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Services secrets américains
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Services secrets américains
La police fédérale américaine
le FBI n'exploite pas tous les documents faute de moyens
La police fédérale américaine n'exploite pas un tiers des documents électroniques et un quart des documents audio qu'elle saisit dans le cadre de son activité anti-terroriste faute de traducteurs en nombre suffisant, révèle un rapport rendu public lundi.
Ce rapport de l'inspecteur général du ministère de la justice américaine, Glenn Fine, estime que "ne pas exploiter ces documents augmente le risque que le FBI ne détecte pas une information en sa possession qui pourrait être intéressante dans la lutte anti-terroriste". L'inspecteur général affirme que "100% des 4,8 millions de pages de texte en langage étranger" recueillies par le FBI sont examinées mais qu'en revanche, "14,2 millions de 46 millions d'e-mails" (31%) ne le sont pas, de même que 1,2 million des 4,8 millions d'heures (25%) de documents audio en sa possession. La principale raison à cela est le manque de traducteurs ou le manque de formation de ceux qui sont en poste. (GFR)
http://www.rtlinfo.be/info/monde/international/281893/anti-terrorisme-le-fbi-n-exploite-pas-tous-les-documents-faute-de-moyens
Dernière édition par sphinx le Ven 20 Avr - 22:23, édité 1 fois
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Re: Services secrets américains
La CIA perd sept espions sur une base secrète
Cet attentat suicide est le coup le plus dur porté à l'agence depuis 1983.
L'attentat suicide qui a fait sept morts cette semaine en Afghanistan porte un coup très dur à la CIA et aux opérations de renseignement américaines sur place. Il soulève aussi des questions sur la nouvelle stratégie de l'Administration américaine en Afghanistan, basée sur la formation d'une armée afghane locale loyale et unifiée, dans laquelle la CIA joue un rôle essentiel.
C'est l'heure de la détente juste avant le dîner ce mercredi à la base secrète de Chapman, à quelques kilomètres de la ville de Khost (à l'est du pays), lorsqu'un Afghan en cours de recrutement pour devenir informateur pénètre dans l'enceinte. Il n'est pas fouillé, car les Américains essaient d'établir une relation de confiance avec lui. Mais, à l'entrée du gymnase, l'homme vêtu d'un uniforme de soldat et équipé d'une ceinture bourrée d'explosifs se fait sauter et tue sept agents parmi les plus expérimentés, en plus d'un Afghan. Il blesse grièvement six autres membres de la CIA. C'est le coup le plus dur porté à l'agence depuis un attentat qui avait coûté la vie à huit agents à Beyrouth en 1983.
Cet attentat suicide inquiète les États-Unis pour plusieurs raisons. Le kamikaze est soupçonné d'avoir été membre de l'Armée nationale afghane (ANA). Ce qui met en cause le degré de confiance entre Américains et Afghans à la veille du déploiement de 30 000 GI en renforts, censés passer le flambeau à l'armée afghane à partir de 2011. Dans un contexte de suspicion mutuelle croissante, les attaques de soldats afghans contre les forces américaines se multiplient. L'ANA, «jeune, inexpérimentée et ethniquement diversifiée» est sollicitée par les Américains pour «lutter contre ses compatriotes musulmans» dans une «guerre impopulaire parmi les Afghans», note le Washington Post.
Autre source d'inquiétude, la sophistication des méthodes employées par les talibans, qui ont réussi cette fois à infiltrer l'agence chargée de les débusquer. Une importante base militaire américaine est stationnée juste à côté à Camp Salerno. Mais c'est bien la CIA à Camp Chapman qui a été visée. Les experts américains estiment qu'il s'agit d'un acte de vengeance après la campagne renforcée des commandos de la CIA contre le groupe Terhik-e-Taliban, qui a fait des dizaines de morts ces derniers mois.
Branche paramilitaire
L'attaque du 30 décembre lève une partie du voile sur le rôle clé - mais hautement secret - de l'agence d'espionnage en Afghanistan. La base de Chapman abrite la branche paramilitaire de la CIA, connue sous le nom de Special Activities Division (SAD), laquelle a vu son rôle accru après le 11 septembre tembre 2001. La SAD, qui a pour mission de capturer les membres d'al-Qaida à travers le monde, opère secrètement dans des pays comme le Pakistan, la Somalie et le Yémen, où l'armée américaine n'est pas autorisée à mener des attaques. En Afghanistan, la base Chapman est au cœur des opérations menées à la frontière pakistanaise au moyen de drones (avions sans pilote).
