Programme nucléaire de l'Arabie Saoudite

La France et l'Arabie saoudite signent un accord sur le nucléaire civil



Soucieuse de diversifier ses sources d'énergie, presque exclusivement pétrolières, l'Arabie saoudite a paraphé un accord avec la France dans le domaine du nucléaire civil. Un partenariat "stratégique" qui aura mis trois ans avant d'être finalisé.

AFP - La France et l'Arabie saoudite ont signé mardi à Ryad un accord dans le domaine du nucléaire civil destiné notamment à aider le royaume saoudien à produire de l'électricité et à dessaler l'eau de mer.

Selon un communiqué de l'ambassade de France, l'accord a été signé par le président de l'entité saoudienne du nucléaire civil, Hachem Yamani, et le ministre français en charge de l'Industrie et de l'Energie, Eric Besson.

L'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, cherche à diversifier ces sources d'énergie. Le royaume est également en discussion avec la Russie sur des accords de coopération dans le domaine du nucléaire civil, après avoir conclu un accord similaire avec les Etats-Unis.

Selon un communiqué de l'organisme saoudien du nucléaire civil, le King Abdallah City for Atomic and Renewable Energy (KA-CARE), l'accord est destiné à permettre à l'Arabie saoudite de se préparer à produire de l'électricité et à dessaler l'eau de mer en utilisant l'énergie nucléaire.

"Cet accord va permettre aux deux parties de développer leur coopération dans les domaines de la production et de l'utilisation à des fins pacifiques de l'énergie nucléaire et un transfert de technologie", selon ce texte.

Il permettra de former en France des experts saoudiens et à l'Arabie saoudite de choisir la meilleure alternative pour ses programmes de production d'électricité et de dessalement de l'eau de mer.

La demande sur l'électricité doit tripler dans le pays d'ici 2032, ce qui nécessité la construction de nombreuses stations de production, a ajouté le communiqué en rappelant que le Conseil des ministres avait donné en juillet son feu vert à un programme de développement du nucléaire civil.

L'accord avait été proposé par le président français Nicolas Sarkozy au roi Abdallah en 2007 à Paris et un projet écrit avait été proposé à Ryad par M. Sarkozy lors d'une visite à Ryad en janvier 2008.

Dans son communiqué, l'ambassade de France a estimé que "cette signature représente une étape nouvelle et importante dans le partenariat stratégique qui lie la France au royaume d'Arabie saoudite".

"La France et l'Arabie manifestent ainsi leur volonté commune de coopérer dans un domaine particulièrement stratégique pour l'approvisionnement en énergie durable du XXIème siècle, faiblement émettrice de C02, et garant de la sécurité d'approvisionnement des Etats", ajoute l'ambassade.

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L'Arabie Saoudite n'a pas un fonctionnaire armes nucléaires le programme, a signé Traité nucléaire de non-prolifération et est un membre de la coalition des pays exigeant a Zone exempte d'armes nucléaires dans le Moyen-Orient. Les études de la prolifération nucléaire n'ont pas identifié l'Arabie Saoudite comme pays de souci. Cependant, au cours des années il y a eu des rapports de médias de l'intention de l'Arabie Saoudite pour acheter une arme nucléaire d'une source extérieure.

En 2003, un papier de stratégie fui a présenté trois options possibles pour le gouvernement saoudien - pour acquérir une force de dissuasion nucléaire, à l'allié avec et devenu protégé par une nation nucléaire existante, ou à l'accord d'essai et d'extension sur avoir un Moyen-Orient libre nucléaire. Les fonctionnaires de l'ONU et les spécialistes en arme ont suggéré que cette revue ait été incitée par distancer des relations avec les USA, le programme nucléaire de l'Iran fini de soucis, et le manque de pression internationale sur l'Israel d'abandonner ses armes nucléaires.

Intervention des USA

En mai 2008, les Etats-Unis et l'Arabie Saoudite ont signé un protocole d'accord pour amplifier les efforts saoudiens pour un programme civil d'énergie nucléaire.

Programme d'arme nucléaire de l'Arabie Saoudite et de l'Irak

Dans 1994, Muhammad Khilewi, la deuxième-dans-commande de la mission saoudienne aux Nations Unies, appliquée pour asile dans Les Etats-Unis. Il a fourni un paquet de 10.000 documents[citation requise] cet appui saoudien à long terme allégué de Programme irakien d'armes nucléaires. Selon ces documents, pendant Saddam Hussein le régime en Irak, les Saoudiens a soutenu le programme nucléaire irakien avec $5 milliards à condition que la technologie nucléaire réussie et probablement même les armes nucléaires serait transférée en Arabie Saoudite. Khilewi a obtenu l'asile aux USA, avec le consentement de l'Arabie Saoudite. Les allégations n'ont été confirmées par aucune autre source, et les fonctionnaires des USA ont déclaré qu'ils n'ont aucune évidence de l'aide saoudienne au développement nucléaire irakien.

Les fonctionnaires saoudiens ont nié les allégations. En outre, les hauts fonctionnaires de l'administration de Clinton qui étaient responsables des affaires alors Khilewi de Moyen-Orient ont cherché l'asile, y compris Robert Pelletreau du département et du Bruce Riedel d'état du conseil de sécurité nationale, ont dit qu'ils n'ont trouvé rien à dans les debriefings de Khilewi soutenir les rapports de médias au sujet d'un programme nucléaire saoudien. « Il y avait aucun là là, » Pelletreau dit. (Vartan 2005)

Programme nucléaire de l'Arabie Saoudite et du Pakistan

En 2003 on a signalé que le Pakistan et l'Arabie Saoudite avaient écrit un accord secret sur « la coopération nucléaire » fournissant à l'Arabie Saoudite la technologie d'armes nucléaires en échange pour l'accès à l'huile bon marché pour le Pakistan.

En mars 2006, le magasin allemand Cicero rapporté que l'Arabie Saoudite a eu puisque 2003 ont reçu l'aide du Pakistan pour acquérir les missiles et les ogives nucléaires. Les photos satellites indiquent prétendument une ville souterraine et des silos nucléaires avec Ghauri fusées en Al-Sulaiyil, sud du capital Riyadh. Le Pakistan a nié faciliter l'Arabie Saoudite dans toutes les ambitions nucléaires.

L'Arabie Saoudite et les états arabes des programmes nucléaires de golfe Persique

En outre, États arabes du golfe Persique projetez commencer leur propre programme nucléaire civil commun, qui a soulevé des craintes de la prolifération.[la citation a eu besoin] En mars 2007, ministres des affaires étrangères du six-membre Le Conseil de coopération de Golfe réuni en Arabie Saoudite pour discuter le progrès dans les plans a convenu en décembre 2006, pour un programme nucléaire civil commun.

Possibilités de missile

Dans 1988 L'Arabie Saoudite a acheté un nombre inconnu de CSS-2 Chinois-fait missiles intercontinentaux ce qui ont une gamme de 2.800 kilomètres avec une charge utile de 2.000 kilogrammes. Le CSS-2 a été à l'origine conçu par la Chine pour porter a bombe à hydrogène, toutefois la version achetée par l'Arabie Saoudite a été équipée d'une ogive conventionnelle.

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