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Géolocalisation
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Géolocalisation
Géolocalisation
La géolocalisation est un procédé permettant de positionner un objet (une personne, une information, ...) sur un plan ou une carte à l'aide de ses coordonnées géographiques.
Cette opération est réalisée à l'aide d'un terminal capable d'être localisé (grâce à un récepteur GPS ou à d'autres techniques) et de publier (en temps réel ou de façon différée) ses coordonnées géographiques (latitude/longitude). Les positions enregistrées peuvent être stockées au sein du terminal et être extraites postérieurement, ou être transmises en temps réel vers une plateforme logicielle de géolocalisation. La transmission temps réel nécessite un terminal équipé d'un moyen de télécommunication de type GSM/GPRS, radio ou satellite lui permettant d'envoyer les positions à des intervalles réguliers. Ceci permet de visualiser la position du terminal au sein d'une carte à travers une plateforme de géolocalisation le plus souvent accessible depuis internet.
Techniques de géolocalisation
Géolocalisation par géocodeur
Les logiciels de géocodage permettent de calculer et d'attribuer à une adresse ou à un objet référencé dans une carte vecteur des positions X,Y avec une précision de quelques dizaines de mètres en moyenne.
Géolocalisation par satellite
La géolocalisation par satellite consiste à calculer, grâce aux signaux émis par une constellation de satellites prévue à cet effet, la position actuelle sur la face terrestre d'un terminal équipé d'une puce compatible. Cette position est alors traduite en termes de latitude, longitude et parfois altitude (ex : 43° 5494 N - 1° 48472 E) et peut alors être représentée physiquement sur une carte. Le réseau satellite de positionnement le plus connu est le GPS (Global Positionning System), bien que l'alternative Européenne nommée Galileo soit en cours de déploiement. Dans le cas du GPS, pour que le repérage spatial fonctionne, un immense réseau constitué de 27 satellites (dont 3 de secours) tournant autour de la Terre (2 tours en 24 heures) à une altitude de 20 200 km et répartis sur 6 orbites (4 par orbite) différentes est nécessaire. Ces satellites constituent un maillage du ciel et servent de repères aux navigateurs GPS dans leur processus de calcul de position. Ce système de satellites est conçu de façon à ce qu’il y en ait toujours au moins quatre « visibles » par les navigateurs GPS, sans quoi la position ne peut pas être déterminée.
Pour qu'un terminal soit capable de se géolocaliser grâce au réseau GPS, celui-ci doit absolument être équipé d'une puce électronique GPS (ex : SiRFstar III).
Le GPS offre une précision allant de 15 à 100 mètres pour les applications civiles.
La géolocalisation est un procédé permettant de positionner un objet (une personne, une information, ...) sur un plan ou une carte à l'aide de ses coordonnées géographiques.
Cette opération est réalisée à l'aide d'un terminal capable d'être localisé (grâce à un récepteur GPS ou à d'autres techniques) et de publier (en temps réel ou de façon différée) ses coordonnées géographiques (latitude/longitude). Les positions enregistrées peuvent être stockées au sein du terminal et être extraites postérieurement, ou être transmises en temps réel vers une plateforme logicielle de géolocalisation. La transmission temps réel nécessite un terminal équipé d'un moyen de télécommunication de type GSM/GPRS, radio ou satellite lui permettant d'envoyer les positions à des intervalles réguliers. Ceci permet de visualiser la position du terminal au sein d'une carte à travers une plateforme de géolocalisation le plus souvent accessible depuis internet.
Techniques de géolocalisation
Géolocalisation par géocodeur
Les logiciels de géocodage permettent de calculer et d'attribuer à une adresse ou à un objet référencé dans une carte vecteur des positions X,Y avec une précision de quelques dizaines de mètres en moyenne.
Géolocalisation par satellite
La géolocalisation par satellite consiste à calculer, grâce aux signaux émis par une constellation de satellites prévue à cet effet, la position actuelle sur la face terrestre d'un terminal équipé d'une puce compatible. Cette position est alors traduite en termes de latitude, longitude et parfois altitude (ex : 43° 5494 N - 1° 48472 E) et peut alors être représentée physiquement sur une carte. Le réseau satellite de positionnement le plus connu est le GPS (Global Positionning System), bien que l'alternative Européenne nommée Galileo soit en cours de déploiement. Dans le cas du GPS, pour que le repérage spatial fonctionne, un immense réseau constitué de 27 satellites (dont 3 de secours) tournant autour de la Terre (2 tours en 24 heures) à une altitude de 20 200 km et répartis sur 6 orbites (4 par orbite) différentes est nécessaire. Ces satellites constituent un maillage du ciel et servent de repères aux navigateurs GPS dans leur processus de calcul de position. Ce système de satellites est conçu de façon à ce qu’il y en ait toujours au moins quatre « visibles » par les navigateurs GPS, sans quoi la position ne peut pas être déterminée.
Pour qu'un terminal soit capable de se géolocaliser grâce au réseau GPS, celui-ci doit absolument être équipé d'une puce électronique GPS (ex : SiRFstar III).
Le GPS offre une précision allant de 15 à 100 mètres pour les applications civiles.
Dernière édition par sphinx le Ven 12 Aoû - 0:08, édité 1 fois
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Topic unique:Géolocalisation
Géolocalisation par GSM
Cette technique permet le positionnement d'un terminal GSM en se basant sur certaines informations relatives aux antennes GSM aux quelles le terminal est connecté.
La précision du positionnement par GSM peut aller de 200 mètres à plusieurs kilomètres, selon si le terminal se trouve en milieu urbain (où la densité d'antennes est supérieure), ou en milieu rural.
Plusieurs techniques existent :
Différence de temps observée ou EOTD (Enhanced-Observed Timed Difference) : le terminal calcule le temps écoulé entre l'émission et la réception de la requête envoyée à l'antenne, il peut alors calculer sa distance par rapport à celle-ci.
Temps d'arrivée (Time of Arrival)
Angle d'arrivée (Angle of Arrival)
Cell ID (Identifiant de cellule)
Aujourd'hui, la méthode GSM la plus utilisée est celle du Cell ID. Cette méthode consiste à récupérer les identifiants des antennes GSM aux quelles le terminal est connecté. Par la suite, grâce à une base de données faisant le lien entre les identifiants des cellules et les positions géographiques des antennes, le terminal est capable de déterminer sa position et d'émettre une estimation.
Ces bases de données peuvent être mises à disposition par les opérateurs pour leurs abonnés, ou par des sociétés privées qui recensent les antennes GSM ou ayant des partenariats avec les opérateurs. Des bases de données communautaires existent et sont le plus souvent alimentées par les utilisateurs eux-mêmes.
Étant donné que les bases de données Cell ID ne sont pas stockées localement dans le terminal, une connexion internet de type GPRS/EDGE ou 3G peut être nécessaire afin d'émettre une requête pour obtenir la correspondance Cell ID / Longitude Latitude.
Géolocalisation par WiFi
De la même façon qu'un terminal GSM peut se localiser par la méthode du Cell ID sur un réseau GSM, un terminal WiFi peut utiliser la même méthode en se basant sur les identifiants des bornes WiFi (Adresses MAC) qu'il détecte. Il existe des bases de données recensant une multitude de bornes d'accès WiFi ainsi que leur position géographique. Ces bases peuvent appartenir à des entreprises privées ou à des communautés qui les publient gratuitement. Ces bases de données sont construites en utilisant la méthode appelée War Driving, qui consiste à parcourir les rues des villes en voiture avec un ordinateur portable équipé du WiFi et relié à un récepteur GPS, afin de recenser un maximum de points d'accès WiFi.
Géolocalisation par adresse IP (sur internet)
Cette méthode permet de déterminer la position géographique d'un ordinateur ou de n'importe quel terminal connecté à internet en se basant sur son adresse IP. Les adresses IP sont gérées par l'IANA, une organisation qui s'occupe de découper les blocs d'adresses IP disponibles et de les distribuer de façon très contrôlée aux pays qui en demandent. Toutes ces attributions étant très bien documentées, il est possible de savoir dans quel pays se trouve un terminal connecté à internet grâce à son adresse IP. On peut même obtenir un niveau de précision de l'ordre de la ville en se basant sur la distribution des adresses IP faite par les fournisseurs d'accès à internet.
Cette technique permet le positionnement d'un terminal GSM en se basant sur certaines informations relatives aux antennes GSM aux quelles le terminal est connecté.
La précision du positionnement par GSM peut aller de 200 mètres à plusieurs kilomètres, selon si le terminal se trouve en milieu urbain (où la densité d'antennes est supérieure), ou en milieu rural.
Plusieurs techniques existent :
Différence de temps observée ou EOTD (Enhanced-Observed Timed Difference) : le terminal calcule le temps écoulé entre l'émission et la réception de la requête envoyée à l'antenne, il peut alors calculer sa distance par rapport à celle-ci.
Temps d'arrivée (Time of Arrival)
Angle d'arrivée (Angle of Arrival)
Cell ID (Identifiant de cellule)
Aujourd'hui, la méthode GSM la plus utilisée est celle du Cell ID. Cette méthode consiste à récupérer les identifiants des antennes GSM aux quelles le terminal est connecté. Par la suite, grâce à une base de données faisant le lien entre les identifiants des cellules et les positions géographiques des antennes, le terminal est capable de déterminer sa position et d'émettre une estimation.
Ces bases de données peuvent être mises à disposition par les opérateurs pour leurs abonnés, ou par des sociétés privées qui recensent les antennes GSM ou ayant des partenariats avec les opérateurs. Des bases de données communautaires existent et sont le plus souvent alimentées par les utilisateurs eux-mêmes.
Étant donné que les bases de données Cell ID ne sont pas stockées localement dans le terminal, une connexion internet de type GPRS/EDGE ou 3G peut être nécessaire afin d'émettre une requête pour obtenir la correspondance Cell ID / Longitude Latitude.
Géolocalisation par WiFi
De la même façon qu'un terminal GSM peut se localiser par la méthode du Cell ID sur un réseau GSM, un terminal WiFi peut utiliser la même méthode en se basant sur les identifiants des bornes WiFi (Adresses MAC) qu'il détecte. Il existe des bases de données recensant une multitude de bornes d'accès WiFi ainsi que leur position géographique. Ces bases peuvent appartenir à des entreprises privées ou à des communautés qui les publient gratuitement. Ces bases de données sont construites en utilisant la méthode appelée War Driving, qui consiste à parcourir les rues des villes en voiture avec un ordinateur portable équipé du WiFi et relié à un récepteur GPS, afin de recenser un maximum de points d'accès WiFi.
Géolocalisation par adresse IP (sur internet)
Cette méthode permet de déterminer la position géographique d'un ordinateur ou de n'importe quel terminal connecté à internet en se basant sur son adresse IP. Les adresses IP sont gérées par l'IANA, une organisation qui s'occupe de découper les blocs d'adresses IP disponibles et de les distribuer de façon très contrôlée aux pays qui en demandent. Toutes ces attributions étant très bien documentées, il est possible de savoir dans quel pays se trouve un terminal connecté à internet grâce à son adresse IP. On peut même obtenir un niveau de précision de l'ordre de la ville en se basant sur la distribution des adresses IP faite par les fournisseurs d'accès à internet.
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Re: Géolocalisation
Géolocalisation par RFID
La technologie RFID peut être utilisée pour la géolocalisation indoor. Pour se faire, une série de lecteurs RFID équipés de différents types d'antennes sont positionnés de façon à couvrir l'ensemble de la zone souhaitée. La zone est alors découpée en cases dont la surface varie en fonction du nombre de lecteurs déployés et de leur puissance. Lorsqu'une personne équipée d'un tag RFID actif sera dans ces zones là, le système sera capable de calculer sa position en se basant sur le nombre de lecteurs qui détectent le tag et de déduire la position approximative de l'individu en se référent au schéma de découpage établi. En temps réel, cette technique reste néanmoins très approximative et sa précision permettra uniquement de déterminer la pièce ou le couloir dans lequel se trouve la personne géolocalisée.
La précision de la géolocalisation par RFID peut grandement être améliorée si celle-ci s'effectue de façon différée. En effet, une fois tous les déplacements enregistrés, des systèmes informatiques peuvent réaliser toute une série de calculs probabilistes en se basant sur les lecteurs RFID, la puissance de réception et la cohérence des positions d'une personne au sein d'une structure connue. Ceci permet, dans les meilleurs des cas, d'obtenir une précision de l'ordre du mètre en indoor.
