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Abdelaziz Bouteflika
Rappel du premier message :
Abdelaziz Bouteflika
Abdelaziz Bouteflika (en arabe عبد العزيز بوتفليقة, ), né le 2 mars 1937 à Oujda (nord-est du Maroc), est un homme d’État algérien.
Il exerce les fonctions de président de la République depuis le 27 avril 1999. Président d'honneur du Front de libération nationale (FLN) depuis 2005, il est réélu dès le premier tour de scrutin des élections présidentielles de 2004 (84,99 %) et 2009 (90,24 %).
Né à Tlemcen en Algérie, le père d'Abdelaziz, Ahmed, émigre très jeune au Maroc. Il est marié à deux femmes : Belkaïd Rabia et Ghezlaoui Mansouriah, gérante d’un hammam, qui donne naissance à Abdelaziz à Oujda, le 2 mars 1937. Ahmed Bouteflika est mort en 1958.
Abdelaziz Bouteflika a quatre frères (Abdelghani, Mustapha, Abderahim et Saïd Bouteflika), une sœur (Latifa) ainsi que trois demi-sœurs (Fatima, Yamina et Aïcha). Il est le premier enfant issu de sa mère et le second enfant issu de son père - Fatima, sa demi-sœur, étant son aînée.
Abdelaziz Bouteflika vécut et étudia à Oujda, puis quitta l’école en 1950 pour rejoindre l’école Hassania de Scout, avant de devenir moniteur. Il se marie, en août 1990, avec Amal Triki, fille d’un ancien ambassadeur, Yahia Triki.
Engagement militaire
Durant la guerre d'Algérie, en 1956, l’Armée de libération nationale (ALN), branche militaire du parti indépendantiste Front de libération nationale (FLN), ordonne à tous les étudiants algériens de rejoindre ses rangs. Abdelaziz Bouteflika rejoint l’Armée des frontières au Maroc à l’âge de 19 ans, mais ne portera jamais d’armes. Il fit son instruction militaire à l’École des cadres de l’ALN de Dar El Kebdani (Maroc, Ville de Nador), puis il devint « contrôleur » pour la direction de la Wilaya V , sa tâche consistait « à plaider la cause de l’ALN » auprès des populations rurales algériennes pour en obtenir le ralliement. Il se consacra à cette fonction de contrôleur durant dix mois, entre 1957 et 1958.
En 1958, il fut promu par Houari Boumédiène et devint secrétaire administratif au sein du poste de commandement de la Wilaya V, puis secrétaire particulier de Boumédiène au PC de la Wilaya V, mais aussi au PC de l’état-major Ouest et au PC de l’état-major général (1960).
En 2002 et 2005, l’homme politique français Pierre Messmer, ancien ministre des Armées de Charles de Gaulle et ancien Premier ministre, l’accuse d’avoir planifié en 1962 le massacre des Harkis. Selon l'historien Pierre Vidal-Naquet, ce massacre s'inscrirait dans une logique de vendetta non planifiée, résultat de la vindicte populaire.
Carrière politique
À l'indépendance de l'Algérie, en septembre 1962, il devient, à 25 ans, ministre de la Jeunesse et du Tourisme dans le gouvernement du président Ahmed Ben Bella. Membre de la première Assemblée constitutionnelle, il est élu député de Tlemcen aux première et deuxième Assemblées législatives. Après le congrès du FLN d’avril, il est nommé membre du Comité central et du bureau politique du FLN.
À partir de l’année 1963, il est appelé à effectuer de nombreuses missions à l’étranger comme ministre des Affaires étrangères par intérim. En juin 1963, il est confirmé dans ses fonctions. Dès lors il s’en suit une période durant laquelle le jeune ministre des Affaires étrangères (à l’époque plus jeune ministre de ce département au monde) dirigea la diplomatie algérienne, une diplomatie qui faisait de l’Algérie un pays porte-parole du tiers monde et l’interlocuteur privilégié dans les rapports entre le Nord et le Sud, au cours de la même période il obtint sa plus grande consécration en présidant la 29e session de l’Assemblée générale des Nations unies en 1974. Il conclut avec la France, au nom de la République algérienne, l’accord du 27 décembre 1968 relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour en France des ressortissants algériens et de leurs familles, pierre angulaire de la politique de grande émigration algérienne. Il conserva son poste jusqu’à la mort du président Houari Boumédiène.
Le président Chadli Bendjedid le nomme ministre d’État en 1979. Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique, qu’il quitte en 1981 ; il est traduit devant le conseil de discipline du FLN. Il choisit alors de s’exiler pendant six ans dans un contexte politique hostile et d’incrimination par la Cour des comptes de sa gestion du ministère des Affaires étrangères. De retour en Algérie en janvier 1987, il prend part au congrès du FLN de 1989, qui l’élit membre du Comité central. Pressenti pour occuper des fonctions de ministre, il décline ces propositions, comme il ne donne pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est l’objet en vue de son accession aux fonctions de président de la République.
Présidence de la République
Politique intérieure
Les deux premiers mandats du président Bouteflika sont marqués par une ferme volonté de « civiliser » le régime. La professionnalisation de l’armée, la mise à la retraite de hauts gradés et la promotion d’hommes neufs, proches du chef de l’État, vont dans ce sens. Mais la répression des émeutes de Kabylie (Printemps noir) entre avril 2001 et 2002 discrédite l’image de l’État. En août 2005, la nomination au poste d’ambassadeur à Rabat du général Larbi Belkheir, ex-directeur de cabinet de Bouteflika, traduit également une reprise en main de l’armée par le pouvoir civil.
La presse écrite se trouve fragilisée avec l’arrestation de journalistes en 2004 : parmi eux Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, condamné en juin 2004 à une peine de prison. Quelques mois auparavant, ce dernier publie un livre dans lequel il dresse un portrait critique du président : Bouteflika, une imposture algérienne. Et en 2007 Mohamed Benchicou écrit un autre livre après sa sortie de prison qui est intitulé Les gêoles d'Alger et Bouteflika a été vivement critiqué par l’association Reporters sans frontières qui l’accuse de tenter de mettre au pas la presse privée du pays. Bouteflika promettait en 1999 de respecter la liberté de la presse.
Il est réélu en avril 2004, au 1er tour de scrutin d'une élection multipartite, avec 84,99 % des voix.
En 2005, nommé président d'honneur du FLN par le 8e congrès du parti au mois de janvier, le président Bouteflika convoque pour le mois de septembre un référendum pour faire adopter un ensemble de mesures dont le but est de « restaurer la paix civile en Algérie ». Il propose ainsi de reconnaître le droit à des réparations aux familles de disparus, d’accorder une forme d’amnistie pour les membres de groupes armés non coupables de massacres, de viols et d'attentats à la bombe et de créer une aide pour les veuves et orphelins de membres de groupes armés tués. Ces mesures prévoient aussi une amnistie complète pour les membres des forces de sécurité (toutes composantes confondues) responsables de graves violations des droits humains (voir art. 45 de l'Ordonnance d'application de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale). Depuis toute plainte contre eux est considérée comme irrecevable. L'article 46 de ladite ordonnance prévoit une peine de prison de 3 à 5 ans pour "quiconque qui, par ses déclarations, écrits ou tout autre acte, utilise ou instrumentalise les blessures de la tragédie nationale, pour porter atteinte aux institutions de la République algérienne démocratique et populaire,fragiliser l’Etat, nuire à l’honorabilité de ses agents qui l’ont dignement servie, ou ternir l’image de l’Algérie sur le plan international."[7] Durant la campagne pour le référendum, menée tambour battant, l’opposition et les familles des victimes ainsi que les associations des Droits de l’homme sont écartées du débat. Les médias restent hermétiques à toute contestation et entretiennent une confusion entre le droit de refuser et la trahison du pays. L’État utilise dans cette campagne tous les moyens matériels y compris les fonds publics pour le seul bénéfice des partisans du président. Ce référendum pose tout de même le problème des personnes disparues, dont le sort ne peut pas faire l’objet d’une enquête indépendante ou internationale. L’opposition critique une mascarade électorale où, selon elle, les résultats sont connus d’avance (97,36 % de oui et 79,76 % de participation, sauf en Kabylie avec seulement 12 % de participation).
