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Coup d'Etat au Mali
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algeriedrs :: Zones de conflits dans le monde :: Conflits, tensions, guerre et terrorisme :: Coup d'Etat et prise de pouvoir
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Coup d'Etat au Mali
Coup d'Etat au Mali
MALI : Moussa Traoré, et sa chute
[url]
MALI : le régime militaire de Moussa Traoré, et... par FakourouCoulibaly[/url]
Coup d'Etat au Mali, des ministres arrêtés ?
Les militaires mutinés au Mali sont apparus jeudi à la télévision publique pour annoncer qu'Amadou Toumani Touré n'était plus chef de l'Etat, que les institutions étaient dissoutes et que la Constitution était suspendue. Dans la foulée, un couvre-feu a été instauré.
Face à un "régime incompétent", l'armée prend le pouvoir au Mali. Par la voix de leur porte-parole, le lieutenant Amadou Konaré, des militaires ont annoncé jeudi matin avoir agi pour faire face "à l'incapacité" du régime du président Amadou Toumani Touré "à gérer la crise au nord de notre pays", en proie à une rébellion touareg et aux activités de groupes islamistes armés depuis la mi-janvier.
Lire la suite:
http://lci.tf1.fr/monde/afrique/coup-d-etat-au-mali-des-ministres-arretes-7082797.html
Le coup d’État de 1968 et la présidence
Le 19 novembre 1968, il (Moussa Traoré ) participe au coup d’État qui renverse le président Modibo Keïta. Il devient président du Comité militaire de libération nationale, puis chef de l’État.
Le coup d’État de 1991 et la déchéance
Le 26 mars 1991, un coup d’État militaire renverse Moussa Traoré. Un Comité de transition pour le salut du peuple est mis en place avec à sa tête le Lieutenant Colonel Amadou Toumani Touré.
MALI : Moussa Traoré, et sa chute
[url]
MALI : le régime militaire de Moussa Traoré, et... par FakourouCoulibaly[/url]
Coup d'Etat au Mali, des ministres arrêtés ?
Les militaires mutinés au Mali sont apparus jeudi à la télévision publique pour annoncer qu'Amadou Toumani Touré n'était plus chef de l'Etat, que les institutions étaient dissoutes et que la Constitution était suspendue. Dans la foulée, un couvre-feu a été instauré.
Face à un "régime incompétent", l'armée prend le pouvoir au Mali. Par la voix de leur porte-parole, le lieutenant Amadou Konaré, des militaires ont annoncé jeudi matin avoir agi pour faire face "à l'incapacité" du régime du président Amadou Toumani Touré "à gérer la crise au nord de notre pays", en proie à une rébellion touareg et aux activités de groupes islamistes armés depuis la mi-janvier.
Lire la suite:
http://lci.tf1.fr/monde/afrique/coup-d-etat-au-mali-des-ministres-arretes-7082797.html
Daûphin_zz_47- Adm
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Date d'inscription : 06/08/2010
Localisation : tlc
Re: Coup d'Etat au Mali
Coup d`état militaire au Mali : meeting du Fusader à la Bourse du travail pour dire "non" aux mutins
BAMAKO - Les acteurs du front uni pour la sauvegarde de la démocratie et la république (Fusader) se sont réunis lundi à la bourse du travail à Bamako pour un meeting d' informations.
Selon ses initiateurs, l'objectif du Fusader consiste à '' fustiger'' les attitudes du capitaine Amadou Sanogo, président du Comité National pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDR), créé le 22 mars dernier par les militaires putschistes.
Les actions de protestations du Fusader sont élargies aux alliés du CNRDR notamment le Parti solidarité africaine pour la démocratie et l'indépendance (Sadi), qui se veut être le bras politique des mutins.
Le président du Fusader et président de l'Union des travailleurs du Mali (Untm), Siaka Diakité au nom de la société civile et le vice-président du Fusader Ibrahim N'Diaye, représentant des partis politiques au sein dudit front, ont annoncé l'objet de ce meeting.
Selon ceux-ci, il s'agit d'informer les Maliens, qui sont contre le capitaine Sanogo et ses alliés du CNRDR, de la création du Fusader.
Au-delà cette information, ils ont annoncé que l'élaboration d' un plan d'action est en cours pour dire non au CNRDR et exiger le retour à l'ordre constitutionnel.
Lors de ce meeting à la bourse du travail, des voix (celles des jeunes) se sont levées pour dire '' allons libérer l'office de radio télévision du Mali (Ortm)''.
Cette idée de libération de l'Ortm a été désapprouvée par le président du Parti pour la renaissance nationale (Parena), Tiébilé Dramé.