La perte de sept de ses meilleurs éléments a ébranlé la CIA. Les agents tués «étaient probablement les meilleurs au monde dans ce qu'ils faisaient», a déclaré un ancien espion, Jack Rice, selon lequel qu'il sera très difficile de les remplacer rapidement. L'agence sort d'une année noire après de nombreuses controverses. En janvier, le président Obama avait mis fin aux prisons secrètes de la CIA et supprimé le droit de ses agents d'interroger des individus suspectés de terrorisme. Mardi dernier, il l'avait épinglée pour les erreurs de communication qui ont conduit à l'attentat manqué du vol 253 à Detroit. Jeudi, il a rendu hommage aux «patriotes» de la CIA, dont les noms sont souvent «inconnus» de leurs compatriotes, et déclaré que l'agence avait été «mise a l'épreuve comme jamais auparavant».
http://www.lefigaro.fr
Cet attentat suicide est le coup le plus dur porté à l'agence depuis 1983.
L'attentat suicide qui a fait sept morts cette semaine en Afghanistan porte un coup très dur à la CIA et aux opérations de renseignement américaines sur place. Il soulève aussi des questions sur la nouvelle stratégie de l'Administration américaine en Afghanistan, basée sur la formation d'une armée afghane locale loyale et unifiée, dans laquelle la CIA joue un rôle essentiel.
C'est l'heure de la détente juste avant le dîner ce mercredi à la base secrète de Chapman, à quelques kilomètres de la ville de Khost (à l'est du pays), lorsqu'un Afghan en cours de recrutement pour devenir informateur pénètre dans l'enceinte. Il n'est pas fouillé, car les Américains essaient d'établir une relation de confiance avec lui. Mais, à l'entrée du gymnase, l'homme vêtu d'un uniforme de soldat et équipé d'une ceinture bourrée d'explosifs se fait sauter et tue sept agents parmi les plus expérimentés, en plus d'un Afghan. Il blesse grièvement six autres membres de la CIA. C'est le coup le plus dur porté à l'agence depuis un attentat qui avait coûté la vie à huit agents à Beyrouth en 1983.
Cet attentat suicide inquiète les États-Unis pour plusieurs raisons. Le kamikaze est soupçonné d'avoir été membre de l'Armée nationale afghane (ANA). Ce qui met en cause le degré de confiance entre Américains et Afghans à la veille du déploiement de 30 000 GI en renforts, censés passer le flambeau à l'armée afghane à partir de 2011. Dans un contexte de suspicion mutuelle croissante, les attaques de soldats afghans contre les forces américaines se multiplient. L'ANA, «jeune, inexpérimentée et ethniquement diversifiée» est sollicitée par les Américains pour «lutter contre ses compatriotes musulmans» dans une «guerre impopulaire parmi les Afghans», note le Washington Post.
Autre source d'inquiétude, la sophistication des méthodes employées par les talibans, qui ont réussi cette fois à infiltrer l'agence chargée de les débusquer. Une importante base militaire américaine est stationnée juste à côté à Camp Salerno. Mais c'est bien la CIA à Camp Chapman qui a été visée. Les experts américains estiment qu'il s'agit d'un acte de vengeance après la campagne renforcée des commandos de la CIA contre le groupe Terhik-e-Taliban, qui a fait des dizaines de morts ces derniers mois.
Branche paramilitaire
L'attaque du 30 décembre lève une partie du voile sur le rôle clé - mais hautement secret - de l'agence d'espionnage en Afghanistan. La base de Chapman abrite la branche paramilitaire de la CIA, connue sous le nom de Special Activities Division (SAD), laquelle a vu son rôle accru après le 11 septembre tembre 2001. La SAD, qui a pour mission de capturer les membres d'al-Qaida à travers le monde, opère secrètement dans des pays comme le Pakistan, la Somalie et le Yémen, où l'armée américaine n'est pas autorisée à mener des attaques. En Afghanistan, la base Chapman est au cœur des opérations menées à la frontière pakistanaise au moyen de drones (avions sans pilote).
