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Message par Sphinx Lun 14 Déc - 15:26

Le clan d’Oujda a perdu la bataille du Sahara Occidental

Le dernier refoulement d’un avocat et de journalistes marocains à l’aéroport d’Alger est une grave erreur diplomatique. Il ne reste plus à Bouteflika et au clan d’Oujda que des bavures policières pour exprimer leur vision autoritariste sur la question du Sahara Occidental.


Ce conflit inutile engagé à la hussarde par Boumediene, après le coup d’Etat manqué et la mort de son ami le général Mohamed Oufkir en août 1972, n’a en fait été qu’un prétexte de déstabilisation de la monarchie alaouite. (1)

Face à l’adversité du pouvoir socialiste algérien et ses alliés de l’opposition marocaine, Hassan II avait réussi à consolider son trône. Après 10 ans de règne, Mohamed VI a fait du Maroc un «modèle à suivre pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient» selon les termes de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton au Forum de l’Avenir à Marrakech devant un parterre de diplomates du monde entier.

Le Maroc n’en finit plus d’engranger les bénéfices d’une nouvelle stratégie pragmatique et conquérante initiée depuis le lancement des négociations directes avec le Front Polisario sous l’égide de l’ONU en juin 2007.

Paradoxalement, c’est en utilisant les méthodes algériennes que le Maroc a pu avancer de manière spectaculaire dans la résolution du conflit à son avantage par une gestion efficace du renseignement et l’intégration des clientèles sahraouies dans le jeu politique national.

La bataille du renseignement

En nommant son camarade de classe et ami d’enfance Mohamed Yassine Mansouri à la tête de la DGED, le roi a changé la donne qui présidait jusqu’alors au sein des services secrets marocains. Civil et technocrate, Mansouri suit une feuille de route stratégique d’action en avançant une à une ses pièces sur l’échiquier sahraoui pour mettre en échec la partie algérienne, la seule qui s’oppose à un règlement définitif du conflit.

Mansouri agit sur plusieurs cibles pour désosser le Polisario et retourner contre l’Algérie ses principaux atouts qu’étaient le Front et les camps de Tindouf. En participant à toutes les phases de négociation de Manhasset, Mansouri effectue un travail de sape pour retourner les dirigeants sahraouis.

Il a également réussi un coup de maître surprenant en envoyant pour la première fois dans les camps de Tindouf une mission d’information et de renseignement sous couverture de presse. Un journaliste et un photographe d’un hebdomadaire marocain ont pénétré dans les camps de Tindouf et publié un reportage en été 2008. (2)

Ils y ont aussi recueilli une somme de renseignements et de photos très utiles pour dénoncer auprès des instances onusiennes les conditions de «séquestration» des sahraouis par les autorités algériennes.

Conforté par le soutien de tous les pays arabes, parachevé dernièrement par la reconnaissance libyenne de la marocanité du Sahara, Mansouri utilise à fond la carte maîtresse mauritanienne. Outré par le mépris que lui a manifesté Bouteflika, le nouveau président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz se dévoue pour la cause marocaine et œuvre à la reddition des chefs du Polisario en recevant très souvent le patron de la DGED.

Sur le plan intérieur, de plus en plus de sahraouis sont intégrés sur la scène politique nationale. Les stratèges marocains ont dernièrement réussi un coup de maître en portant à la présidence de la Chambre des Conseillers, un médecin sahraoui Mohamed Cheikh Biadillah, dont le propre frère est Brahim Ahmed Mahmoud Biadillah, dit «Gregou», responsable de la 2ème région militaire et ancien chef de la sécurité militaire du Polisario, qui figure en bonne place sur une liste de tortionnaires du Polisario. (3)

C’est un signal très fort auquel ne sont pas insensibles les notables sahraouis qui y voient un appel à une course à toutes les investitures dans le train du dynamisme politico-économique marocain. Entre la prospérité du destin national de Mohamed Cheikh, et l’éternelle attente l’arme au pied du «Désert des Tartares» de Gregou, le choix est vite fait.

D’autant que le projet royal d’Autonomie prévoit une amnistie pour les combattants sahraouis. Une autre façon d’imiter les algériens en laissant indéfiniment ouvertes les portes de la réconciliation.

Le désastre diplomatique de Bouteflika

Face à cette cascade de succès marocains, on ne peut que s’interroger sur l’anesthésie qui frappe le pouvoir algérien. L’explication est double.

Tout d’abord ce conflit n’a jamais reçu d’adhésion populaire, les algériens se contrefichent de cette histoire de Sahara. Hormis un FLN moribond qui ne s’exprime sur ce lourd héritage que du bout des lèvres, les partis politiques ont ouvertement déclaré leur désaccord sur la position algérienne et n’ont aucun contact avec le Polisario. C’est ce qui a encouragé la témérité de l’Association du Sahara Marocain à venir en Algérie même faire du lobbying pour la résolution du conflit.

Ensuite, la gestion du Polisario a toujours été une chasse gardée du clan d’Oujda dirigé par le couple Boumediene-Bouteflika et les chefs de la Sécurité Militaire. Après la mort de Boumediene et la mise à l’écart de Bouteflika et Kasdi Merbah, patron de la SM, c’est le général Larbi Belkheir qui s’est accaparé de ce dossier stratégique et lucratif où s’entremêlent diplomatie parallèle, fonds secrets et commerce d’armes.

Depuis la disparition mystérieuse de Belkheir, très malade selon sa famille ou décédé selon d’autres sources, on ne sait plus qui est vraiment en charge de ce dossier. Le très efficace chef du contre-espionnage, le général Smaïn Lamari qui gérait le Polisario sous les ordres de Belkheir, est décédé en été 2007 sans qu’on sache vraiment qui l’a remplacé.

De plus en plus isolés à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, Bouteflika et son clan d’Oujda ont définitivement perdu la bataille du Sahara Occidental. La dernière gifle retentissante qu’a reçu Bouteflika vient de son ami Khaled qui, après avoir exprimé publiquement ses griefs contre l’anti-marocanisme du gouvernement algérien, a entériné la marocanité du Sahara en allant chanter au dernier festival du dromadaire à Laâyoune.

Placé en situation d’échec et mat par la maîtrise d’œuvre marocaine et la péremption politique de Bouteflika, il ne reste au pouvoir algérien qu’une porte de sortie dans ce conflit. Abandonner son intransigeance, laisser le Polisario négocier librement, seul et sans aucune contrainte, fermer les camps de Tindouf et ouvrir les frontières avec le Maroc.

Saâd Lounès

(4 novembre 2009)

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Message par Syfou Dim 7 Mar - 16:46

Marocains en Autriche-Intégrité territoriale

La Communauté marocaine en Autriche a dévoilé les manœuvres fallacieuses des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume et dénoncé la propagande des séparatistes sur la situation réelle prévalant au Sahara marocain.

Lors d'une rencontre organisée, jeudi à Vienne, par les séparatistes sur le Sahara, des membres de la Communauté marocaine résidant en Autriche, des universitaires marocains, ainsi que des personnalités autrichiennes ont, également, dénoncé l'ingérence de l'Algérie dans la question du Sahara marocain et sa position hostile à l'égard de l'intégrité territoriale du Royaume, indique un communiqué de l'ambassade du Maroc en Autriche dont la MAP a reçu vendredi une copie.

Les personnalités présentes à cette rencontre ont condamné le soutien d'Alger au «polisario» et sa partialité dans ce conflit artificiel, ainsi que ses manœuvres visant à saper le processus d'édification d'un grand Maghreb uni, fort et solidaire, mettant à nu sa conspiration contre le Maroc et ses constantes nationales.

Les intervenants ont, également, demandé la libération de tous les séquestrés marocains dans les camps de la honte à Tindouf, en Algérie et dénoncé le calvaire qu'ils endurent quotidiennement depuis trois décennies dans ce pays, «qui bafoue impunément le droit international humanitaire».

Ils ont dénoncé «la stratégie du polisario soutenu par son mentor l'Algérie de vouloir instrumentaliser la question des droits de l'Homme au Sahara marocain», notant qu'«Alger tente d'accentuer actuellement sa campagne autour de cette question au moment où elle se sent isolée diplomatiquement sur la scène internationale, en raison de sa position contreproductive sur ce conflit régional».

«La situation prévalant dans le Sahara marocain est bien meilleure que celle qui prévaut sur le territoire algérien», ont-ils soutenu, appelant les responsables du gouvernement autrichien et les acteurs de la société civile à visiter la région et «dénoncer les traitements affligeants que subissent les populations dans les camps de Tindouf, le détournement de l'aide humanitaire et la disparition de plusieurs personnes et pour mettre un terme aux souffrances des familles séquestrées à ce jour dans les camps de la honte». Ils ont appelé aussi la communauté internationale et l'opinion publique autrichienne à faire pression sur l'Algérie afin qu'elle respecte ses obligations internationales à l'égard des réfugiés conformément à la convention de Genève de 1951 et son protocole de 1967.

«L'Algérie ne devrait pas se dérober de ses responsabilités légales à l'égard des populations détenues dans les camps de Tindouf», ont-ils affirmé, invitant les responsables algériens et le «polisario» à coopérer avec le Haut commissaire aux Réfugiés pour le recensement des populations dans les camps de la honte et pour les protéger et leur prodiguer l'aide humanitaire nécessaire.

«En tant que pays d'accueil, l'Algérie est dans l'obligation de faciliter l'exécution du mandat du HCR et de lui permettre d'assurer la protection des populations séquestrées sur son territoire», ont-iIs réitéré lors de la séance consacrée aux débats.

Par ailleurs, ils ont mis en garde contre le fait que «les dirigeants algériens et le polisario gonflent le nombre des populations détenues à Tindouf pour bénéficier de plus d'aides humanitaires», comme ils ont dénoncé le détournement de ces aides.

Les intervenants ont, par ailleurs, souligné la portée et la crédibilité de la proposition marocaine d'autonomie, qui dénote l'engagement clair et sincère du Maroc en faveur d'une solution politique définitive au conflit du Sahara, rappelant qu'au travers cette proposition, «le Maroc s'est inscrit dans une dynamique positive et constructive».

C'est une initiative qui «s'inspire des propositions pertinentes de l'Onu et des dispositions constitutionnelles en vigueur dans les Etats géographiquement et culturellement proches du Maroc, et s'appuie sur des normes et standards internationalement reconnus», ont-ils souligné.

«Cette initiative s'inscrit dans le cadre de l'édification d'une société démocratique et moderne, fondée sur l'Etat de droit, les libertés individuelles et collectives et le développement socio-économique», a expliqué, un membre de la communauté marocaine établie à Vienne, avant d'ajouter qu'à la faveur de l'initiative marocaine, les populations de la région pourront gérer leurs propres affaires, notamment dans les domaines de l'administration locale, de l'économie, du budget et de la fiscalité, des infrastructures et de l'environnement.