Les difficultés des localisations indoor en temps réel proviennent de l'environnement en constante évolution (portes fermées ou ouvertes, déplacement de meubles etc...). Ces structures altèrent la puissance et la portée des signaux (effet guide d'onde par exemple) et rendent très difficiles l'utilisation de la triangularisation avec la technologie RFID, c'est pourquoi une méthode de prédécoupage en grilles est généralement utilisée.
Cette technique de géolocalisation ne doit pas être confondue avec la localisation indoor d'une personne en se basant sur la dernière détection de son tag lors d'une entrée ou sortie de zone. Cette technique est notamment utilisée dans les hôpitaux grâce à des lecteurs RFID faible puissance positionnés dans certaines portes du bâtiment et qui permettent de dire si une personne équipée d'un tag les traverse.
Combinaison de différentes techniques
Il existe plusieurs inconvénients à l'utilisation d'une seule technique de géolocalisation :
La dépendance au réseau GPS : l'incapacité de l'utiliser en intérieur et le temps de réponse à l'allumage;
La dépendance au réseau GSM : sa couverture géographique, l'accès au réseau GPRS pour exploiter l'information;
La dépendance à la présence de bornes d'accès WiFi : en zone rurale par exemple;
Des dispositif qui combinent ces trois techniques et qui sont capables de géolocaliser le terminal dans n'importe quelle situation existent. La précision de ce positionnement va varier en fonction des technologies disponibles, mais le temps de réponse à l'allumage et l'adaptabilité s'en verront améliorées. Ceci permet par exemple de géolocaliser un personne à l'extérieur en utilisant le GPS, et de garder sa trace à l'intérieur des bâtiments ou des tunnels en utilisant la technologie GSM couplée au WiFi pour plus de précision.
L'iPhone d'Apple est un exemple de terminal capable d'utiliser une méthode hybride de géolocalisation grâce à son interface GSM, WiFi et à son récepteur GPS. Cette fonction est fournie par la société skyhookwireless, qui en l'occurrence met à disposition les bases de données appropriées pour transformer les identifiants des cellules GSM et des points d'accès WiFi en latitude/longitude et rayon de précision.
Pour une comparaison de précision des différentes techniques de géolocalisation, veuillez consulter le schéma ci-contre.
La technologie RFID peut être utilisée pour la géolocalisation indoor. Pour se faire, une série de lecteurs RFID équipés de différents types d'antennes sont positionnés de façon à couvrir l'ensemble de la zone souhaitée. La zone est alors découpée en cases dont la surface varie en fonction du nombre de lecteurs déployés et de leur puissance. Lorsqu'une personne équipée d'un tag RFID actif sera dans ces zones là, le système sera capable de calculer sa position en se basant sur le nombre de lecteurs qui détectent le tag et de déduire la position approximative de l'individu en se référent au schéma de découpage établi. En temps réel, cette technique reste néanmoins très approximative et sa précision permettra uniquement de déterminer la pièce ou le couloir dans lequel se trouve la personne géolocalisée.
La précision de la géolocalisation par RFID peut grandement être améliorée si celle-ci s'effectue de façon différée. En effet, une fois tous les déplacements enregistrés, des systèmes informatiques peuvent réaliser toute une série de calculs probabilistes en se basant sur les lecteurs RFID, la puissance de réception et la cohérence des positions d'une personne au sein d'une structure connue. Ceci permet, dans les meilleurs des cas, d'obtenir une précision de l'ordre du mètre en indoor.
Les difficultés des localisations indoor en temps réel proviennent de l'environnement en constante évolution (portes fermées ou ouvertes, déplacement de meubles etc...). Ces structures altèrent la puissance et la portée des signaux (effet guide d'onde par exemple) et rendent très difficiles l'utilisation de la triangularisation avec la technologie RFID, c'est pourquoi une méthode de prédécoupage en grilles est généralement utilisée.
Cette technique de géolocalisation ne doit pas être confondue avec la localisation indoor d'une personne en se basant sur la dernière détection de son tag lors d'une entrée ou sortie de zone. Cette technique est notamment utilisée dans les hôpitaux grâce à des lecteurs RFID faible puissance positionnés dans certaines portes du bâtiment et qui permettent de dire si une personne équipée d'un tag les traverse.
Combinaison de différentes techniques
Il existe plusieurs inconvénients à l'utilisation d'une seule technique de géolocalisation :
La dépendance au réseau GPS : l'incapacité de l'utiliser en intérieur et le temps de réponse à l'allumage;
La dépendance au réseau GSM : sa couverture géographique, l'accès au réseau GPRS pour exploiter l'information;
La dépendance à la présence de bornes d'accès WiFi : en zone rurale par exemple;
Des dispositif qui combinent ces trois techniques et qui sont capables de géolocaliser le terminal dans n'importe quelle situation existent. La précision de ce positionnement va varier en fonction des technologies disponibles, mais le temps de réponse à l'allumage et l'adaptabilité s'en verront améliorées. Ceci permet par exemple de géolocaliser un personne à l'extérieur en utilisant le GPS, et de garder sa trace à l'intérieur des bâtiments ou des tunnels en utilisant la technologie GSM couplée au WiFi pour plus de précision.
L'iPhone d'Apple est un exemple de terminal capable d'utiliser une méthode hybride de géolocalisation grâce à son interface GSM, WiFi et à son récepteur GPS. Cette fonction est fournie par la société skyhookwireless, qui en l'occurrence met à disposition les bases de données appropriées pour transformer les identifiants des cellules GSM et des points d'accès WiFi en latitude/longitude et rayon de précision.
Pour une comparaison de précision des différentes techniques de géolocalisation, veuillez consulter le schéma ci-contre.
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Re: Géolocalisation
Télérelève d'information
La télérelève d'information consiste à récupérer à distance une série d'informations issues de capteurs ou de systèmes informatiques, électroniques ou électriques. La géolocalisation est très souvent couplée à des systèmes de télérelève via des boîtiers télématiques, ce qui permet de combiner la position géographique d'un terminal ou d'un véhicule à une série d'informations annexes relatives à l'objet géolocalisé. Dans un véhicule par exemple, ces boîtiers peuvent se connecter au chronotachygraphe (pour le transport routier) ou à divers capteurs ou voyants, ce qui permet de relever des informations telles que :
la vitesse du véhicule
les kilomètres parcourus
l'état d'une porte (ouverte/fermée)
l'état d'une remorque (accrochée/décrochée)
la température (pour les camions frigorifiques
Plateformes logicielles de géolocalisation
Composants
Les composants essentiels d'une plateforme de géolocalisation sont le suivants :
Terminal communicant : C'est le terminal qui reçoit ses coordonnées géographiques (via GPS ou tout autre moyen) et qui les envoi via un réseau de télécommunications à la plateforme;
Système informatique capable de recevoir, stocker et traiter les informations : il s'agit des serveurs informatiques qui hébergent l'infrastructure et qui reçoivent et traitent les données envoyées par les terminaux. C'est les mêmes serveurs qui mettront à disposition l'information aux utilisateurs (via une interface web par exemple);
Module cartographique : c'est le module intégré au système informatique qui va permettre d'afficher la position des terminaux sur un fond cartographique adapté. Ce module prend en charge les calculs de distances, d'itinéraires, détecte l'intéraction avec les zones et permet d'avoir accès à des informations terrain (sens interdits, restrictions pour les poids lourds, vitesses autorisées...).
La télérelève d'information consiste à récupérer à distance une série d'informations issues de capteurs ou de systèmes informatiques, électroniques ou électriques. La géolocalisation est très souvent couplée à des systèmes de télérelève via des boîtiers télématiques, ce qui permet de combiner la position géographique d'un terminal ou d'un véhicule à une série d'informations annexes relatives à l'objet géolocalisé. Dans un véhicule par exemple, ces boîtiers peuvent se connecter au chronotachygraphe (pour le transport routier) ou à divers capteurs ou voyants, ce qui permet de relever des informations telles que :
la vitesse du véhicule
les kilomètres parcourus
l'état d'une porte (ouverte/fermée)
l'état d'une remorque (accrochée/décrochée)
la température (pour les camions frigorifiques
Plateformes logicielles de géolocalisation
Composants
Les composants essentiels d'une plateforme de géolocalisation sont le suivants :
Terminal communicant : C'est le terminal qui reçoit ses coordonnées géographiques (via GPS ou tout autre moyen) et qui les envoi via un réseau de télécommunications à la plateforme;
Système informatique capable de recevoir, stocker et traiter les informations : il s'agit des serveurs informatiques qui hébergent l'infrastructure et qui reçoivent et traitent les données envoyées par les terminaux. C'est les mêmes serveurs qui mettront à disposition l'information aux utilisateurs (via une interface web par exemple);
Module cartographique : c'est le module intégré au système informatique qui va permettre d'afficher la position des terminaux sur un fond cartographique adapté. Ce module prend en charge les calculs de distances, d'itinéraires, détecte l'intéraction avec les zones et permet d'avoir accès à des informations terrain (sens interdits, restrictions pour les poids lourds, vitesses autorisées...).
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Re: Géolocalisation
Architecture temps réel
La position géographique d'un terminal géolocalisé reste néanmoins une information brute qui peut être exploitée et couplée à d'autres données afin de créer une vaste quantité de services à forte valeur ajoutée.
Afin d'exploiter cette information, la donnée (position) générée par un terminal qui se trouve sur le terrain doit être transmise à une plateforme logicielle qui va la traiter, la présenter graphiquement à l'utilisateur et l'associer à d'autres données afin d'enrichir les informations relatives à l'état du terminal ou de la flotte de terminaux.
Voici les étapes de la chaîne de traitement :
1.Le terminal détermine sa position géographique grâce à une des techniques de géolocalisation citées précédemment (de préférence GPS, GSM et/ou WiFi);
2.Il envoi ces données vers une plateforme logicielle soit par le réseau GSM/GPRS soit par un réseau satellitaire de type Inmarsat;
3.La plateforme logicielle de géolocalisation traite la donnée et positionne le terminal géographiquement sur une carte moyennant la précision offerte par la technique de géolocalisation utilisée. De plus, en combinant plusieurs informations, notamment récupérées via un système de télérelève (trafic routier, autonomie du véhicule, points à visiter etc...), des calculs d'itinéraires ou de tournées peuvent par exemple être générés.
4.Cette carte ainsi que tous les traitements effectués sont mis à disposition de l'utilisateur à travers un portail web hébergé sur un serveur accessible depuis internet, ou à travers une application métier installée sur le poste de travail.
Pour transmettre les différentes informations récupérées par le terminal (position géographique ou données provenant de capteurs) nous recensons deux principaux moyens de transmission : le réseau GSM/GPRS et le réseau satellitaire. Pour visualiser les architectures types illustrant ces deux modes de transmission veuillez consulter les schémas ci-contre.
Architectures d'un système de géolocalisation temps réel
Architecture d'un système de géolocalisation par GPS
avec remontée des données via le réseau GSM/GPRS
Architecture d'un système de géolocalisation par GPS
avec remontée des données via le réseau satellite
La position géographique d'un terminal géolocalisé reste néanmoins une information brute qui peut être exploitée et couplée à d'autres données afin de créer une vaste quantité de services à forte valeur ajoutée.
Afin d'exploiter cette information, la donnée (position) générée par un terminal qui se trouve sur le terrain doit être transmise à une plateforme logicielle qui va la traiter, la présenter graphiquement à l'utilisateur et l'associer à d'autres données afin d'enrichir les informations relatives à l'état du terminal ou de la flotte de terminaux.
Voici les étapes de la chaîne de traitement :
1.Le terminal détermine sa position géographique grâce à une des techniques de géolocalisation citées précédemment (de préférence GPS, GSM et/ou WiFi);
2.Il envoi ces données vers une plateforme logicielle soit par le réseau GSM/GPRS soit par un réseau satellitaire de type Inmarsat;
3.La plateforme logicielle de géolocalisation traite la donnée et positionne le terminal géographiquement sur une carte moyennant la précision offerte par la technique de géolocalisation utilisée. De plus, en combinant plusieurs informations, notamment récupérées via un système de télérelève (trafic routier, autonomie du véhicule, points à visiter etc...), des calculs d'itinéraires ou de tournées peuvent par exemple être générés.
4.Cette carte ainsi que tous les traitements effectués sont mis à disposition de l'utilisateur à travers un portail web hébergé sur un serveur accessible depuis internet, ou à travers une application métier installée sur le poste de travail.
Pour transmettre les différentes informations récupérées par le terminal (position géographique ou données provenant de capteurs) nous recensons deux principaux moyens de transmission : le réseau GSM/GPRS et le réseau satellitaire. Pour visualiser les architectures types illustrant ces deux modes de transmission veuillez consulter les schémas ci-contre.
