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L'Art brut du photomontage
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L'Art brut du photomontage
Ben Laden, Libye, Syrie, de l'art brut du photomontage .....
Machiavel en perdrait son latin! Tout est bon pour diaboliser, de façon haineuse, le gouvernement Assad, pour dresser l’opinion publique contre la Syrie, et provoquer, à terme, la chute du régime actuel. Tout comme pour la Libye, une prétendue guerre civile entre l'Etat syrien et des militants armés soutenus par l’Occident est faussement présentée comme un «génocide», un génocide commis contre des manifestants «pro-démocratie», en prélude à une autre guerre que le glissage sémantique occidental baptise soit disant «humanitaire».
Malgré le fait que les médias occidentaux ne puissent se rendre, en Syrie, et, par conséquent, soient incapables de vérifier les informations portant sur des centaines de prétendus assassinats, perpétrés, par des forces de sécurité loyales au Président syrien, Bachar al-Assad, des vidéos de mauvaise qualité d’anonymes, postées, sur YouTube, ont été mentionnées, comme preuves irréfutables d'une répression brutale menée par Assad contre des manifestants pro-démocratie. Mais, en Syrie, des gens expriment leur incrédulité, face à de telles affirmations, les dénonçant comme étant des affabulations destinées à poser les jalons juridiques d’une nouvelle intervention militaire que les Etats-Unis planifieraient et que l'OTAN et ses sbires arabes exécuteraient.
Bien qu’aucune preuve ne confirme que des manifestants syriens soient visés, par les forces de sécurité d’Assad, leur qualification, comme «manifestants pro-démocratie», commence à ressembler, étrangement, à la façon dont les militants libyens –infiltrés par les Qaïdistes- ont été décrits, par les médias occidentaux, comme étant des «manifestants innocents», alors même qu’ils conduisaient des tanks, pilotaient des avions de combat, et portaient des lance-roquettes!
Malgré le manque d’informations fiables provenant du pays, la presse écrite et audiovisuelle accuse Assad de massacrer des centaines de gens innocents. A l’évidence, de telles atrocités sont, largement, exagérées, comme elles l’ont été, avant les frappes aériennes lancées contre la Libye.
Par exemple, un clip utilisé par de nombreux médias occidentaux, pour montrer des Syriens battus à mort par les forces de sécurité d’Assad se trouve être une vidéo d’Irakiens, dans les années 1990.
Cette énorme tricherie est démontrée par le directeur du "Center for Middle East Studies", Joshua Landis, professeur associé à l’Université d’Oklahoma. Celui-ci prouve comment l’AFP, "The Guardian", et d’autres médias, ont manipulé une vidéo, pour faire croire que les forces de sécurité d’Assad tiraient sur des soldats syriens, pour les punir d’avoir refusé d'ouvrir le feu sur des manifestants.
« La vidéo ne corrobore pas cette histoire, contrairement à ce qu’affirme "The Guardian" » écrit Landis. Le soldat nie avoir reçu l’ordre de tirer sur les gens; au lieu de cela, il dit qu’il était en route pour Banias, pour renforcer la sécurité. Il ne dit pas qu’un des agents gouvernementaux ou des soldats lui ont tiré dessus. L’interviewer tente de mettre des mots dans sa bouche, mais le soldat continue à résister. Dans la vidéo, le soldat blessé est entouré de gens qui essaient de lui faire dire qu’un officier militaire lui a tiré dessus. Le soldat dit clairement : «Ils (Nos supérieurs) nous ont dit, « tirez leur dessus, s’ils vous tirent dessus».
Landis formule, aussi, une autre remarque fort à propos : «Quelle armée, après tout, survivrait, ne serait-ce que quelques jours, si ses officiers supérieurs publiaient des ordres de tirer sur ses propres officiers ?"
D’autres preuves d’interventions étrangères sont apportées, sous forme d’informations faisant état de la présence de snipers placés sur les toits et tirant, à la fois, sur les manifestants et les forces de sécurité syriennes. Al-Alam affirme que des hommes, à la solde des services secrets américains et saoudiens, tuent des manifestants, pour les radicaliser et attiser les flammes de l’instabilité.
Pour reprendre les propos des Syriens, qui contactent, de plus en plus, les médias indépendants, les évènements, tels qu'ils son relatés par les mass-médias, sont complètement manipulés. Ces Syriens affirment que la couverture médiatique des évènements sont dominés par de «faux témoins», de «fausses vidéos», des "photomontages", des faits fabriqués et programmés, avec soin, pour donner l’impression que la grande majorité de la population se rebelle contre le Président Assad.
Dans le contexte embrasé de la région, il est important pour nous de ne pas oublier que, par le passé, les médias occidentaux ont été, régulièrement, pris en flagrant délit de mensonges, allant même jusqu’à inventer des crises humanitaires. La première Guerre du golfe Persique ou encore l’attaque contre la Serbie, en 1999, sont bien présentes dans les esprits.
Tout ceci prouve, clairement, que les Etats Unis, la Grande Bretagne et d’autres puissances de l’OTAN utilisent leurs alliés d’Al-Qaïda, pour déstabiliser la Syrie, afin de lancer une autre guerre, sous le prétexte fabriqué d’aide humanitaire, malgré le fait que les bombardements prolongés de la Libye aient, déjà, coûté des milliards de dollars aux contribuables et des centaines de vies humaines.
Qu’il y ait des revendications économiques et sociales, en Syrie, cela ne fait aucun doute. Mais la couverture médiatique, telle qu'elle en est faite, par l'Occident, vise, surtout, à faire de la Syrie, le trophée potentiel d'une nouvelle guerre.