Le 2 mars 2006, il fait fermer les 42 établissements francophones afin de lutter contre la « déviation linguistique ». En juillet 2006, Abdelaziz Bouteflika signe un décret pour gracier les journalistes poursuivis pour diffamation.
Le parlement algérien vote à main levée, le 12 novembre 2008, la modification de la Constitution (500 oui, 21 non, 8 abstentions). Parmi les changements figure le retrait de la limite de deux mandats consécutifs qu'un président peut exercer.
Politique extérieure
Étant lui-même diplomate de carrière, il se donne la gageure de réhabiliter l’image de l’Algérie dans le concert des nations. Ayant acquis l’intime conviction que l’Algérie constitue l’un des quatre points cardinaux de l’Afrique[réf. nécessaire], il s’intéresse beaucoup aux problèmes de ce continent, et initie à cet effet l’idée du NEPAD, qui est adoptée et suivie par la majorité de ses pairs africains[réf. nécessaire]. Il procède aussi à une médiation entre l’Érythrée et l’Éthiopie (en guerre depuis 1997) qui est couronnée par la signature de l’accord de paix d’Alger en 2000.
Le problème du Sahara occidental lui fait du surplace, le Maroc et l’Algérie se cramponnant chacun sur leurs positions respectives. Si l’Afrique du Sud a reconnu la République arabe sahraouie démocratique, Madagascar, le Tchad la Serbie-et-Monténégro, le Kenya et le Costa Rica ont retiré ou gelé la leur, et ce conflit ne semble pas sur le point d’être résolu à court ou moyen terme, obérant par là même la construction d’un ensemble économique cohérent au Maghreb. Les relations avec le voisin Marocain restent très tendues.
Il se préoccupe aussi des relations de son pays avec les États-Unis, avec lesquels il entend coopérer dans tous les domaines. Après les attentats du 11 septembre 2001, Bouteflika propose au terme d’une entrevue avec le président George W. Bush, la coopération de son pays dans le domaine de la lutte antiterroriste, domaine de coopération qui s’avère fructueux eu égard à l’expérience acquise par l’Algérie dans ce domaine (cf. Guerre civile algérienne).
Avec la France, le président Bouteflika cherche à établir une politique d’apaisement, l’entrevue qu’il a avec le président français Jacques Chirac en 2003 à Alger, débouche sur une entente pour la signature d’un traité d’amitié entre les deux pays, mais le vote de la loi du 23 février 2005 par le parlement français (reconnaissant en particulier le rôle positif de la colonisation), constitue une pierre d’achoppement pour la signature de ce traité, Bouteflika dénoncera de son côté cette loi qu’il qualifie de cécité mentale, confinant au négationnisme et au révisionnisme.
Kabylie
Dès sa première élection, les deux partis politiques majoritaires en Kabylie (le FFS et Le RCD) boycottent les élections, le taux d’abstention atteignant 95 % dans cette région de l'Algérie.
Pour promouvoir sa politique de « concorde nationale », le jeudi 2 septembre 1999 il visite Tizi-Ouzou face à une foule hostile[réf. nécessaire]. Il dit : « Si le tamazight devait devenir langue nationale, elle ne sera jamais officielle. Si elle devait devenir langue nationale, ce serait par voie référendaire ». La foule proteste et Bouteflika rajoute « Si vous êtes venu faire du grabuge, je suis capable de faire autant de grabuge que vous ». En 2001, des émeutes éclatent en Kabylie (le Printemps noir). Un mouvement politique fédère les déçus du pouvoir: les Arouch. Le gouvernement de Bouteflika y voit là « la main de l’étranger ». La répression du mouvement par le pouvoir fait 126 morts et des milliers de blessés, finalement Bouteflika reviendra sur ce qu’il a dit en 1999 et fera de tamazight (« la langue berbère ») langue nationale sans passer par un référendum.
Juste avant le référendum sur la réconciliation nationale en 2005, le gouvernement de Bouteflika dirigé à l’époque par Ahmed Ouyahia trouve un accord avec les Arouch. Belaïd Abrika explique alors que « la plate-forme d’el ksour sera bientôt satisfaite (...) y compris tamazight », mais la veille du référendum Bouteflika donne un discours à Constantine : « Il n’y a aucun pays au monde possédant deux langues officielles et ce ne sera jamais le cas en Algérie où la seule langue officielle, consacrée par la Constitution, est l’arabe »[réf. nécessaire]. Il sera vivement critiqué par la presse et le mouvement berbériste qui lui rappelle que de nombreux pays dans le monde, comme le Canada, l’Inde, la Suisse, la Belgique, Israël ou l’Afrique du Sud, possèdent plus d’une langue officielle. Le référendum sera finalement boycotté par 95 % des Kabyles, le même nombre qu'auparavant.
En mars 2009, lors d'un meeting de campagne à Tizi Ouzou en vue de son troisième mandat, Abdelaziz Bouteflika est, contrairement aux années précédentes, accueilli chaleureusement par les Tizi-Ouzéens, son discours s'avérera être un véritable mea culpa et une main tendue aux Kabyles, un discours de réconciliation qualifié d'historique dans une relation gouvernement algérien-Kabylie, qui à trop souvent été tendue par le passé, il déclarera entre autres : « Je suis un authentique Amazigh quand je sais quelque chose je le dis en toute franchise », « Je n’ai jamais imaginé l’Algérie sans la Kabylie pas plus que la Kabylie sans l’Algérie. », « L'Algérie est amazighe (...) », « Vous l'avez dit avec dureté et la faucille a coincé dans la jarre. Aujourd'hui, nous avons libéré la faucille de la jarre. », « L’accueil que vous m’avez réservé est digne de Tizi et du fier Djurdjura », « Vous m’avez rechargé les batteries elles étaient un peu vides », « La difficulté majeure dans la concrétisation des projets dans votre wilaya demeure le manque d'assiette de terrains mais nous sommes prêts à les acheter au prix coûtant pour construire des infrastructures d'utilité publiques », « Des programmes ont été faits ici, vous l'avez mérité et vous méritez plus, beaucoup plus ! », « Vous vous êtes sentis un peu déprimés par rapport à la communauté nationale, vous ne saviez pas si vous étiez fautifs où ce sont eux qui l'ont été avec vous ? Vous faites partie de la famille algérienne. », « Tébessa est à vous, Maghnia (...) comme Alger est à vous. », « Je peux aller dans les autres wilayas et leur dire que l’Algérie se porte bien », « Le patriote que je suis ne peux imaginer, un seul instant, que l’on puisse discuter en Algérie de l’unité nationale et de l’indivisibilité du pays », « Avec l’accueil que vous m’avez réservé aujourd’hui, je peux mourir tranquillement ».
Revenant sur les événements du Printemps noir qu’a connus la Kabylie, le candidat à sa propre succession s’est incliné à la mémoire des martyrs, signe fort il les qualifiera pour la première fois de « martyrs ». « Je suis interpellé par la mort et la chahada, je ne peux pas ne pas m'incliner devant les martyrs de 2001 », « Les Algériens les pleurent comme leurs propres enfants », Je ne sais pas jusqu'à l'instant ce qui a provoqué cette tragédie nationale », a affirmé le candidat. « Du poste où j'étais, je ne sais pas à ce jour qui, d'un côté ou d'un autre, a provoqué cette tragédie. »
Dans la foulée le gouvernement algérien annoncera la création d'une académie berbère, d'un conseil supérieur pour la langue tamazight et d'une nouvelle chaine de télévision publique (tamazight TV 4), émettant 24 heures sur 24 en langue berbère.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abdelaziz_Bouteflika
Abdelaziz Bouteflika
Abdelaziz Bouteflika (en arabe عبد العزيز بوتفليقة, ), né le 2 mars 1937 à Oujda (nord-est du Maroc), est un homme d’État algérien.
Il exerce les fonctions de président de la République depuis le 27 avril 1999. Président d'honneur du Front de libération nationale (FLN) depuis 2005, il est réélu dès le premier tour de scrutin des élections présidentielles de 2004 (84,99 %) et 2009 (90,24 %).
Né à Tlemcen en Algérie, le père d'Abdelaziz, Ahmed, émigre très jeune au Maroc. Il est marié à deux femmes : Belkaïd Rabia et Ghezlaoui Mansouriah, gérante d’un hammam, qui donne naissance à Abdelaziz à Oujda, le 2 mars 1937. Ahmed Bouteflika est mort en 1958.