Plusieurs personnalités autrichiennes ayant visité le Maroc à plusieurs reprises ont saisi cette occasion pour mettre en exergue l'essor économique considérable qu'ont connues les provinces du Sud et les progrès réalisés dans de nombreux domaines.

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Message par Syfou Dim 7 Mar - 16:55

Camps de Tindouf

L'esclavagisme pratiqué est totalement inacceptable

L'esclavagisme encore pratiqué dans les camps de Tindouf, au sud de l'Algérie, est quelque chose de totalement inacceptable et que l'on ne peut taire, a affirmé vendredi à Laâyoune le président du Congrès afro-américain, Seddik Abou Bakr Way.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Dans une déclaration à la presse, à l'issue d'une rencontre avec les représentants de l'Association «Appartenance pour la promotion des droits de l'homme et la coexistence», de «la Ligue des défenseurs des droits de l'homme au Sahara» et de ralliés rentrés de Tindouf, M. Abou Bakr Way a expliqué que la presse algérienne occulte sciemment la réalité douloureuse des droits de l'Homme et les terribles pratiques usitées de manière systématique dans les camps de Tindouf, en se focalisant sur de prétendues violations des droits de l'Homme dans les provinces du Sud, et en véhiculant une image distordue des réalités.

M. Abou Bakr Way a rejeté toute instrumentalisation des droits de l'Homme à des fins politiques, soulignant la nécessité de séparer les deux domaines, et de contrecarrer cette dérive en dévoilant les abus commis dans les camps de Tindouf, et en promouvant le développement et l'édification d'une société moderne capable d'accompagner les évolutions que connaît le monde.

Il a souligné que sa visite à Laâyoune lui a permis de prendre connaissance de près du climat de liberté et de sérénité dont jouit la population et de se rendre compte du caractère fallacieux de la propagande de la presse algérienne, qui prétend que la zone connaît le désordre et les troubles, indiquant qu'il informera l'opinion publique de la situation réelle qu'il a constatée.

M. Abou Bakr Way a salué à cette occasion la participation active de la femme au sein des associations de la société civile, exprimant la volonté du congrès de les soutenir dans les différents domaines, en particulier dans la défense de la cause du Sahara.

Les rencontres de M. Abou Bakr Way avec nombre d'élus, chefs de tribus sahraouies, représentants de l'association «Appartenance pour la promotion des droits de l'Homme et la coexistence» et de «la Ligue des défenseurs des droits de l'homme au Sahara» lui ont permis de s'informer des réformes du Maroc dans le domaine des droits de l'Homme et des réalisations de l'Instance équité et réconciliation qui a abouti à la réparation des préjudices individuels et collectifs, ainsi que des grands chantiers de développement ouverts par le Royaume, notamment l'Initiative nationale pour le développement Humain (INDH).

Les participants à ces rencontres ont mis en valeur la grande portée du projet d'autonomie du Sahara marocain qui traduit la bonne foi du Maroc pour trouver une solution définitive à cette question et hâter ainsi le retour des personnes séquestrées à leur patrie.

Ils ont, également , détaillé au président du Congrès afro-américain les violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et la situation insoutenable vécue par les détenus de ces camps, notamment le calvaire des familles séparées de leurs enfants, exilés à Cuba dans le cadre d'une entreprise machiavélique d'endoctrinement et d'aliénation de leur identité .

Les participants ont appelé les organisations internationales œuvrant dans le domaine des droits de l'Homme à dénoncer ces abus et à les porter à la connaissance de l'opinion publique internationale.

D'autre part, M. Abou Bakr Way a eu une idée exhaustive, durant sa rencontre avec le wali de la région Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra, gouverneur de la région de Laâyoune, Mohamed Jalmous, des évolutions de la question du Sahara et du rôle de l'Algérie dans le déclenchement de ce problème.

Le wali a, également, mis l'accent sur les réalisations accomplies au niveau de cette région et les opportunités d'investissement qui existent dans les secteurs du tourisme, la pêche maritime, l'élevage, l'énergie et les mines, entre autres.

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Message par Sphinx Dim 18 Avr - 23:52

Le Sahara et les contradictions algériennes

C'est à coup sûr une logique démente qui continue de présider à l'évolution du conflit du Sahara. Elle ne répond, on aura beau essayé de soutenir le contraire, à aucun critère et à nulle raison. M. Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, tout à son poids international, exigerait-il du polisario notamment qu'il fasse des efforts dans les négociations, que celui-ci monte alors sur ses ergots pour dénoncer un prétendu «soutien au Maroc». Il recourt à la manœuvre dilatoire et, au mieux, à l'esquive. Il est tout de même étrange que notre pays, qui s'inscrit d'emblée dans l'esprit de l'ONU, en soit réduit à négocier avec un fantomatique mouvement séparatiste qui n'a aucune légitimité historique et qui est né, en 1973, dans les fourgons des services algériens et franquistes.

On ne saurait oublier aussi que le problème du Sahara n'a jamais été autre chose qu'un conflit d'hégémonie algérienne dans la région, dont les racines historiques remontent à…quasiment l'année 1845 !
Spolié dans ses territoires orientaux, du sud-est notamment, le Royaume du Maroc n'a jamais cessé de revendiquer son Sahara à l'ouest. Cette revendication a été posée en bonne et due forme dès 1956, aux puissances coloniales qu'étaient la France et l'Espagne, ensuite aux Nations unies, avant même que l'Algérie ne soit devenue un Etat reconnu en juillet 1962, et-ce qui n'est pas le moindre signe-avant même que le pseudo-polisario ne voie le jour et n'existe. Le droit, notamment international, pourra-t-il aussi facilement être comptable de la mémoire et de l'histoire ? S'il s'est nourri depuis les années soixante de concepts comme l'autodétermination, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, il a en revanche plaidé pour l'unité nationale, l'intégrité territoriale, le regroupement et le fédéralisme. Or, dans l'affaire du Sahara, la mystification algérienne aura été telle que la communauté internationale en est venue à perdre les repères.

Le gouvernement algérien, lié en principe au Maroc par un accord signé en janvier 1969 à Ifrane, n'avait cessé de proclamer que le Sahara occidental était marocain et rien d'autre. Houari Boumedienne, Abdelaziz Bouteflika, son ministre des Affaires étrangères de l'époque, aujourd'hui président, affirmaient solennellement au Sommet arabe de Rabat en 1974 l'inaltérable marocanité du Sahara occidental. Mieux, ils avaient appelé les autres pays à soutenir le Maroc face à l'Espagne franquiste. Comment pourrait-on expliquer un si grave revirement d'attitude survenu par la suite dans la foulée de la récupération par le Maroc de son territoire et de la Marche verte en 1975 ? Comment le gouvernement algérien a-t-il pu troquer son soutien solennel et public par une animosité velléitaire ? On se prend à rêver que raison garder puisse un jour prévaloir ou revenir sur les sommets d'Alger. On ne cesse, a contrario, de mesurer les contradictions qui marquent le comportement d'un pouvoir algérien, alchimie d'une caste militaire et d'une bureaucratie, qui n'en démord pas de nourrir la hargne anti-marocaine chez son peuple et sabote la construction du Maghreb, seule alternative à la paix et au progrès dans la région.

Car on ne doit guère oublier qu'au registre des contradictions flagrantes du pouvoir algérien, il soutient avec acharnement et tous les moyens de la terre, l'autodétermination du prétendu « peuple sahraoui », mais qu'il la refusait « mordicus » à Cabinda et au peuple kurde que même le pouvoir féroce de Saddam Hussein considérait officiellement comme « un peuple à part entière ». Il n'avait jamais soutenu la revendication d'indépendance au peuple d'Erythrée face à Mengistu, cruel dictateur rouge éthiopien…

Le Haut commissariat aux réfugiés (HCR) des Nations unies a mis des décennies avant d'accéder, encore que sur la pointe des pieds, aux camps de Tindouf. Il n'a pas réussi, le réussira-t-il un jour, à recenser les authentiques sahraouis des faux. C'est l'un des aspects essentiels de la mystification qui drape le conflit. A vrai dire, et les événements nous le confirment chaque jour, il n'y a pas d'authentiques sahraouis dans les camps de Tindouf et Lahmada que ceux qui sont séquestrés et qui avaient été déplacés de Lâayoune, Smara, Boujdour et conduits de force en 1976 par l'armée algérienne.

Ils représentent une minorité par rapport à la très large majorité qui vit au Maroc. Or, le gouvernement algérien, mettant à profit son machiavélisme, a fait rapatrier des milliers de Maliens, de Nigériens, de Mauritaniens et autres qui avaient fui les sécheresses successives des années quatre-vingt et quatre-vingt-dix pour les incorporer dans les rangs du polisario et leur conférer un statut de « réfugiés ». Il a cru ainsi se jouer des Nations unies et de la communauté internationale. Tant et si bien qu'il devient désormais nécessaire pour celle-ci de faire la part des choses dans cette affaire. Il y va de la justice et de la légalité.

http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=110&id=131747
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Personne à contacter Re: conflit algéro-marocain

Message par Sphinx Ven 23 Avr - 22:24

«L’autonomie proposée par le Maroc mettra fin au calvaire vécu par les Sahraouis dans les camps de Tindouf».

Lahcen Mahraoui : Universitaire, acteur associatif et membre du Corcas, installé à Paris.
propos reccueillis par Hakim Arif

Le dernier rapport du SG de l’ONU Ban ki-moon montre une sorte de pessimisme quant à la résolution du conflit du Sahara. A quoi est dû ce pessimisme ?

Lahcen Mahraoui Alors que le Maroc présente un projet historique et révolutionnaire car l’autonomie renforce la démocratie locale, garantit aux Sahraouis leurs droits politiques, économiques, sociaux et culturels et met fin au calvaire vécu par les populations de Tindouf, les autres parties (Algérie et Polisario) campent sur leurs positions et cherchent à conduire le processus de nouveau vers l’impasse et à faire perdurer indéfiniment le conflit.