IRIB
Machiavel en perdrait son latin! Tout est bon pour diaboliser, de façon haineuse, le gouvernement Assad, pour dresser l’opinion publique contre la Syrie, et provoquer, à terme, la chute du régime actuel. Tout comme pour la Libye, une prétendue guerre civile entre l'Etat syrien et des militants armés soutenus par l’Occident est faussement présentée comme un «génocide», un génocide commis contre des manifestants «pro-démocratie», en prélude à une autre guerre que le glissage sémantique occidental baptise soit disant «humanitaire».
Malgré le fait que les médias occidentaux ne puissent se rendre, en Syrie, et, par conséquent, soient incapables de vérifier les informations portant sur des centaines de prétendus assassinats, perpétrés, par des forces de sécurité loyales au Président syrien, Bachar al-Assad, des vidéos de mauvaise qualité d’anonymes, postées, sur YouTube, ont été mentionnées, comme preuves irréfutables d'une répression brutale menée par Assad contre des manifestants pro-démocratie. Mais, en Syrie, des gens expriment leur incrédulité, face à de telles affirmations, les dénonçant comme étant des affabulations destinées à poser les jalons juridiques d’une nouvelle intervention militaire que les Etats-Unis planifieraient et que l'OTAN et ses sbires arabes exécuteraient.
Bien qu’aucune preuve ne confirme que des manifestants syriens soient visés, par les forces de sécurité d’Assad, leur qualification, comme «manifestants pro-démocratie», commence à ressembler, étrangement, à la façon dont les militants libyens –infiltrés par les Qaïdistes- ont été décrits, par les médias occidentaux, comme étant des «manifestants innocents», alors même qu’ils conduisaient des tanks, pilotaient des avions de combat, et portaient des lance-roquettes!
Malgré le manque d’informations fiables provenant du pays, la presse écrite et audiovisuelle accuse Assad de massacrer des centaines de gens innocents. A l’évidence, de telles atrocités sont, largement, exagérées, comme elles l’ont été, avant les frappes aériennes lancées contre la Libye.
Par exemple, un clip utilisé par de nombreux médias occidentaux, pour montrer des Syriens battus à mort par les forces de sécurité d’Assad se trouve être une vidéo d’Irakiens, dans les années 1990.
Cette énorme tricherie est démontrée par le directeur du "Center for Middle East Studies", Joshua Landis, professeur associé à l’Université d’Oklahoma. Celui-ci prouve comment l’AFP, "The Guardian", et d’autres médias, ont manipulé une vidéo, pour faire croire que les forces de sécurité d’Assad tiraient sur des soldats syriens, pour les punir d’avoir refusé d'ouvrir le feu sur des manifestants.
« La vidéo ne corrobore pas cette histoire, contrairement à ce qu’affirme "The Guardian" » écrit Landis. Le soldat nie avoir reçu l’ordre de tirer sur les gens; au lieu de cela, il dit qu’il était en route pour Banias, pour renforcer la sécurité. Il ne dit pas qu’un des agents gouvernementaux ou des soldats lui ont tiré dessus. L’interviewer tente de mettre des mots dans sa bouche, mais le soldat continue à résister. Dans la vidéo, le soldat blessé est entouré de gens qui essaient de lui faire dire qu’un officier militaire lui a tiré dessus. Le soldat dit clairement : «Ils (Nos supérieurs) nous ont dit, « tirez leur dessus, s’ils vous tirent dessus».
Landis formule, aussi, une autre remarque fort à propos : «Quelle armée, après tout, survivrait, ne serait-ce que quelques jours, si ses officiers supérieurs publiaient des ordres de tirer sur ses propres officiers ?"
D’autres preuves d’interventions étrangères sont apportées, sous forme d’informations faisant état de la présence de snipers placés sur les toits et tirant, à la fois, sur les manifestants et les forces de sécurité syriennes. Al-Alam affirme que des hommes, à la solde des services secrets américains et saoudiens, tuent des manifestants, pour les radicaliser et attiser les flammes de l’instabilité.
Pour reprendre les propos des Syriens, qui contactent, de plus en plus, les médias indépendants, les évènements, tels qu'ils son relatés par les mass-médias, sont complètement manipulés. Ces Syriens affirment que la couverture médiatique des évènements sont dominés par de «faux témoins», de «fausses vidéos», des "photomontages", des faits fabriqués et programmés, avec soin, pour donner l’impression que la grande majorité de la population se rebelle contre le Président Assad.
Dans le contexte embrasé de la région, il est important pour nous de ne pas oublier que, par le passé, les médias occidentaux ont été, régulièrement, pris en flagrant délit de mensonges, allant même jusqu’à inventer des crises humanitaires. La première Guerre du golfe Persique ou encore l’attaque contre la Serbie, en 1999, sont bien présentes dans les esprits.
Tout ceci prouve, clairement, que les Etats Unis, la Grande Bretagne et d’autres puissances de l’OTAN utilisent leurs alliés d’Al-Qaïda, pour déstabiliser la Syrie, afin de lancer une autre guerre, sous le prétexte fabriqué d’aide humanitaire, malgré le fait que les bombardements prolongés de la Libye aient, déjà, coûté des milliards de dollars aux contribuables et des centaines de vies humaines.
Qu’il y ait des revendications économiques et sociales, en Syrie, cela ne fait aucun doute. Mais la couverture médiatique, telle qu'elle en est faite, par l'Occident, vise, surtout, à faire de la Syrie, le trophée potentiel d'une nouvelle guerre.
IRIB
Droit_De_l'Homme- Adm
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Date d'inscription : 22/07/2010
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