Architectures d'un système de géolocalisation temps réel
Architecture d'un système de géolocalisation par GPS
avec remontée des données via le réseau GSM/GPRS
Architecture d'un système de géolocalisation par GPS
avec remontée des données via le réseau satellite
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Re: Géolocalisation
Aperçu et Fonctionnalités
Captures d'écran de l'interface web d'une plate-forme de géolocalisation
Voici une liste de fonctions typiquement offertes par les plateformes de géolocalisation professionnelles :
Visualisation de la position de l'ensemble du parc géolocalisé
Suivi en temps réel de terminaux
Affichage d'un historique de déplacements
Création de points d'intérêt
Création de zones géographiques (pour le geofencing) et de routes (corridoring)
Configuration d'alertes automatiques par courriel ou SMS sur des événements
Paramétrage d'événements (entrée/sortie de zone, dépassement de vitesse, temps d'arrêt...)
Guidage sur tournée
Génération de rapports périodiques (temps de conduite, arrêts, vitesses moyennes, zones couvertes...)
Localisation des terminaux les plus proches d'un point
Détermination du nom et numéro d'une rue à partir de la position (reverse geocoding)
Envoi de commandes vers le terminal et configuration à distance (notamment pour changer la fréquence d'émission de positions)
Fonds cartographiques variables (cartes classiques, cartographie photographique, cartes de fonds marins, cartes provenant d'un SIG etc)
Configuration d'alertes sur capteurs distants (via télérelève)
Détection de mouvement.
Types de terminaux existants
Modes de fonctionnement
Typiquement, les terminaux de géolocalisation existants peuvent être classés dans une de ces 3 catégories, même si certains peuvent être configurés pour fonctionner dans un mode au choix :
Data loggers : Ces terminaux stockent les positions localement et celles-ci doivent ensuite être extraites ;
Data pullers : Ces terminaux envoient leur position à la demande.
Data pushers : Ces terminaux effectuent des envois fréquents de leur position ;
Data loggers
Ces terminaux sont généralement équipés de récepteurs GPS et se limitent à stocker dans leur mémoire interne leur position à des intervalles réguliers. Certains loggeurs GPS disposent de slots pour carte mémoire et/ou d'une mémoire interne ainsi qu'un port USB (le terminal est vu comme une clé USB). Ceci permet, postérieurement, de télécharger les données sur un ordinateur pour les traiter.
Ce genre de terminaux est surtout utilisé par des sportifs (joggers, amateurs de VTT...) qui téléchargent ensuite les données sur leur ordinateur personnel afin de calculer la durée du parcours ou d'afficher les points sur une carte à l'aide d'un logiciel SIG. Pour des parcours longs et non contrôlés, ce genre de dispositif peut permettre de déterminer le gagnant d'une épreuve et de déterminer si celui-ci est bien passé par des points de contrôle.
Ces terminaux peuvent aussi être combinés à des appareils numériques afin de géotagger les photos en se basant sur l'heure de la prise. Ces terminaux peuvent aussi être utilisés dans le cadre de surveillances ou de suivi de véhicules où l'émission de données serait impossible ou repérable.
Data pullers
Contrairement aux dispositifs de type "push", les data pullers se limitent à envoyer l'information uniquement sur demande. Ces dispositifs sont suffisants dans les cas où la position de l'objet ou la personne n'a pas besoin d'être connue en continue (ex : la position du véhicule ne sera nécessaire que si celui-ci est volé).
De plus, cette méthode permet aux opérateurs de télécommunications de commercialiser un service de géolocalisation à travers des terminaux mobiles dépourvus de récepteurs GPS et de forfaits data. Il suffit d'avoir le numéro de téléphone du mobile et d'y être autorisé pour envoyer une requête de demande de position. L'opérateur localise alors la position du terminal grâce à la technique du Cell ID et vous envoi la position de celui-ci. La facturation se fera typiquement à la position.
Captures d'écran de l'interface web d'une plate-forme de géolocalisation
Voici une liste de fonctions typiquement offertes par les plateformes de géolocalisation professionnelles :
Visualisation de la position de l'ensemble du parc géolocalisé
Suivi en temps réel de terminaux
Affichage d'un historique de déplacements
Création de points d'intérêt
Création de zones géographiques (pour le geofencing) et de routes (corridoring)
Configuration d'alertes automatiques par courriel ou SMS sur des événements
Paramétrage d'événements (entrée/sortie de zone, dépassement de vitesse, temps d'arrêt...)
Guidage sur tournée
Génération de rapports périodiques (temps de conduite, arrêts, vitesses moyennes, zones couvertes...)
Localisation des terminaux les plus proches d'un point
Détermination du nom et numéro d'une rue à partir de la position (reverse geocoding)
Envoi de commandes vers le terminal et configuration à distance (notamment pour changer la fréquence d'émission de positions)
Fonds cartographiques variables (cartes classiques, cartographie photographique, cartes de fonds marins, cartes provenant d'un SIG etc)
Configuration d'alertes sur capteurs distants (via télérelève)
Détection de mouvement.
Types de terminaux existants
Modes de fonctionnement
Typiquement, les terminaux de géolocalisation existants peuvent être classés dans une de ces 3 catégories, même si certains peuvent être configurés pour fonctionner dans un mode au choix :
Data loggers : Ces terminaux stockent les positions localement et celles-ci doivent ensuite être extraites ;
Data pullers : Ces terminaux envoient leur position à la demande.
Data pushers : Ces terminaux effectuent des envois fréquents de leur position ;
Data loggers
Ces terminaux sont généralement équipés de récepteurs GPS et se limitent à stocker dans leur mémoire interne leur position à des intervalles réguliers. Certains loggeurs GPS disposent de slots pour carte mémoire et/ou d'une mémoire interne ainsi qu'un port USB (le terminal est vu comme une clé USB). Ceci permet, postérieurement, de télécharger les données sur un ordinateur pour les traiter.
Ce genre de terminaux est surtout utilisé par des sportifs (joggers, amateurs de VTT...) qui téléchargent ensuite les données sur leur ordinateur personnel afin de calculer la durée du parcours ou d'afficher les points sur une carte à l'aide d'un logiciel SIG. Pour des parcours longs et non contrôlés, ce genre de dispositif peut permettre de déterminer le gagnant d'une épreuve et de déterminer si celui-ci est bien passé par des points de contrôle.
Ces terminaux peuvent aussi être combinés à des appareils numériques afin de géotagger les photos en se basant sur l'heure de la prise. Ces terminaux peuvent aussi être utilisés dans le cadre de surveillances ou de suivi de véhicules où l'émission de données serait impossible ou repérable.
Data pullers
Contrairement aux dispositifs de type "push", les data pullers se limitent à envoyer l'information uniquement sur demande. Ces dispositifs sont suffisants dans les cas où la position de l'objet ou la personne n'a pas besoin d'être connue en continue (ex : la position du véhicule ne sera nécessaire que si celui-ci est volé).
De plus, cette méthode permet aux opérateurs de télécommunications de commercialiser un service de géolocalisation à travers des terminaux mobiles dépourvus de récepteurs GPS et de forfaits data. Il suffit d'avoir le numéro de téléphone du mobile et d'y être autorisé pour envoyer une requête de demande de position. L'opérateur localise alors la position du terminal grâce à la technique du Cell ID et vous envoi la position de celui-ci. La facturation se fera typiquement à la position.
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Re: Géolocalisation
Data pushers
Ce sont les terminaux les plus utilisés pour des applications professionnelles. Ces terminaux envoient leur position à intervalles réguliers et programmables vers une plateforme de géolocalisation qui traite la donnée en temps réel.
Parmi les terminaux capables d'être géolocalisés et de transmettre l'information en temps réel, nous distinguons :
Les terminaux mobiles de type PDA ou smartphones équipés d'un GPS et/ou d'un modem GSM/GPRS ;
Les boîtiers de géolocalisation dédiés embarquant un récepteur GPS, un dispositif de télécommunications (GSM/GPRS ou satellite) et avec une capacité optionnelle de télérelève ;
Les dispositifs de poche destinés aux personnes et embarquant un récepteur GPS et un modem GSM/GPRS ou satellite.
Ces dispositifs peuvent nécessiter le branchement à une source électrique ou être autonomes grâce à une batterie interne. En fonction de l'utilisation du terminal, celui-ci pourra être connecté à la batterie d'un véhicule ou disposer d'une grande autonomie (ex : suivi d'objets sans sources électriques comme des conteneurs, colis, animaux, remorques...).
Modes de communication
Voici les différents types de terminaux disponibles selon leur mode de transmission des données.
Terminaux GSM/GPRS
Ce moyen de transmission nécessite un terminal disposant d'un modem GSM/GPRS ou 3G, ainsi que d'une carte SIM de n'importe quel opérateur avec un forfait DATA adapté. Le terminal nécessite d'être sous couverture GSM/GPRS pour pouvoir envoyer les données vers la plateforme de traitement. Ce type de terminal est utilisé lorsque l'objet ou la personne à géolocaliser reste dans une zone bien couverte par les réseaux GSM/GPRS.
Si le forfait alloué à la carte SIM le permet, le terminal peut continuer à envoyer des informations même lorsqu'il se déplace à l'international ou qu'il entre dans une zone couverte par un autre opérateur. Il enverra alors les données en roaming.
Les forfaits GSM/GPRS sont économiquement plus avantageux que les forfaits satellite lorsque l'on souhaite remonter les positions à une fréquence élevée. Ils sont donc à privilégier si les zones où l'équipement se déplace restent bien couvertes par les réseaux GSM/GPRS.
Ce sont les terminaux les plus utilisés pour des applications professionnelles. Ces terminaux envoient leur position à intervalles réguliers et programmables vers une plateforme de géolocalisation qui traite la donnée en temps réel.
Parmi les terminaux capables d'être géolocalisés et de transmettre l'information en temps réel, nous distinguons :
Les terminaux mobiles de type PDA ou smartphones équipés d'un GPS et/ou d'un modem GSM/GPRS ;
Les boîtiers de géolocalisation dédiés embarquant un récepteur GPS, un dispositif de télécommunications (GSM/GPRS ou satellite) et avec une capacité optionnelle de télérelève ;
Les dispositifs de poche destinés aux personnes et embarquant un récepteur GPS et un modem GSM/GPRS ou satellite.
Ces dispositifs peuvent nécessiter le branchement à une source électrique ou être autonomes grâce à une batterie interne. En fonction de l'utilisation du terminal, celui-ci pourra être connecté à la batterie d'un véhicule ou disposer d'une grande autonomie (ex : suivi d'objets sans sources électriques comme des conteneurs, colis, animaux, remorques...).
Modes de communication
Voici les différents types de terminaux disponibles selon leur mode de transmission des données.
Terminaux GSM/GPRS
Ce moyen de transmission nécessite un terminal disposant d'un modem GSM/GPRS ou 3G, ainsi que d'une carte SIM de n'importe quel opérateur avec un forfait DATA adapté. Le terminal nécessite d'être sous couverture GSM/GPRS pour pouvoir envoyer les données vers la plateforme de traitement. Ce type de terminal est utilisé lorsque l'objet ou la personne à géolocaliser reste dans une zone bien couverte par les réseaux GSM/GPRS.
Si le forfait alloué à la carte SIM le permet, le terminal peut continuer à envoyer des informations même lorsqu'il se déplace à l'international ou qu'il entre dans une zone couverte par un autre opérateur. Il enverra alors les données en roaming.
Les forfaits GSM/GPRS sont économiquement plus avantageux que les forfaits satellite lorsque l'on souhaite remonter les positions à une fréquence élevée. Ils sont donc à privilégier si les zones où l'équipement se déplace restent bien couvertes par les réseaux GSM/GPRS.
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apprendre a toutes ages.
La technologie me surprend de plus en plus en, et, merci de me faire connaitre CE Monde de la Nouvelle techologie.
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Géolocalisation : votre portable vous suit à la trace
Géolocalisation : votre portable vous suit à la trace
La téléphonie mobile est un enjeu majeur depuis quelques années pour les opérateurs. Régulièrement, de nouveaux services sont lancés afin de satifsaire les besoins potentiels des consommateurs. Un des derniers en date est la géolocalisation . Elle permet de fournir des informations en fonction de la position géographique de l'utilisateur.