Cette situation de blocage voulue par les autres parties nous rappelle celle qui prévalait en 2006. Dans son rapport au Conseil de Sécurité N° S/2006/249 du 18 janvier 2006, l’ancien secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, disait dans le chapitre Observations et Recommandations : «Une fois que le Conseil de sécurité aurait reconnu la réalité politique selon laquelle personne n’allait obliger le Maroc à abandonner sa revendication de souveraineté sur le Sahara occidental, il se rendrait compte qu’il n’existait plus que deux solutions : la prolongation pour une durée indéfinie de l’impasse actuelle dans la perspective d’une réalité politique différente ou la tenue de négociations directes entre les parties. La première option a été rejetée par mon Envoyé personnel qui a estimé que la poursuite de l’impasse actuelle favoriserait la violence. Cette violence ne déboucherait pas sur l’indépendance du Sahara occidental mais condamnerait plutôt une autre génération de Sahraouis à grandir dans les camps de Tindouf.»

Et dans sa résolution N° 1495 de 2003, le Conseil de sécurité avait averti sur le fait que l’absence de progrès continue à entraîner des souffrances pour les Sahraouis, demeure une source d’instabilité potentielle et fait obstacle au développement du Maghreb. Il y a donc vraiment de quoi être pessimiste !

Nombreux sont les Sahraouis qui quittent les camps de Tindouf pour rejoindre leurs familles au Maroc. A quoi est dû ce mouvement ? Pensez-vous qu’il va s’accentuer ?

La fuite des Sahraouis des camps de Tindouf vers la mère patrie ne date pas d’aujourd’hui. Depuis l’annonce par feu Hassan II que la patrie est clémente et miséricordieuse, quelques milliers de Sahraouis qui étaient séquestrés à Lahmada ont pu déjouer la surveillance de la junte militaire polisarienne et des services de sécurité algériens et rejoindre ainsi la mère patrie. Parmi eux on trouve de nombreux dirigeants du Polisario. Ce phénomène s’est encore accentué ces derniers jours. En moins d’un mois, plusieurs groupes constitués pour la plupart de jeunes qui n’ont connu que les camps de Lahmada ont rejoint la mère patrie. Dès cette annonce royale, on ne devrait plus parler de réfugiés mais bel et bien de séquestrés.

A quoi est dû ce phénomène ?

Ce phénomène est naturel, il est lié à de nombreux facteurs. Les conditions de vie à Lahmada sont insupportables été comme hiver, l’éloignement, les séparations familiales et la durée extrêmement longue de ce conflit. Une autre explication de ce phénomène est l’opposition systématique des responsables du Polisario à la solution d’autonomie proposée par le Maroc car cette situation de refus représente pour les populations de Tindouf l’éloignement de toute perspective de résolution dans un avenir proche.

Personne ne veut rester dans cet enfer, mais que faire quand on est totalement encerclé par la milice du Polisario, par la gendarmerie et l’armée algériennes ? Que faire quand on est séparé et sans nouvelles depuis plusieurs années de ses propres enfants sous prétexte qu’ils sont scolarisés dans un pays ami lointain ou quand on compte dans sa famille des personnes âgées ou malades qui ne peuvent pas supporter la fuite ?

Qu’est-ce que cela veut dire pour le Polisario ?

Cela veut dire que le Polisario ne peut pas continuer indéfiniment à séquestrer les gens et que, tôt au tard, il faudra bien qu’il se mette à l’évidence et mette fin à cette séquestration qui n’a que trop duré.

Le Polisario est de plus en plus contesté à l’intérieur même des camps de Tindouf. Quelles sont les différentes positions que l’on peut recenser dans ce cadre ?

Le Polisario a toujours été contesté mais personne ne pouvait afficher cette contestation par crainte de la prison, de la torture ou de la mort.

Depuis plus de trois décennies, rien n’a changé à Tindouf, les mêmes slogans, la même pensée unique, le même parti unique formé par les mêmes dirigeants devenus maîtres dans l'emploi des techniques modernes de la manipulation des masses et de la démagogie. En somme, c’est le mensonge et le totalitarisme qui n’admettent, par définition, aucune opposition.

Aujourd’hui, trente-cinq ans plus tard, la population dans les camps commence à en avoir assez de ce système qui vieillit, qui n’a jamais respecté ses promesses, qui n’a rien apporté aux Sahraouis, qui détourne l’aide internationale et dont les dirigeants s’enrichissent de plus en plus.

C’est dans ce cadre que nous avons vu la naissance en Espagne d’un mouvement opposant à la direction du Polisario, le «Khat Achahid», qui conteste aujourd’hui la légitimité du Polisario à représenter les Sahraouis des camps et, par voie de conséquence, sa légitimité à négocier une solution de ce conflit avec le Maroc.

La crise par laquelle passe le Polisario aujourd’hui, totalitarisme, clientélisme, détournement de l’aide internationale, manque de perspective quant à l’issue du conflit, manque de liberté de mouvement et d’expression dans les camps, le conflit ouvert avec la fraction Laâyaicha (tribu R’Guibat), le chômage des jeunes diplômés, ne peut conduire qu’ à des soulèvements comme celui qu’ont connus les camps en 1988.

La question des droits de l’Homme a longtemps été exploitée par le Polisario contre le Maroc, alors que la situation des droits de l’Homme est très critique dans les camps. Le Maroc a-t-il raté quelque chose en communication, laissant l’initiative au Polisario ?

Le Maroc est le pays arabo-musulman et africain qui a le plus avancé dans le domaine des droits de l’Homme lors de la dernière décennie. Il s’est doté d’un important dispositif institutionnel de nature juridictionnelle, consultative ou de médiation pour assurer la reconnaissance, la protection et la promotion des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.

Toutes ces avancées, font face à une propagande orchestrée par le Polisario, financée par l’Algérie et dont les acteurs sont malheureusement des Marocains eux-mêmes, des «séparatistes de l’intérieur», qui profitent du climat de libertésqui règne actuellement au Maroc pour faire de la provocation, pour chercher par tous les moyens à s’enrichir, à se créer de la notoriété, et qui usurpent le statut de militant des droits de l’Homme. En effet, s’ils étaient de vrais militants des droits de l'Homme, ils prendraient position contre toute situation allant à l'encontre des droits fondamentaux de l'Homme, et ce quel que soit le point du globe concerné, et donc notamment dans les camps de Tindouf et en Algérie.

Pour répondre à votre question je pense qu’effectivement il faudrait, tout en avançant dans la concrétisation de ces droits humains sur le terrain, élaborer une stratégie de communication efficace qui viserait, d’une part, à mettre en évidence les avancées enregistrées et à mettre ainsi l’accent sur les évolutions du pays pour amplifier la revalorisation de notre image à l’étranger et, d’autre part, il faut une communication non pas agressive mais percutante pour faire perdre son impact à la propagande menée par le Polisario et l’Algérie et minimiser ainsi les dégâts collatéraux causés par celle-ci. Il y a un proverbe qui dit : «Celui dont la maison est en verre doit se garder de jeter des pierres aux autres». Les domaines d’atteintes des droits de l’Homme, dont les responsables sont le Polisario à Tindouf et le pouvoir algérien sur l’ensemble du territoire algérien, sont très nombreux. Nous les connaissons, à nous donc de les faire connaître auprès de la communauté internationale à l’aide des témoignages de ceux qui en ont été victimes ! Donner des faits concrets, montrer ce qui s’est passé et se passe encore dans les camps. Ceci pourrait pousser le pouvoir algérien à cesser ces atteintes aux droits de l’Homme et à indemniser ceux qui ont en été victimes.

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Message par Sphinx Mer 28 Avr - 1:13

Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki Moon


Comité Spécial Chargé du Sahara Marocain en Europe

A :
Son Excellence Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki Moon

Excellence, Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies




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Message par Syfou Ven 14 Mai - 15:17

Sahara Occidental : Quelle issue pour les femmes séquestrées à Tindouf ?

S’il est un fait indéniable, que personne ne peut nier, et qu’un nombre croissant d’organismes internationaux, dont le HCR, et de fondations internationales non gouvernementales, confirment dans leurs rapports et enquêtes de terrain, c’est bien la condition humanitaire des populations sahraouies enfermées dans les camps, lugubres et hostiles, de Lahmada, en Algérie, et retenues de force par la milice armée du Polisario et par l’armée algérienne.
Dans cet enfer de précarité et de non droit, les catégories de population les plus touchées, car les plus vulnérables, sont les femmes, les enfants et les personnes âgées. Mais la condition des femmes reste la plus précaire, car les femmes dans les camps sont soumises à toutes sortes d’ostracisme et de pressions sociales. En clair, les femmes sont données en pâture aux dirigeants du mouvement séparatiste comme concubines, domestiques ou esclaves (et le fait est avéré, démontré dans de nombreux reportages et documentaires, dont le plus retentissant est le documentaire australien, Stolen).

On leur assigne les tâches les plus ingrates et les plus dures dans les camps et elles n’ont d’autre alternative que de se soumettre ou d’être battues ou violées, ou les deux à la fois, voire jetées dans les geôles sordides des campements de Tindouf. Par ailleurs, elles peuvent être exhibées devant les caméras et les délégations étrangères pour séduire la galerie internationale et alimenter la propagande extérieure du Polisario.
Et lorsqu’un des membres de la famille, de l’une ou de l’autre de ces femmes, arrive à s’arracher des camps de Tindouf et à s’enfuir du sud-ouest algérien pour passer en Mauritanie et, de là, rejoindre le Maroc, celles-ci deviennent l’objet de toutes les persécutions et subissent infamie et chantage, à commencer par le rationnement de la nourriture et jusqu’à la privation du droit de garder les enfants ou de voir des proches.
Aussi la question qui se pose est celle de savoir jusqu’à quand durera cette situation d’oppression et de maltraitance des femmes dans les camps de Tindouf ? Jusqu’où ira-t-on dans le processus infernal de non droit, avant que se réveille la conscience internationale et, surtout, avant que des mesures concrètes soient prises pour mettre fin au calvaire des femmes et des populations séquestrées dans les campements de la honte et du désespoir de Tindouf ?

http://www.evene.fr/citations/theme/haine.php

Écrit par Hamid Belhouari
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Message par Syfou Ven 13 Aoû - 0:27

Le roi Mohammed VI revient sur l’ouverture des frontières algéro-marocaines

Décidément, Rabat ne désespère pas d’obtenir d’Alger une ouverture et immédiate de ses frontières terrestres avec notre pays. C’est du moins le constat que l’on est en droit de faire à la lecture de la dépêche de la MAP, l’agence de presse officielle marocaine qui en date du 8/7/2008 profite de l’annonce de la participation de l’Algérie au Sommet de l’union pour la Méditerranée (UPM) pour décréter que l’ouverture des frontières algéro-marocaines contribuerait à la réussite de ce projet devant être lancé le 13 de ce mois à Paris. Rabat dont le voeu le plus cher est que ces frontières soient ouvertes incessamment tente de pousser un expert à plaider sa cause.