Abdelaziz Bouteflika a quatre frères (Abdelghani, Mustapha, Abderahim et Saïd Bouteflika), une sœur (Latifa) ainsi que trois demi-sœurs (Fatima, Yamina et Aïcha). Il est le premier enfant issu de sa mère et le second enfant issu de son père - Fatima, sa demi-sœur, étant son aînée.
Abdelaziz Bouteflika vécut et étudia à Oujda, puis quitta l’école en 1950 pour rejoindre l’école Hassania de Scout, avant de devenir moniteur. Il se marie, en août 1990, avec Amal Triki, fille d’un ancien ambassadeur, Yahia Triki.
Engagement militaire
Durant la guerre d'Algérie, en 1956, l’Armée de libération nationale (ALN), branche militaire du parti indépendantiste Front de libération nationale (FLN), ordonne à tous les étudiants algériens de rejoindre ses rangs. Abdelaziz Bouteflika rejoint l’Armée des frontières au Maroc à l’âge de 19 ans, mais ne portera jamais d’armes. Il fit son instruction militaire à l’École des cadres de l’ALN de Dar El Kebdani (Maroc, Ville de Nador), puis il devint « contrôleur » pour la direction de la Wilaya V , sa tâche consistait « à plaider la cause de l’ALN » auprès des populations rurales algériennes pour en obtenir le ralliement. Il se consacra à cette fonction de contrôleur durant dix mois, entre 1957 et 1958.
En 1958, il fut promu par Houari Boumédiène et devint secrétaire administratif au sein du poste de commandement de la Wilaya V, puis secrétaire particulier de Boumédiène au PC de la Wilaya V, mais aussi au PC de l’état-major Ouest et au PC de l’état-major général (1960).
En 2002 et 2005, l’homme politique français Pierre Messmer, ancien ministre des Armées de Charles de Gaulle et ancien Premier ministre, l’accuse d’avoir planifié en 1962 le massacre des Harkis. Selon l'historien Pierre Vidal-Naquet, ce massacre s'inscrirait dans une logique de vendetta non planifiée, résultat de la vindicte populaire.
Carrière politique
À l'indépendance de l'Algérie, en septembre 1962, il devient, à 25 ans, ministre de la Jeunesse et du Tourisme dans le gouvernement du président Ahmed Ben Bella. Membre de la première Assemblée constitutionnelle, il est élu député de Tlemcen aux première et deuxième Assemblées législatives. Après le congrès du FLN d’avril, il est nommé membre du Comité central et du bureau politique du FLN.
À partir de l’année 1963, il est appelé à effectuer de nombreuses missions à l’étranger comme ministre des Affaires étrangères par intérim. En juin 1963, il est confirmé dans ses fonctions. Dès lors il s’en suit une période durant laquelle le jeune ministre des Affaires étrangères (à l’époque plus jeune ministre de ce département au monde) dirigea la diplomatie algérienne, une diplomatie qui faisait de l’Algérie un pays porte-parole du tiers monde et l’interlocuteur privilégié dans les rapports entre le Nord et le Sud, au cours de la même période il obtint sa plus grande consécration en présidant la 29e session de l’Assemblée générale des Nations unies en 1974. Il conclut avec la France, au nom de la République algérienne, l’accord du 27 décembre 1968 relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour en France des ressortissants algériens et de leurs familles, pierre angulaire de la politique de grande émigration algérienne. Il conserva son poste jusqu’à la mort du président Houari Boumédiène.
Le président Chadli Bendjedid le nomme ministre d’État en 1979. Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique, qu’il quitte en 1981 ; il est traduit devant le conseil de discipline du FLN. Il choisit alors de s’exiler pendant six ans dans un contexte politique hostile et d’incrimination par la Cour des comptes de sa gestion du ministère des Affaires étrangères. De retour en Algérie en janvier 1987, il prend part au congrès du FLN de 1989, qui l’élit membre du Comité central. Pressenti pour occuper des fonctions de ministre, il décline ces propositions, comme il ne donne pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est l’objet en vue de son accession aux fonctions de président de la République.
Présidence de la République
En décembre 1998, il fait part de sa décision de se présenter, en qualité de candidat « indépendant » à l’élection présidentielle anticipée. Bouteflika est élu président de la République avec près de 74 % des voix à l'issue d’un scrutin au cours duquel ses adversaires se retirèrent pour dénoncer les conditions d’organisation du vote. Il succède ainsi à Liamine Zéroual, le 27 avril 1999.
Politique intérieure
Les deux premiers mandats du président Bouteflika sont marqués par une ferme volonté de « civiliser » le régime. La professionnalisation de l’armée, la mise à la retraite de hauts gradés et la promotion d’hommes neufs, proches du chef de l’État, vont dans ce sens. Mais la répression des émeutes de Kabylie (Printemps noir) entre avril 2001 et 2002 discrédite l’image de l’État. En août 2005, la nomination au poste d’ambassadeur à Rabat du général Larbi Belkheir, ex-directeur de cabinet de Bouteflika, traduit également une reprise en main de l’armée par le pouvoir civil.
La presse écrite se trouve fragilisée avec l’arrestation de journalistes en 2004 : parmi eux Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, condamné en juin 2004 à une peine de prison. Quelques mois auparavant, ce dernier publie un livre dans lequel il dresse un portrait critique du président : Bouteflika, une imposture algérienne. Et en 2007 Mohamed Benchicou écrit un autre livre après sa sortie de prison qui est intitulé Les gêoles d'Alger et Bouteflika a été vivement critiqué par l’association Reporters sans frontières qui l’accuse de tenter de mettre au pas la presse privée du pays. Bouteflika promettait en 1999 de respecter la liberté de la presse.
Il est réélu en avril 2004, au 1er tour de scrutin d'une élection multipartite, avec 84,99 % des voix.
En 2005, nommé président d'honneur du FLN par le 8e congrès du parti au mois de janvier, le président Bouteflika convoque pour le mois de septembre un référendum pour faire adopter un ensemble de mesures dont le but est de « restaurer la paix civile en Algérie ». Il propose ainsi de reconnaître le droit à des réparations aux familles de disparus, d’accorder une forme d’amnistie pour les membres de groupes armés non coupables de massacres, de viols et d'attentats à la bombe et de créer une aide pour les veuves et orphelins de membres de groupes armés tués. Ces mesures prévoient aussi une amnistie complète pour les membres des forces de sécurité (toutes composantes confondues) responsables de graves violations des droits humains (voir art. 45 de l'Ordonnance d'application de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale). Depuis toute plainte contre eux est considérée comme irrecevable. L'article 46 de ladite ordonnance prévoit une peine de prison de 3 à 5 ans pour "quiconque qui, par ses déclarations, écrits ou tout autre acte, utilise ou instrumentalise les blessures de la tragédie nationale, pour porter atteinte aux institutions de la République algérienne démocratique et populaire,fragiliser l’Etat, nuire à l’honorabilité de ses agents qui l’ont dignement servie, ou ternir l’image de l’Algérie sur le plan international."[7] Durant la campagne pour le référendum, menée tambour battant, l’opposition et les familles des victimes ainsi que les associations des Droits de l’homme sont écartées du débat. Les médias restent hermétiques à toute contestation et entretiennent une confusion entre le droit de refuser et la trahison du pays. L’État utilise dans cette campagne tous les moyens matériels y compris les fonds publics pour le seul bénéfice des partisans du président. Ce référendum pose tout de même le problème des personnes disparues, dont le sort ne peut pas faire l’objet d’une enquête indépendante ou internationale. L’opposition critique une mascarade électorale où, selon elle, les résultats sont connus d’avance (97,36 % de oui et 79,76 % de participation, sauf en Kabylie avec seulement 12 % de participation).
Le 2 mars 2006, il fait fermer les 42 établissements francophones afin de lutter contre la « déviation linguistique ». En juillet 2006, Abdelaziz Bouteflika signe un décret pour gracier les journalistes poursuivis pour diffamation.
Le parlement algérien vote à main levée, le 12 novembre 2008, la modification de la Constitution (500 oui, 21 non, 8 abstentions). Parmi les changements figure le retrait de la limite de deux mandats consécutifs qu'un président peut exercer.