La géolocalisation peut avoir de nombreuses applications dans des domaines très éloignés. Le particulier peut l'utiliser pour trouver le cinéma ou le restaurant le plus proche, avoir des informations touristiques sur le lieu qu'il visite. Les parents soucieux peuvent localiser leur enfant à tout moment. Les profesionnels peuvent localiser leurs véhicules, suivre le personnel, les livraisons et détecter un éventuel problème. Pour les autorités, la géolocalisation peut être d'une grande aide pour avoir des informations sur les personnes victimes d'un kidnapping, surveiller les déplacements de suspects ... Elle permet également de retrouver une personne après un appel de détresse mais n'ayant pas pu donner sa position.
Mais la géolocalisation peut donner lieu à de nombreux abus et nuire à la vie privée de l'utilisateur. En géneral, l'opérateur utilise l'opt-in, l'utilisateur doit s'inscrire au service et donner son accord à chaque géolocalisation ou en être averti. Il doit aussi pouvoir revenir sur sa décision simplement et gratuitement. L'inverse de l'opt-in, l'opt-out ne requière pas approbation de l'utilisateur.
Géolocalisation en utilisant le GSM :
Le GSM , Global System for Mobile Communications, est la norme numérique pour la téléphonie mobile. Cette norme utilise la gamme de fréquences des 900 MHz. Un dérivé du GSM, le DCS, Digital Communication System, utilise la gamme des 1800 MHz.
Le GSM 900 utilise la bande 890-915 MHz pour l'envoi des données et la bande 935-960 MHz pour la réception des informations. Quand au GSM 1800, il utilise la bande 1710-1785 MHz pour l'envoi des données et la bande 1805-1880 MHz pour la réception des informations.
C'est la carte SIM qui contient le numéro de l'abonné, ainsi que diverses informations lui appartenant (SMS, carnet d'adresse). L'IMEI (International Mobile Equipment Identity) est un code unique composé de 15 chiffres qui identifie le portable. Ce numero peut être obtenu en tapant *#06# sur le portable. Il peut servir pour bloquer le téléphone dans le cas d'un vol par exemple. Lorsque le portable se connecte à un relais, il envoie son IMEI, puis la carte SIM s'identifie auprès de ce même relais.
Les différentes technologies de géolocalisation utilisant le GSM sont :
- Cell ID (Identification de cellule) :
C'est la technologie la moins coûteuse car il n'y a pas de materiel à mettre en place. Du moment que le portable est dans une zone couverte par le réseau, il se connecte à un antenne relais GSM. C'est à partir de l'identification de cette antenne que l'on peut localiser le portable. Cette localisation est très rapide (moins de 5 secondes) mais elle est peu précise car elle dépend du nombre d'antennes relais et de leur rapprochement (plus l'antenne est isolée, plus la zone de couverture est vaste et moins la localisation est précise). En zone urbaine, la précison varie entre 100 et 700 mètres. Alors qu'en zone rurale, cela peut aller jusqu'à 10 kilomètres.
- EOTD (Enhanced Observed Time Difference) - Le différentiel de temps :
Le portable envoie un signal aux stations des environs. La plus proche lui renvoie le signal. C'est le temps écoulé entre l'émission et la réception du signal qui permetra à un calculateur externe de déterminer la localisation du portable.
Une autre technique nommée Uplink Time of Arrival utilise le même principe.
- La triangulation :
On va faire un croisement des données obtenues à partir de trois antennes relais utilisées lorsque le portable se déplace. Cette technique nécessite l'installation préalable d'un programme sur la carte SIM du portable. La localisation s'effectue en environ cinq secondes et est plus précise que le Cell-ID : de l'ordre de 150 mètres en zone urbaine et 5 kilomètres en zone rurale.
Géolocalisation en utilisant le GPS :
Le GPS, Global Positioning System, est le premier système mondial de positionnement par satellite. Il a été mis en place par le Ministère de la Défense des Etats-Unis. Il utilise 24 satellites (NAVSTAR: Navigation Satellite Timing And Ranging) en orbite autour de la Terre, situés à 20 200 km d'altitude. Le récepteur GPS va donc capter les signaux d'au moins quatre satellites et calculer sa position en fonction des informations reçues.
L'utilisation de cette technique nécessite l'installation d'un module GPS dans le mobile, ce qui est plus coûteux que les autres moyens utilisés pour la géolocalisation, mais la localisation est d'une grande précision. Un autre problème se pose : capter le signal du satellite, car dans les bâtiments ou dans les grandes agglomérations, il peut y avoir des problèmes. De plus, le temps de localisation est un peu plus long. Le GPS n'est qu'un système de réception, c'est à dire qu'il permet juste d'être localisé, et non d'envoyer ses coordonnées.
Un autre problème avec le GPS est sa nationalité. C'est en effet un système militaire américain longtemps restreint à une faible précison (une centaine de mètres) pour les civils. C'est seulement en mai 2000 que Bill Clinton débrida le système pour une utilisation non-militaire, mais quelques restrictions sont encore présentes. Le GPS crée donc une dépendance américaine. Les Etats-Unis peuvent décider d'arrêter de fournir le service GPS aux pays étrangers en temps de guerre.
C'est pour cela que l'Union Européene a lancé le projet Galiléo, un nouveau système de localisation par satellite. Il aura une plus grande précision et sera disponible en 2008. Plusieurs pays non-européens participent aussi à ce projet tels que le Canada, la Russie, la Chine, Israël... Galiléo a un budget de 3.4 milliards d'euros. Les Etats-Unis ont essayé d'empêcher le développement de Galiléo évoquant des possibles interférences avec leur GPS. Mais en réalité, ils ne désirent pas voir l'Europe devenir indépendante dans ce domaine, et donner ainsi l'occasion à des pays ennemis d'être autonomes.
Test d'un service de géolocalisation :
Les lignes qui vont suivre ne sont pas destinées à faire la promotion d'un service mais à vous montrer l' utilisation potentielle de la géolocalisation ainsi que les solutions proposées.
Le service que nous allons tester s'appelle OOTAY. Il est initialement destiné aux parents qui veulent suivre leurs enfants mais peut servir pour une autre utilisation. Nous allons voir les différentes étapes depuis l'inscription jusqu'à l'obtention de la situation géographique. Ce service est déclaré à la CNIL et a été soumis à l'approbation du service juridique des opérateurs (Orange et Bouygues Telecom, SFR en cours).
L'inscription au service commence. Le nom, le prénom, l'adresse e-mail ainsi que le numéro de téléphone portable sont obligatoires. L'adresse postale quant à elle est facultative. Nous avons mis un faux non et un faux prénom, ce qui n'a pas posé de problème. Ce service n'est pour l'instant compatible qu'avec Orange et Bouygues Telecom, SFR étant en train de valider les conditions d'utilisation de ce service pour son réseau.
Nous recevons ensuite sur le téléphone portable un code d'activation qui devra être entré pour finaliser l'inscription au service. Une fois cette étape franchie, nous allons pouvoir enregistrer un portable à localiser.
Une rubrique nous permet d'ajouter un mobile à géolocaliser. La procédure d'enregistrement requière le numero de ce téléphone, son operateur, et un pseudo pour le caractériser..
Il faut désormais autoriser la localisation du portable auprès de l'opérateur (ici Orange). Cela permet d'éviter les inscirptions abusives puisque c'est le possesseur du portable qui doit se logger sur son compte Orange et autoriser le service (fenêtre ci-dessous)
Plusieurs options sont disponibles : Autoriser la géolocalisation, garder en mémoire les résultats, notifier de cette géolocalisation auprès de l'utilisateur. Vous pouvez aussi spécifier les portables autorisés à vous localiser. La dernière rubrique spécifie quels services peuvent vous localiser (Ootay dans le cas présent).
Si la géolicalisation n'a pas été autorisée chez l'opérateur, elle est impossible et le portable est marqué "En Attente".
Une fois le service autorisé, un clic sur le portable commence la géolocalisation.
La localisation va se faire en une vingtaine de secondes et utilise la méthode Cell-ID (entre 100 et 700 mètres en zone urbaine, et jusqu'à 10 kilomètres en zone rurale. L'utilisateur recevra un SMS lui indiquant qu'il a été géolocalisé et qu'il a la possibilité de stopper le géocontrôle.
Un carte apparait avec une zone où l'utilisateur se trouve. Plusieurs niveaux de zoom sont disponibles. Cette localisation est fiable, le portable localisé se situait bien dans la zone bleue.
Sur les tois localisations efféctuées à trois endroits différents, la précision s'est échelonnée entre 300 mètres et deux kilomètres.
Si le portable n'est pas allumé ou est en zone non couverte, un message d'erreur nous en avertit, et la géolocalisation est impossible à effectuer.
Nous pouvons donc constater que ce service a mis en place les mesures nécessaires pour la protection de l'utilisateur et éviter tout abus. La désinscription n'a posé aucun problème.
Mais qu'en est t-il pour les services destinés aux entreprises ? Les responsables respectent t-ils la vie privée de leurs employés ? Voici un autre service , vous pouvez regarder la présentation sur leur site.
Présentation des services de géolocalisation des opérateurs français:
- SFR
- Orange
- Bouygues Telecom
http://reseau.echelon.free.fr
La téléphonie mobile est un enjeu majeur depuis quelques années pour les opérateurs. Régulièrement, de nouveaux services sont lancés afin de satifsaire les besoins potentiels des consommateurs. Un des derniers en date est la géolocalisation . Elle permet de fournir des informations en fonction de la position géographique de l'utilisateur.
La géolocalisation peut avoir de nombreuses applications dans des domaines très éloignés. Le particulier peut l'utiliser pour trouver le cinéma ou le restaurant le plus proche, avoir des informations touristiques sur le lieu qu'il visite. Les parents soucieux peuvent localiser leur enfant à tout moment. Les profesionnels peuvent localiser leurs véhicules, suivre le personnel, les livraisons et détecter un éventuel problème. Pour les autorités, la géolocalisation peut être d'une grande aide pour avoir des informations sur les personnes victimes d'un kidnapping, surveiller les déplacements de suspects ... Elle permet également de retrouver une personne après un appel de détresse mais n'ayant pas pu donner sa position.
Mais la géolocalisation peut donner lieu à de nombreux abus et nuire à la vie privée de l'utilisateur. En géneral, l'opérateur utilise l'opt-in, l'utilisateur doit s'inscrire au service et donner son accord à chaque géolocalisation ou en être averti. Il doit aussi pouvoir revenir sur sa décision simplement et gratuitement. L'inverse de l'opt-in, l'opt-out ne requière pas approbation de l'utilisateur.
Géolocalisation en utilisant le GSM :
Le GSM , Global System for Mobile Communications, est la norme numérique pour la téléphonie mobile. Cette norme utilise la gamme de fréquences des 900 MHz. Un dérivé du GSM, le DCS, Digital Communication System, utilise la gamme des 1800 MHz.
Le GSM 900 utilise la bande 890-915 MHz pour l'envoi des données et la bande 935-960 MHz pour la réception des informations. Quand au GSM 1800, il utilise la bande 1710-1785 MHz pour l'envoi des données et la bande 1805-1880 MHz pour la réception des informations.
C'est la carte SIM qui contient le numéro de l'abonné, ainsi que diverses informations lui appartenant (SMS, carnet d'adresse). L'IMEI (International Mobile Equipment Identity) est un code unique composé de 15 chiffres qui identifie le portable. Ce numero peut être obtenu en tapant *#06# sur le portable. Il peut servir pour bloquer le téléphone dans le cas d'un vol par exemple. Lorsque le portable se connecte à un relais, il envoie son IMEI, puis la carte SIM s'identifie auprès de ce même relais.
Les différentes technologies de géolocalisation utilisant le GSM sont :
- Cell ID (Identification de cellule) :
C'est la technologie la moins coûteuse car il n'y a pas de materiel à mettre en place. Du moment que le portable est dans une zone couverte par le réseau, il se connecte à un antenne relais GSM. C'est à partir de l'identification de cette antenne que l'on peut localiser le portable. Cette localisation est très rapide (moins de 5 secondes) mais elle est peu précise car elle dépend du nombre d'antennes relais et de leur rapprochement (plus l'antenne est isolée, plus la zone de couverture est vaste et moins la localisation est précise). En zone urbaine, la précison varie entre 100 et 700 mètres. Alors qu'en zone rurale, cela peut aller jusqu'à 10 kilomètres.
- EOTD (Enhanced Observed Time Difference) - Le différentiel de temps :
Le portable envoie un signal aux stations des environs. La plus proche lui renvoie le signal. C'est le temps écoulé entre l'émission et la réception du signal qui permetra à un calculateur externe de déterminer la localisation du portable.
Une autre technique nommée Uplink Time of Arrival utilise le même principe.