M. Cherler Saint, professeur, directeur de l’observatoire d’études géographiques(OEG) et spécialiste du monde arabes déclare: On peut émettre des doutes sur la possibilités de créer un processus durable alors que les frontière sont fermées entre le Maroc et l’Algérie du fait du conflit au Sahara marocain et du soutien apporté par Alger au Polisario». L’idée en elle-même qui pourrait peut-être se défendre trouve quant même un défenseur assez maladroit en affichant les perdants de la politique colonialiste de Rabat, preuve en est qu’il explique cette fermeture par le conflit du Sahara occidental et qu’il qualifie les représentants du peuple sahraoui pour une déterminante lutte pour leur indépendance d’«indépendantiste». Alger avant Rabat avait demandé la réouverture des frontières et clairement affiché ses positions par le biais de bon nombre de ses responsables à commencer par notre ancien chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, ainsi que le ministre des A.E ,Mourad Medelci.

Notre pays avait évoqué un certain nombre de «préalables» devant précéder cette ouverture. Les questions liées au trafic de drogue ainsi qu’à la collaboration sécuritaire figuraient également en bonne place parmi ces préalables. La question du Sahara occidental n’en est donc qu’une partie. N’étant pas en position de quémendeur et n’ignorant pas non plus que Rabat accumule un manque à gagner de l’ordre de plus de 2 millions de dollars, c’est notre voisin qui a procédé à cette fermeture sous de fallacieux prétextes dans le but surtout de contribuer à nous isoler un peu plus.

http://www.algerie360.com/algerie/le-roi-mohammed-vi-revient-sur-l%e2%80%99ouverture-des-frontieres-algero-marocaines/
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Message par abdelmalek Sam 14 Aoû - 10:41

MA LECTURE:l'algerie n'a pas creer les lois de l'onu:nous appliquons un principe l'autodetermination ,vous marocains vous nous avez aidé pour ce principe:vous avez change de position nous NON.car la révolution algerien n'est pas traitrise.nous aiderons aujourd'hui et demain ce quetum.que vous revendiquez n'est pas moins une drole de sauce.
vous parler de drogue il est indéniable vous êtes les parrain de ce fléau:pour cela l'algerie ne demande que d'arréter ce poison.
quant a Boumédienne:qui a sauve le trone de feu H2:je ne rentre pas dans le détaille car vous le savez.vous melangez le retard avec l'avance soyez zen et le probléme du sahara et de la frontiéres sera resolu et nous n'oublions pas que nous avons été dans le mêmecortéges sous empereur abdelmoumene.
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Message par Syfou Dim 3 Oct - 23:12

Les services secrets marocains et leurs guerres secrètes contre l’Algérie : l’impasse du Polisario et la manipulation de l’opinion publique

En fait, le renseignement marocain est arrivé à une impasse, née en réalité d’une position « de principe » qui ne permet aucune concession, à savoir garder le Sahara sous domination. Un responsable des services secrets marocains avait dit textuellement : « Le Polisario sans l’Algérie ne peut rien faire, et partant de ce constat, il est impératif soit d’attiser les tensions entre les deux parties, soit de tenter de « casser le maillon fort » de l’équation, à savoir l’Algérie ».

Depuis que j’ai dévoilé les dessous de la ville de Dakhla sur les pages d’Echorouk, j’ai décidé de dire tout ce que je connais sur le Makhzen et les services secrets marocains, après trois années passées à les étudier de près. Non pas en divulguant des informations qui ont été dites ça et là, ni en reprenant l’historique de l’appareil du renseignement du Palais royal, mais en mettant sur la place publique mon expérience personnelle et des informations que j’ai puisé dans le fonds secret des renseignements marocains et dans les étapes importantes d’un périple qui ne doit pas être mis aux oubliettes de l’Histoire. Je pars aussi dans mes propos à partir d’entrées dont j’ai eu un accès privilégié, et non pas à partir d’un esprit vindicatif, d’un règlement de comptes comme pourraient l’interpréter certains. Mon témoignage n’est pas non plus un motif pour être mis sous les sunlights des querelles qui secouent la région maghrébine, ni une « mission commandée » menée pour le compte d’un service secret, mais simplement – et humblement- une mission journalistique pour percer à jour des vérités cachées concernant un service secret qui a eu, et qui a son influence et ses coups fourrés dans le cours de la politique de la région et même au-delà.

Auparavant, mes critiques envers le Polisario, concernant la situation des droits de l’Homme, a été utilisé à tort et à travers, et j’estime –avec toute la moralité et le professionnalisme qui siéent à un homme dans pareille situation- que le temps est d’en parler ouvertement, d’autant plus que le temps passe et que l’homme n’est pas le gérant de sa propre destinée, mais je me dois aussi de dissocier le peuple marocain frère de ce que je vais porter sur ses services comme jugements, lesquels jugements ne pourraient que ravir les ennemis.
Mon périple journalistique a été suivi de près, et dès le début, par Echorouk, à travers son directeur Ali Fodhil, et, en fait, mes reportages à Dakhla étaient destinées à Echorouk, qui avait donné à mon travail toute l’importance qui lui seyait.

Sur le seuil du renseignement marocain

Tous les services de renseignement du monde travaillent en secret pour sécuriser les structures de l’Etat et assurer les intérêts de leur pays. Il est évident aussi que ces services possèdent leurs appareils légitimes et légaux et leurs méthodes illégales et illégitimes. Beaucoup d’entre elles « opèrent un sale boulot », comme les assassinats, les liquidations, la désinformation -pour justifier une politique injuste, dompter des adversaires ou imposer un agenda défini. Sous ces derniers qualificatifs, on peut placer le Mossad, ou encore la CIA, lesquels mènent en Palestine, en Irak et en Afghanistan un travail de ce genre.

Toutefois, lorsqu’un service secret est en situation d’occupant, il est plus dangereux encore, car il se trouve dans une position indélicate. A partir de là, on peut mieux appréhender la position des services secrets marocains, lesquels vivent une véritable impasse au sujet du Sahara Occidentale, que l’ONU place sous le volet de « liquidation d’occupation » et que la communauté internationale qualifie de « dernière colonie en Afrique ».

Pour se tirer d’embarras, les services secrets marocains travaillent sur deux fronts. Le premier est le front « Algérie », de par sa position de pays inflexiblement allié au Sahara Occidentale, le second étant celui de la communauté internationale et du contexte régional. Ce qui nous intéresse ici, évidemment, est le volet relatif à l’Algérie. Nous allons révéler des choses qui se situent bien loin de ce que la position officielle du Maroc, et même les propos du Palais royal, affichent.

En fait, le renseignement marocain est arrivé à une impasse, née en réalité d’une position « de principe » qui ne permet aucune concession, à savoir garder le Sahara sous domination. Un responsable des services secrets marocains avait dit textuellement : « Le Polisario sans l’Algérie ne peut rien faire, et partant de ce constat, il est impératif soit d’attiser les tensions entre les deux parties, soit de tenter de « casser le maillon fort » de l’équation, à savoir l’Algérie ».

Partant de là, il est devenu clair que les services marocains s’y est investi à fond dans cette mission, quitte à commettre assassinats ciblés, oppression des opposants et du peule sahraoui, écrivant par ces actions un long registre, très riche en violations des droits de l’Homme, que ce soit au Rif, dans les territoires occupés ou dans certaines villes marocaines même. Ces mêmes services se sont aussi hasardés dans des aventures gravissimes, que ce soit pour liquider des opposants politiques ou pour se débarrasser de complices des putschs militaires manqués contre le roi. Le registre va de Ben Barka à Hichem El Mandari, en passant par Oufkir et les détenus de la triste prison de Tazmamart.

Dans ses priorités, le renseignement marocain se concentre sur l’Algérie, mais aussi sur l’Espagne et la Mauritanie, et ce pour des raisons stratégiques, dont les enjeux seront clarifiées plus loin…

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Message par abdelmalek Lun 4 Oct - 11:06

les services marocains ne vont pas dans la dentelle:je pense qu'une république voisine sera plus sage a nos frontiére.
NOUS D2FENDONS UN PRINCIPE H2RITES DE LA REVOLUTION ET MEME AVANT/CHAQUE PEUPLE CHOISIT SON HERITAGE/POUR LE POLISARIO///AUTODETERMINATION;
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Message par Invité Ven 5 Nov - 19:07

Le gouvernement marocain multiplie ses attaques contre l’Algérie

C’est à une véritable “guerre froide” que nous assistons depuis quelques jours entre Alger et Rabat. Le royaume chérifien multiplie ses attaques contre l’Algérie, qu’il accuse de bloquer le règlement du conflit du Sahara occidental et la concrétisation de l’Union du Maghreb arabe.
La lune de miel n’aura pas duré longtemps entre le Maroc et l’Algérie. Le réchauffement des relations entre les deux pays, amorcé à l’occasion du Sommet arabe d’Alger en mars 2005, qui avait vu la visite du souverain chérifien dans la capitale algérienne, n’aura pas fait long feu. C’est le retour à la case départ. Devant le refus des autorités algériennes de répondre positivement à ses nombreuses sollicitations de rouvrir la frontière, Mohammed VI a fini par perdre patience en ce début de semaine, les accusant, pour la première fois publiquement, d’empêcher l’aboutissement du processus de négociations pour le règlement du conflit du Sahara occidental et le blocage de l’Union du Maghreb arabe.
Il faut dire que les conséquences de la fermeture de la frontière sur l’économie sont tellement importantes pour Rabat qu’il a hâte de la voir ouverte de nouveau. En effet, outre les répercussions sur le Maroc oriental, le tourisme marocain est le grand perdant dans l’histoire, car estimant pouvoir récupérer une bonne partie des touristes algériens, qui prennent chaque été le chemin de la Tunisie, si cet obstacle de la fermeture de la frontière terrestre venait à être levé. Les responsables marocains sont confortés par le fait que 300 000 Algériens se sont rendus au Maroc l’année écoulée, empruntant le seul moyen de transport le permettant, en l’occurrence l’avion. Nonobstant ce volet économique, il y a lieu de relever que cette levée de boucliers intervient dans une conjoncture internationale défavorable à Rabat. Nous sommes à la veille de la désignation du nouvel envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental devant remplacer le Néerlandais Peter Van Walsum, lequel s’était purement et simplement aligné sur la position marocaine, provoquant l’ire du Front Polisario.
Aussi, l’arrivée prochaine du démocrate Barack Obama à la Maison-Blanche a ravivé les appréhensions de Rabat quant à un possible éventuel revirement de la politique américaine vis-à-vis du dossier du Sahara occidental. Ajoutez à cela les nombreux déboires de la diplomatie marocaine, qui n’arrive pas à accréditer ses thèses auprès de la communauté internationale, vous aboutissez alors à la conclusion que c’est le branle-bas de combat dans les palais royaux. Toutes les trouvailles, terrorisme et balkanisation du Maghreb, entre autres, n’ont pas convaincu du bien-fondé de la position marocaine. Le bouc émissaire, pour justifier tous ces échecs, est tout indiqué : l’Algérie. Ceci dit, la thèse algérienne sur la question sahraoui, à savoir le soutien régulier, est interprétée comme le prolongement de son soutien “immuable” aux mouvements de libération depuis les années 1960. Quant à la réouverture de ses frontières, les autorités algériennes ont de tout temps affirmé que le problème de la circulation des biens et des personnes aux frontières “ne peut être dissocié d'une approche globale” sur l'UMA. Dans cette optique, elles demandent un traitement global de tous les contentieux en suspens entre les deux capitales.
Au lieu de faire en sorte d’aboutir à des compromis à même de débloquer la situation sur les plans bilatéral et régional, les responsables marocains poussent au pourrissement à travers des provocations du genre de la récente sortie médiatique de Mohammed VI, ou de la tentative de forcer la main au Chef du gouvernement en poste, Abdelaziz Belkhadem, à l’occasion de la commémoration du cinquantième anniversaire de la réunion de Tanger en 1958. Faisant la sourde oreille aux demandes algériennes, le souverain marocain continue à souffler le chaud et le froid en direction d’Alger en fonction des développements de la question sahraoui sur la scène internationale. En attendant, c’est l’Union du Maghreb arabe qui subit les conséquences de ses sautes d’humeur. Le ministre d’État, ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, avait répondu le 10 novembre dernier aux accusations du gouvernement marocain en affirmant que “personne ne peut accuser l’Algérie de vouloir balkaniser le Maghreb”.
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Message par Invité Ven 5 Nov - 19:11