La perte de sept de ses meilleurs éléments a ébranlé la CIA. Les agents tués «étaient probablement les meilleurs au monde dans ce qu'ils faisaient», a déclaré un ancien espion, Jack Rice, selon lequel qu'il sera très difficile de les remplacer rapidement. L'agence sort d'une année noire après de nombreuses controverses. En janvier, le président Obama avait mis fin aux prisons secrètes de la CIA et supprimé le droit de ses agents d'interroger des individus suspectés de terrorisme. Mardi dernier, il l'avait épinglée pour les erreurs de communication qui ont conduit à l'attentat manqué du vol 253 à Detroit. Jeudi, il a rendu hommage aux «patriotes» de la CIA, dont les noms sont souvent «inconnus» de leurs compatriotes, et déclaré que l'agence avait été «mise a l'épreuve comme jamais auparavant».
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Re: Services secrets américains
Afghanistan: l'attentat contre 7 agents de la CIA, un coup sévère pour l'agence américaine
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Re: Services secrets américains
Terrorisme : le FBI enquête au Ghana
Des agents du FBI, la police fédérale américaine, séjournent actuellement au Ghana, où ils souhaitent collecter des informations sur le jeune Nigérian impliqué dans l’attentat manqué contre un avion américain le 24 décembre dernier, écrit Le Parisien. La semaine dernière, la ministre nigériane de l’Information, Dora Akunyili, avait déclaré que le suspect, Umar Farouk Abdulmutallab, était arrivé la veille de Noël à Lagos en provenance d’Accra, avant de reprendre immédiatement un vol vers Amsterdam.
http://www.afrik.com
Des agents du FBI, la police fédérale américaine, séjournent actuellement au Ghana, où ils souhaitent collecter des informations sur le jeune Nigérian impliqué dans l’attentat manqué contre un avion américain le 24 décembre dernier, écrit Le Parisien. La semaine dernière, la ministre nigériane de l’Information, Dora Akunyili, avait déclaré que le suspect, Umar Farouk Abdulmutallab, était arrivé la veille de Noël à Lagos en provenance d’Accra, avant de reprendre immédiatement un vol vers Amsterdam.
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L'INQUIETUDE US
Le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, est préoccupé par l’existence de drones iraniens (avions sans pilote), lors d’une audition parlementaire il a déclaré : "L’Iran a des drones. C’est inquiétant, car s’ils le voulaient, ils pourraient nous créer des difficultés en Irak ou en Afghanistan"…….
Par ailleurs, en février dernier, le général Ahmad Vahidi, (ministre iranien de la Défense), qui a inauguré deux lignes de production d’avions pilotés à distance, a déclaré que "Ces drones sont capables de mener des opérations de surveillance, de détection et même d’attaque avec une grande précision".
Par ailleurs, en février dernier, le général Ahmad Vahidi, (ministre iranien de la Défense), qui a inauguré deux lignes de production d’avions pilotés à distance, a déclaré que "Ces drones sont capables de mener des opérations de surveillance, de détection et même d’attaque avec une grande précision".
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Re: Services secrets américains
Directeur du renseignement national
Le Directeur du renseignement national (Director of National Intelligence ou DNI) est le responsable du gouvernement des États-Unis sous l'autorité et le contrôle directs du Président des États-Unis, créé par la Loi sur la réforme du renseignement et la prévention du terrorisme de 2004 pour :
faire fonction de conseil principal pour le président des États-Unis, le conseil pour la sécurité nationale (National Security Council) et le conseil pour la sécurité de la patrie (Homeland Security Council), pour tout ce qui concerne le renseignement en rapport avec la sécurité nationale.
faire fonction de coordinateur de l'Intelligence Community, l'ensemble des 16 agences de renseignements des États-Unis.
superviser et diriger le programme national du renseignement (National Intelligence Program).
Dennis C. Blair, ancien amiral de l'US Navy, fut le troisième titulaire du poste, il est entré en fonction le 29 janvier 2009 et a démissionné le 20 mai 2010[. Il remplaçait Michael McConnell.
Dennis C. Blair
Flash
Dossier : L’espionnage américain en perte de vitesse ?