- La triangulation :
On va faire un croisement des données obtenues à partir de trois antennes relais utilisées lorsque le portable se déplace. Cette technique nécessite l'installation préalable d'un programme sur la carte SIM du portable. La localisation s'effectue en environ cinq secondes et est plus précise que le Cell-ID : de l'ordre de 150 mètres en zone urbaine et 5 kilomètres en zone rurale.
Géolocalisation en utilisant le GPS :
Le GPS, Global Positioning System, est le premier système mondial de positionnement par satellite. Il a été mis en place par le Ministère de la Défense des Etats-Unis. Il utilise 24 satellites (NAVSTAR: Navigation Satellite Timing And Ranging) en orbite autour de la Terre, situés à 20 200 km d'altitude. Le récepteur GPS va donc capter les signaux d'au moins quatre satellites et calculer sa position en fonction des informations reçues.
L'utilisation de cette technique nécessite l'installation d'un module GPS dans le mobile, ce qui est plus coûteux que les autres moyens utilisés pour la géolocalisation, mais la localisation est d'une grande précision. Un autre problème se pose : capter le signal du satellite, car dans les bâtiments ou dans les grandes agglomérations, il peut y avoir des problèmes. De plus, le temps de localisation est un peu plus long. Le GPS n'est qu'un système de réception, c'est à dire qu'il permet juste d'être localisé, et non d'envoyer ses coordonnées.
Un autre problème avec le GPS est sa nationalité. C'est en effet un système militaire américain longtemps restreint à une faible précison (une centaine de mètres) pour les civils. C'est seulement en mai 2000 que Bill Clinton débrida le système pour une utilisation non-militaire, mais quelques restrictions sont encore présentes. Le GPS crée donc une dépendance américaine. Les Etats-Unis peuvent décider d'arrêter de fournir le service GPS aux pays étrangers en temps de guerre.
C'est pour cela que l'Union Européene a lancé le projet Galiléo, un nouveau système de localisation par satellite. Il aura une plus grande précision et sera disponible en 2008. Plusieurs pays non-européens participent aussi à ce projet tels que le Canada, la Russie, la Chine, Israël... Galiléo a un budget de 3.4 milliards d'euros. Les Etats-Unis ont essayé d'empêcher le développement de Galiléo évoquant des possibles interférences avec leur GPS. Mais en réalité, ils ne désirent pas voir l'Europe devenir indépendante dans ce domaine, et donner ainsi l'occasion à des pays ennemis d'être autonomes.
Test d'un service de géolocalisation :
Les lignes qui vont suivre ne sont pas destinées à faire la promotion d'un service mais à vous montrer l' utilisation potentielle de la géolocalisation ainsi que les solutions proposées.
Le service que nous allons tester s'appelle OOTAY. Il est initialement destiné aux parents qui veulent suivre leurs enfants mais peut servir pour une autre utilisation. Nous allons voir les différentes étapes depuis l'inscription jusqu'à l'obtention de la situation géographique. Ce service est déclaré à la CNIL et a été soumis à l'approbation du service juridique des opérateurs (Orange et Bouygues Telecom, SFR en cours).
L'inscription au service commence. Le nom, le prénom, l'adresse e-mail ainsi que le numéro de téléphone portable sont obligatoires. L'adresse postale quant à elle est facultative. Nous avons mis un faux non et un faux prénom, ce qui n'a pas posé de problème. Ce service n'est pour l'instant compatible qu'avec Orange et Bouygues Telecom, SFR étant en train de valider les conditions d'utilisation de ce service pour son réseau.
Nous recevons ensuite sur le téléphone portable un code d'activation qui devra être entré pour finaliser l'inscription au service. Une fois cette étape franchie, nous allons pouvoir enregistrer un portable à localiser.
Une rubrique nous permet d'ajouter un mobile à géolocaliser. La procédure d'enregistrement requière le numero de ce téléphone, son operateur, et un pseudo pour le caractériser..
Il faut désormais autoriser la localisation du portable auprès de l'opérateur (ici Orange). Cela permet d'éviter les inscirptions abusives puisque c'est le possesseur du portable qui doit se logger sur son compte Orange et autoriser le service (fenêtre ci-dessous)
Plusieurs options sont disponibles : Autoriser la géolocalisation, garder en mémoire les résultats, notifier de cette géolocalisation auprès de l'utilisateur. Vous pouvez aussi spécifier les portables autorisés à vous localiser. La dernière rubrique spécifie quels services peuvent vous localiser (Ootay dans le cas présent).
Si la géolicalisation n'a pas été autorisée chez l'opérateur, elle est impossible et le portable est marqué "En Attente".
Une fois le service autorisé, un clic sur le portable commence la géolocalisation.
La localisation va se faire en une vingtaine de secondes et utilise la méthode Cell-ID (entre 100 et 700 mètres en zone urbaine, et jusqu'à 10 kilomètres en zone rurale. L'utilisateur recevra un SMS lui indiquant qu'il a été géolocalisé et qu'il a la possibilité de stopper le géocontrôle.
Un carte apparait avec une zone où l'utilisateur se trouve. Plusieurs niveaux de zoom sont disponibles. Cette localisation est fiable, le portable localisé se situait bien dans la zone bleue.
Sur les tois localisations efféctuées à trois endroits différents, la précision s'est échelonnée entre 300 mètres et deux kilomètres.
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Mais qu'en est t-il pour les services destinés aux entreprises ? Les responsables respectent t-ils la vie privée de leurs employés ? Voici un autre service , vous pouvez regarder la présentation sur leur site.
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Localisation : Dans un autre repère !
Re: Géolocalisation
Terminaux GSM/GPRS
MouvBOX inside outside
IntellitracX8 antenne
NS100 Personal Tracker
Wikipedia
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Re: Géolocalisation
Terminaux satellite
Ce type de terminaux envoi les données à travers un réseau de satellites de télécommunications comme Inmarsat. Même si ce type de canaux sont plus restrictifs au niveau de la quantité de données envoyées, ils peuvent offrir par ailleurs une couverture mondiale sans frais supplémentaires en fonction des satellites et protocoles utilisés. Cela en fait des terminaux idéaux pour la géolocalisation de conteneurs, navires ou véhicules circulant en plein désert.
Des terminaux similaires sont utilisés dans le cadre du système argos, destiné à l'étude et à la protection de l'environnement à l'échelle planétaire, même si celui-ci utilise le même réseau satellitaire pour se positionner et pour transmettre les données.
Lorsque le terminal satellite est autonome grâce à une batterie interne, il peut fonctionner jusqu'à 7 ans sans nécessite d'en remplacer la batterie. Son autonomie varie alors en fonction de la fréquence d'actualisation souhaitée.
Pour des parcours longue distance ou des remontées d’information peu fréquentes, les solutions satellites sont plus économiques que les solutions GSM/GPRS.
Sat202 front
MT3550 Terminal Satellite
Wikipedia
Ce type de terminaux envoi les données à travers un réseau de satellites de télécommunications comme Inmarsat. Même si ce type de canaux sont plus restrictifs au niveau de la quantité de données envoyées, ils peuvent offrir par ailleurs une couverture mondiale sans frais supplémentaires en fonction des satellites et protocoles utilisés. Cela en fait des terminaux idéaux pour la géolocalisation de conteneurs, navires ou véhicules circulant en plein désert.
Des terminaux similaires sont utilisés dans le cadre du système argos, destiné à l'étude et à la protection de l'environnement à l'échelle planétaire, même si celui-ci utilise le même réseau satellitaire pour se positionner et pour transmettre les données.
Lorsque le terminal satellite est autonome grâce à une batterie interne, il peut fonctionner jusqu'à 7 ans sans nécessite d'en remplacer la batterie. Son autonomie varie alors en fonction de la fréquence d'actualisation souhaitée.
Pour des parcours longue distance ou des remontées d’information peu fréquentes, les solutions satellites sont plus économiques que les solutions GSM/GPRS.
Sat202 front
MT3550 Terminal Satellite
Notez que certains dispositifs peuvent combiner les deux modes de transmission de données (GSM/GPRS et Satellite) et basculer d'un mode à l'autre en fonction de la couverture ou du besoin.
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Re: Géolocalisation
Applications pratiques de la géolocalisation
Les applications de la géolocalisation sont en plein développement, tant au niveau privé qu'au niveau professionnel. De plus, couplées à des systèmes de télérelève intégrés et sur mesure, de vraies applications métier ont rapidement vu le jour.
Applications professionnelles
La géolocalisation dans le milieu professionnel est presque toujours synonyme de gain de productivité, économies de carburant, économies de communications et sécurité accrue. De plus, ces solutions offrent aux responsables de l'exploitation du parc une vision globale et un meilleur temps de réactivité en cas d'incident. Ceci permet à l'entreprise utilisant un système de géolocalisation d'améliorer son service client et de réduire ses coûts afin d'accroître sa compétitivité.
Quelques domaines dans lesquels la géolocalisation est communément utilisée sont listés ci-dessous:
Transport de marchandises et logistique
Type de véhicules géolocalisés :
Semi-remorques
Remorques
Citernes
Camions frigorifiques
Conteneurs
Convoyeurs de fonds
Transport de matériaux dangereux
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Trajets détaillés sur carte
Détection de mouvement
Détection d'états : ouverture et fermeture de portes, décrochage de remorques, détection des températures, comptabilisation d'heures de conduite et de pause, protection des conducteurs, consommation des véhicules, vitesses moyennes sur tronçon, etc...
Repérage des arrêts
Calcul des temps de conduite et de pause
Propreté urbaine et assainissement
Type de véhicules géolocalisés :
Camions benne
Bennes à ordures ménagères (BOM)
Bornes d'apport volontaire (BAV)
Véhicules d'entretien de parcs
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Gestion et optimisation des tournées de collecte
Recalcul du trajet en cas d'imprévu sur la base des points de passage obligatoires
Navigation embarquée couplée aux points de collecte
Saisie d'anomalies en cours de tournée
Comptage de bacs
Pesée sur châssis
Traçabilité des opérations
Lecteur de puces dans le cadre de la redevance incitative
Rapports de gestion
Paramétrage de surveillances (dépassement de charges autorisées, sortie de zones...)
Fond cartographique adapté au métier
Facilitation des réponses aux réclamations et traçabilité en cas de litige
Détection de changement de cap (map matching)
Transport de passagers
Type de véhicules géolocalisés :
Autobus
Navettes
Bateaux mouche
Taxis
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Calcul du temps avant passage
Localisation du véhicule le plus proche ou dans une zone spécifique
Génération de statistiques (temps d'arrêt moyen, temps de chargement de passagers, calcul du temps de parcours en fonction des plages horaires...)
Optimisation des horaires et des trajets
Détection de retard de sortie de zone
Génération des surveillances sur les présences en zones (entrées et/ou sorties de zones)
Les applications de la géolocalisation sont en plein développement, tant au niveau privé qu'au niveau professionnel. De plus, couplées à des systèmes de télérelève intégrés et sur mesure, de vraies applications métier ont rapidement vu le jour.
Applications professionnelles
La géolocalisation dans le milieu professionnel est presque toujours synonyme de gain de productivité, économies de carburant, économies de communications et sécurité accrue. De plus, ces solutions offrent aux responsables de l'exploitation du parc une vision globale et un meilleur temps de réactivité en cas d'incident. Ceci permet à l'entreprise utilisant un système de géolocalisation d'améliorer son service client et de réduire ses coûts afin d'accroître sa compétitivité.
Quelques domaines dans lesquels la géolocalisation est communément utilisée sont listés ci-dessous:
Transport de marchandises et logistique
Type de véhicules géolocalisés :
Semi-remorques
Remorques
Citernes
Camions frigorifiques
Conteneurs
Convoyeurs de fonds
Transport de matériaux dangereux
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Trajets détaillés sur carte
Détection de mouvement
Détection d'états : ouverture et fermeture de portes, décrochage de remorques, détection des températures, comptabilisation d'heures de conduite et de pause, protection des conducteurs, consommation des véhicules, vitesses moyennes sur tronçon, etc...
Repérage des arrêts
Calcul des temps de conduite et de pause
Propreté urbaine et assainissement
Type de véhicules géolocalisés :
Camions benne
Bennes à ordures ménagères (BOM)
Bornes d'apport volontaire (BAV)
Véhicules d'entretien de parcs
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Gestion et optimisation des tournées de collecte
Recalcul du trajet en cas d'imprévu sur la base des points de passage obligatoires
Navigation embarquée couplée aux points de collecte
Saisie d'anomalies en cours de tournée
Comptage de bacs
Pesée sur châssis
Traçabilité des opérations
Lecteur de puces dans le cadre de la redevance incitative
Rapports de gestion
Paramétrage de surveillances (dépassement de charges autorisées, sortie de zones...)