Le Maroc s’en prend violemment à l’Algérie, discours haineux et contre-productif

La tournée de l’émissaire spécial de l’Onu pour le Sahara Occidental dans la région, Christopher Ross, reçu jeudi à Tétouan, par le roi Mohamed VI, s’est accompagnée par un brusque durcissement du discours officiel marocain à l’encontre de l’Algérie.
La tendance à attaquer publiquement et durement l’Algérie a précédé la visite de Christopher. Le Maroc a déjà pris prétexte du fait d’avoir été tenu à l’écart de la réunion des pays du Sahel sur le terrorisme qui s’est tenue à Alger, pour se livrer à une première diatribe.
La question du terrorisme étant sensible chez les Occidentaux, le Maroc a choisi de dénoncer dans cette mise à l’écart une «réaction négative des autorités algériennes» et a regretté une «attitude d’exclusion face à une menace pourtant commune et identifiée…».
Selon les Affaires étrangères marocaines, Rabat avait souhaité y participer mais avait été éconduit par Alger qui, se fondant sur une stricte approche géographique, considérait que le Maroc n’y avait pas sa place. Le passage de M. Christopher Ross par le Maroc, qui s’est abstenu de faire de déclaration, a été une occasion saisie par le ministre marocain de la Communication, Khalid Naciri, pour passer à un cran supérieur en se livrant à une virulente attaque contre l’Algérie.
Dans la continuité du Roi Mohamed VI qui aurait, selon l’agence marocaine de presse M.A.P, affirmé que le référendum est «définitivement écarté», le ministre de la Communication marocain a accusé la diplomatie algérienne d’entraver les négociations avec le Polisario. M. Naciri a affirmé que l’Algérie était «l’un des principaux blocages de la construction maghrébine et, plus grave, de la sécurité maghrébine».
Le thème sécuritaire est de nouveau invoqué, dans une logique propagandiste, pour laisser entendre que l’Algérie nuit à la coordination des actions contre le terrorisme.
La presse marocaine, elle, reprend la vieille – et infondée – assertion selon laquelle les camps de réfugiés de Tindouf seraient des viviers potentiels du terrorisme djihadiste.
Il est clair que le Maroc n’a pas supporté de ne pas être convié à Alger pour la conférence régionale sur la «lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière».
Rabat escomptait, apparemment, qu’une présence dans la capitale algérienne autour d’un thème régional constituerait une reconnaissance de fait ou par effraction de son autorité sur le Sahara Occidental.
DÉPIT ROYAL, PROPAGANDE STÉRILE
De toute évidence, et en arguant formellement de la géographie, tellement importante dans le cas du Sahara Occidental, Alger n’a pas voulu laisser place à une équivoque qui aurait été exploitée par une diplomatie marocaine qui fait feu de tout bois.
«Que l’Algérie ait pris soin d’empêcher le Maroc de participer à la réunion consacrée à la sécurité dans la région sahélo-saharienne montre que le comportement de la diplomatie algérienne est d’une stérilité historique et inégalée», a déclaré Khaled Naciri. La vigueur des attaques anti-algériennes de Khalid Naciri, qui est également porte-parole du gouvernement, laisse transpirer un grand dépit sur fond de réflexe propagandiste habituel.
Sur le fond, les Marocains font face, dans le cadre des discussions informelles, à des sahraouis qui ne renoncent pas à ce qui a été déjà décidé par les résolutions du Conseil de sécurité : le référendum d’autodétermination.
Et, contrairement à ce qu’affirme le roi marocain, visiblement mal inspiré, dans les décolonisations le principe du référendum n’est pas contestable. Les dirigeants marocains semblent enragés par le fait que malgré le soutien des Occidentaux, les dirigeants sahraouis ne transigent pas, par conviction et par une appréciation de leur intérêt.
Ils choisissent d’invoquer une vieille explication : ce serait l’Algérie qui entraverait le plan d’autonomie que les sahraouis seraient prêts à accepter.
Le problème de Rabat est qu’au Sahara Occidental, des sahraouis, loin de toute «influence» algérienne, réclament leur indépendance et se font emprisonner et torturer par les services marocains.
Le discours agressif des dirigeants marocains est de toute évidence contre-productif… et stérile.
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Message par Invité Ven 5 Nov - 19:15

ATTAQUES VIOLENTES DU MAROC CONTRE LA RÉVOLUTION

Au moment où l’Algérie célèbre le 56e anniversaire du déclenchement de la Révolution, le pouvoir marocain, à travers une de ses organisations satellites, tente de dénaturer son histoire.
Alors que le président de la République recevait des messages de félicitations de la part de souverains, des chefs d’état et de gouvernement du monde entier, le Royaume alaouite a choisi le camp de la discorde: lancer une campagne de désinformation, de fausses et graves accusations pour porter atteinte à la crédibilité de l’édification de l’état algérien.
Un cadeau amer de la part de Rabat, en ce jour de commémoration du 1er Novembre qui symbolise la liberté retrouvée du peuple algérien. Cela témoigne de la complexité des relations politiques entre les deux pays que le Maroc veut rendre exécrables. Témoin, ce communiqué d’une «pseudo-association» pour la défense des Marocains expulsés d’Algérie (Adema) qui appelle à «l’ouverture d’une enquête internationale sur les crimes commis par le régime algérien contre des milliers de Marocains expulsés en 1975». Sans tomber dans le piège de la polémique stérile, nous ne pouvons pas, néanmoins, laisser passer une telle contre-vérité, sans rappeler les exactions commises contre les Algériens par les autorités chérifiennes, expulsant nos concitoyens en masse du Maroc depuis l’indépendance du pays (en 1963, lors de la «guerre des sables», en 1975, quand l’Algérie condamna l’invasion du territoire sahraoui sous domination espagnole et enfin en 1994, lorsque Rabat organisa la chasse aux Algériens, confisquant leurs biens et les licenciant de leur travail alors que nombre d’entre eux étaient installés au Maroc depuis des décennies, après des attentats terroristes imputés fallacieusement à l’Algérie.
Pour son indépendance, l’Algérie n’a eu besoin de personne; ce sont les Algériens, tombés par milliers au champ d’honneur, qui ont porté haut la Révolution et ses idéaux. Pour la gouverne du pouvoir marocain, faut-il lui préciser que les grandes artères de la capitale, des grandes villes, des rues et des ruelles des hameaux les plus reculés du territoire national, les aéroports, les hôpitaux, les établissements scolaires... portent les noms les plus prestigieux de la Révolution algérienne, d’autres grands révolutionnaires, d’hommes politiques et savants illustres qui ont marqué l’histoire contemporaine de l’humanité - sans distinction de nationalité ni de religion. L’accusation que porte cette fois-ci le pouvoir marocain comporte quelque chose qui s’apparente à l’ignominie. Elle s’abreuve dans les idéologies fascisantes qui ont conduit aux théories négationnistes. Celles qui réfutent à certains peuples le droit d’exister. Le peuple du Sahara occidental en est un exemple vivant. L’Algérie soutient son droit à l’autodétermination et à son indépendance dans le cadre des résolutions adoptées par le Conseil de sécurité.
Cette position de principe fait perdre les pédales au Makhzen. Elle l’affole. Au point qu’il est pris de délire et de paranoïa. M.a.p se fait l’avocat de ces «victimes» qui se voilent derrière un anonymat qui en dit long sur les véritables velléités de Rabat. «Ils se remémorent avec amertume les sévices et les crimes des plus infâmes jamais perpétrés contre l’humanité commis par ce régime qui, dans une tentative visant à dénaturer l’histoire, a effacé du registre de la Révolution algérienne les noms des véritables héros pour les remplacer par des noms des collaborateurs de l’occupant», écrit à leur sujet le journaliste de l’agence de presse marocaine.
L’amalgame est gratuit. Il trahit le désarroi du Maroc qui doit faire face à une opinion internationale qui condamne sa politique de répression au Sahara occidental et appelle à l’organisation d’un référendum d’autodétermination qui puisse permettre au peuple sahraoui de se prononcer librement quant à son avenir. Sur un autre front, les affrontements qui perdurent entre des manifestants marocains et la police espagnole n’augure pas de rapports sereins entre Rabat et Madrid. La décolonisation inachevée du Maroc est vécue comme une frustration et un complexe par rapport à la souveraineté conquise héroïquement et de haute lutte par le peuple algérien. Ceci explique cela. Mohammed VI fait dans la diversion en prenant pour cible l’Algérie et sa Révolution qui a suscité l’admiration de tous les peuples de la planète épris de liberté. A l’instar de celui du Sahara occidental.
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Message par Invité Ven 5 Nov - 19:23




Il est le guide touristique le plus vendu dans le monde
Féroce attaque contre la destination Algérie par le Petit futé