Le directeur du renseignement américain a démissionné, marquant le premier départ d'un haut responsable de l'équipe du président américain Barack Obama. Le porte-parole de la Maison Blanche a refusé ce vendredi de donner les raisons qui ont conduit Dennis Blair à jeter l’éponge, se contentant d'indiquer que le président Barack Obama avait décidé que le temps était venu de le remplacer. Mais le départ du directeur du renseignement américain intervient au cours d'une période fortement troublée pour le renseignement américain, après les attentats manqués dans un avion le jour de Noël et à Times Square, ainsi que la tuerie de Fort Hood au Texas, qui avait soulevé des questions sur la qualité du renseignement américain. Eclairage sur l’efficacité du renseignement américain et sur le type d’espionnage qui se pratique aujourd’hui entre les grandes puissances et avec Gérard Chaliand géostratége et spécialiste des conflits armés.
http://www.oecumene.radiovaticana.org
Le Directeur du renseignement national (Director of National Intelligence ou DNI) est le responsable du gouvernement des États-Unis sous l'autorité et le contrôle directs du Président des États-Unis, créé par la Loi sur la réforme du renseignement et la prévention du terrorisme de 2004 pour :
faire fonction de conseil principal pour le président des États-Unis, le conseil pour la sécurité nationale (National Security Council) et le conseil pour la sécurité de la patrie (Homeland Security Council), pour tout ce qui concerne le renseignement en rapport avec la sécurité nationale.
faire fonction de coordinateur de l'Intelligence Community, l'ensemble des 16 agences de renseignements des États-Unis.
superviser et diriger le programme national du renseignement (National Intelligence Program).
Dennis C. Blair, ancien amiral de l'US Navy, fut le troisième titulaire du poste, il est entré en fonction le 29 janvier 2009 et a démissionné le 20 mai 2010[. Il remplaçait Michael McConnell.
Dennis C. Blair
Flash
Dossier : L’espionnage américain en perte de vitesse ?
Le directeur du renseignement américain a démissionné, marquant le premier départ d'un haut responsable de l'équipe du président américain Barack Obama. Le porte-parole de la Maison Blanche a refusé ce vendredi de donner les raisons qui ont conduit Dennis Blair à jeter l’éponge, se contentant d'indiquer que le président Barack Obama avait décidé que le temps était venu de le remplacer. Mais le départ du directeur du renseignement américain intervient au cours d'une période fortement troublée pour le renseignement américain, après les attentats manqués dans un avion le jour de Noël et à Times Square, ainsi que la tuerie de Fort Hood au Texas, qui avait soulevé des questions sur la qualité du renseignement américain. Eclairage sur l’efficacité du renseignement américain et sur le type d’espionnage qui se pratique aujourd’hui entre les grandes puissances et avec Gérard Chaliand géostratége et spécialiste des conflits armés.
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Re: Services secrets américains
Le précédent de Ouadi-Doum
Le directeur du renseignement américain, James Clapper, a mis en garde contre le potentiel de la Libye en matière de défense anti-aérienne au cours d’une audition devant le Sénat, ce 10 mars.
« La structure de la défense anti-aérienne libyenne au sol, avec leurs radars et leurs missiles anti-aériens, est assez importante. C’est la plus importante au Moyen-Orient après celle de l’Egypte » a-t-il ainsi affirmé. Sans trop entrer dans les détails, la Libye dispose de 31 sites de défense aérienne répartis notamment dans les zones les plus peuplées du pays. Le matériel mis en oeuvre, dont une partie est tombée aux mains de l’opposition au colonel Kadhafi, est relativement ancien et date de l’époque soviétique.
Aussi, si l’idée du président Sarkozy de réaliser des frappes ciblées en Libye finit par convaincre la communauté internationale – ce qui est encore loin d’être le cas – les avions impliqués auront à faire face à une importante menace venue du sol. Et cette dernière est bien connue de l’armée de l’Air française puisqu’elle l’avait déjouée en février 1986, lors du raid sur l’aérodrome de Ouadi-Doum.
Bien que situé dans le nord du Tchad, ce dernier avait été construit par les Libyens qui comptaient en faire une plaque tournante pour leurs forces, lesquelles soutenaient le rebelle tchadien Goukouni Oueddeï, en lutte contre Hissène Habre, alors président en fonction à N’Djamena.
La piste de Ouadi Doum était longue de 3.800 mètres pour 30 de large. Le périmètre défensif de la base s’étendait sur plusieurs dizaines de kilomètres, avec 31 postes de combat. La défense aérienne était assurée par des missiles sol-air SA6 « Gainful », des mitrailleuses de 14,5 mm et des canons ZSU-23-4 « Shilka » de 23 mm.