Politique économique
L’Algérie profite depuis 1999 d’une conjoncture économique très favorable due à la hausse du prix du pétrole, l’État en profite pour mener une politique de grands travaux : réalisation de grands chantiers, construction de grandes infrastructures publiques. Peuvent être cités la construction d’un nouvel aéroport à Alger, les projets urbains de circulation dans les métropoles, l’autoroute est-ouest, ainsi que le parc mobilier qui a donné un boom sans précédent.
Cette politique de grands travaux semble relancer l’économie, mais certains observateurs restent méfiants par rapport à cette politique qui n’encourage pas l’entrepreneuriat privé. Le pays est devenu un immense chantier de construction, ainsi plusieurs entreprises étrangères s'y installent dans l'espoir d'être mandaté dans le cadre du programme économique de 150 milliards de dollars qui vise la création d'un million de logements pour la période de 2004 à 2009 ainsi que la construction, pour un investissement de 16 milliards de dollars, de l'autoroute Est-Ouest d'ici fin 2010.
Politique extérieure
Étant lui-même diplomate de carrière, il se donne la gageure de réhabiliter l’image de l’Algérie dans le concert des nations. Ayant acquis l’intime conviction que l’Algérie constitue l’un des quatre points cardinaux de l’Afrique[réf. nécessaire], il s’intéresse beaucoup aux problèmes de ce continent, et initie à cet effet l’idée du NEPAD, qui est adoptée et suivie par la majorité de ses pairs africains[réf. nécessaire]. Il procède aussi à une médiation entre l’Érythrée et l’Éthiopie (en guerre depuis 1997) qui est couronnée par la signature de l’accord de paix d’Alger en 2000.
Le problème du Sahara occidental lui fait du surplace, le Maroc et l’Algérie se cramponnant chacun sur leurs positions respectives. Si l’Afrique du Sud a reconnu la République arabe sahraouie démocratique, Madagascar, le Tchad la Serbie-et-Monténégro, le Kenya et le Costa Rica ont retiré ou gelé la leur, et ce conflit ne semble pas sur le point d’être résolu à court ou moyen terme, obérant par là même la construction d’un ensemble économique cohérent au Maghreb. Les relations avec le voisin Marocain restent très tendues.
Il se préoccupe aussi des relations de son pays avec les États-Unis, avec lesquels il entend coopérer dans tous les domaines. Après les attentats du 11 septembre 2001, Bouteflika propose au terme d’une entrevue avec le président George W. Bush, la coopération de son pays dans le domaine de la lutte antiterroriste, domaine de coopération qui s’avère fructueux eu égard à l’expérience acquise par l’Algérie dans ce domaine (cf. Guerre civile algérienne).
Avec la France, le président Bouteflika cherche à établir une politique d’apaisement, l’entrevue qu’il a avec le président français Jacques Chirac en 2003 à Alger, débouche sur une entente pour la signature d’un traité d’amitié entre les deux pays, mais le vote de la loi du 23 février 2005 par le parlement français (reconnaissant en particulier le rôle positif de la colonisation), constitue une pierre d’achoppement pour la signature de ce traité, Bouteflika dénoncera de son côté cette loi qu’il qualifie de cécité mentale, confinant au négationnisme et au révisionnisme.
Kabylie
Dès sa première élection, les deux partis politiques majoritaires en Kabylie (le FFS et Le RCD) boycottent les élections, le taux d’abstention atteignant 95 % dans cette région de l'Algérie.
Pour promouvoir sa politique de « concorde nationale », le jeudi 2 septembre 1999 il visite Tizi-Ouzou face à une foule hostile[réf. nécessaire]. Il dit : « Si le tamazight devait devenir langue nationale, elle ne sera jamais officielle. Si elle devait devenir langue nationale, ce serait par voie référendaire ». La foule proteste et Bouteflika rajoute « Si vous êtes venu faire du grabuge, je suis capable de faire autant de grabuge que vous ». En 2001, des émeutes éclatent en Kabylie (le Printemps noir). Un mouvement politique fédère les déçus du pouvoir: les Arouch. Le gouvernement de Bouteflika y voit là « la main de l’étranger ». La répression du mouvement par le pouvoir fait 126 morts et des milliers de blessés, finalement Bouteflika reviendra sur ce qu’il a dit en 1999 et fera de tamazight (« la langue berbère ») langue nationale sans passer par un référendum.
Juste avant le référendum sur la réconciliation nationale en 2005, le gouvernement de Bouteflika dirigé à l’époque par Ahmed Ouyahia trouve un accord avec les Arouch. Belaïd Abrika explique alors que « la plate-forme d’el ksour sera bientôt satisfaite (...) y compris tamazight », mais la veille du référendum Bouteflika donne un discours à Constantine : « Il n’y a aucun pays au monde possédant deux langues officielles et ce ne sera jamais le cas en Algérie où la seule langue officielle, consacrée par la Constitution, est l’arabe »[réf. nécessaire]. Il sera vivement critiqué par la presse et le mouvement berbériste qui lui rappelle que de nombreux pays dans le monde, comme le Canada, l’Inde, la Suisse, la Belgique, Israël ou l’Afrique du Sud, possèdent plus d’une langue officielle. Le référendum sera finalement boycotté par 95 % des Kabyles, le même nombre qu'auparavant.
En mars 2009, lors d'un meeting de campagne à Tizi Ouzou en vue de son troisième mandat, Abdelaziz Bouteflika est, contrairement aux années précédentes, accueilli chaleureusement par les Tizi-Ouzéens, son discours s'avérera être un véritable mea culpa et une main tendue aux Kabyles, un discours de réconciliation qualifié d'historique dans une relation gouvernement algérien-Kabylie, qui à trop souvent été tendue par le passé, il déclarera entre autres : « Je suis un authentique Amazigh quand je sais quelque chose je le dis en toute franchise », « Je n’ai jamais imaginé l’Algérie sans la Kabylie pas plus que la Kabylie sans l’Algérie. », « L'Algérie est amazighe (...) », « Vous l'avez dit avec dureté et la faucille a coincé dans la jarre. Aujourd'hui, nous avons libéré la faucille de la jarre. », « L’accueil que vous m’avez réservé est digne de Tizi et du fier Djurdjura », « Vous m’avez rechargé les batteries elles étaient un peu vides », « La difficulté majeure dans la concrétisation des projets dans votre wilaya demeure le manque d'assiette de terrains mais nous sommes prêts à les acheter au prix coûtant pour construire des infrastructures d'utilité publiques », « Des programmes ont été faits ici, vous l'avez mérité et vous méritez plus, beaucoup plus ! », « Vous vous êtes sentis un peu déprimés par rapport à la communauté nationale, vous ne saviez pas si vous étiez fautifs où ce sont eux qui l'ont été avec vous ? Vous faites partie de la famille algérienne. », « Tébessa est à vous, Maghnia (...) comme Alger est à vous. », « Je peux aller dans les autres wilayas et leur dire que l’Algérie se porte bien », « Le patriote que je suis ne peux imaginer, un seul instant, que l’on puisse discuter en Algérie de l’unité nationale et de l’indivisibilité du pays », « Avec l’accueil que vous m’avez réservé aujourd’hui, je peux mourir tranquillement ».
Revenant sur les événements du Printemps noir qu’a connus la Kabylie, le candidat à sa propre succession s’est incliné à la mémoire des martyrs, signe fort il les qualifiera pour la première fois de « martyrs ». « Je suis interpellé par la mort et la chahada, je ne peux pas ne pas m'incliner devant les martyrs de 2001 », « Les Algériens les pleurent comme leurs propres enfants », Je ne sais pas jusqu'à l'instant ce qui a provoqué cette tragédie nationale », a affirmé le candidat. « Du poste où j'étais, je ne sais pas à ce jour qui, d'un côté ou d'un autre, a provoqué cette tragédie. »
Dans la foulée le gouvernement algérien annoncera la création d'une académie berbère, d'un conseil supérieur pour la langue tamazight et d'une nouvelle chaine de télévision publique (tamazight TV 4), émettant 24 heures sur 24 en langue berbère.
Hospitalisations
Hospitalisé au Val-de-Grâce le 26 novembre 2005, il est, d’après le bulletin de santé officiel, opéré d’un ulcère de l’estomac. Durant cette période, les informations sont très rares et l’état du président fait l’objet de spéculations dans l’opinion et la presse de son pays. La sortie du président Bouteflika a lieu le 17 décembre. Un document télévisuel vise alors à rassurer l’opinion, bien qu’il doit suivre une convalescence d’une durée indéterminée. Il montre le président fatigué en compagnie de son médecin traitant Messaoud Zitouni qui donne des informations sur la nature de la maladie et des soins qui lui ont été prodigués. Il vise par ailleurs à contredire et mettre un terme aux spéculations et rumeurs ayant circulé à ce sujet. Le président rentre en Algérie le 31 décembre 2005.