Fond cartographique adapté au métier
Facilitation des réponses aux réclamations et traçabilité en cas de litige
Détection de changement de cap (map matching)
Transport de passagers
Type de véhicules géolocalisés :
Autobus
Navettes
Bateaux mouche
Taxis
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Calcul du temps avant passage
Localisation du véhicule le plus proche ou dans une zone spécifique
Génération de statistiques (temps d'arrêt moyen, temps de chargement de passagers, calcul du temps de parcours en fonction des plages horaires...)
Optimisation des horaires et des trajets
Détection de retard de sortie de zone
Génération des surveillances sur les présences en zones (entrées et/ou sorties de zones)
Syfou- Adminstrateur
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Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Géolocalisation
Suivi et protection de personnes
Type de personnes géolocalisées :
Travailleurs isolés
Exploitants agricoles
Techniciens de maintenance
Commerciaux
Agents de sécurité
Journalistes, reporters
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Localisation exacte de lieu d'incident
Calcul de proximité
Envoi d'ordres de mission
Navigation vers les lieux d'intervention
Détection de verticalité
Bouton SOS avec envoi de message
Fonction levée de doute
Alarme par arrachement (via cordon jack)
Protection de marchandises, véhicules et antivol
Type de biens géolocalisés :
Véhicules en tout genre
Remorques
Matériel de BTP
Colis à haute valeur
Conteneurs
Engins
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Détection de mouvement
Détection d'effraction
Sortie de zone
Désactivation moteur
Détection de décrochage de remorque, d'ouverture des portes...
Autres applications
Suivi de rallyes en désert
Suivi et protection des convois humanitaires
Suivi de pièces (ex : suivi de pièces d'Airbus A380 provenant de plusieurs pays)
Études comportementales (ex : comprendre la diffusion d'une maladie localisée en observant les mouvements d'une population restreinte)
Opérations événementielles
Suivi des véhicules par les assureurs. Cela permet de calculer les facteurs de risque de l'utilisateur ou de facturer l'utilisateur en fonction du nombre de kilomètres parcourus (Pay As You Drive).
Etude de l'habitat et des déplacements de mammifères difficilement observables, dont les individus sont équipés de colliers émetteurs, en écologie ou biologie des populations (exemple : suivi de la population d'ours brun dans les Pyrénées).
Applications personnelles
Suivi et sécurité des personnes
Type de personnes géolocalisées :
Randonneurs, skieurs, sportifs extrêmes
Personnes dépendantes
Enfants
Personnes âgées
Personnes avec troubles de la mémoire
Possibilités fonctionnelles :
Localisation et suivi en temps réel
Détection de sortie de zone (ex : école et trajet de retour)
Détection d'immobilité prolongée (en cas d'accident ou perte de connaissance d'une personne isolée)
Bouton SOS avec envoi d'un message
Levée de doute (un appel est émis vers le terminal géolocalisé qui décroche automatiquement)
Sécurité des animaux
Type de personnes géolocalisées :
Animaux de compagnie
Chevaux
Bétail
Sécurité des biens personnels (voitures, plaisance...)
Des boîtiers de géolocalisation sont souvent installés au sein de véhicules personnels (voitures, bateaux de plaisance...) pour faciliter leur récupération en cas de vol.
Dispositions légales concernant la géolocalisation en France
Recommandations de la CNIL
La CNIL, autorité administrative indépendante française chargée de veiller à la protection des données à caractère personnel et de la vie privée, a émis certaines recommandations aux entreprises souhaitant mettre en place un système de géolocalisation de leurs employés.
Les finalités du traitement
La loi "informatique et libertés" subordonne la mise en œuvre d’un traitement à l’existence d’une finalité légitime. C’est pourquoi, compte tenu du caractère intrusif des dispositifs traitant la donnée de géolocalisation des véhicules / individus et des informations qui peuvent y être associées, la Commission estime que la mise en œuvre de tels dispositifs n’est admissible que dans le cadre des finalités suivantes :
La sûreté ou la sécurité de l’employé lui-même ou des marchandises ou véhicules dont il a la charge (travailleurs isolés, transports de fonds et de valeurs, etc.) ;
Une meilleure allocation des moyens pour des prestations à accomplir en des lieux dispersés, (interventions d’urgence, chauffeurs de taxis, flottes de dépannage, etc.) ;
Le suivi et la facturation d’une prestation de transport de personnes ou de marchandises ou d’une prestation de services directement liée à l’utilisation du véhicule (ramassage scolaire, nettoyage des accotements, déneigement routier, patrouilles de service sur le réseau routier, etc.);
Le suivi du temps de travail, lorsque ce suivi ne peut être réalisé par d’autres moyens.
En revanche, l’utilisation d’un système de géolocalisation ne saurait être justifiée lorsqu’un employé dispose d’une liberté dans l’organisation de ses déplacements (visiteurs médicaux, VRP, etc.). La Commission rappelle que l’utilisation d’un dispositif de géolocalisation ne doit pas conduire à un contrôle permanent de l’employé concerné.
A cet égard, la déclaration auprès de la CNIL doit prévoir l'ensemble des finalités du traitement, ainsi une entreprise qui déclarerait que le système a pour seule finalité la localisation des véhicules les plus proches des clients, ne pourrait pas utiliser les informations issues du système pour démontrer une faute commise par un salarié. S'il le faisait, l'employeur commettrait un délit de détournement de finalité passible de 5 ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende.
Frontière entre le travail et la vie privée
Les outils de géolocalisation présentent des risques certains au regard des droits collectifs (droit syndical, droit de grève) et des libertés individuelles (liberté d’aller et venir anonymement, droit à la vie privée) qui doivent être respectés dans le cadre professionnel. La géolocalisation soulève donc deux questions :
Celle de la frontière entre travail et vie privée,
Celle du niveau de contrôle permanent qu’il est admissible de faire peser sur un employé.
La Commission considère ainsi que le responsable du traitement ne doit pas collecter des données relatives à la localisation d’un employé en dehors des horaires de travail de ce dernier. C’est pourquoi, la Commission recommande que les employés aient la possibilité de désactiver la fonction de géolocalisation des véhicules à l’issue de leur temps de travail lorsque ces véhicules/dispositifs peuvent être utilisés à des fins privées. Les employés investis d’un mandat électif ou syndical ne doivent pas être l’objet d’une opération de géolocalisation lorsqu’ils agissent dans le cadre de l’exercice de leur mandat.
Information et Droits du salarié
L'entreprise doit obtenir de la part des salariés concernés la signature d'un document spécifiant qu'ils peuvent être à tout moment localisés pendant leurs heures de travail. D'autre part, elle est tenue de mettre en place une procédure leur permettant de couper le service. Les employés doivent être clairement informés de la façon dont ils pourront la mettre en œuvre.
Le responsable du traitement doit procéder, conformément aux dispositions du code du travail et à la législation applicable aux trois fonctions publiques, à l’information et à la consultation des instances représentatives du personnel avant la mise en œuvre d’un dispositif de géolocalisation des employés. Conformément à l’article 32 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée en août 2004 et à l’article 34-1 IV. [3]du code des postes et des communications électroniques, les employés doivent être informés individuellement, préalablement à la mise en œuvre du traitement :
de la finalité ou des finalités poursuivie(s) par le traitement de géolocalisation ;
des catégories de données de localisation traitées ;
de la durée de conservation des données de géolocalisation les concernant ;
des destinataires ou catégories de destinataires des données ;
de l’existence d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition et de leurs modalités d’exercice ;
le cas échéant, des transferts de données à caractère personnel envisagés à destination d’un Etat non membre de la Communauté européenne.
La Commission rappelle que chaque employé doit pouvoir avoir accès aux données issues du dispositif de géolocalisation le concernant en s’adressant au service ou à la personne qui lui aura été préalablement indiqué.
Durée de conservation
Les données relatives à la localisation d’un employé ne peuvent être conservées que pour une durée pertinente au regard de la finalité du traitement qui a justifié cette géolocalisation. La Commission estime, au regard des finalités pouvant justifier la mise en œuvre d’un dispositif de géolocalisation, qu’une durée de conservation de deux mois paraît proportionnée. Les données de localisation peuvent être conservées pour une période supérieure à deux mois si une telle conservation est rendue nécessaire soit dans un objectif d’historique des déplacements à des fins d’optimisation des tournées, soit à des fins de preuve des interventions effectuées lorsqu’il n’est pas possible de rapporter la preuve de cette intervention par un autre moyen. Dans ces cas, une durée de conservation d’un an paraît proportionnée, cette durée ne faisant pas obstacle à une conservation plus longue en cas de contestation, dans ce délai d’un an, des prestations effectuées. Dans le cadre du suivi du temps de travail, seules les données relatives aux horaires effectués peuvent être conservés pour une durée de cinq ans.
Personnes ayant accès au suivi
L’accès aux données de géolocalisation doit être limité aux seules personnes qui, dans le cadre de leur fonction, peuvent légitimement en avoir connaissance au regard de la finalité du dispositif (telles que les personnes en charge de coordonner, de planifier ou de suivre les interventions, personnes en charge de la sécurité des biens transportés ou des personnes ou le responsable des ressources humaines). Le responsable du traitement doit dès lors prendre toutes précautions utiles pour préserver la sécurité de ces données et empêcher, notamment en mettant en place des mesures de contrôle et d’identification, que des employés non autorisés y aient accès.
Jurisprudence
Dans un arrêt, il a été jugé qu’une filature organisée par l’employeur afin de contrôler et de surveiller l’activité d’un salarié constitue un moyen de preuve illicite, qui ne peut donc être invoqué en justice, même lorsque le salarié avait été informé de la possibilité de ce contrôle (Cass.soc., 26 novembre 2002 n°00-42.401 Meret c/ Sté Wyeth-Lederle) .
De surcroît, dans un arrêt de la CA d’Agen en date du 3 août 2005, la Cour énonce, à juste titre, que :
« la géolocalisation d’un véhicule doit être proportionnée au but recherché et que la mise sous surveillance permanente des déplacements des salariés est disproportionnée lorsque des vérifications peuvent être faites par d’autres moyens, comme c’est le cas en l’espèce, puisque l’employeur pouvait mener des enquêtes auprès des clients que le salarié était censé visiter (…) qu’il résulte de ces éléments que la mise en œuvre du GPS était illégale comme disproportionnée au but recherché et ne peut être admise en preuve ».
De ce fait, la surveillance systématique des déplacements des salariés pourrait être assimilée par les juridictions à une véritable « filature électronique » et constituer ainsi une atteinte à la vie privée de ces derniers, susceptible de ne pouvoir être justifiée par les intérêts légitimes de l’employeur, eu égard à son caractère disproportionné (Dossier thématique de la CNIL).
La commission rappelle que le détournement de finalité est sanctionné par l’article 226-21 du Code pénal, qui prévoit une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 Euros d’amende.
Wikipedia
Type de personnes géolocalisées :
Travailleurs isolés
Exploitants agricoles
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Commerciaux
Agents de sécurité
Journalistes, reporters
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
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Calcul de proximité
Envoi d'ordres de mission
Navigation vers les lieux d'intervention
Détection de verticalité
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Fonction levée de doute
Alarme par arrachement (via cordon jack)
Protection de marchandises, véhicules et antivol
Type de biens géolocalisés :
Véhicules en tout genre
Remorques
Matériel de BTP
Colis à haute valeur
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Engins
Possibilités fonctionnelles :
Suivi en temps réel et historique
Détection de mouvement
Détection d'effraction
Sortie de zone
Désactivation moteur
Détection de décrochage de remorque, d'ouverture des portes...
Autres applications
Suivi de rallyes en désert
Suivi et protection des convois humanitaires
Suivi de pièces (ex : suivi de pièces d'Airbus A380 provenant de plusieurs pays)
Études comportementales (ex : comprendre la diffusion d'une maladie localisée en observant les mouvements d'une population restreinte)
Opérations événementielles
Suivi des véhicules par les assureurs. Cela permet de calculer les facteurs de risque de l'utilisateur ou de facturer l'utilisateur en fonction du nombre de kilomètres parcourus (Pay As You Drive).
Etude de l'habitat et des déplacements de mammifères difficilement observables, dont les individus sont équipés de colliers émetteurs, en écologie ou biologie des populations (exemple : suivi de la population d'ours brun dans les Pyrénées).