L’aménagement de l’aérodrome d’Ouadi Doum en site militaire était une violation de l’accord passé en septembre 1981 entre la France et la Libye, en vertu duquel les deux parties s’étaient engagées à retirer leurs forces du Tchad. Aussi, le gouvernement français, averti de ce qu’il se tramait dans le nord du Tchad grâce à des reconnaissances effectuées par un Mirage IV, décida alors de frapper un grand coup et de détruire la base libyenne.
Pour cela, l’armée de l’Air disposait d’une quinzaine de Jaguar des 7ème et 11ème escadres de chasse déployés à Bangui, Libreville et Dakar ainsi que deux avions ravitailleurs C135. L’aéronautique navale pouvait alors fournir deux Breguet Atlantic, alors basés au Gabon.
Le 15 février 1986, l’ordre fut d’attaquer Ouadi Doum fut donné dans la soirée. Le lendemain, à l’aube, les Jaguar de l’escadron de chasse 1/11 Roussillon, épaulés par des Mirage F1C chargés de leur protection, décollèrent de Bangui, avec un seul réservoir auxiliaire de 1.200 litres sous leur fuselage pour les 1.500 km à parcourir, d’où la nécessité des C135FR.
Pour leur mission, les Jaguar emportèrent des bombes anti-pistes BAP 100 – pouvant pénétrer jusqu’à 1 mètres dans le sol – et des bombes classiques de 250 kg. Après avoir ravitaillé en vol une première fois, les 11 appareils arrivèrent non loin de la zone d’acquisition des radars hostiles peu avant 8 heures du matin.
Dès ce moment, les Jaguar évoluèrent à très basse altitude pour ne pas se faire repérer par les Libyens. Finalement, ces derniers ne virent rien venir. Les avions français, disposés en échelon refusé, déboulèrent sur Ouadi Doum à une vitesse de 700 km/h et larguèrent leurs munitions sans être touchés par les forces libyennes. L’attaque ne dura qu’à peine quelques minutes. Le temps de réaliser ce qui leur arrivait, les appareils du 1/11 Roussillon rejoignaient déjà Bangui.
A noter qu’un second raid sur Ouadi Doum a été mené le 7 janvier 1987, en réponse à une nouvelle provocation libyenne. Finalement, cet aérodrome sera pris quelques mois plus tard par les forces d’Hissene Habre.
Cela étant, les défenses anti-aériennes libyennes restent dangereuses. Ainsi, le 25 janvier 1984, dans la région de Torodum (Tchad), après avoir déjoué des missiles SA-7, un Jaguar piloté par le capitaine Croci avait été touché probablement par le tir d’un ZSU-23-4 libyen. L’officier avait perdu la vie au cours de cet engagement.
opex360.com
Le directeur du renseignement américain, James Clapper, a mis en garde contre le potentiel de la Libye en matière de défense anti-aérienne au cours d’une audition devant le Sénat, ce 10 mars.
« La structure de la défense anti-aérienne libyenne au sol, avec leurs radars et leurs missiles anti-aériens, est assez importante. C’est la plus importante au Moyen-Orient après celle de l’Egypte » a-t-il ainsi affirmé. Sans trop entrer dans les détails, la Libye dispose de 31 sites de défense aérienne répartis notamment dans les zones les plus peuplées du pays. Le matériel mis en oeuvre, dont une partie est tombée aux mains de l’opposition au colonel Kadhafi, est relativement ancien et date de l’époque soviétique.
Aussi, si l’idée du président Sarkozy de réaliser des frappes ciblées en Libye finit par convaincre la communauté internationale – ce qui est encore loin d’être le cas – les avions impliqués auront à faire face à une importante menace venue du sol. Et cette dernière est bien connue de l’armée de l’Air française puisqu’elle l’avait déjouée en février 1986, lors du raid sur l’aérodrome de Ouadi-Doum.
Bien que situé dans le nord du Tchad, ce dernier avait été construit par les Libyens qui comptaient en faire une plaque tournante pour leurs forces, lesquelles soutenaient le rebelle tchadien Goukouni Oueddeï, en lutte contre Hissène Habre, alors président en fonction à N’Djamena.
La piste de Ouadi Doum était longue de 3.800 mètres pour 30 de large. Le périmètre défensif de la base s’étendait sur plusieurs dizaines de kilomètres, avec 31 postes de combat. La défense aérienne était assurée par des missiles sol-air SA6 « Gainful », des mitrailleuses de 14,5 mm et des canons ZSU-23-4 « Shilka » de 23 mm.
