violemment la Turquie, le Premier ministre israélien s'est abstenu de toute critique ou attaque.
La question de savoir si la coopération énergétique entre les deux pays impliquait l'obligation pour Israël de défendre les installations chypriotes est d'ailleurs restée en suspens.
Les discussions ont cependant permis d'avancer sur les projets de coopération: les deux pays vont lancer une étude sur la meilleure option possible d'exportation commune de gaz des deux pays, soit vers l'Europe, via Chypre, soit vers l'Asie, via Israël.
http://www.israel-infos.net/Israel--Diplomatie-les-enjeux-du-developpement-des-relations-bilaterales-avec-Chypre-8204.html
Daûphin_zz_47- Adm
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