Applications personnelles
Suivi et sécurité des personnes
Type de personnes géolocalisées :
Randonneurs, skieurs, sportifs extrêmes
Personnes dépendantes
Enfants
Personnes âgées
Personnes avec troubles de la mémoire
Possibilités fonctionnelles :
Localisation et suivi en temps réel
Détection de sortie de zone (ex : école et trajet de retour)
Détection d'immobilité prolongée (en cas d'accident ou perte de connaissance d'une personne isolée)
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Levée de doute (un appel est émis vers le terminal géolocalisé qui décroche automatiquement)
Sécurité des animaux
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Bétail
Sécurité des biens personnels (voitures, plaisance...)
Des boîtiers de géolocalisation sont souvent installés au sein de véhicules personnels (voitures, bateaux de plaisance...) pour faciliter leur récupération en cas de vol.
Dispositions légales concernant la géolocalisation en France
Recommandations de la CNIL
La CNIL, autorité administrative indépendante française chargée de veiller à la protection des données à caractère personnel et de la vie privée, a émis certaines recommandations aux entreprises souhaitant mettre en place un système de géolocalisation de leurs employés.
Les finalités du traitement
La loi "informatique et libertés" subordonne la mise en œuvre d’un traitement à l’existence d’une finalité légitime. C’est pourquoi, compte tenu du caractère intrusif des dispositifs traitant la donnée de géolocalisation des véhicules / individus et des informations qui peuvent y être associées, la Commission estime que la mise en œuvre de tels dispositifs n’est admissible que dans le cadre des finalités suivantes :
La sûreté ou la sécurité de l’employé lui-même ou des marchandises ou véhicules dont il a la charge (travailleurs isolés, transports de fonds et de valeurs, etc.) ;
Une meilleure allocation des moyens pour des prestations à accomplir en des lieux dispersés, (interventions d’urgence, chauffeurs de taxis, flottes de dépannage, etc.) ;
Le suivi et la facturation d’une prestation de transport de personnes ou de marchandises ou d’une prestation de services directement liée à l’utilisation du véhicule (ramassage scolaire, nettoyage des accotements, déneigement routier, patrouilles de service sur le réseau routier, etc.);
Le suivi du temps de travail, lorsque ce suivi ne peut être réalisé par d’autres moyens.
En revanche, l’utilisation d’un système de géolocalisation ne saurait être justifiée lorsqu’un employé dispose d’une liberté dans l’organisation de ses déplacements (visiteurs médicaux, VRP, etc.). La Commission rappelle que l’utilisation d’un dispositif de géolocalisation ne doit pas conduire à un contrôle permanent de l’employé concerné.
A cet égard, la déclaration auprès de la CNIL doit prévoir l'ensemble des finalités du traitement, ainsi une entreprise qui déclarerait que le système a pour seule finalité la localisation des véhicules les plus proches des clients, ne pourrait pas utiliser les informations issues du système pour démontrer une faute commise par un salarié. S'il le faisait, l'employeur commettrait un délit de détournement de finalité passible de 5 ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende.
Frontière entre le travail et la vie privée
Les outils de géolocalisation présentent des risques certains au regard des droits collectifs (droit syndical, droit de grève) et des libertés individuelles (liberté d’aller et venir anonymement, droit à la vie privée) qui doivent être respectés dans le cadre professionnel. La géolocalisation soulève donc deux questions :
Celle de la frontière entre travail et vie privée,
Celle du niveau de contrôle permanent qu’il est admissible de faire peser sur un employé.
La Commission considère ainsi que le responsable du traitement ne doit pas collecter des données relatives à la localisation d’un employé en dehors des horaires de travail de ce dernier. C’est pourquoi, la Commission recommande que les employés aient la possibilité de désactiver la fonction de géolocalisation des véhicules à l’issue de leur temps de travail lorsque ces véhicules/dispositifs peuvent être utilisés à des fins privées. Les employés investis d’un mandat électif ou syndical ne doivent pas être l’objet d’une opération de géolocalisation lorsqu’ils agissent dans le cadre de l’exercice de leur mandat.
Information et Droits du salarié
L'entreprise doit obtenir de la part des salariés concernés la signature d'un document spécifiant qu'ils peuvent être à tout moment localisés pendant leurs heures de travail. D'autre part, elle est tenue de mettre en place une procédure leur permettant de couper le service. Les employés doivent être clairement informés de la façon dont ils pourront la mettre en œuvre.
Le responsable du traitement doit procéder, conformément aux dispositions du code du travail et à la législation applicable aux trois fonctions publiques, à l’information et à la consultation des instances représentatives du personnel avant la mise en œuvre d’un dispositif de géolocalisation des employés. Conformément à l’article 32 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée en août 2004 et à l’article 34-1 IV. [3]du code des postes et des communications électroniques, les employés doivent être informés individuellement, préalablement à la mise en œuvre du traitement :
de la finalité ou des finalités poursuivie(s) par le traitement de géolocalisation ;
des catégories de données de localisation traitées ;
de la durée de conservation des données de géolocalisation les concernant ;
des destinataires ou catégories de destinataires des données ;
de l’existence d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition et de leurs modalités d’exercice ;
le cas échéant, des transferts de données à caractère personnel envisagés à destination d’un Etat non membre de la Communauté européenne.
La Commission rappelle que chaque employé doit pouvoir avoir accès aux données issues du dispositif de géolocalisation le concernant en s’adressant au service ou à la personne qui lui aura été préalablement indiqué.
Durée de conservation
Les données relatives à la localisation d’un employé ne peuvent être conservées que pour une durée pertinente au regard de la finalité du traitement qui a justifié cette géolocalisation. La Commission estime, au regard des finalités pouvant justifier la mise en œuvre d’un dispositif de géolocalisation, qu’une durée de conservation de deux mois paraît proportionnée. Les données de localisation peuvent être conservées pour une période supérieure à deux mois si une telle conservation est rendue nécessaire soit dans un objectif d’historique des déplacements à des fins d’optimisation des tournées, soit à des fins de preuve des interventions effectuées lorsqu’il n’est pas possible de rapporter la preuve de cette intervention par un autre moyen. Dans ces cas, une durée de conservation d’un an paraît proportionnée, cette durée ne faisant pas obstacle à une conservation plus longue en cas de contestation, dans ce délai d’un an, des prestations effectuées. Dans le cadre du suivi du temps de travail, seules les données relatives aux horaires effectués peuvent être conservés pour une durée de cinq ans.
Personnes ayant accès au suivi
L’accès aux données de géolocalisation doit être limité aux seules personnes qui, dans le cadre de leur fonction, peuvent légitimement en avoir connaissance au regard de la finalité du dispositif (telles que les personnes en charge de coordonner, de planifier ou de suivre les interventions, personnes en charge de la sécurité des biens transportés ou des personnes ou le responsable des ressources humaines). Le responsable du traitement doit dès lors prendre toutes précautions utiles pour préserver la sécurité de ces données et empêcher, notamment en mettant en place des mesures de contrôle et d’identification, que des employés non autorisés y aient accès.
Jurisprudence
Dans un arrêt, il a été jugé qu’une filature organisée par l’employeur afin de contrôler et de surveiller l’activité d’un salarié constitue un moyen de preuve illicite, qui ne peut donc être invoqué en justice, même lorsque le salarié avait été informé de la possibilité de ce contrôle (Cass.soc., 26 novembre 2002 n°00-42.401 Meret c/ Sté Wyeth-Lederle) .
De surcroît, dans un arrêt de la CA d’Agen en date du 3 août 2005, la Cour énonce, à juste titre, que :
« la géolocalisation d’un véhicule doit être proportionnée au but recherché et que la mise sous surveillance permanente des déplacements des salariés est disproportionnée lorsque des vérifications peuvent être faites par d’autres moyens, comme c’est le cas en l’espèce, puisque l’employeur pouvait mener des enquêtes auprès des clients que le salarié était censé visiter (…) qu’il résulte de ces éléments que la mise en œuvre du GPS était illégale comme disproportionnée au but recherché et ne peut être admise en preuve ».
De ce fait, la surveillance systématique des déplacements des salariés pourrait être assimilée par les juridictions à une véritable « filature électronique » et constituer ainsi une atteinte à la vie privée de ces derniers, susceptible de ne pouvoir être justifiée par les intérêts légitimes de l’employeur, eu égard à son caractère disproportionné (Dossier thématique de la CNIL).
La commission rappelle que le détournement de finalité est sanctionné par l’article 226-21 du Code pénal, qui prévoit une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 Euros d’amende.
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Localisation : Dans un autre repère !
Re: Géolocalisation
haut les mains on ne bouge plus.LA SCIENCE au service du renseignement simplifie bcp de chose.
on se rend compte que la technologie va dépassé l'être humains lors d'un calcul et la perception d'une analyse.donc le robot est prêt.
on se rend compte que la technologie va dépassé l'être humains lors d'un calcul et la perception d'une analyse.donc le robot est prêt.
abdelmalek- Adm
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Re: Géolocalisation
La géolocalisation intervient aussi dans la régulation de sa vitesse
Comment améliorer l'efficacité des systèmes d'aide à la conduite automatique (ou ADAS, pour Advance Driving Assistance System), notamment en ce qui concerne la régulation de la vitesse ? En combinant reconnaissance visuelle des panneaux signalétiques de limitation et données cartographiques. Partant de ce postulat, une équipe de chercheurs de l’École des Mines à Paris a conçu un système embarqué dans le véhicule et qui dans un premier temps filme en permanence la route, pour y détecter des panneaux de signalisation. Le dispositif parvient à repérer les panneaux circulaires qui limitent la vitesse, et à les déchiffrer.
Support au régulateur de vitesse
Mais pour éviter des erreurs potentielles, l’idée des scientifiques est de conforter les résultats de ces analyses en temps réel avec des informations géolocalisées qui contiennent des données relatives à la vitesse autorisée sur le tronçon de route où se trouve le véhicule. En procédant de cette façon, le système limite les dysfonctionnements possibles de l’une ou l’autre méthode. A terme, il pourra transmettre les informations à un système ACC - ou Adaptive Cruise Control - c’est-à-dire un régulateur automatique de vitesse. Point important, pour minimaliser un peu plus la marge d’erreur, une troisième précaution a été prise par les scientifiques.
Une troisième sécurité
Le système repère en effet également les lignes de la route, et le logiciel de calcul prend en considération ces données pour éviter des erreurs d’interprétation. Ainsi, dans le cas où les deux premiers dispositifs aboutissent à la même erreur, la troisième sécurité permet d’éviter tout incident. Les scientifiques ont testé leur système, et selon l’étude qu’ils publient, le taux de réussite du système avoisine les 90 % pour la reconnaissance des panneaux signalétiques et 80 % pour ce qu’il s’agit des lignes tracées sur la route.
atelier
Comment améliorer l'efficacité des systèmes d'aide à la conduite automatique (ou ADAS, pour Advance Driving Assistance System), notamment en ce qui concerne la régulation de la vitesse ? En combinant reconnaissance visuelle des panneaux signalétiques de limitation et données cartographiques. Partant de ce postulat, une équipe de chercheurs de l’École des Mines à Paris a conçu un système embarqué dans le véhicule et qui dans un premier temps filme en permanence la route, pour y détecter des panneaux de signalisation. Le dispositif parvient à repérer les panneaux circulaires qui limitent la vitesse, et à les déchiffrer.
Support au régulateur de vitesse
Mais pour éviter des erreurs potentielles, l’idée des scientifiques est de conforter les résultats de ces analyses en temps réel avec des informations géolocalisées qui contiennent des données relatives à la vitesse autorisée sur le tronçon de route où se trouve le véhicule. En procédant de cette façon, le système limite les dysfonctionnements possibles de l’une ou l’autre méthode. A terme, il pourra transmettre les informations à un système ACC - ou Adaptive Cruise Control - c’est-à-dire un régulateur automatique de vitesse. Point important, pour minimaliser un peu plus la marge d’erreur, une troisième précaution a été prise par les scientifiques.
Une troisième sécurité
Le système repère en effet également les lignes de la route, et le logiciel de calcul prend en considération ces données pour éviter des erreurs d’interprétation. Ainsi, dans le cas où les deux premiers dispositifs aboutissent à la même erreur, la troisième sécurité permet d’éviter tout incident. Les scientifiques ont testé leur système, et selon l’étude qu’ils publient, le taux de réussite du système avoisine les 90 % pour la reconnaissance des panneaux signalétiques et 80 % pour ce qu’il s’agit des lignes tracées sur la route.
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Re: Géolocalisation
Géolocaliser son enfant: fausse bonne idée ?
Qui n’a jamais eu peur de perdre son enfant dans un magasin pendant les courses ? Ces petits êtres haut comme trois pommes sont peu visibles et très rapides. La solution pour les retrouver rapidement peut se trouver dans un simple GPS. Par Mélanie Fevre.