L’aménagement de l’aérodrome d’Ouadi Doum en site militaire était une violation de l’accord passé en septembre 1981 entre la France et la Libye, en vertu duquel les deux parties s’étaient engagées à retirer leurs forces du Tchad. Aussi, le gouvernement français, averti de ce qu’il se tramait dans le nord du Tchad grâce à des reconnaissances effectuées par un Mirage IV, décida alors de frapper un grand coup et de détruire la base libyenne.
Pour cela, l’armée de l’Air disposait d’une quinzaine de Jaguar des 7ème et 11ème escadres de chasse déployés à Bangui, Libreville et Dakar ainsi que deux avions ravitailleurs C135. L’aéronautique navale pouvait alors fournir deux Breguet Atlantic, alors basés au Gabon.
Le 15 février 1986, l’ordre fut d’attaquer Ouadi Doum fut donné dans la soirée. Le lendemain, à l’aube, les Jaguar de l’escadron de chasse 1/11 Roussillon, épaulés par des Mirage F1C chargés de leur protection, décollèrent de Bangui, avec un seul réservoir auxiliaire de 1.200 litres sous leur fuselage pour les 1.500 km à parcourir, d’où la nécessité des C135FR.
Pour leur mission, les Jaguar emportèrent des bombes anti-pistes BAP 100 – pouvant pénétrer jusqu’à 1 mètres dans le sol – et des bombes classiques de 250 kg. Après avoir ravitaillé en vol une première fois, les 11 appareils arrivèrent non loin de la zone d’acquisition des radars hostiles peu avant 8 heures du matin.
Dès ce moment, les Jaguar évoluèrent à très basse altitude pour ne pas se faire repérer par les Libyens. Finalement, ces derniers ne virent rien venir. Les avions français, disposés en échelon refusé, déboulèrent sur Ouadi Doum à une vitesse de 700 km/h et larguèrent leurs munitions sans être touchés par les forces libyennes. L’attaque ne dura qu’à peine quelques minutes. Le temps de réaliser ce qui leur arrivait, les appareils du 1/11 Roussillon rejoignaient déjà Bangui.
A noter qu’un second raid sur Ouadi Doum a été mené le 7 janvier 1987, en réponse à une nouvelle provocation libyenne. Finalement, cet aérodrome sera pris quelques mois plus tard par les forces d’Hissene Habre.
Cela étant, les défenses anti-aériennes libyennes restent dangereuses. Ainsi, le 25 janvier 1984, dans la région de Torodum (Tchad), après avoir déjoué des missiles SA-7, un Jaguar piloté par le capitaine Croci avait été touché probablement par le tir d’un ZSU-23-4 libyen. L’officier avait perdu la vie au cours de cet engagement.
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Re: Services secrets américains
Le directeur du renseignement américain joue Kadhafi gagnant
La France a surpris ses partenaires européens en étant le premier pays à reconnaître le Conseil national de transition, qui est supposé rassembler l’opposition au régime du colonel Kadhafi, comme étant le « représentant légitime » du peuple libyen.
Prise après une rencontre entre le président Sarkozy et deux représentants de l’opposition libyenne introduits à l’Elysée par le philosophe Bernard-Henri Lévy, cette décision est conforme à la résolution votée par le Parlement européen à une écrasante majorité, laquelle demande Catherine Ashton, le haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, « d’entamer le processus » menant à une reconnaissance officielle du CNT.
Seulement, Mme Ashton se veut prudente sur ce sujet. Le 9 mars, elle a rencontré deux émissaires du CNT mais a refusé de leur accorder le statut de seule autorité légitime en Libye. Réagissant à la position française, son porte-parole a explique que « normalement, on ne reconnaît pas les gouvernements, on reconnaît les Etats ». « Pour l’instant, nous sommes en train de parler avec tout le monde, tous les partis de l’opposition » a-t-il poursuivi. Et d’ajouter : « il faut bien sûr savoir aussi avec qui on parle ».
L’Allemagne est sur la même longueur d’onde. De même que les Etats-Unis, qui, selon le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, restent pour le moment « à un processus d’évaluation de ces groupes, le Conseil et d’autres personnes pour savoir quel est leur objectif, qui ils représentent, quelles sont leurs idées et vers ils conduiraient une Libye de l’après-Kadhafi ».
Pendant ce temps, les troupes fidèles au colonel Kadhafi regagnent du terrain face à l’opposition. Ainsi, la ville stratégique pétrolière de Ras Lanouf, située à 650 km de Tripoli, qui était alors le poste le plus avancé des insurgés, a été reprise et les forces loyalistes ont désormais en ligne de mire le bastion de contestation, à savoir Benghazi.