Il est de nouveau hospitalisé au Val-de-Grâce le 20 avril 2006 pour une « visite de suivi médicale » selon le ministère des Affaires étrangères. Depuis le président algérien a repris ses fonctions, et a effectué plusieurs visites à l'extérieur comme à l'intérieur du pays.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abdelaziz_Bouteflika
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Bouteflika à Ourgla
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Sa présence pour un tel évènement est très importante sur le territoire, redonner et réalimenter la confiance au peuple pour leur faire garder l'optimisme et l'ambition, pour un avenir meilleur que les futures générations méritent, et irritent ce qu'on a irrités de nos chouhadas.
Que ce Aîd, lui revient avec beaucoup de santé et paix, qu'Allah lui donne longue vie.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Droit_de_l'homme a écrit:Sa présence pour un tel évènement est très importante sur le territoire, redonner et réalimenter la confiance au peuple pour leur faire garder l'optimisme et l'ambition, pour un avenir meilleur que les futures générations méritent, et irritent ce qu'on a irrités de nos chouhadas.
Que ce Aîd, lui revient avec beaucoup de santé et paix, qu'Allah lui donne longue vie.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
il a travailler comme un géant :payer la dette fmi ect les grands chantiers en marches il y a qu'a voir de touts petits village qui sont devenue de grandes villes avec touts :habitations l'eau électricité gaz écoles universités ça mérite d'an parler et le dire trés hauts :il a remiis l'état qalgerien debouts dans les forums du monde.
j'avais rencontrer l'ancien sous prefet de témouchentd'avant l'indépendance jusqu'a 1963 ou 64: en vacance en bon retraité:on a degusté sur témouchent ou il avait la remarque suivante ce que vous avez réalisé a témouchent ça n'a pas était réaliser en france dans certains départements,il y a un grand changement.
tant mieux et il faut continuer la performance avec la main de fatma.
j'avais rencontrer l'ancien sous prefet de témouchentd'avant l'indépendance jusqu'a 1963 ou 64: en vacance en bon retraité:on a degusté sur témouchent ou il avait la remarque suivante ce que vous avez réalisé a témouchent ça n'a pas était réaliser en france dans certains départements,il y a un grand changement.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Ce que pense Bouteflika de Mohammed VI
Amel Blidi
Les télégrammes divulgués par WikiLeaks sont révélateurs du fossé existant entre l’Algérie et le Maroc. Pour le président algérien, le roi du Maroc est un «homme non ouvert, qui manque d’expérience et n’a même pas le sens de l’humour». Pour le problème du Sahara occidental, il pense que le souverain alaouite fait fausse route avec son histoire d’autonomie.
Un fossé d’incompréhension et de préjugés sépare les dirigeants algérien et marocain. Les télégrammes révélés par le site WikiLeaks montrent à quel point les divergences sont profondes. En plus du conflit sur le Sahara occidental qui empoisonne les relations entre Alger et Rabat, les deux dirigeants ne s’apprécient guère. Le président algérien voit en Mohammed VI un homme non ouvert et qui manque d’expérience.L’aversion de Abdelaziz Bouteflika pour le roi marocain est telle qu’il promet, dans une confidence à l’assistante du président américain George Bush pour la sécurité intérieure et l’antiterrorisme, Frances Fragos Townsend, de ne pas «lui serrer la main».
Le président algérien dit avoir une préférence pour le frère du roi, Moulay Rachid, avec lequel il affirme avoir «plaisanté et discuté agréablement» lors d’une rencontre à Séville, en Espagne, selon un autre mémo américain. «Nous avons bavardé et plaisanté avec bonheur, mais je ne peux pas faire la même chose avec le roi, car nous n’avons pas le même sens de l’humour», a-t-il déploré. Concernant le Sahara, le chef de l’Etat algérien assure que s’il pouvait résoudre le problème, il le ferait. «Mais je ne peux pas parler à la place des Sahraouis», dit-il. «Ce qu’il faut c’est que le Maroc et le Polisario trouvent une solution et ils peuvent le faire avec l’aide des Américains», aurait ajouté le président algérien.
En février 2008, selon un autre télégramme émis après un entretien avec un diplomate américain, Abdelaziz Bouteflika a jugé qu’au lieu de faire preuve d’une approche «élégante» en acceptant une indépendance du Sahara occidental qu’ils auraient pu «contrôler» ou «superviser», les Marocains souhaitent en réalité « un «anschluss» (un rattachement) comme Saddam Hussein avec le Koweït». Le «plan d’autonomie» voulu par Rabat à la place du référendum d’autodétermination n’offre, d’après Bouteflika, qu’un semblant d’autonomie. Les provinces algériennes en ont davantage vis-à-vis d’Alger, soutient-il.
Les visées malsaines de Paris
A en croire les mémos diffusés par WikiLeaks, le président algérien rumine sa rancune auprès de la France qui n’aurait, selon ses mots repris par Le Monde, «jamais vraiment accepté l’indépendance algérienne» et tente de régler ses comptes avec l’Algérie «en appuyant le Maroc».Les Français, «du fait du poids de leur histoire coloniale au Maghreb, sont incapables de jouer un rôle constructif dans le conflit» du Sahara, a-t-il aussi estimé lors d’une rencontre avec Frances Fragos Townsend, conseillère du président George W. Bush pour les affaires de sécurité, selon ces mémos rendus publics par Le Monde. Il semble que le président français a été assez maladroit dans sa diplomatie envers les pays du Maghreb. Alors que le président algérien lui attribue des visées malsaines, le Maroc s’est senti «trahi» par le fait qu’il ait réservé son premier déplacement hors d’Europe à l’Algérie.
Si le président critique sans ménagement le royaume chérifien, les proches du roi lui rendent la pareille. Ils expliquent, en juin 2009, au représentant personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, que «le pouvoir est toujours entre les mains de généraux dogmatiques», «pétrifiés» à l’idée du plan d’autonomie pour le Sahara présenté par Rabat. L’Algérie est décrite comme une «menace», un pays qui ferait barrage au Maroc pour lutter efficacement contre le terrorisme et qui chercherait à se doter de l’arme nucléaire.
Dans la note du 31 juillet 2007, Fouad Ali Himma, adjoint du ministre de l’Intérieur, souligne, après un voyage effectué à Alger, que «les efforts marocains répétés pour réduire le fossé diplomatique ont été rejetés». «Nous avons dit aux Algériens que le Maroc était prêt à rouvrir sa frontière et à prendre d’autres mesures pour rétablir la confiance, mais les Algériens ne nous ont jamais dit ce qu’ils voulaient», prétend-il. Les Américains jugent, eux aussi, sévèrement le Maroc.
Un câble diplomatique daté du 4 août 2008 et provenant de l’ambassade américaine à Rabat, répercuté par El Pais, Thomas Riley, ambassadeur des Etats-Unis au Maroc de 2003 à 2009, est longuement revenu sur la «coopération exemplaire» entre les armées des deux pays. Mais il insiste également sur la corruption au sein de l’armée marocaine en citant nominativement un général.D’autres mémos évoquent des pratiques frauduleuses dans le secteur immobilier au Maroc.
