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Forces spéciales sud-coréennes
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Forces spéciales sud-coréennes
Forces spéciales sud-coréennes
MÊME PAS FROID - Des soldats des forces spéciales sud-coréennes effectuent ce vendredi leur stage annuel de commando en plein hiver. REUTERS/Jo Yong-Hak (SOUTH KOREA - Tags: SOCIETY MILITARY)
L’intervention « high tech » des forces spéciales sud-coréennes contre les pirates somaliens
L’intervention des forces spéciales sud-coréennes pour libérer le chimiquier Samho Jewelry, capturé le 15 janvier par les pirates somaliens, a été rondement et très rapidement menée. Et autant dire que les marins sud-coréens n’ont pas fait dans la dentelle, ce qui, dans un sens, peut être aussi perçu comme un message envoyé à leurs homologues nord-coréens.
Dès l’annonce de la prise du Sambo Jewelry, la marine sud-coréenne a envoyé le destroyer Choi Young sur zone. Pour Séoul, il n’est alors pas question que le scénario du Samho Dream se reproduise. Capturé en 2009, le navire et son équipage avaient été libérés après 217 jours de captivité et le paiement d’une rançon de 9 millions de dollars.
L’assaut n’a pas été donné dès que le Choi Young est arrivé près du Samho Jewelry. Les commandos marine désignés pour l’intervention ont d’abord pris le temps étudier des photographies et des plans d’un navire identique à celui capturé par les pirates pendant que le destroyer et son hélicoptère Lynx simulaient plusieurs attaques pour « épuiser les pirates et les rendre incapables d’anticiper l’assaut réel ». Par ailleurs, les militaires sud-coréens ont pu bénéficier de renseignements obtenus par un P3C Orion de l’US Navy.
Avant de lancer l’intervention, les ondes radio et radar ont été brouillées, afin d’éviter que les pirates puissent communiquer avec leur bateau-mère. Puis, une équipe de 15 commandos marine ont lancé l’assaut avant l’aube, avec des caméras fixées sur leur casque pour permettre au commandement de suivre en temps réel leurs évolutions à bord du Samho Jewelry.
Au final, l’opération aura été un succès puisque les 21 membres de l’équipage prisonniers ont pu être libérés et 8 pirates ont été tués. Seul le capitaine du navire capturé a été atteint au ventre par une balle, vraisemblement tirée par un de ses ravisseurs.
Succès d’image et d’estime encore car cette libération d’otages, qualifiée de « victoire basée sur la haute technologie par le ministère sud-coréen de la Défense, a permis aux militaires de redorer leur blason, après les critiques dont ils ont fait l’objet pour leur réplique, perçue comme faible, au bombardement de l’île de Yeonpeyong par la Corée du Nord, en novembre dernier.
http://www.opex360.com/2011/01/25/lintervention-high-tech-des-forces-speciales-sud-coreennes-contre-les-pirates-somaliens/
Armée
Special Warfare Command
707th Special Mission Battalion (White Tiger)
Special Guard Team (SGT)
Marine
Naval Special Warfare Brigade (UDT/SEAL)
Armée de l'Air
6th Combat Control Team/Combat Search And Rescue (CCT/CSAR) Squadron
Marine Corps
Force Reconnaissance
Special Guard Team (SGT)
National Police
Special Weapon Attack Team (SWAT)
Coast Guard
Sea Special Assault Team (SSAT)
MÊME PAS FROID - Des soldats des forces spéciales sud-coréennes effectuent ce vendredi leur stage annuel de commando en plein hiver. REUTERS/Jo Yong-Hak (SOUTH KOREA - Tags: SOCIETY MILITARY)
L’intervention « high tech » des forces spéciales sud-coréennes contre les pirates somaliens
L’intervention des forces spéciales sud-coréennes pour libérer le chimiquier Samho Jewelry, capturé le 15 janvier par les pirates somaliens, a été rondement et très rapidement menée. Et autant dire que les marins sud-coréens n’ont pas fait dans la dentelle, ce qui, dans un sens, peut être aussi perçu comme un message envoyé à leurs homologues nord-coréens.
Dès l’annonce de la prise du Sambo Jewelry, la marine sud-coréenne a envoyé le destroyer Choi Young sur zone. Pour Séoul, il n’est alors pas question que le scénario du Samho Dream se reproduise. Capturé en 2009, le navire et son équipage avaient été libérés après 217 jours de captivité et le paiement d’une rançon de 9 millions de dollars.
L’assaut n’a pas été donné dès que le Choi Young est arrivé près du Samho Jewelry. Les commandos marine désignés pour l’intervention ont d’abord pris le temps étudier des photographies et des plans d’un navire identique à celui capturé par les pirates pendant que le destroyer et son hélicoptère Lynx simulaient plusieurs attaques pour « épuiser les pirates et les rendre incapables d’anticiper l’assaut réel ». Par ailleurs, les militaires sud-coréens ont pu bénéficier de renseignements obtenus par un P3C Orion de l’US Navy.
Avant de lancer l’intervention, les ondes radio et radar ont été brouillées, afin d’éviter que les pirates puissent communiquer avec leur bateau-mère. Puis, une équipe de 15 commandos marine ont lancé l’assaut avant l’aube, avec des caméras fixées sur leur casque pour permettre au commandement de suivre en temps réel leurs évolutions à bord du Samho Jewelry.
Au final, l’opération aura été un succès puisque les 21 membres de l’équipage prisonniers ont pu être libérés et 8 pirates ont été tués. Seul le capitaine du navire capturé a été atteint au ventre par une balle, vraisemblement tirée par un de ses ravisseurs.