A 40 km à l’ouest de la capitale libyenne, la ville de Zawiyah, qui abrite l’une des principales raffinerie de pétrole du pays, est sous le contrôle des pro-Kadhafi, après, semble-t-il de violents combats.
Aussi, le temps joue en faveur du colonel Kadhafi. C’est, en tout cas, ce qu’a estimé le directeur du renseignement américain, James Clapper, lors d’une audition devant la commission de la Défense du Sénat.
Selon ce responsable, les forces loyalistes sont mieux équipées disposent davantage de ressources logisistiques que celles de l’opposition. « S’agissant des rebelles en Libye, et sur le point de savoir s’ils vont réussir ou pas, je pense franchement qu’ils sont engagés dans une bataille difficile », a-t-il estimé. D’où son pronostic, si l’on ajoute l’expérience des hommes fidèles au colonel Kadhafi : « à long terme, le régime l’emportera ».
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La France a surpris ses partenaires européens en étant le premier pays à reconnaître le Conseil national de transition, qui est supposé rassembler l’opposition au régime du colonel Kadhafi, comme étant le « représentant légitime » du peuple libyen.
Prise après une rencontre entre le président Sarkozy et deux représentants de l’opposition libyenne introduits à l’Elysée par le philosophe Bernard-Henri Lévy, cette décision est conforme à la résolution votée par le Parlement européen à une écrasante majorité, laquelle demande Catherine Ashton, le haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, « d’entamer le processus » menant à une reconnaissance officielle du CNT.
Seulement, Mme Ashton se veut prudente sur ce sujet. Le 9 mars, elle a rencontré deux émissaires du CNT mais a refusé de leur accorder le statut de seule autorité légitime en Libye. Réagissant à la position française, son porte-parole a explique que « normalement, on ne reconnaît pas les gouvernements, on reconnaît les Etats ». « Pour l’instant, nous sommes en train de parler avec tout le monde, tous les partis de l’opposition » a-t-il poursuivi. Et d’ajouter : « il faut bien sûr savoir aussi avec qui on parle ».
L’Allemagne est sur la même longueur d’onde. De même que les Etats-Unis, qui, selon le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, restent pour le moment « à un processus d’évaluation de ces groupes, le Conseil et d’autres personnes pour savoir quel est leur objectif, qui ils représentent, quelles sont leurs idées et vers ils conduiraient une Libye de l’après-Kadhafi ».
Pendant ce temps, les troupes fidèles au colonel Kadhafi regagnent du terrain face à l’opposition. Ainsi, la ville stratégique pétrolière de Ras Lanouf, située à 650 km de Tripoli, qui était alors le poste le plus avancé des insurgés, a été reprise et les forces loyalistes ont désormais en ligne de mire le bastion de contestation, à savoir Benghazi.
A 40 km à l’ouest de la capitale libyenne, la ville de Zawiyah, qui abrite l’une des principales raffinerie de pétrole du pays, est sous le contrôle des pro-Kadhafi, après, semble-t-il de violents combats.
Aussi, le temps joue en faveur du colonel Kadhafi. C’est, en tout cas, ce qu’a estimé le directeur du renseignement américain, James Clapper, lors d’une audition devant la commission de la Défense du Sénat.
Selon ce responsable, les forces loyalistes sont mieux équipées disposent davantage de ressources logisistiques que celles de l’opposition. « S’agissant des rebelles en Libye, et sur le point de savoir s’ils vont réussir ou pas, je pense franchement qu’ils sont engagés dans une bataille difficile », a-t-il estimé. D’où son pronostic, si l’on ajoute l’expérience des hommes fidèles au colonel Kadhafi : « à long terme, le régime l’emportera ».
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Re: Services secrets américains
Barack Obama : Scandale de prostitution dans les services secrets, 3 têtes tombent
A six mois des présidentielles américaines, l'actuel président Barack Obama doit faire face à un scandale de prostitution qui vise les services secrets américains, melty.fr vous en dit plus !
