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Les essais nucléaires français dans le Sahara algérien
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algeriedrs :: Histoire et actualité Algérienne :: Histoire de l'Algérie :: Chronologie et Diversités Historique Algérienne
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Les essais nucléaires français dans le Sahara algérien
Les essais aériens à Reggane
Le premier essai nucléaire français, Gerboise bleue, est effectué le 13 février 1960, sous présidence de Charles de Gaulle. Toutefois, c'est au début d'avril 1958 que Félix Gaillard, premier ministre sous la présidence de René Coty, décide que ce premier essai aura lieu au début de l'année 1960 et que le site de test sera localisé au Sahara.
Un champ de tir a été créé à Reggane, au centre du Sahara algérien et à 600 kilomètres au sud de Bechar. Les tirs ont été effectués à partir d'une tour située plus précisément à Hamoudia, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Regganne.
Le rapport annuel du CEA de 1960 montre l'existence d'une zone contaminée de 150 km de long environ.
À la suite immédiate du putsch des Généraux (23 avril 1961) (ou « putsch d'Alger »), le gouvernement français a ordonné la détonation du 25 avril 1961 (Gerboise verte) afin que l'engin nucléaire ne puisse tomber dans les mains des généraux putchistes.
Les essais en galerie au Hoggar
La France doit abandonner les essais aériens à la faveur d'essais souterrains, moins polluants. Le site choisi In Ecker (Sahara algérien) se trouve au sud de Reggane et à environ 150 km au nord de Tamanrasset. Les tirs sont réalisés en galerie, celles-ci étant creusées horizontalement dans un massif granitique du Hoggar, le Tan Afella. Ces galeries se terminaient en colimaçon pour casser le souffle des explosions et étaient refermées par une dalle de béton. Elles devaient permettre un bon confinement de la radioactivité.
Le 7 novembre 1961, la France réalise son premier essai nucléaire souterrain. Mais le 1er mai 1962, lors du deuxième essai souterrain, un nuage radioactif s'est échappé de la galerie de tir. C'est l'accident de Béryl (du nom de code de l'essai).
De novembre 1961 à février 1966, treize tirs en galerie ont été effectués dont quatre n'ont pas été totalement contenus ou confinés (Béryl, Améthyste, Rubis, Jade). Malgré cela, ce système donnait satisfaction mais les Accords d'Évian ayant prévu que la France devait abandonner ses expériences au Sahara, l'État français a dû se mettre à la recherche d'un autre site.
wikipedia
Le premier essai nucléaire français, Gerboise bleue, est effectué le 13 février 1960, sous présidence de Charles de Gaulle. Toutefois, c'est au début d'avril 1958 que Félix Gaillard, premier ministre sous la présidence de René Coty, décide que ce premier essai aura lieu au début de l'année 1960 et que le site de test sera localisé au Sahara.
Un champ de tir a été créé à Reggane, au centre du Sahara algérien et à 600 kilomètres au sud de Bechar. Les tirs ont été effectués à partir d'une tour située plus précisément à Hamoudia, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Regganne.
Le rapport annuel du CEA de 1960 montre l'existence d'une zone contaminée de 150 km de long environ.
À la suite immédiate du putsch des Généraux (23 avril 1961) (ou « putsch d'Alger »), le gouvernement français a ordonné la détonation du 25 avril 1961 (Gerboise verte) afin que l'engin nucléaire ne puisse tomber dans les mains des généraux putchistes.
Les essais en galerie au Hoggar
La France doit abandonner les essais aériens à la faveur d'essais souterrains, moins polluants. Le site choisi In Ecker (Sahara algérien) se trouve au sud de Reggane et à environ 150 km au nord de Tamanrasset. Les tirs sont réalisés en galerie, celles-ci étant creusées horizontalement dans un massif granitique du Hoggar, le Tan Afella. Ces galeries se terminaient en colimaçon pour casser le souffle des explosions et étaient refermées par une dalle de béton. Elles devaient permettre un bon confinement de la radioactivité.
Le 7 novembre 1961, la France réalise son premier essai nucléaire souterrain. Mais le 1er mai 1962, lors du deuxième essai souterrain, un nuage radioactif s'est échappé de la galerie de tir. C'est l'accident de Béryl (du nom de code de l'essai).
De novembre 1961 à février 1966, treize tirs en galerie ont été effectués dont quatre n'ont pas été totalement contenus ou confinés (Béryl, Améthyste, Rubis, Jade). Malgré cela, ce système donnait satisfaction mais les Accords d'Évian ayant prévu que la France devait abandonner ses expériences au Sahara, l'État français a dû se mettre à la recherche d'un autre site.