Selon M. Dramé, les jeunes doivent faire confiances aux 25 leaders membres du bureau du Fusader. Celui-ci a ajouté qu'un plan d'actions sera élaboré pour organiser la riposte afin que l'ordre constitutionnel soit rétabli.
Une heure après le démarrage dudit meeting, le président du parti l'Union pour la république (Urd), Soumaïla Cissé est venu à la bourse du travail.
« Je m'excuse pour le retard. J'étais à Kati sur convocation du capitaine Sanogo. Au cours de notre entretien, je suis revenu sur les mêmes propos de ma déclaration de condamnation du coup d'était. Si l'Ortm ne me censure pas, vous (les militants, Ndrl) verrez les images à la télé », a dit M. Cissé avant d'ajouter que « il y a trois jours que je ne dors pas chez moi ».
M. Cissé a également dit que « le capitaine Sanogo m'a fait savoir qu'il veut les choses aillent vite, qu'il n'a pas l' intention de rester longtemps au pouvoir. Il m'a fait savoir également qu'il est à la recherche d'un premier ministre, c'est pour cela qu'il cherche à rencontrer les hommes politiques. Je ne serai jamais le premier ministre d'un quelconque gouvernement du CNRDR ».
Par ailleurs, à l'issue de la traditionnelle marche funèbre que le Mali organise depuis les événements du 26 mars 1991, le secrétaire général de l'association des élèves et étudiants du Mali (Aeem), Amadoune Traoré et ses camarades ont rejoint les acteurs du Fusader à la bourse du travail.
Ladite marche de l'Aeem a débuté à la colline de Badalabougou à la rive droite pour terminer au monument des martyrs au quartier du fleuve à la rive gauche.
Selon Amadoune Traoré, l'objectif de l'Aeem en ralliant le Fusader est clair. Il s'agit selon lui de défendre les mêmes causes que le Fusader.
La fin du meeting a failli dégénérer. En effet, lorsque deux véhicules 4X4 à bords une douzaine de militaires, gardes et gendarmes sont venus aux alentours de la bourse du travail, certains jeunes du Fusader ont jeté sur eux des cailloux. Par la suite, ils se sont retirés sans tirer un coup de fusil.
Il est à noter qu'au passage des militaires, la quasi-totalité des militants du fusader étaient rentrés chez eux à la demande de Tiébilé Dramé qui leur avait dit de façon insistante « Rentrer chez vous. Le bureau va se réunir pour élaborer un plan d'actions afin d'organiser la riposte».
Peu de temps après le départ des militaires, une interview avec le Pr. Ali Nouhoum Diallo, un des acteurs du mouvement démocratique depuis les événements de mars 1991, a été interrompue par une dizaine de jeunes qui se présentaient « Nous sommes les gens du capitaine Sanogo ».
De l'autre côté, dans la même matinée du lundi 26 mars, les militants du MP22 (Mouvement populaire du 22 mars, en référence au coup d'état militaire) ont animé une conférence de presse au siège de Radio Kayira dont le promoteur est le secrétaire général du parti Sadi, Dr Oumar Mariko.
Leur objectif est d'exprimer leur soutien au CNRDR. Cette conférence de presse a été sanctionnée par une déclaration dont une copie a été remise à un correspondant de Xinhua.
news.abidjan.net
BAMAKO - Les acteurs du front uni pour la sauvegarde de la démocratie et la république (Fusader) se sont réunis lundi à la bourse du travail à Bamako pour un meeting d' informations.
Selon ses initiateurs, l'objectif du Fusader consiste à '' fustiger'' les attitudes du capitaine Amadou Sanogo, président du Comité National pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDR), créé le 22 mars dernier par les militaires putschistes.
Les actions de protestations du Fusader sont élargies aux alliés du CNRDR notamment le Parti solidarité africaine pour la démocratie et l'indépendance (Sadi), qui se veut être le bras politique des mutins.
Le président du Fusader et président de l'Union des travailleurs du Mali (Untm), Siaka Diakité au nom de la société civile et le vice-président du Fusader Ibrahim N'Diaye, représentant des partis politiques au sein dudit front, ont annoncé l'objet de ce meeting.
Selon ceux-ci, il s'agit d'informer les Maliens, qui sont contre le capitaine Sanogo et ses alliés du CNRDR, de la création du Fusader.
Au-delà cette information, ils ont annoncé que l'élaboration d' un plan d'action est en cours pour dire non au CNRDR et exiger le retour à l'ordre constitutionnel.
Lors de ce meeting à la bourse du travail, des voix (celles des jeunes) se sont levées pour dire '' allons libérer l'office de radio télévision du Mali (Ortm)''.