Un pays terreau de la frustration et de la jalousie, un peuple sensible uniquement aux ingérences étrangères, des hommes machos plus qu'ailleurs dans le monde, une jeunesse formée de crétins-frustrés, de pervers et de psychopathes, un quotidien sale, une hôtellerie archaïque et une milice à la solde de forces spéciales.
C'est avec ces termes que la destination Algérie est présentée aux lecteurs du Petit futé, le plus réputé des guides touristiques dans le monde sans que les officiels algériens réagissent à ce jour.
L'année passée, en septembre, le ministère du Tourisme a rendu un hommage aux efforts déployés par le Petit futé et autres guides avec l'intention d'acheter des centaines d'exemplaires sur fonds publics. Il y a quelques jours, un exemplaire de l'édition 2009-2010 du Petit futé Algérie, la quatrième, est tombé entre mes mains, et je me demande si les proches du ministre de l'époque ont pris la précaution de feuilleter ce guide avant d'initier la démarche. La même question se pose à propos des grands annonceurs publics que sont Air Algérie, l'O.N.A.T, Moblis et l'hôtel Aurassi, pour ne citer que ces derniers, et qui ont, sans le savoir, subventionné une grave atteinte à l'image de la destination Algérie et à celle de tout le pays. Le drame est important, car le Petit futé est le guide qui reste le plus vendu dans le monde francophone.
Si l'ouvrage était un livre de politique ou d'économie touristique, on comprendra le recours aux termes et au style adoptés par les rédacteurs du Petit futé Algérie, mais il s'agit d'un guide touristique appelé à fournir une forme de conseils aux voyageurs potentiels sans parti pris politique. A travers cette contribution, je présente à l'opinion publique nationale et aux responsables en charge de la préservation de l'image de notre pays une lecture d'un des plus néfastes traités commis contre l'Algérie ces 10 dernières années.
Casbah délabrée, femmes légères et démocratie d'homosexuels.
Les attaques contre l'Algérie commencent dès la page 25 où est présentée la symbolique Casbah si chère à la mémoire collective algérienne. On ne peut parler d'Alger sans évoquer sa Casbah. Elle est la première destination de tout touriste qui passe par Alger. Reste que si les rédacteurs du Petit futé font un constat sans ménagement de l'état des lieux, ce qui est vrai, le reste des commentaires n'est pas innocent. Ainsi, on apprend que les Algériens seraient insensibles à l'état dans lequel se trouve leur Casbah, le cœur d'El Djazaïr. Les efforts de restauration sont imputés à une ingérence internationale plus qu'à une quelconque prise de conscience nationale.
Ainsi, à la page 25, on peut lire : «Au retour même timide des touristes, ou peut-être grâce à l'organisation de réunions internationales qui demandaient qu'Alger montre meilleure figure, des travaux ont enfin commencé début 2005». Comme tout patrimoine culturel, La Casbah intéresse et sensibilise les différents acteurs, algériens ou non, versés dans la préservation et la promotion de ce genre de patrimoine à travers des actions menées en concert avec les pouvoirs publics. Cela se fait partout dans le monde et non pas uniquement en Algérie.
Selon le Petit futé, ce peuple qui assassine son patrimoine culturel est plus cruel envers la femme. La sentence est écrite avec dérision. «Si les hommes algériens peuvent reconnaître haut et fort que les femmes sont leurs égales, sinon supérieures, reprenant le mythe de la bonne mère, dévouée et courageuse sans qui le pays n'existerait plus, bla, bla, bla, dans la réalité, il ne reste pas grand-chose de ce beau discours qui nous surprendrait presque…». J'avoue que dans ma carrière de journaliste spécialiste dans le tourisme, c'est la première fois que je lis un guide qui use de la formule «bla, bla, bla» pour mépriser une destination qu'il est censé présenter et conseiller à ses lecteurs.
«Le nouveau code de la famille présenté par Bouteflika en mars 2005 est loin d'être satisfaisant. L'idéologie islamiste a complètement assombri le regard des hommes sur les femmes. On voit, mais on ne connaît pas la femme. On ignore ou on en veut à celle qui par sa seule existence vous attirera dans les filets du mal. Comme ailleurs, et peut-être plus qu'ailleurs, les femmes sont souvent rabaissées, voire battues… Il est toujours normal pour un homme algérien de lever la main sur sa femme, sa petite amie, sa fille…», lit-ont toujours dans la page 105.
Le dénigrement va plus loin quand les rédacteurs du Petit futé Algérie insinuent avec des mots à peine cachés que l'activité religieuse chez la femme algérienne n'est qu'une distraction, voire un loisir pas plus. «Pour certaines femmes, participer aux réunions religieuses et à la prière du vendredi… est la seule occasion de sortir du domaine privé qu'est le foyer», lit-on encore à la page 105.
Au fur et à mesure qu'on avance dans la lecture du guide, on constate que la haine des rédacteurs augmente. Selon eux, l'Algérie, pays de «crétins frustrés» serait un terreau de la frustration et de la jalousie. Les termes sont clairs à la page 106, où l'on peut lire : «... Les crétins frustrés ne s'abstiennent pas ici qu'ailleurs et il reste difficile, voire impossible, de faire certaines choses comme de s'asseoir seule à une terrasse de café même dans les grandes villes. Et, amies, gardez à l'esprit que les ragots et les médisances naissent et prospèrent très rapidement dans le terreau de la frustration et de la jalousie.»
Les Algériennes seraient des femmes faciles, selon les rédacteurs du Petit futé Algérie, elles seraient d'hypocrites prostituées prêtes à se donner au premier venu pour un simple repas.
Pour le Petit futé Algérie, la prostitution est omniprésente en Algérie. Elle est dans les grandes villes, au cœur des résidences d'état et même sur internet. «… A Alger ou à Oran, de Club des Pins aux cabarets les plus miteux en passant par les restaurants, les bars d'hôtel et bien sûr internet et les sites de rencontre, des dizaines de filles cherchent une vie meilleure malgré les tabous, malgré le hidjab facilitant paradoxalement les choses, qui pour un cadeau, qui pour un dîner sortant de l'ordinaire, qu'on appartienne à la classe moyenne (s'il en reste une !) ou qu'on soit plus défavorisé… la prostitution est plus visible qu'on aurait pu l'imaginer dans la rue, dans les hôtels, très fréquentés l'après-midi, les bars de ces mêmes hôtels, les lieux de sortie nocturne», lit-on en page 106.
Pire, des faits divers sont déviés de leur contexte et rapportés toujours dans cette page donnant une image caricaturale des Algériens. D'un côté, des prostituées, et d'un autre, des violeurs.
«… Face à ce phénomène, des ‘‘barbus’’ ont monté des ‘‘raids’’ punitifs contre celles dont ‘‘on dit que…’’ qui ont tourné au viol collectif, voire plus, comme à Hassi Messaoud il n'y a pas si longtemps. Tout le monde le savait…», lit-on, toujours dans cette page.
Même en traitant des tenues vestimentaires des Algériennes, on profite pour dénigrer le peuple algérien et ses femmes. On a l'impression qu'on veut nous dire que si, aujourd'hui, juste pour un dîner, une Algérienne est prête à découcher, c'est parce que cela est ancré dans les mœurs des femmes de ce pays. Pour le besoins de la sale besogne, on recourt aux services d'un certain Nicolas Nicolays qui a rédigé au XVIe siècle des récits de voyages. Le passage suivant, tiré de ses récits, est reproduit dans le Petit futé Algérie : «Tout le long du fleuve et du rivage, les femmes et les filles esclaves maures de la ville d'Alger vont laver le linge, étant ordinairement toutes nues, excepté qu'elles portent une pièce de toile de coton de quelques couleurs bigarrées pour couvrir les parties secrètes (lesquelles toutefois pour peu d'argent elles découvrent volontiers)» Rien que ça !
Si, selon les rédacteurs du Petit futé Algérie, les Algériennes sont des femmes légères de naissance, même si elles portent un hidjab qui facilite «la chose» ; celles qui se sentent émancipées sont des égarées. «…Même si vous apercevez en ville des jeunes femmes habillées légèrement, ne sachant pas qui elles sont, où elles vivent ou comment elles sont jugées, évitez de faire comme elles en portant des tenues jugées provocantes», lit-on encore.
Sous le titre «Homosexualité», les rédacteurs du Petit futé algérien traient de la soif des Algériens à la démocratie. Ce raccourci qui résume les luttes des Algériens pour les libertés et la démocratie à celle de la population gay, qui dit avoir sa place dans la société, n'est pas saint du tout. C'est comme si les luttes de ce peuple pour la séparation des pouvoirs ont été menées exclusivement par des homosexuels. «Dans les années 1980, des associations ont cru pouvoir profiter de la démocratisation pour se faire entendre, mais quand les islamistes s'en sont mêlés les années suivantes, d'aucuns ont pensé qu'il était temps que le ménage soit fait», lit-on dans la page 107 dans la rubrique réservée à l'homosexualité. Une dérive !
On a l'impression que les réticences à l'homosexualité sont le propre de la seule société algérienne et de la religion musulmane. Toutefois, au lieu de donner l'avis des Algériens sur la question, on recourt à une citation d'un cheikh égyptien, comme s'il s'agit du Petit futé Égypte et non Algérie. Ainsi, on apprend, dans cette même page 107, que, selon le cheikh égyptien Abde Al Azim Al Mitaani, «la perversion sexuelle en général va à l'encontre de la volonté de Dieu et de sa création. Il s'agit de comportements méprisables dont se détournent même les animaux les plus vils». Un véritable racolage littéraire dans le seul but de nuire à l'Algérie. Pour rester dans le registre du bien et du mal, boire une bière en Algérie constitue un risque selon les rédacteurs du Petit futé Algérie. En effet, à propos des bars et cafés, on peut lire à la page 145 que «s'il est devenu facile de trouver des bars où l'on serre de l'alcool à Alger, il en va autrement dans d'autres villes et a fortiori à l'intérieur du pays. Les bars sont certes des lieux de convivialité mais aussi et surtout des lieux où les clients viennent pour s'enivrer ou pour oublier (alors que bien souvent les Algériens ont le vin triste) et il n'est pas rare d'y croiser des femmes.» Ne pouvant pas dire qu'en Algérie on ne peut pas boire d'alcool, on nous ressort cette histoire de vin triste.