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Re: Les essais nucléaires français dans le Sahara algérien
“L’Association des vétérans des essais nucléaires français dans le Sahara algérien” : “Un acte criminel et colonial”
2e collogue international sur “les explosions nucléaires françaises dans le Sahara algérien”
Le président honoraire de l'Association des vétérans des essais nucléaires dans le Sahara algérien (AVEN), M. Michel Verger, a qualifié, hier, à Alger les essais nucléaires de la France en terres algériennes d'acte "criminel" et "colonial".
"Je suis français et je regrette mon appartenance à un pays qui pratique l'art de taire la vérité. Les essais nucléaires de la France en Algérie sont un acte criminel et colonial", a déclaré à la presse M. Verger en marge du colloque.
"J'ai assisté aux deux premières explosions. La première était terrible. Nous étions couchés sur le sol et nous avions reçu l'ordre de nous lever après la fin de l'explosion et, malgré les yeux fermés, nous avions vu son éclair. Alors, imaginez la réaction de la population de Reggane, qui, sans avoir été prévenue, avait vu cet éclair sans prendre de précautions", a-t-il déploré.
Il a indiqué que pas moins de 5.000 personnes, civils, militaires et population de Reggane, étaient victimes de ces essais, qui ont coûté la vie à beaucoup de personnes, a-t-il affirmé.
Se remémorant cette période, l'ancien militaire français a indiqué avoir participé à un essai nucléaire le 13 février 1960, dont la puissance "faisait quatre fois celle de Hiroshima".
"J'avais participé sans le savoir et je ne savais pas que Reggane était une base atomique", a-t-il confié. Pour lui, l'arme nucléaire n'est pas une arme de guerre mais de "génocide". "Elle met en péril l'existence de l'homme sur terre et elle demeure dangereuse pour l'environnement", a-t-il ajouté. Sur les conditions qui ont entouré les essais nucléaires français en Algérie, il a souligné qu"'on a voulu caché la vérité et on continue à le faire".
M. verger a révélé avoir en sa possession un document de la marine française de 1965 selon lequel "après quatre-vingt dix seconde de l'explosion, on n'a plus à s'occuper des rayonnements, (car) ils sont inoffensifs"."Vous vous rendez compte. C'est un document officiel de 1965 de la marine. Ce qui veut dire qu'on voulait tromper tout le monde. Ils craignaient que les militaires et les civils rechignent à aller dans la base atomique", a-t-il expliqué.
Evoquant la prise en charge des victimes par le gouvernement en France, M. Verger a indiqué que grâce aux médias, une "brèche" est survenue dans le "négationnisme de l'Etat" français.
Sur la plan juridique, il a noté que sur les 18 propositions de lois proposées par les parlementaires français, aucune n'a été inscrite à l'ordre du jour. "C'est l'une des raisons qui nous a poussés à créer un comité de soutien composé de parlementaires de différentes tendances", a-t-il précisé.
Cette situation a obligé le gouvernement français à déposer un projet de loi qui a été voté le 22 décembre 2009, accompagné d'un projet de décret d'application, a-t-il poursuivi.
Cependant, le gouvernement français vient de déposer le 22 janvier dernier un nouveau projet de décret d'application, dans l'objectif de "remettre en cause"le premier décret en réduisant le nombre de maladies provoquées par les rayonnements.
"Pour les Algériens, c'est flou. On demande aux personnes concernées de déposer une demande d'indemnisation à l'ambassade de France à Alger. Mais je me demande qui va les défendre, sachant que le comité d'indemnisation est composé uniquement de membres du gouvernement et non d'associations françaises ou algériennes", a constaté M. Verger, exprimant son rejet de l'idée que l'"Etat français soit juge et partie".
"Il n' y a aucune volonté d'indemniser les victimes", a-t-il estimé.
Source: EL MOUDJAHID
2e collogue international sur “les explosions nucléaires françaises dans le Sahara algérien”
Le président honoraire de l'Association des vétérans des essais nucléaires dans le Sahara algérien (AVEN), M. Michel Verger, a qualifié, hier, à Alger les essais nucléaires de la France en terres algériennes d'acte "criminel" et "colonial".
"Je suis français et je regrette mon appartenance à un pays qui pratique l'art de taire la vérité. Les essais nucléaires de la France en Algérie sont un acte criminel et colonial", a déclaré à la presse M. Verger en marge du colloque.