Succès d’image et d’estime encore car cette libération d’otages, qualifiée de « victoire basée sur la haute technologie par le ministère sud-coréen de la Défense, a permis aux militaires de redorer leur blason, après les critiques dont ils ont fait l’objet pour leur réplique, perçue comme faible, au bombardement de l’île de Yeonpeyong par la Corée du Nord, en novembre dernier.
http://www.opex360.com/2011/01/25/lintervention-high-tech-des-forces-speciales-sud-coreennes-contre-les-pirates-somaliens/
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Re: Forces spéciales sud-coréennes
Déploiement de l’unité sud-coréenne « Akh » aux Emirats arabes unis
Le déploiement aux Emirats arabes unis de l’unité des forces spéciales sud-coréennes baptisée « Akh » représente un nouveau modèle de coopération militaire. Pour la Corée du Sud, cela constitue un précédent, car c’est la première fois qu’elle envoie des forces dans une région qui n’est pas en situation de conflit. Ces troupes renforceront dans la pratique le partenariat stratégique de compréhension entre les deux nations et développeront encore davantage les relations entre le pays du Matin clair et les pays arabes.
L’armée sud-coréenne a organisé lundi une cérémonie pour célébrer le départ de cette unité au camp d’entraînement militaire de Gwangju, dans la province de Gyeonggi. Et c’est hier que le gros des troupes s’est envolé en avion pour les Emirats. Le terme qui désigne cette unité, « Akh », signifie « fraternité » en arabe. L’armée explique que ce nom a pour but de symboliser la relation fraternelle entre les soldats sud-coréens et émiratis. Les médias locaux ont salué l’arrivée des militaires sud-coréens et leur ont manifesté leur profond intérêt.
L’unité « Akh » rassemble 130 soldats issus de différents bataillons, notamment spécialisés dans les opérations spéciales, le combat en altitude, la lutte antiterroriste ou encore les renforts. Ils ont tous suivi une formation de quatre semaines pour s’informer de la situation sur place et se sont entraînés aux opérations spéciales anti-terreur avec des commandos qui utilisent les techniques d’arts martiaux. Ils seront stationnés dans une école militaire spéciale dans la région de Al Ain. Leurs missions principales seront d’aider à la formation des forces spéciales émiraties, de conduire des exercices militaires conjoints et de protéger les sud-Coréens présents dans le pays en cas d’urgence.
Cette unité est différente des forces de maintien de la paix et des forces internationales puisqu’elle est déployée dans une zone qui n’est pas exposée à un risque direct de conflit armé. Il s’agit de partager l’expérience sud-coréenne d’entraînement militaire avec une nation amie. Comme le président Lee Myung-bak l’a rappelé, ce déploiement participera aussi aux efforts de la Corée du Sud pour garantir sa sécurité énergétique et s’implanter davantage au Moyen-Orient. Il ne faut en effet pas oublier, qu’il s’agit d’un des plus grands producteurs de pétrole de la planète, qui a, de plus, signé avec le pays du Matin clair un contrat de 16 milliards d’euros pour la construction de centrales nucléaires.
Archive : 2011-01-12
http://kbs.co.kr
Le déploiement aux Emirats arabes unis de l’unité des forces spéciales sud-coréennes baptisée « Akh » représente un nouveau modèle de coopération militaire. Pour la Corée du Sud, cela constitue un précédent, car c’est la première fois qu’elle envoie des forces dans une région qui n’est pas en situation de conflit. Ces troupes renforceront dans la pratique le partenariat stratégique de compréhension entre les deux nations et développeront encore davantage les relations entre le pays du Matin clair et les pays arabes.
L’armée sud-coréenne a organisé lundi une cérémonie pour célébrer le départ de cette unité au camp d’entraînement militaire de Gwangju, dans la province de Gyeonggi. Et c’est hier que le gros des troupes s’est envolé en avion pour les Emirats. Le terme qui désigne cette unité, « Akh », signifie « fraternité » en arabe. L’armée explique que ce nom a pour but de symboliser la relation fraternelle entre les soldats sud-coréens et émiratis. Les médias locaux ont salué l’arrivée des militaires sud-coréens et leur ont manifesté leur profond intérêt.
L’unité « Akh » rassemble 130 soldats issus de différents bataillons, notamment spécialisés dans les opérations spéciales, le combat en altitude, la lutte antiterroriste ou encore les renforts. Ils ont tous suivi une formation de quatre semaines pour s’informer de la situation sur place et se sont entraînés aux opérations spéciales anti-terreur avec des commandos qui utilisent les techniques d’arts martiaux. Ils seront stationnés dans une école militaire spéciale dans la région de Al Ain. Leurs missions principales seront d’aider à la formation des forces spéciales émiraties, de conduire des exercices militaires conjoints et de protéger les sud-Coréens présents dans le pays en cas d’urgence.
Cette unité est différente des forces de maintien de la paix et des forces internationales puisqu’elle est déployée dans une zone qui n’est pas exposée à un risque direct de conflit armé. Il s’agit de partager l’expérience sud-coréenne d’entraînement militaire avec une nation amie. Comme le président Lee Myung-bak l’a rappelé, ce déploiement participera aussi aux efforts de la Corée du Sud pour garantir sa sécurité énergétique et s’implanter davantage au Moyen-Orient. Il ne faut en effet pas oublier, qu’il s’agit d’un des plus grands producteurs de pétrole de la planète, qui a, de plus, signé avec le pays du Matin clair un contrat de 16 milliards d’euros pour la construction de centrales nucléaires.
Archive : 2011-01-12
http://kbs.co.kr
Syfou- Adminstrateur
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Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
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