Amel Blidi
Syfou- Adminstrateur
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Re: Abdelaziz Bouteflika
nous sommes constant avec nous même,cela est le propre de la politique algérienne,nous n'avons jamais été des renégats a la parole donnée.
nos frontières hérités par le sang de chouhadas,nous ne les avons pas trouvé dans le bonus. et il est normal de les défendres,
la révolution algerienne a aidé et aide touts pays épries de paix et de liberté:aussi bien pour la palestine ou le sahara:mais nous allons pas discuter a leur place; nous les aidons du fond du coeur avec fraternité.comme nous avons été heureux pour le peuple marocain pour sa liberté ,nous aurions aimés allé comme au traité de tanger,mais que faire les aléas de l'histoire sont celà.
nos frontières hérités par le sang de chouhadas,nous ne les avons pas trouvé dans le bonus. et il est normal de les défendres,
la révolution algerienne a aidé et aide touts pays épries de paix et de liberté:aussi bien pour la palestine ou le sahara:mais nous allons pas discuter a leur place; nous les aidons du fond du coeur avec fraternité.comme nous avons été heureux pour le peuple marocain pour sa liberté ,nous aurions aimés allé comme au traité de tanger,mais que faire les aléas de l'histoire sont celà.
abdelmalek- Adm
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Le président Bouteflika en visite officielle en Allemagne
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, effectuera mardi une visite officielle en République fédérale d'Allemagne, à l'invitation de la chancelière fédérale allemande, Angela Merkel, indique ce lundi la présidence de la République dans un communiqué. Au cours de son séjour, le président Bouteflika aura des entretiens avec Mme Angela Merkel ainsi qu'avec le président fédéral allemand, M. Christian Wulff, ajoute le communiqué. Cette visite sera « une occasion pour les responsables des deux pays de passer en revue l'état des relations bilatérales et d'étudier les voies et les moyens de les insuffler pour leur imprimer une dynamique à la mesure des potentialités que recèlent les deux économies », souligne-t-on. « Elle sera également l'occasion d'examiner les questions d'intérêt commun ainsi que les questions internationales de l'heure de même que les moyens pour chacune des parties d'apporter sa contribution à la paix et à la sécurité dans le monde et dans l'ensemble euro-méditerranéen », conclut-on de même source.
Visite du président Bouteflika à Berlin, « une occasion pour renforcer la coopération économique »
La visite officielle qu'effectuera le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, mardi en Allemagne, sera l'occasion pour les deux pays d'identifier les potentialités économiques de coopération susceptibles d'être renforcés entre Alger et Berlin, indique-t-on lundi de source diplomatique. Cette visite illustre la volonté partagée d'explorer et de mieux mettre à profit les éléments de complémentarité qu'offrent les potentialités de l'Algérie et l'Allemagne afin de « consolider les acquis d'une relation qui se développe au fil des années », notamment depuis la première visite du chef de l'Etat à Berlin en 2001, estime-t-on de même source. Les responsables des deux pays auront ainsi l'occasion « de passer en revue l'état des relations bilatérales et d'étudier les voies et les moyens de les insuffler pour leur imprimer une dynamique à la mesure des potentialités que recèlent les deux économies », a précisé un communiqué de la présidence de la République. Elle sera également « l'occasion d'examiner les questions d'intérêt commun ainsi que les questions internationales de l'heure de même que les moyens pour chacune des parties d'apporter sa contribution à la paix et à la sécurité dans le monde et dans l'ensemble euro-méditerranéen », a ajouté la même source. Par ailleurs, la source diplomatique souligne que cette deuxième visite intervient à un moment où les relations entre les deux pays connaissent une « évolution appréciable », d'autant qu'elles ont enregistré, au cours de ces dernières années, un développement « notable en qualité et en densité ». Cette évolution se traduit, notamment par un échange régulier de visites de haut niveau entre les deux pays, dont celles effectuées en Algérie par l'ancien président fédéral, M. Horst Kohler, en novembre 2007 et par la chancelière Mme Angela Merkel, en juillet 2008. La volonté politique « partagée » par les deux capitales et leurs intérêts économiques et géostratégiques respectifs, « restent, malgré la crise économique et financière mondiale, favorables au renforcement des échanges économiques et de la coopération bilatérale dans plusieurs secteurs porteurs », souligne-t-on. Dans ce contexte, on relève que « l'absence de contentieux ou de différends » entre les deux pays, ainsi que « l'aisance financière » dont dispose l'Algérie, permettront la mise à profit de tous les éléments de complémentarité qui caractérisent les économies algérienne et allemande. Les opérateurs allemands ont montré, rappelle-t-on, un « vif intérêt » pour le développement des relations avec leurs partenaires algériens dans les domaines des énergies renouvelables, des technologies de l'environnement, de la construction et de la réparation maritime, des transports, des infrastructures, et de l'industrie chimique. De nombreuses PME allemandes ont ainsi exprimé leur souhait de prendre part aux projets de réalisation de logements et d'infrastructures routières, inscrits dans le programme quinquennal 2010-2014. Quatre délégations d'hommes d'affaires, représentant les Landers (Etats fédéraux), ont déjà effectué des visites en Algérie au cours de cette année. Au chapitre commercial, la même source indique que le volume des échanges a atteint, au cours des années 2007 et 2008, un niveau « appréciable » avec respectivement 1,32 milliard de dollars et 2,76 milliards de dollars. Pour l'année 2009, les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Allemagne ont atteint 2,96 milliards de dollars, soit une augmentation de 7%, relève-t-on. Durant la même année, une baisse « substantielle » des exportations algériennes vers l'Allemagne a été enregistrée (-109 millions de dollars), note-t-on. Pour le premier semestre 2010, l'Allemagne a occupé le 4e rang parmi les fournisseurs de l'Algérie avec 1,276 milliard de dollars, soit -12,9% par rapport à 2009. On souligne aussi que l'Allemagne ne figure pas dans le classement des 15 premiers clients de l'Algérie du premier semestre 2010, ce qui signifie que les exportations algériennes vers ce pays est inférieur à 203 millions de dollars. L'Algérie importe essentiellement de ce pays des équipements mécaniques, électriques, sidérurgiques, des véhicules et des produits chimiques et des graisses. Les exportations algériennes sont, à l'inverse, constituées essentiellement des hydrocarbures (pétrole et gaz) et dérivés. Le niveau de coopération algéro-allemande est, en outre, soutenu par la Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie, créée en 2006. Cette structure compte actuellement 620 d'adhérents dont pas moins de 200 entreprises présentes en Algérie. Mais, on relève que le volet le « plus important » des relations algéro-allemandes est la formation pour la petite et moyenne entreprises (PME). « Positif, créateur d'emplois et de richesse et répondant au principe, gagnant-gagnant, l'investissement allemand en Algérie n'est pas important, mais peut se développer », soutient cependant la même source. Dans le domaine scientifique, l'Allemand Solar-Institut de Julich (SIJ) mène un projet de réalisation d'une tour solaire thermoélectronique à Tipasa, en collaboration avec le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER). L'accord relatif à ce projet a été signé et les travaux de réalisation, financés en grande partie par l'Allemagne, débuteront au courant du premier trimestre 2011. Un autre projet, « Desertec », évalué à 400 milliards de dollars, destiné à exploiter le potentiel solaire de l'Algérie pour produire de l'énergie alternative, représente également un grand intérêt pour l'Allemagne, leader mondial dans le domaine des énergies nouvelles. On rappelle, à cette occasion, que l'Allemagne a été le principal partenaire à avoir accompagner le processus de l'industrialisation de l'Algérie durant les années 1970. En tant qu' « acteur majeur » sur la scène internationale depuis la réunification en 1990, mais aussi avec son rôle « moteur » au sein de l'Union européenne, l'Allemagne « peut apporter beaucoup à l'Algérie dans sa politique actuelle de développement », estime-t-on. On souligne de même source que l'Allemagne, qui est candidate pour un siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU, est une puissance économique majeure qui « peut s'affirmer sur le plan politique » et un partenariat solide avec ce pays qui « résiste assez bien » à la crise économique et financière mondiale, « permettrait un transfert de sa technologie et son savoir-faire à l'Algérie ». Enfin, il convient de relever que le nombre des ressortissants algériens établis en Allemagne, inscrits au niveau des représentations diplomatiques (ambassade à Berlin et consulat à Bonn)) est estimé à 28 900.
http://www.echoroukonline.com/fra/index.php?news=7483
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, effectuera mardi une visite officielle en République fédérale d'Allemagne, à l'invitation de la chancelière fédérale allemande, Angela Merkel, indique ce lundi la présidence de la République dans un communiqué. Au cours de son séjour, le président Bouteflika aura des entretiens avec Mme Angela Merkel ainsi qu'avec le président fédéral allemand, M. Christian Wulff, ajoute le communiqué. Cette visite sera « une occasion pour les responsables des deux pays de passer en revue l'état des relations bilatérales et d'étudier les voies et les moyens de les insuffler pour leur imprimer une dynamique à la mesure des potentialités que recèlent les deux économies », souligne-t-on. « Elle sera également l'occasion d'examiner les questions d'intérêt commun ainsi que les questions internationales de l'heure de même que les moyens pour chacune des parties d'apporter sa contribution à la paix et à la sécurité dans le monde et dans l'ensemble euro-méditerranéen », conclut-on de même source.