Au pays des ragots, l'eau n'est pas potable et les hôtels sont dés enchanteurs
Les rédacteurs du Petit futé Algérie reconnaissent à la page 107 que «l'espérance de vie est, certes, en régulière augmentation et supérieure à la moyenne africaine». Toutefois, ils rajoutent qu'elle «cache des difficultés croissantes» sans les préciser. Une contradiction qu'aucun professionnel ne peut commettre sauf s'il est mal intentionné. S'il est vrai que ce dernier reste en deçà des attentes des populations et des efforts financiers consentis, il reste que le système existe et qu'il est le premier responsable de l'augmentation de l'espérance de vie. Comme s'il fallait faire du mal à l'image de l'Algérie coûte que coûte, les rédacteurs du Petit futé Algérie écrivent dans la même page que «… la consommation d'anti- dé presseurs, d'anxiolytiques et autres tranquillisants est également importante et dans certaines villes, le nombre de panneaux annonçant un psy peut surprendre.»
Aux touristes qui viennent en Algérie, les rédacteurs du Petit futé Algérie donnent un seul choix : ne rien boire du tout. «Dans les grandes villes, l'eau du robinet peut se boire à condition de tolérer les goûts la caractérisant», peut-on lire à la page 143 à propos de l'eau du robinet en Algérie. Quand on sait que l'eau est censée être incolore, inodore, on saisi la finalité du message. «Dans les sources des villages et des oasis, l'eau est meilleure au goût, mais peut être à l'origine de troubles intestinaux…», lit-on à propos de l'eau des sources, comme quoi, cette eau est aussi à éviter. Enfin, la suspicion touche aussi l'eau embouteillée. «On trouve partout des bouteilles d'eau minérale, pas toujours scellées, souvent de marque…», lit- on encore. Autrement dit, en Algérie, il est déconseillé de boire de l'eau.
Dans la page 462, les Algériens sont présentés comme des gens sales. «Principale particularité qui peut être un problème : la pénurie de l'eau ! Dans les toilettes des lieux publics ou même chez les particuliers, l'eau est stockée dans un récipient qu'on déverse dans la cuvette (sans exagérer sur la quantité) en guise de chasse d'eau. Dans la plupart des cas, comme il n'y a pas du tout- à-l'égout, on ne jette rien dans la cuvette. Une poubelle est presque toujours mise à disposition. Il s'agit juste de s'y habituer ! Autre particularité : il n'y a presque jamais de papier toilette», écrivent les rédacteurs.
A propos de l'hôtellerie, les rédacteurs du Petit futé signalent que «la capitale est assez bien pourvue en hôtels mais l'offre proprement touristique est assez restreinte pour une capitale. Le standing ne correspond pas au nombre d'étoiles affichées et les prétentions sont assez élevées au vu de la qualité des services proposés».
Ce constat dressé à la page 213 et jusque-là objectif et partagé, sauf que la suite, comme pour la question de l'eau, donne aux touristes potentiels un seul choix, celui de ne pas venir en Algérie.
«Si coupures d'eau, mobilier hétéroclite bancal et manque d'entretien sont le lot des hôtels de bas de gamme, c'est la qualité de l'accueil qui fait souvent défaut dans les hôtels des catégories supérieures», écrit-on pour dénigrer tout le parc hôtelier indépendamment de la gamme.
Ce parc est dénigré, aussi, indépendamment du statut «…Mais en ce qui concerne la qualité, on entre alors dans une autre dimension. Dans chaque ville d'importance, l'état gère un hôtel, souvent construit dans les années 1960… Ces hôtels, toujours très bien situés, ont malheureusement vieilli quand ils ne sont pas déjà agonisants… le personnel a pris de l'âge en même temps que les piscines se vidaient, que les jardins s'asséchaient, que la plomberie s'engorgeait de détritus divers ou que la moquette aux spirales psychédéliques pourrissait… Aujourd'hui, à de rares exceptions près, ces hôtels sont devenus plutôt sordides et le service très aléatoire», lit-on ! «D'autres hôtels, privés ceux-là, sont très fiers de leurs prestations mais n'espérez pas y trouver le confort qu'on s'est habitués à découvrir au Maroc voisin». Et voilà que même l'hôtellerie de droit privé est achevée. Même les établissements des chaînes internationales sont caricaturés, car l'essentiel est de nuire à la destination Algérie. «… Aucun hôtel algérien ne peut être qualifié de cadre enchanteur, le service laisse presque toujours à désirer, la plomberie et l'électricité peuvent inquiéter les plus anxieux et la propreté les plus maniaques… Les hôtels de chaînes internationales échappent évidemment à ce constat, mais leurs chambres ressemblent à celles que vous occupez à Miami ou à Melbourne», lit-on à la page 509.
Sous le titre Voyager seule, à la page 460, les rédacteurs du Petit futé Algérie versent davantage dans la méchanceté. Quand ils écrivent, en s'adressant aux touristes potentiels, «ce qu'il vous faudra éviter de chercher à éviter à tout prix, c'est de donner prise aux ragots, l'une des principales activités algériennes, que ce soit dans un petit village ou à Alger !» Je ne sais pas s'il existe, dans le monde, un seul gouvernement qui acceptera la présence de ces remarques déplacées sur sa population dans le plus grand tirage en matière de guides touristiques. A toutes celles qui voyagent seules, le Petit futé Algérie ne se prive pas de rappeler que les Algériens sont des obsédés harragas. «Dans le sud, les gens se sont habitués à voir des bras et des jambes nus, mais ils n'en pensent pas moins ! Garder à l'esprit que vous représentez le pays vers lequel on rêve très fort de s'envoler pour un meilleur avenir… Sachez donc rester circonspecte devant toute tentative de séduction un peu incongrue», lit-on à la même page
Milices, sida et persécution des libertés
Les rédacteurs du Petit futé Algérie semblent faire à travers la rubrique réservée à la police le procès de la politique sécuritaire d'un pays souverain plus que la présentation d'une destination. Ainsi, à la page 461, on peut lire : «Il y a trois types de représentants de l'ordre en Algérie : la police (en bleu), la gendarmerie (en vert) et les milices des forces spéciales ou de simples agents de sécurité (en noir). Difficile donc de savoir à qui on s'adresse.»
Avec ce constat, je ne vois pas de touristes prêts à prendre l'avion pour un pays dont les forces spéciales ont leurs milices et où il y a confusion dans le travail des différents corps de service de sécurité. Afin de jeter plus de doutes, à la même page, les rédacteurs écrivent : «Il n’y a presque pas eu de faux barrages, ces sinistres barrages dressés n'importe où, même sur les autoroutes, par des groupes terroristes cachés sous des tenues policières dérobées, on n'ose pas se demander comment.» On a l'impression de lire un rapport d'une organisation des droits de l'homme et non un guide touristique.
Le risque en Algérie ne s'arrête pas à ces faux barrages, selon le guide, il est aussi lié au sida et autres MST. Les conseils de prudence sont portés à la page 465 comme s'il ne s'agit pas d'un problème de santé publique mondial. «Avoir des relations sexuelles non protégées fait courir le risque de maladies sexuellement transmissibles, dont le sida qui n'épargne pas l'Algérie, mais aussi l'herpès, de chlamydiæ et autres joyeusetés». Pour quelle intention inclure une mesure préventive générale dans Le Petit futé Algérie ? Le sida existe en Algérie, comme partout dans le monde pas plus !
Pas de libertés au pays de la mafia politico-financière
Étant moi-même journaliste, ayant à mon actif des années de prison avec sursis et des dizaines de millions de centimes d'amendes, je trouve inopportun que la question des libertés de la presse et de son combat figure dans un guide touristique avec des commentaires d'ordre politique.
Il y a confusion de genres, une instrumentalisation de la question, non pas pour défendre la cause des journalistes, mais pour nuire à la destination.
«A la lecture des titres parfois audacieux de certains journaux de la presse algérienne, on pourrait penser que la presse est libre en Algérie. Ce n'est plus le cas depuis 2004, année de la pénalisation des délits de presse. Et cette audace est chèrement payée souvent par la prison avec sursis et des amendes très sévères et quelquefois par la prison ferme… En revanche, des pressions de toutes natures sont constamment exercées sur les journalistes de la part des responsables politiques, de la mafia politico-financière, de notables et d'hommes d'affaires locaux mettant en péril leur métier et dans certains cas leur vie», lit-on à la page 473.
«Les journaux, leurs directeurs et leurs journalistes sont régulièrement assignés en justice pour répondre de plaintes pour diffamation et le plus acharné semble être le ministère de la Défense qui s'estime diffamé par la moindre allusion dans les caricatures et les articles publiés», lit-on encore à la même page pour donner une image plus sombre de l'Algérie et de son institution militaire.
Pour conclure, disons qu'un guide touristique qui s'attaque au président d'un pays et à son armée pour promouvoir la destination est une innovation. Il faut toutefois admettre que les responsables algériens ont été pris par abus de confiance. Moi-même je n'aurai jamais pensé que les rédacteurs d'un guide touristique, ceux du réputé Petit futé en particulier, capable de commette une telle agression contre un peuple et un pays. Moi-même je comptais des amis au sein de cette entreprise et avant de lire le guide, je n'ai jamais douté des qualités des rédacteurs.
Il ne sert à rien d'être présents dans les foires, de passer des pubs sur certaines TV si l'image de la destination est souillée dans les colonnes du premiers guide touristique dans le monde. Une action pour limiter les dégâts s'impose à court terme. Une autre action pour révolutionner les démarches de communication et promotion de la destination afin d'éviter ce genre de situation s'invite à moyen terme.
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Personne à contacter Re: conflit algéro-marocain