Cette idée de libération de l'Ortm a été désapprouvée par le président du Parti pour la renaissance nationale (Parena), Tiébilé Dramé.
Selon M. Dramé, les jeunes doivent faire confiances aux 25 leaders membres du bureau du Fusader. Celui-ci a ajouté qu'un plan d'actions sera élaboré pour organiser la riposte afin que l'ordre constitutionnel soit rétabli.
Une heure après le démarrage dudit meeting, le président du parti l'Union pour la république (Urd), Soumaïla Cissé est venu à la bourse du travail.
« Je m'excuse pour le retard. J'étais à Kati sur convocation du capitaine Sanogo. Au cours de notre entretien, je suis revenu sur les mêmes propos de ma déclaration de condamnation du coup d'était. Si l'Ortm ne me censure pas, vous (les militants, Ndrl) verrez les images à la télé », a dit M. Cissé avant d'ajouter que « il y a trois jours que je ne dors pas chez moi ».
M. Cissé a également dit que « le capitaine Sanogo m'a fait savoir qu'il veut les choses aillent vite, qu'il n'a pas l' intention de rester longtemps au pouvoir. Il m'a fait savoir également qu'il est à la recherche d'un premier ministre, c'est pour cela qu'il cherche à rencontrer les hommes politiques. Je ne serai jamais le premier ministre d'un quelconque gouvernement du CNRDR ».
Par ailleurs, à l'issue de la traditionnelle marche funèbre que le Mali organise depuis les événements du 26 mars 1991, le secrétaire général de l'association des élèves et étudiants du Mali (Aeem), Amadoune Traoré et ses camarades ont rejoint les acteurs du Fusader à la bourse du travail.
Ladite marche de l'Aeem a débuté à la colline de Badalabougou à la rive droite pour terminer au monument des martyrs au quartier du fleuve à la rive gauche.
Selon Amadoune Traoré, l'objectif de l'Aeem en ralliant le Fusader est clair. Il s'agit selon lui de défendre les mêmes causes que le Fusader.
La fin du meeting a failli dégénérer. En effet, lorsque deux véhicules 4X4 à bords une douzaine de militaires, gardes et gendarmes sont venus aux alentours de la bourse du travail, certains jeunes du Fusader ont jeté sur eux des cailloux. Par la suite, ils se sont retirés sans tirer un coup de fusil.
Il est à noter qu'au passage des militaires, la quasi-totalité des militants du fusader étaient rentrés chez eux à la demande de Tiébilé Dramé qui leur avait dit de façon insistante « Rentrer chez vous. Le bureau va se réunir pour élaborer un plan d'actions afin d'organiser la riposte».
Peu de temps après le départ des militaires, une interview avec le Pr. Ali Nouhoum Diallo, un des acteurs du mouvement démocratique depuis les événements de mars 1991, a été interrompue par une dizaine de jeunes qui se présentaient « Nous sommes les gens du capitaine Sanogo ».
De l'autre côté, dans la même matinée du lundi 26 mars, les militants du MP22 (Mouvement populaire du 22 mars, en référence au coup d'état militaire) ont animé une conférence de presse au siège de Radio Kayira dont le promoteur est le secrétaire général du parti Sadi, Dr Oumar Mariko.
Leur objectif est d'exprimer leur soutien au CNRDR. Cette conférence de presse a été sanctionnée par une déclaration dont une copie a été remise à un correspondant de Xinhua.
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Re: Coup d'Etat au Mali
Les efforts de la Cédéao pour rétablir l’ordre constitutionnel au Mali
Le coup d’Etat militaire du 22 mars qui a renversé le président malien Amadou Toumani Touré suscite toujours autant d’inquiétude à l’intérieur du pays mais également au sein de la communauté internationale. Celle-ci l’a unanimement condamné et exigé le retour à l’ordre constitutionnel. Les chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) se préparent pour un sommet extraordinaire à Abidjan, en Côte d’Ivoire, le 27 mars qui devrait confirmer l’isolement diplomatique de la junte.
La France soutient la Cédéao dans ses efforts en faveur d’un « retour à l’ordre constitutionnel au Mali », a déclaré ce 26 mars, Bernard Valero, porte-parole du ministère français des Affaires étrangères. La France se dit « préoccupée » par la situation des membres du gouvernement malien, arrêtés la semaine dernière, lors du coup d’Etat. Elle demande « leur libération » et demande le « respect de leur intégrité physique » au moment où le sort du président Amadou Toumani Touré demeure toujours inconnu.