Visite du président Bouteflika à Berlin, « une occasion pour renforcer la coopération économique »
La visite officielle qu'effectuera le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, mardi en Allemagne, sera l'occasion pour les deux pays d'identifier les potentialités économiques de coopération susceptibles d'être renforcés entre Alger et Berlin, indique-t-on lundi de source diplomatique. Cette visite illustre la volonté partagée d'explorer et de mieux mettre à profit les éléments de complémentarité qu'offrent les potentialités de l'Algérie et l'Allemagne afin de « consolider les acquis d'une relation qui se développe au fil des années », notamment depuis la première visite du chef de l'Etat à Berlin en 2001, estime-t-on de même source. Les responsables des deux pays auront ainsi l'occasion « de passer en revue l'état des relations bilatérales et d'étudier les voies et les moyens de les insuffler pour leur imprimer une dynamique à la mesure des potentialités que recèlent les deux économies », a précisé un communiqué de la présidence de la République. Elle sera également « l'occasion d'examiner les questions d'intérêt commun ainsi que les questions internationales de l'heure de même que les moyens pour chacune des parties d'apporter sa contribution à la paix et à la sécurité dans le monde et dans l'ensemble euro-méditerranéen », a ajouté la même source. Par ailleurs, la source diplomatique souligne que cette deuxième visite intervient à un moment où les relations entre les deux pays connaissent une « évolution appréciable », d'autant qu'elles ont enregistré, au cours de ces dernières années, un développement « notable en qualité et en densité ». Cette évolution se traduit, notamment par un échange régulier de visites de haut niveau entre les deux pays, dont celles effectuées en Algérie par l'ancien président fédéral, M. Horst Kohler, en novembre 2007 et par la chancelière Mme Angela Merkel, en juillet 2008. La volonté politique « partagée » par les deux capitales et leurs intérêts économiques et géostratégiques respectifs, « restent, malgré la crise économique et financière mondiale, favorables au renforcement des échanges économiques et de la coopération bilatérale dans plusieurs secteurs porteurs », souligne-t-on. Dans ce contexte, on relève que « l'absence de contentieux ou de différends » entre les deux pays, ainsi que « l'aisance financière » dont dispose l'Algérie, permettront la mise à profit de tous les éléments de complémentarité qui caractérisent les économies algérienne et allemande. Les opérateurs allemands ont montré, rappelle-t-on, un « vif intérêt » pour le développement des relations avec leurs partenaires algériens dans les domaines des énergies renouvelables, des technologies de l'environnement, de la construction et de la réparation maritime, des transports, des infrastructures, et de l'industrie chimique. De nombreuses PME allemandes ont ainsi exprimé leur souhait de prendre part aux projets de réalisation de logements et d'infrastructures routières, inscrits dans le programme quinquennal 2010-2014. Quatre délégations d'hommes d'affaires, représentant les Landers (Etats fédéraux), ont déjà effectué des visites en Algérie au cours de cette année. Au chapitre commercial, la même source indique que le volume des échanges a atteint, au cours des années 2007 et 2008, un niveau « appréciable » avec respectivement 1,32 milliard de dollars et 2,76 milliards de dollars. Pour l'année 2009, les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Allemagne ont atteint 2,96 milliards de dollars, soit une augmentation de 7%, relève-t-on. Durant la même année, une baisse « substantielle » des exportations algériennes vers l'Allemagne a été enregistrée (-109 millions de dollars), note-t-on. Pour le premier semestre 2010, l'Allemagne a occupé le 4e rang parmi les fournisseurs de l'Algérie avec 1,276 milliard de dollars, soit -12,9% par rapport à 2009. On souligne aussi que l'Allemagne ne figure pas dans le classement des 15 premiers clients de l'Algérie du premier semestre 2010, ce qui signifie que les exportations algériennes vers ce pays est inférieur à 203 millions de dollars. L'Algérie importe essentiellement de ce pays des équipements mécaniques, électriques, sidérurgiques, des véhicules et des produits chimiques et des graisses. Les exportations algériennes sont, à l'inverse, constituées essentiellement des hydrocarbures (pétrole et gaz) et dérivés. Le niveau de coopération algéro-allemande est, en outre, soutenu par la Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie, créée en 2006. Cette structure compte actuellement 620 d'adhérents dont pas moins de 200 entreprises présentes en Algérie. Mais, on relève que le volet le « plus important » des relations algéro-allemandes est la formation pour la petite et moyenne entreprises (PME). « Positif, créateur d'emplois et de richesse et répondant au principe, gagnant-gagnant, l'investissement allemand en Algérie n'est pas important, mais peut se développer », soutient cependant la même source. Dans le domaine scientifique, l'Allemand Solar-Institut de Julich (SIJ) mène un projet de réalisation d'une tour solaire thermoélectronique à Tipasa, en collaboration avec le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER). L'accord relatif à ce projet a été signé et les travaux de réalisation, financés en grande partie par l'Allemagne, débuteront au courant du premier trimestre 2011. Un autre projet, « Desertec », évalué à 400 milliards de dollars, destiné à exploiter le potentiel solaire de l'Algérie pour produire de l'énergie alternative, représente également un grand intérêt pour l'Allemagne, leader mondial dans le domaine des énergies nouvelles. On rappelle, à cette occasion, que l'Allemagne a été le principal partenaire à avoir accompagner le processus de l'industrialisation de l'Algérie durant les années 1970. En tant qu' « acteur majeur » sur la scène internationale depuis la réunification en 1990, mais aussi avec son rôle « moteur » au sein de l'Union européenne, l'Allemagne « peut apporter beaucoup à l'Algérie dans sa politique actuelle de développement », estime-t-on. On souligne de même source que l'Allemagne, qui est candidate pour un siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU, est une puissance économique majeure qui « peut s'affirmer sur le plan politique » et un partenariat solide avec ce pays qui « résiste assez bien » à la crise économique et financière mondiale, « permettrait un transfert de sa technologie et son savoir-faire à l'Algérie ». Enfin, il convient de relever que le nombre des ressortissants algériens établis en Allemagne, inscrits au niveau des représentations diplomatiques (ambassade à Berlin et consulat à Bonn)) est estimé à 28 900.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
la politique des allemands nous intéresses:car sa vision ce rapproche de la notre dans plusieurs domaines:nous pouvons être un partenaires sérieux avec eux d'autant plus que nos relations été bonne avec les deux allemagnes dans le passé:mais nous avons des atouts pour l'Europe et ils le savent.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Nous avons des très grandes opportunités avec notre Sahara, et nous serons bientôt parmi la tête du groupe de fournisseurs d’énergie en Europe, notre chef et bien inspiré, et c'est un honneur franchement, lorsque on voit la volonté et l'ambition d'une éventuelle évolution recommandé et entamé par le chef d'état lui même. il faut être fière
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Re: Abdelaziz Bouteflika
je le suis car la vision politique montre des atouts;et sa visite dérange pas mâle de pays qui veullent voir voir de l'algerie simplement une vache a traire . tant pis pour eux et doivent changer de fusil d'épaule et discuter a partenaire égale.
abdelmalek- Adm
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Une bonne gouvernance se base sur la bonne gestion du patrimoine, et la bonne politique d'investissement durable. regarder loin et envisager le futur sur, c'est la bonne intention pour une éventuelle évolution sur plusieurs plans. l'évolution relationnelle et très importante pareillement pour une éventuelle futur possession des technologies, nous permettant a suivre et tenir le même niveau ou plus du rythme mondial, car nous possédons déjà les plus importants des éléments.