"J'attends du Secret Service la même chose que ce que j'attends du reste de ma délégation. Nous représentons les Américains. Et lorsque nous voyageons dans un autre pays, je m'attends à ce que nous observions les critères les plus élevés (...) de dignité et d'honnêteté. Et évidemment, ces informations ne correspondent pas à ces critères". Voici ce que les américains auront retenu du voyage de Barack Obama la semaine dernière alors qu'il se rendait au sixième Sommet des Amériques en Colombie. Après le scandale attaquant l'armée américaine en Afghanistan, c'est une affaire de prostitution impliquant plusieurs membres des services secrets qui a éclaté pendant le déplacement du président. Sur les onze agents, huit ont été temporairement suspendus sur ordre de Paul Morissey le directeur adjoint des services secrets, le temps de l'enquête. Parmi les trois autres agents restants, "un membre de la hiérarchie a été autorisé à prendre sa retraite, un autre membre de la hiérarchie est en cours de limogeage (...) et un troisième, un agent du rang, a démissionné". Ils sont soupçonnés d'avoir eu des relations sexuelles avec des prostituées alors qu'ils devaient préparer l'arrivée du président Barack Obama en Colombie.
La suite sur:
http://www.melty.fr/barack-obama-scandale-de-prostitution-dans-actu103631.html
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Re: Services secrets américains
BelgaLes mots "porc" ou "nuage" alertent les services secrets américains
Les mots en ligne "porc" (porc), "nuage" (cloud) ou "Mexique" peuvent attirer l'attention des services de sécurité américains. Le ministère américain de la sécurité intérieure a rédigé une liste des mots-clés en vue de détecter les menaces notamment terroristes sur les réseaux sociaux et les médias en ligne. Cette liste a été publiée en vertu du Freedom of Information Act.
La liste comprend un certain nombre de termes de recherche attendus tels que "Al-Qaïda", "terrorisme" ou "bombe radiologique" (dirty bomb), mais aussi d'autres mots a priori plus surprenants.
Certains mots sont usuels comme "reprise"(recovery), "vague" (golf) ou "malade" (sick). Dans cette liste figurent également des noms de pays ou villes comme San Diego, Colombie ou Nigeria et des mots se rapportant aux conditions météorologiques comme "ouragan" (hurricane) ou "neige" (snow).
Les autorités américaines ont été obligées de publier la liste en vertu du Freedom of Information Act ou la Loi pour la liberté d'information. Cette liste laisse transparaître les types de menaces sur internet ciblés par les analystes pour le compte des autorités américaines. Outre le terrorisme, les analystes se préoccupent ainsi des catastrophes naturelles, de l'immigration clandestine ou de délits graves comme des fusillades dans des lieux publics.
Le Department of Homeland Security a souligné qu'il ne recherche pas sur internet à déceler un mécontentement général mais bien des preuves de menaces réelles. Certains critiquent déjà l'aspect vague et ambigu de la liste.
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Re: Services secrets américains
USA : les services secrets autorisés à surveiller les étrangers
Le Congès des Etats-Unis a approuvé et a envoyé au président Barack Obama pour signature la loi autorisant les services secrets américains à écouter les conversations téléphoniques et inspecter les courriels des étrangers soupçonnnés d'espionnage et de terrorisme.
Une telle autorisation était en vigueur au cours de ces cinq dernières années, mais elle expirait à la fin de 2012. Elle sera dorénavant prorogée pour le même délai. Aux Etats-Unis la décision d'un tribunal spécial n'est pas demandé en l'occurrence : l'autorisation du tribunal est nécessaire lorsqu'il s'agit de surveiller les citoyens des Etats-Unis.
http://french.ruvr.ru
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Re: Services secrets américains
Julia Pierson : Nouvelle patronne des agents secrets et femme de la semaine
http://www.aufeminin.com/societe/julia-pierson-nouvelle-patronne-des-agents-secrets-et-femme-de-la-semaine-s41983.html
Julia Pierson est la première femme de l’histoire à prendre la tête des services secrets américains. Un moment très symbolique.
A 53 ans, Julia Pierson est la première femme à diriger les services secrets américains créés en 1865. Une décision historique et symbolique prise par Barack Obama. "Julia a eu une carrière exemplaire, et je sais que ses expériences passées vont la guider pour diriger les hommes et les femmes de cet important organisme", a-t-il affirmé dans un communiqué, très heureux de son choix alors que les services secrets ont été entachés l’année dernière par une affaire de prostitution.
http://www.aufeminin.com/societe/julia-pierson-nouvelle-patronne-des-agents-secrets-et-femme-de-la-semaine-s41983.html
Daûphin_zz_47- Adm
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