"J'ai assisté aux deux premières explosions. La première était terrible. Nous étions couchés sur le sol et nous avions reçu l'ordre de nous lever après la fin de l'explosion et, malgré les yeux fermés, nous avions vu son éclair. Alors, imaginez la réaction de la population de Reggane, qui, sans avoir été prévenue, avait vu cet éclair sans prendre de précautions", a-t-il déploré.
Il a indiqué que pas moins de 5.000 personnes, civils, militaires et population de Reggane, étaient victimes de ces essais, qui ont coûté la vie à beaucoup de personnes, a-t-il affirmé.
Se remémorant cette période, l'ancien militaire français a indiqué avoir participé à un essai nucléaire le 13 février 1960, dont la puissance "faisait quatre fois celle de Hiroshima".
"J'avais participé sans le savoir et je ne savais pas que Reggane était une base atomique", a-t-il confié. Pour lui, l'arme nucléaire n'est pas une arme de guerre mais de "génocide". "Elle met en péril l'existence de l'homme sur terre et elle demeure dangereuse pour l'environnement", a-t-il ajouté. Sur les conditions qui ont entouré les essais nucléaires français en Algérie, il a souligné qu"'on a voulu caché la vérité et on continue à le faire".
M. verger a révélé avoir en sa possession un document de la marine française de 1965 selon lequel "après quatre-vingt dix seconde de l'explosion, on n'a plus à s'occuper des rayonnements, (car) ils sont inoffensifs"."Vous vous rendez compte. C'est un document officiel de 1965 de la marine. Ce qui veut dire qu'on voulait tromper tout le monde. Ils craignaient que les militaires et les civils rechignent à aller dans la base atomique", a-t-il expliqué.
Evoquant la prise en charge des victimes par le gouvernement en France, M. Verger a indiqué que grâce aux médias, une "brèche" est survenue dans le "négationnisme de l'Etat" français.
Sur la plan juridique, il a noté que sur les 18 propositions de lois proposées par les parlementaires français, aucune n'a été inscrite à l'ordre du jour. "C'est l'une des raisons qui nous a poussés à créer un comité de soutien composé de parlementaires de différentes tendances", a-t-il précisé.
Cette situation a obligé le gouvernement français à déposer un projet de loi qui a été voté le 22 décembre 2009, accompagné d'un projet de décret d'application, a-t-il poursuivi.
Cependant, le gouvernement français vient de déposer le 22 janvier dernier un nouveau projet de décret d'application, dans l'objectif de "remettre en cause"le premier décret en réduisant le nombre de maladies provoquées par les rayonnements.
"Pour les Algériens, c'est flou. On demande aux personnes concernées de déposer une demande d'indemnisation à l'ambassade de France à Alger. Mais je me demande qui va les défendre, sachant que le comité d'indemnisation est composé uniquement de membres du gouvernement et non d'associations françaises ou algériennes", a constaté M. Verger, exprimant son rejet de l'idée que l'"Etat français soit juge et partie".
"Il n' y a aucune volonté d'indemniser les victimes", a-t-il estimé.
Source: EL MOUDJAHID
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Re: Les essais nucléaires français dans le Sahara algérien
Cobayes indigènes
Véritable travail journalistique, Au nom de la bombe revient sur les essais nucléaires que la France a menés dès 1960 en Algérie. Au prix de milliers de victimes.
Au nom de la bombe est le fruit d’une longue enquête sur les tirs nucléaires français menés au Sud-Sahara algérien de 1960 à 1966 puis en Polynésie jusqu’en 1996. Après s’être penché pour le neuvième art sur le scandale de l’amiante et les délocalisations d’entreprises, l’ancien journaliste Albert Drandov, le scénariste, poursuit ici sa quête des vérités dérangeantes. Et étaye son album de témoignages, de lettres d’appelés, ainsi que de rapports et documents secrets joints en annexe. Franckie Alarcon s’est chargé des dessins. Jean Vautrin, ancien appelé en Algérie au sein du service cinématographique des armées – il a filmé Gerboise bleue, la première bombe, tirée au Sahara –, a rédigé la préface.