De son côté, le Bénin qui préside actuellement l’Union africaine (UA) a condamné fermement et sans réserve ce putsch intervenu au Mali. Il « lance un appel pressant à un rétablissement sans condition de l’ordre constitutionnel » et considère, jusqu’à nouvel ordre, « le président Amadou Toumani Touré comme le président légitime », a déclaré le ministre des Affaires étrangères du Bénin, Nassirou Arifari Bako, lors d’une conférence de presse.
Condamnation « ferme » également du Conseil de sécurité de l’ONU qui a exigé ce 26 mars que les « soldats mutinés contre le gouvernement démocratiquement élu » retournent à leurs casernes.
Des décisions fortes et pragmatiques
La réunion extraordinaire des chefs d’Etat de la Cédéao sera-t-elle décisive dans la résolution de cette crise malienne ? Alassane Ouattara, chef de l’Etat ivoirien et président en exercice de cette organisation, réussira-t-il à relever le défi lancé par les insurgés maliens ? Proposera-t-il à ses homologues de recourir, le cas échéant, à une intervention militaire pour rétablir les institutions républicaines maliennes ? Autant de questions auxquelles les chefs d’Etat devront répondre tant les attentes sont fortes non seulement au niveau national mais également régional. L’instabilité politique au Mali risque de renforcer les groupes terroristes tel que Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans les autres Etats d’Afrique de l’Ouest, d’où le besoin sécuritaire.
Selon une source proche de la présidence ivoirienne, les dirigeants de la Cédéao vont demander le retour de l’ordre constitutionnel au Mali. En fait, le rétablissement immédiat, dans leurs fonctions, des autorités renversées.
Joint par RFI, Jean Ping, président de la Commission de l’UA qui a réitéré la condamnation du coup d’Etat précise que « l’utilisation de la force n’est jamais écartée mais c’est l’ultime décision lorsqu’on a tout épuisé ». Une position que partage le chef de la diplomatie béninoise.
RFI
Le coup d’Etat militaire du 22 mars qui a renversé le président malien Amadou Toumani Touré suscite toujours autant d’inquiétude à l’intérieur du pays mais également au sein de la communauté internationale. Celle-ci l’a unanimement condamné et exigé le retour à l’ordre constitutionnel. Les chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) se préparent pour un sommet extraordinaire à Abidjan, en Côte d’Ivoire, le 27 mars qui devrait confirmer l’isolement diplomatique de la junte.
La France soutient la Cédéao dans ses efforts en faveur d’un « retour à l’ordre constitutionnel au Mali », a déclaré ce 26 mars, Bernard Valero, porte-parole du ministère français des Affaires étrangères. La France se dit « préoccupée » par la situation des membres du gouvernement malien, arrêtés la semaine dernière, lors du coup d’Etat. Elle demande « leur libération » et demande le « respect de leur intégrité physique » au moment où le sort du président Amadou Toumani Touré demeure toujours inconnu.
De son côté, le Bénin qui préside actuellement l’Union africaine (UA) a condamné fermement et sans réserve ce putsch intervenu au Mali. Il « lance un appel pressant à un rétablissement sans condition de l’ordre constitutionnel » et considère, jusqu’à nouvel ordre, « le président Amadou Toumani Touré comme le président légitime », a déclaré le ministre des Affaires étrangères du Bénin, Nassirou Arifari Bako, lors d’une conférence de presse.
Condamnation « ferme » également du Conseil de sécurité de l’ONU qui a exigé ce 26 mars que les « soldats mutinés contre le gouvernement démocratiquement élu » retournent à leurs casernes.
Des décisions fortes et pragmatiques
La réunion extraordinaire des chefs d’Etat de la Cédéao sera-t-elle décisive dans la résolution de cette crise malienne ? Alassane Ouattara, chef de l’Etat ivoirien et président en exercice de cette organisation, réussira-t-il à relever le défi lancé par les insurgés maliens ? Proposera-t-il à ses homologues de recourir, le cas échéant, à une intervention militaire pour rétablir les institutions républicaines maliennes ? Autant de questions auxquelles les chefs d’Etat devront répondre tant les attentes sont fortes non seulement au niveau national mais également régional. L’instabilité politique au Mali risque de renforcer les groupes terroristes tel que Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans les autres Etats d’Afrique de l’Ouest, d’où le besoin sécuritaire.
Selon une source proche de la présidence ivoirienne, les dirigeants de la Cédéao vont demander le retour de l’ordre constitutionnel au Mali. En fait, le rétablissement immédiat, dans leurs fonctions, des autorités renversées.
Joint par RFI, Jean Ping, président de la Commission de l’UA qui a réitéré la condamnation du coup d’Etat précise que « l’utilisation de la force n’est jamais écartée mais c’est l’ultime décision lorsqu’on a tout épuisé ». Une position que partage le chef de la diplomatie béninoise.
RFI
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