Cet outil permet de géo-localiser son bambin en temps réel. Surprotection des parents, non-respect de la vie privée ou au contraire bon sens, cet outil peut-il trouver sa place en France ? Il y a les « pour » comme Marie, jeune mère : un enfant ne voit pas toujours le danger. Au lieu de les empêcher de vivre leur vie en les enfermant à la maison, ils peuvent partir plus souvent car les parents sont plus sereins ». Et il y a les « contre » comme Pierre, qui s’offusque de ce dispositif : « Les enfants ne sont pas la propriété des parents. La prochaine étape, c’est la laisse ? ».
Comment ça fonctionne ? L’enfant est équipé d’un émetteur, et les parents, du récepteur ou bien d’une application sur leur téléphone portable. Par exemple, le GPS baptisé « Little Budy » du groupe Américain Best Buy, fonctionne avec une sorte de clé USB à remettre au petit aventurier. Ensuite, les parents s’inscrivent sur le site et y enregistrent l’objet. Ils peuvent aussi délimiter des zones de sureté que l’enfant ne doit pas franchir : pratique pour les familles qui vivent dans des maisons avec jardins ou dans des résidences ; mais aussi pour les écoles ouvertes sur la rue (nous avons tous en mémoire l’exemple de ces bébés qui s’étaient faits la malle de leur crèche dans le Sud de la France) Un pas en dehors de ces lignes et un e-mail d’alerte prévient immédiatement les adultes.
On retrouve ce type de GPS sous différentes formes et prix. Il y a la clé USB dont le prix s’élève à 100 $, rajoutez à cela 14, 99 $ d’abonnement mensuel. On le retrouve également en format porte clé, une carte Sim y est incorporée et vous pouvez faire une demande de localisation à tout moment par SMS. Le coût s’élève à environ 130 € pour l’objet plus le coût des SMS. On peut l’acheter aussi sous forme de bracelet-montre, qui, disons le, fait étrangement penser au bracelet des prisonniers en liberté surveillée…
Comment peut-on oser mettre ce bracelet de surveillance sur un enfant ? L’idée même peut choquer, mais halte à l’hypocrisie. De nombreuses personnes ont déjà commencé à suivre leurs enfants sans vraiment l’admettre. Comment ? En fournissant un téléphone à son chérubin pour pouvoir le joindre à tout moment, les parents commencent ainsi à suivre leur enfant. Selon une étude du MRI (Mediamark Research and Intelligence), les enfants de 6 à 11 ans seraient 20% à posséder un portable. Grâce à une application sur Iphone, le papa ou la maman peuvent dorénavant situer sur une carte où se situe (l’Iphone de) sa progéniture. Faire croire que l’on a cédé aux caprices peut avoir ses avantages. Il sera bientôt possible de suivre son enfant via Facebook si vous êtes « ami » avec lui. Il suffit pour cela qu’il accepte de divulguer ses données de localisation pour qu’il soit repéré.
Et vous aimeriez-vous suivre votre enfant ? Pensez-vous que cela puisse résoudre le problème des enlèvements ? Cela pose un souci de respect de la vie privée mais certains parents n’ont pas attendu d’avoir ce type de GPS pour pister leur chère tête blonde.
Et pour ceux qui ont fait l’acquisition d’un traceur, ils peuvent toujours l’utiliser pour la voiture, en cas de vol, ou encore le « tester » sur l’animal de compagnie fugueur en attendant de prendre une décision en son âme et conscience.
http://www.ecotidien.fr/2010/10/geolocaliser-son-enfant-fausse-bonne-idee/
Qui n’a jamais eu peur de perdre son enfant dans un magasin pendant les courses ? Ces petits êtres haut comme trois pommes sont peu visibles et très rapides. La solution pour les retrouver rapidement peut se trouver dans un simple GPS. Par Mélanie Fevre.
Cet outil permet de géo-localiser son bambin en temps réel. Surprotection des parents, non-respect de la vie privée ou au contraire bon sens, cet outil peut-il trouver sa place en France ? Il y a les « pour » comme Marie, jeune mère : un enfant ne voit pas toujours le danger. Au lieu de les empêcher de vivre leur vie en les enfermant à la maison, ils peuvent partir plus souvent car les parents sont plus sereins ». Et il y a les « contre » comme Pierre, qui s’offusque de ce dispositif : « Les enfants ne sont pas la propriété des parents. La prochaine étape, c’est la laisse ? ».
Comment ça fonctionne ? L’enfant est équipé d’un émetteur, et les parents, du récepteur ou bien d’une application sur leur téléphone portable. Par exemple, le GPS baptisé « Little Budy » du groupe Américain Best Buy, fonctionne avec une sorte de clé USB à remettre au petit aventurier. Ensuite, les parents s’inscrivent sur le site et y enregistrent l’objet. Ils peuvent aussi délimiter des zones de sureté que l’enfant ne doit pas franchir : pratique pour les familles qui vivent dans des maisons avec jardins ou dans des résidences ; mais aussi pour les écoles ouvertes sur la rue (nous avons tous en mémoire l’exemple de ces bébés qui s’étaient faits la malle de leur crèche dans le Sud de la France) Un pas en dehors de ces lignes et un e-mail d’alerte prévient immédiatement les adultes.
On retrouve ce type de GPS sous différentes formes et prix. Il y a la clé USB dont le prix s’élève à 100 $, rajoutez à cela 14, 99 $ d’abonnement mensuel. On le retrouve également en format porte clé, une carte Sim y est incorporée et vous pouvez faire une demande de localisation à tout moment par SMS. Le coût s’élève à environ 130 € pour l’objet plus le coût des SMS. On peut l’acheter aussi sous forme de bracelet-montre, qui, disons le, fait étrangement penser au bracelet des prisonniers en liberté surveillée…
Comment peut-on oser mettre ce bracelet de surveillance sur un enfant ? L’idée même peut choquer, mais halte à l’hypocrisie. De nombreuses personnes ont déjà commencé à suivre leurs enfants sans vraiment l’admettre. Comment ? En fournissant un téléphone à son chérubin pour pouvoir le joindre à tout moment, les parents commencent ainsi à suivre leur enfant. Selon une étude du MRI (Mediamark Research and Intelligence), les enfants de 6 à 11 ans seraient 20% à posséder un portable. Grâce à une application sur Iphone, le papa ou la maman peuvent dorénavant situer sur une carte où se situe (l’Iphone de) sa progéniture. Faire croire que l’on a cédé aux caprices peut avoir ses avantages. Il sera bientôt possible de suivre son enfant via Facebook si vous êtes « ami » avec lui. Il suffit pour cela qu’il accepte de divulguer ses données de localisation pour qu’il soit repéré.
Et vous aimeriez-vous suivre votre enfant ? Pensez-vous que cela puisse résoudre le problème des enlèvements ? Cela pose un souci de respect de la vie privée mais certains parents n’ont pas attendu d’avoir ce type de GPS pour pister leur chère tête blonde.
Et pour ceux qui ont fait l’acquisition d’un traceur, ils peuvent toujours l’utiliser pour la voiture, en cas de vol, ou encore le « tester » sur l’animal de compagnie fugueur en attendant de prendre une décision en son âme et conscience.
http://www.ecotidien.fr/2010/10/geolocaliser-son-enfant-fausse-bonne-idee/
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Re: Géolocalisation
le génie humain n'a pas de limite et cela ce rapproche de l'idéal.d'ici le 22ieme siècles il y aura un autre monde.
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Re: Géolocalisation
Deviner pourquoi la géolocalisation est sous contrôle de l'armée américaine comme le GPS ? Tout simplement, sa leurs permet de nous observer quand bon leurs semble et tout sa avec la bénédictions de nos dirigeants. Le problème c'est que la géolocalisation et dans tout les objets de la vie courante du téléphone à nos voiture et pour certains leurs pesmekeurs.
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Re: Géolocalisation
c'est bon mais benladen ce bronze au soleil:technologie oui mais le génie humain peut mettre a défaut le gps.
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Re: Géolocalisation
abdelmalek, tu pense réellement que Benladen est une réel menace pour les occidentaux et qu'il est encore de monde? Je répondrais non car s'il était de ce monde, les occidentaux dont les américains aurait vite sorti Benladen de l'endroit où il ce cache. Un Benladen libre qui se cache voir encore vivant est plus important pour les occidentaux pour leurs affaires et leurs mains mise dans le monde que de l'arrêter avec toute leurs technologies et les millions qu'ils ont mis sur sa tête tu ne trouve pas sa logique ?
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Re: Géolocalisation
cher samir31.je l'aie toujours penser que benladen est comme l'ogre pour les enfants on le faits sortir pour nous faire peur: mais que veut tu on joue le jeux;comme tous les connaisseurs de ce monde on fait les imbéciles et on attend avec quel sauce ils veulent nous manger.l'urss n'existe pas ,alors ils ont inventés le terro islamiste qui n'a pas de force même pour tuer une mouche.
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Re: Géolocalisation
abdelmalek a écrit:cher samir31.je l'aie toujours penser que benladen est comme l'ogre pour les enfants on le faits sortir pour nous faire peur: mais que veut tu on joue le jeux;comme tous les connaisseurs de ce monde on fait les imbéciles et on attend avec quel sauce ils veulent nous manger.l'urss n'existe pas ,alors ils ont inventés le terro islamiste qui n'a pas de force même pour tuer une mouche.
Excuses moi docteur mais pour faire peur à les leurs; disons un peu mobilisé leur société pour une cause à mon avis vide et vaine
A titre indicatif j'ai lu derrnieremenrt l'histoire de youcef 'josef' "BDSL" fils de yacob son frere benjamin -dans un manuel pédagogique- en tt cas meme évenement dans tt presque les trois religions mais un peu détourner par les rabbins pour une seule fin mobilisé les chrétiens contre les musulmans autrement dit les islamistes palestiniens .Bien sur tt çà est à leur guise koi
Ps: ki dit manuel pédagogique dit la guerre est à vie n'est pas Docteur
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Re: Géolocalisation
je me rappel dans les années 50, tous enfants ,que les chrétiens n'aimé pas les juifs :ils les traiter de tous les noms:donc aprés hitler:cela montre aussi qu'on parler de la palestine même le curé du coin le disait :mais les juifs ont fait un travail en profondeur pour culpabiliser tous les chretiens et maintenant ils sont aux deuxiéme tour : c'est l'islam et les musulmans.ALORS QUE NOUS AVONS DES CHRETIENS dans les pays arabes qui sont pourchasser , on joue le jeux du sionisme mondial;car ces chretiens comme l'avait dit notre emir abdel kader ce sont nos fréres puis qu'ils sont les enfants de sidina aissa.
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Re: Géolocalisation
Ok,la démocrathie tendent vers la dicta-douce contre soi meme
Des journalistes de Mediapart géolocalisés par les services secrets ?
http://www.lepost.fr/article/2010/11/04/2292795_affaire-bettencourt-des-journalistes-de-mediapart-geolocalises-par-les-services-secrets.html
Par contre on va pas trouver un pays démocrate que notre pays ; l'ALGERIE biensur jespere que mes conpatriote comprenent çà
Des journalistes de Mediapart géolocalisés par les services secrets ?
Le site d'infos Médiapart révèle jeudi que les services secrets ont pisté et géolocalisé 2 de leurs journalistes lors de leurs déplacements pour rencontrer des informateurs.
"Nous avons appris que nous avons été géolocalisés lors de nos déplacements en mars-avril, alors que nous enquêtions sur les rétrocommissions et l'attentat de Karachi avec Fabrice Arfi", a déclaré Fabrice Lhomme, l'un des 2 journalistes, repris par Le Figaro.fr.
Lui et Fabrice Arfi travaillent depuis quelques mois sur l'affaire Karachi et l'affaire Bettencourt.
Mercredi, Le Canard Enchaîné affirmait que Nicolas Sarkozy superviserait en personne le travail de certains journalistes, en mobilisant la Division centrale du renseignement intérieur (DCRI) afin de trouver les sources qui informent les journalistes.
Jeudi matin, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux expliquait sur France 2 que la DCRI n'était pas une police politique, faisant référence à la "Stasi".
http://www.lepost.fr/article/2010/11/04/2292795_affaire-bettencourt-des-journalistes-de-mediapart-geolocalises-par-les-services-secrets.html
Par contre on va pas trouver un pays démocrate que notre pays ; l'ALGERIE biensur jespere que mes conpatriote comprenent çà
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Re: Géolocalisation
je le pense que oui cher SYFOU: la preuve nos journaux et les médias et dans les cafés ect... on parle de tous et je pèse mes mots;
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