Au total, 150 000 personnes auraient été exposées aux tirs nucléaires en Algérie et en Polynésie française. Sacrifiées sur l’autel du secret défense. Car ce que montre Au nom de la bombe, c’est que l’état-major français savait. Il savait quels étaient les risques de contamination encourus. Et n’a rien fait pour protéger civils et militaires. « Mensonges d’État », dénonce Drandov. Comme le tir souterrain d’In Ekker, le 1er mai 1962. Effectué en présence de Pierre Messmer, alors ministre des Armées, l’essai, baptisé Béryl, vire au loupé : la montagne censée contenir la radioactivité s’éventre. Panique et débandade des officiers : « On a oublié une centaine de travailleurs autochtones près de la montagne. »
Front radioactif
Ou encore ces manœuvres terrestres à Reggane en avril 1961, qui ont envoyé des troufions au front radioactif. Objectif : « Étudier les effets physiologiques et psychologiques produits sur l’homme par l’arme atomique. » Sauf qu’on les connaissait déjà, ces effets. La preuve avec la copie en annexe d’extraits de l’ouvrage Effets des armes nucléaires publié aux États-Unis dès 1950.
L’album se donne à lire comme l’on regarderait un documentaire filmé. La pellicule déroule neuf témoignages d’anonymes, tous exposés aux tirs. Comme sur une stèle qui rendrait enfin hommage à ces victimes que l’État français voudrait voir sombrer dans l’oubli sont énumérés en annexe les noms d’une partie de ces cobayes de la République, tombés au champ du déshonneur de la guerre du nucléaire. Et encore… Manquent à l’appel tant d’autres, les « populations laborieuses des oasis », dites « PLO », parmi lesquelles beaucoup, comme en Polynésie, étaient employés comme journaliers, et les populations locales. Tous cobayes indigènes, véritables « damnés de la terre » au nom de la bombe.
http://www.jeuneafrique.com
Véritable travail journalistique, Au nom de la bombe revient sur les essais nucléaires que la France a menés dès 1960 en Algérie. Au prix de milliers de victimes.
Au nom de la bombe est le fruit d’une longue enquête sur les tirs nucléaires français menés au Sud-Sahara algérien de 1960 à 1966 puis en Polynésie jusqu’en 1996. Après s’être penché pour le neuvième art sur le scandale de l’amiante et les délocalisations d’entreprises, l’ancien journaliste Albert Drandov, le scénariste, poursuit ici sa quête des vérités dérangeantes. Et étaye son album de témoignages, de lettres d’appelés, ainsi que de rapports et documents secrets joints en annexe. Franckie Alarcon s’est chargé des dessins. Jean Vautrin, ancien appelé en Algérie au sein du service cinématographique des armées – il a filmé Gerboise bleue, la première bombe, tirée au Sahara –, a rédigé la préface.
Au total, 150 000 personnes auraient été exposées aux tirs nucléaires en Algérie et en Polynésie française. Sacrifiées sur l’autel du secret défense. Car ce que montre Au nom de la bombe, c’est que l’état-major français savait. Il savait quels étaient les risques de contamination encourus. Et n’a rien fait pour protéger civils et militaires. « Mensonges d’État », dénonce Drandov. Comme le tir souterrain d’In Ekker, le 1er mai 1962. Effectué en présence de Pierre Messmer, alors ministre des Armées, l’essai, baptisé Béryl, vire au loupé : la montagne censée contenir la radioactivité s’éventre. Panique et débandade des officiers : « On a oublié une centaine de travailleurs autochtones près de la montagne. »
Front radioactif
Ou encore ces manœuvres terrestres à Reggane en avril 1961, qui ont envoyé des troufions au front radioactif. Objectif : « Étudier les effets physiologiques et psychologiques produits sur l’homme par l’arme atomique. » Sauf qu’on les connaissait déjà, ces effets. La preuve avec la copie en annexe d’extraits de l’ouvrage Effets des armes nucléaires publié aux États-Unis dès 1950.
L’album se donne à lire comme l’on regarderait un documentaire filmé. La pellicule déroule neuf témoignages d’anonymes, tous exposés aux tirs. Comme sur une stèle qui rendrait enfin hommage à ces victimes que l’État français voudrait voir sombrer dans l’oubli sont énumérés en annexe les noms d’une partie de ces cobayes de la République, tombés au champ du déshonneur de la guerre du nucléaire. Et encore… Manquent à l’appel tant d’autres, les « populations laborieuses des oasis », dites « PLO », parmi lesquelles beaucoup, comme en Polynésie, étaient employés comme journaliers, et les populations locales. Tous cobayes indigènes, véritables « damnés de la terre » au nom de la bombe.
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Re: Les essais nucléaires français dans le Sahara algérien
Algerie: secrets des essais nucléaires...
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