Certes que le programme de développement de notre Chef dérange pas mal de pays suite a leurs attentes mal intentionnées! mais si je me permis de le dire, docteur, même s'ils changent de position de tir!! il est temps de discuter a un air supérieur. car l'Algérie a clôturé les crises Eco-politiques des générations passées. et pour acquérir il faut subir. Hamdoulah on a assez subit
Certes que le programme de développement de notre Chef dérange pas mal de pays suite a leurs attentes mal intentionnées! mais si je me permis de le dire, docteur, même s'ils changent de position de tir!! il est temps de discuter a un air supérieur. car l'Algérie a clôturé les crises Eco-politiques des générations passées. et pour acquérir il faut subir. Hamdoulah on a assez subit
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Re: Abdelaziz Bouteflika
j'aime bien ce que tu dis :donc la tête haute . la bonne gouvernance sera un trés grand pas: et une gifle aux ennemies de notre nation.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Tout a fait docteur. de toute façon c'est déjà malle senti par certains pays! mais la réalité reste vive, et nous n'avons plus leur temps! a ce stade chacun se dope pour surmonter vite son échelle.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
on souhaite que le soleil ne ce couche jamais en Algérie, car il faut travailler a l'infini.
comme les allemands deux guerres et deux fois ils ont construit le pays avec la rage de vaincre le néant.
comme les allemands deux guerres et deux fois ils ont construit le pays avec la rage de vaincre le néant.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
abdelmalek a écrit:on souhaite que le soleil ne ce couche jamais en Algérie, car il faut travailler a l'infini.
comme les allemands deux guerres et deux fois ils ont construit le pays avec la rage de vaincre le néant.
La preuve baden banden ville allemande rasé completement pendant le guerre
Avec la volenté et l'orgueil allemand et dans peu de temps la ville a etait 'recronstruite' par qui ? par des FEMMES
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Re: Abdelaziz Bouteflika
faisant confiance a nos filles et a nos femmes:on peu faire des miracle:alors un chef de gouvernement femme pourquoi pas.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Algérie 2011: Des Émeutes contre Bouteflika
Émeutes Algérie 2011 – Bouteflika | La presse internationale suit toujours avec beaucoup d’intérêt les émeutes qui secouent l’Algérie depuis mercredi dernier.
Ainsi le quotidien londonien, Al Charq Al Awsat, reprend dans son édition d’hier, des propos attribués au secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui met en garde les P/APC de son parti contre «quelque chose qui se trame contre Bouteflika».
Le journal cite dans ce sens, des propos d’un maire d’une des communes d’Alger qui avait affirmé que «Abdelaziz Belkhadem a mis en garde ses militants contre les slogans lancés par les émeutiers et dans lesquels ils demandent le départ de Bouteflika».
http://www.city-dz.com
Émeutes Algérie 2011 – Bouteflika | La presse internationale suit toujours avec beaucoup d’intérêt les émeutes qui secouent l’Algérie depuis mercredi dernier.
Ainsi le quotidien londonien, Al Charq Al Awsat, reprend dans son édition d’hier, des propos attribués au secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui met en garde les P/APC de son parti contre «quelque chose qui se trame contre Bouteflika».
Le journal cite dans ce sens, des propos d’un maire d’une des communes d’Alger qui avait affirmé que «Abdelaziz Belkhadem a mis en garde ses militants contre les slogans lancés par les émeutiers et dans lesquels ils demandent le départ de Bouteflika».
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Urgent
http://printemps2001.unblog.fr/2011/01/09/urgent-bouteflika-hospitalise-depuis-jeudi/
Une source bien informée a indiqué que le président algérien Abdelaziz Bouteflika est transféré en urgence dans un hôpital européen pour des soins. Val de grâce estiment certains, alors que d'autres évoquent un hôpital suisse. Le président algérien qui n'a pas donné signe “de vie” depuis plusieurs semaines souffrait de maux d'estomac. Selon la même source, les émeutes qui ont éclaté partout dans le pays, seraient aussi à l'origine de ce malaise.
http://printemps2001.unblog.fr/2011/01/09/urgent-bouteflika-hospitalise-depuis-jeudi/
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Re: Abdelaziz Bouteflika
je comprend mieux cette situation ,que dieu le guérisse le plus vite.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
abdelmalek a écrit:je comprend mieux cette situation ,que dieu le guérisse le plus vite.
Amine comme meme c'est notre confrere
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Les sages comprennent docteur un proverbe thèque qui me plais beaucoup, je le redis une seconde fois;< Le sage ne dit pas ce qu'il sait, et le sot ne sait pas ce qu'il dit>!
Nous n'avons toujours rien d'officiel! et la balle au canaux peut être démise si l'on fait l'effort!! trop tard si elle est tirée!
Que Allah lui donne sur rétablissement, et donne a la chère Algérie l'Anti-dote de certaines mordues. Amine
Nous n'avons toujours rien d'officiel! et la balle au canaux peut être démise si l'on fait l'effort!! trop tard si elle est tirée!
Que Allah lui donne sur rétablissement, et donne a la chère Algérie l'Anti-dote de certaines mordues. Amine
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Re: Abdelaziz Bouteflika
les info de 20heures d'hier ,je l'aie vue et sa ma faits plaisirs de le voir bien debout et discutons avec le ministre canadien:khamsa fi el assadine.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Jouissant soulagement docteur, malheureusement je capte pas les chaines d'infos locales, la ou je me trouve. Que Allah lui donne longue vie, bonne santé, et une continue volonté de gouverner jusqu'au beau.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
merci cher ami:trop de tangente qui ne veulent que la destruction.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
abdelmalek a écrit:merci cher ami:trop de tangente qui ne veulent que la destruction.
Docteur ! sur le facebook y'en a un paquet
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Re: Abdelaziz Bouteflika
donc la vigilance est de mise dans touts les domaines.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
akid lotfi a écrit:abdelmalek a écrit:merci cher ami:trop de tangente qui ne veulent que la destruction.
Docteur ! sur le facebook y'en a un paquet
ça a prit de l'ampleur, jusqu'ici akid, il est temps de désinfecter le périmètre
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Re: Abdelaziz Bouteflika
la stabilité est importante pour notre pays :il y a bcp de chantiers a terminer et d'autres a construire. que ce qui sont dans les chantiers je leurs souhaite bonne chance .
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Abdelaziz Bouteflika a annoncé, pour bientôt, la levée de l’état d’urgence
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Le président de la république M. Abdelaziz Bouteflika, a annoncé que la levée de l’état d’urgence interviendra « dans un trèsproche avenir ». « Aussi, pour mettre un terme à toute polémique infondée sur cette question, je charge le gouvernement à s’atteler, sans délais, à l’élaboration de textes appropriés qui permettront à l’Etat de poursuivre la lutte antiterroriste jusqu’à son aboutissement, avec la même efficacité et toujours dans le cadre de la loi », a souligné le président de la République qui intervenait dans le cadre du Conseil des ministres. Le chef de l’Etat a rappelé, à ce propos, que l’état d’urgence a été instauré « pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c’est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale ».
Pour le président de la République, l’état d’urgence « n’a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l’avis même des observateurs qui les ont suivies ». S’agissant de l’organisation des marches, et hormis la wilaya d’Alger, « rien ne l’entrave dans toutes les autres wilayas, pour autant que les demandes et les conditions exigées par la loi soient réunies », a encore précisé le chef de l’Etat.
« Certes, la capitale fait exception dans ce domaine pour des raisons d’ordre public bien connues, et certainement pas pour y empêcher une quelconque expression », a-t-il relevé. « Au demeurant, Alger compte plusieurs salles publiques de capacités diverses, qui sont gracieusement disponibles pour tout parti ou association en faisant légalement la demande, en vue d’y faire entendre son point de vue »,a rappelé le président de la République.
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Re: Abdelaziz Bouteflika
il faut que le language change avec une certaine tradition orale:on veut parler alors parler ,vous voulez dire que la langue tricote:mais soyez positif et prenez vos responsabilités devant les citoyens et l'état.personne n'a bloquer la pensé:nous avons des journaux qui disent bcp;alors restons positif.c'est ce que je veut dire a ceux qu'ils veulent le changement. car tous nous avons le droit de ce pays. il n'est la propriété de personne.mais chacun a sa responsabilité et joue son role.depuis l'indépendance nous avons eux plusieurs présidents celà montre que ce pays cultive le changement .
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Re: Abdelaziz Bouteflika
Un négatif ne peut être positif !est reconnue irresponsable! colonisé par l'ignorance raison de leurs affirmations!! ceux qui réclament le changement ne sont que des rêveurs paresseux, docteur. tous ce qu'ils peuvent faire c'est bouger leurs langue et bavarder la majeur partie d'entre eux ne connaissent même pas l'histoire de ce pays malheureusement!! la levée de l’état d’urgence n'est qu'un défit pour eux, que c'est dommage lorsque quiconque pense pouvoir apporter le changement par l'ignorance. soyez sur que toutes les précautions sont prises.
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