Message par Invité Ven 5 Nov - 21:43

De Hassan II à Mohammed VI : le Maroc n’a jamais été l’ami de l’Algérie


Le 15 octobre 1963 éclate entre l’Algérie et le Maroc ce que les historiens désignent de « guerre des sables » et qui avait failli embraser toute la région du Maghreb.
Le conflit fut réglé grâce à la médiation de l’empereur éthiopien Hailé Sélassié 1er, alors président de l’O.U.A, à Bamako le 2 novembre 1963. Mais ce n’est que dix années plus tard, en 1973, qu’un accord fut conclu entre ces deux pays voisins sur le tracé des frontières. Après le départ des Espagnols en 1975 du Sahara occidental, le Maroc l’occupe et l’Algérie s’y oppose, soutenant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Prenant la position algérienne pour une attaque contre le Maroc, Hassan II rompt les relations diplomatiques avec Alger le 7 mars 1976.
La cause sahraoui, objet du différend
Le 26 février 1983, le président Chadli Bendjedid rencontre en tête-à-tête le roi Hassan II. Cette rencontre dite « historique » a eu lieu à la frontière algéro-marocaine, face au refus de l’un et de l’autre d’aller chez le voisin. Elle a préparé le terrain pour la signature, le 28 mai 1983, d’un accord entre les deux pays sur la libre circulation progressive des personnes et des biens et l’ouverture des lignes aériennes et ferroviaires. Cela ne dure pas longtemps. Le traité d’union maroco-libyen, conclu le 13 août 1984, jette, à nouveau, le froid entre les deux pays. Grâce à la médiation de l’Arabie Saoudite, les relations diplomatiques reprennent le 16 mai 1988. Et les frontières ont été rouvertes le 5 juin de la même année. Le 7 juin 1988, le souverain marocain vient en visite officielle en Algérie et participe à l’occasion au sommet de la Ligue arabe. Moins d’une année plus tard, les deux pays se réconcilient définitivement à l’occasion de la visite officielle de Chadli Bendjedid à Ifrane du 6 au 8 février 1989. Les deux chefs d’E
état signent ainsi un accord sur un projet d’un gazoduc devant relier l’Algérie à l’Espagne, à travers le Maroc. Les relations entre les deux pays se stabilisent pendant quelques années. Le 16 août 1994, les déclarations de Liamine Zeroual, alors président du Conseil d’état, soutenant la cause sahraoui, ont été très mal perçues par le palais royal. Quelques jours plus tard, Rabat accuse l’Algérie d’être derrière un attentat terroriste ayant ciblé un hôtel à Marrakech. Un incident qui servira de prétexte pour chasser les résidents algériens du Maroc et instaurer un visa d’entrée. Les autorités algériennes réagissent par la décision de fermer les frontières terrestres. Les relations entre ces deux pays replongent ainsi dans le froid. La mort de Hassan II en juillet 1999 ouvre une autre page pour les deux pays. En avril 2001, Ahmed Midouni, alors ministre de l’Intérieur, débarque à Alger.
Le roi Mohammed VI appelle à la réouverture des frontières
Une année plus tard, Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur, se rend à Rabat, suivi en février 2003 de Abdelaziz Belkhadem, alors ministre des Affaires étrangères. Le chef de la diplomatie marocaine, Mohammed Benaïssa, se rendra à deux reprises en Algérie, en juin 2003 et mai 2004. Le 30 juillet 2004, le Maroc supprime le visa d’entrée pour les Algériens. En mars 2005, Mohammed VI se rend à Alger et participe au 17e Sommet arabe. Il rencontre en tête-à-tête le président Bouteflika. En avril 2005, l’Algérie applique la réciprocité et supprime, de son côté, le visa pour les Marocains. Mais les frontières restent fermées. En avril 2008, Abdelaziz Belkhadem, alors chef du gouvernement, participe en tant que secrétaire général du FLN à la célébration du 50e anniversaire de la Conférence des partis maghrébins tenue à Tanger en 1958 en faveur de l’union du Maghreb. Un incident a opposé le chef du gouvernement algérien et un ministre marocain sur le Sahara occidental au cours de la célébration du 50e anniversaire de la Conférence des partis maghrébins tenue à Tanger en 1958 en faveur de l’Union du Maghreb. Le ministre d’état marocain et dirigeant socialiste Mohammed El Yazghi a, dans son discours, appelé les dirigeants maghrébins, particulièrement le président Abdelaziz Bouteflika, à soutenir le projet marocain pour sortir le dossier du Sahara de l’impasse. Et le chef du gouvernement a répliqué en réaffirmant la position d’Alger par rapport à ce dossier, à savoir le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux textes onusiens. Depuis 2008, le Maroc insiste sur la réouverture des frontières. Le roi Mohammed VI a eu à réitérer cet appel de Rabat dans son discours adressé à la nation à l’occasion de la fête du trône en juillet 2008, estimant que « les différences de points de vue dans le conflit sahraoui ne sauraient justifier la poursuite de la fermeture des frontières. » Le même appel a été relancé en janvier dernier.« En réitérant son attachement à l’ouverture des frontières entre deux peuples frères, le Maroc est loin d’en banaliser l’objectif et de le réduire à quelque avantage étriqué ou à un intérêt exclusif », souligne Mohammed VI dans un message adressé aux participants du Sommet arabe au Koweït sous le thème « La solidarité avec le peuple palestinien à Ghaza ». Il souhaite ainsi avoir des relations normales basées sur la franchise et la fraternité.
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Message par Invité Ven 5 Nov - 21:48

suite De Hassan II à Mohammed VI : le Maroc n’a jamais été l’ami de l’Algérie

Alger veut la paix, Rabat pas

En octobre 2004, le chef de l’état Abdelaziz Bouteflika affirma : « l’Algérie ne déclarera jamais la guerre au Maroc, car nous sommes des hommes de paix. » Le président Bouteflika s’exprimait à Johannesburg, à l’occasion du forum du Nouveau partenariat pour le développement en Afrique (Nepad), initiative pour éradiquer la pauvreté et promouvoir le développement de l’Afrique. « Le Sahara occidental n’est pas un casus-belli entre l’Algérie et le Maroc frère », insista-t-il, rappelant la guerre des frontières qui a opposé les deux pays en 1963. « Il y a eu la guerre entre les deux pays et le vainqueur n’était ni l’Algérie ni le Maroc, mais la guerre », nota-t-il.
Rabat veut l’ouverture des frontières
Depuis la suppression du visa par le Maroc en 2005, puis par l’Algérie en 2006, le palais royal ne cesse de réitérer sa « volonté » d’ouvrir une page nouvelle dans les relations entre les deux pays voisins. Cela en alternant appels fraternels et déclarations provocatrices. Comme prélude à cette « nouvelle page », le Maroc demande l’ouverture des frontières terrestres, estimant ainsi que le contexte régional et international ayant conduit leur fermeture est « aujourd’hui largement dépassé ». La frontière terrestre entre les deux pays a été fermée en 1994 à la suite d’un attentat islamiste à Marrakech que Rabat avait imputé aux services secrets algériens. Rabat avait alors décidé de mettre en place des visas pour les ressortissants algériens en visite au Maroc. Alger, en représailles, avait fermé ses frontières avec le Maroc.

La guerre des Sables

Au lendemain de l’indépendance, le Maroc menait une offensive militaire contre une Algérie qui venait à peine de sortir de plus de sept années de guerre contre la France. Le roi Hassan II avait déployé des troupes sur plusieurs points de la zone désertique qui s’étendait entre le Hamada du Draâ et Béchar. Les combats entre les forces royales et les éléments de l’A.N.P avaient débuté le 8 octobre 1963. Fort heureusement, le conflit fut réglé grâce à la médiation de l’empereur éthiopien Hailé Sélassié Ier, alors président de l’O.U.A, à Bamako, le 2 novembre 1963. Depuis cette date, les relations entre Alger et Rabat n’ont jamais pu atteindre le cap de la « normalisation ».

Un port militaire marocain en Méditerranée

Le Maroc est en train de se doter d’un grand port militaire en Méditerranée. Ce grand projet, dont les travaux de construction ont été lancés depuis mars 2008, sera opérationnel en juillet 2010. Le coût du projet est estimé à quelque 120 millions d’euros. Premier port militaire du royaume sur la rive méditerranéenne, ce port servira de base d’attache à des bâtiments de la marine royale chargée de la protection de la côte nord du Maroc. Officiellement, il s’agit d’un projet ordinaire prévu dans le cadre de la politique de modernisation de la composante marine des forces armées royales en termes d’équipements, mais aussi de conditions de vie.
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Message par abdelmalek Sam 6 Nov - 11:54

nous n'avons pas changé notre point de vue politique d'un iota:nous soutenant les causes justes quelques soit X:l'algerie depuis emir abd el kader a nos jours :notre politique étrangère n'a pas changer ,cela implique des principes révolutionnaire que nous n'avons pas modifiers et qui sont chers pour le sang versé par nos chouhadas .1963 l'agression marocaine était une erreur manifeste et pas juste:il fallait revendiquer lors du traiter de votre indépendance avec madame la france votre protectorat,cad que vous n'étiais pas adulte:il vous faut un protecteur comme toujours:par contre l'algerie de nos chouhadas nous avons étaitent colonisés et nous avons libérés notre pays avec des frontiére reconnue par l'onu et madame la france.
POUR LE FUTé JE MON VEUX AUX RESPONSABLES :qui ont payer la facture/pour les aneries sur l'algerie:qu'il déteste:la prostitution est un vieux métiers,que nous pouvons discuter longuement sur son pays et le reste du monde:le tourismes ,qu'il le veuille ou non nous avons des richesses en-centrale que bcp nous envie:nous les mettront en valeurs c'est sur par la bonne gouvernance que nous plaçons pendant 10 ans la suite monsieur le futé vous viendrai nous léchés les bottes inchalah.
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Message par Invité Sam 6 Nov - 12:43

abdelmalek, nous n'avons rien à attendre "du petit futé" qui à de nombreux intérêts au Maroc et en Tunisie et n'a rien en Algérie donc il préfère montrer l'Algérie sous un mauvais jour. Il ne faut pas oublier que tout les maux que le "petit futé" nous reproche se trouvent dans les pays qu'ils vente tant. L'avantage de notre pays par rapport aux autres pays c'est qu'il est neuf et ne subi pas heureusement le grand tourisme à tout vas comme nos voisins et ne dépend pas des humeurs de ces touristes et ces tours opérateurs qui tire les prix des prestations toujours vers le bas. Nous pouvons voir que les destinations tel que le Maroc est bouder par ces même touristes et les tours opérateurs (source de l'office du tourisme international)et que des pseudo journalistes comme "le petit futé" cherche à remette sur les rails pour ne pas perdre leurs rentes annuel. L'Algérie à signer des partenariats avec des organise allemands et suisses pour créer des circuits et des voyages touristiques à destination de l'Algérie sans qu'il y à un tourisme de masse.
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Message par abdelmalek Sam 6 Nov - 13:17

je souhaite le tourisme culturel , car c'est universel , pas le tourisme de la dense du ventre et encore plus la prostitution des enfants au maroc et en tunisie qui faits des ravages.
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Personne à contacter Re: conflit algéro-marocain

Message par Droit_De_l'Homme Ven 4 Mar - 2:51

Algérie : ouverture de la frontière avec le Maroc

Ouverture de la frontière entre le Maroc & l’Algérie prévue pour les prochaines semaine.

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15 ans après la fermeture de la frontière algéro-marocaine, et après plusieurs appels faits par le ligament et les capitales des appels arabes et occidentaux sur l’Algérie d’ouvrir la frontière, j’ai appris que “les nouvelles du jour à partir de” sources diplomatiques occidentales que les bonnes nouvelles à l’horizon, et le président algérien Abdelaziz Bouteflika a pris la décision de rouvrir fermeture de la frontière avec le Maroc après la médiation saoudienne s’est concrétisée quand il était l’invité du roi Abdallah au Maroc à l’hôpital à la périphérie de ce nouveau jour férié.

D’autre part, a déclaré une source familière avec l’annonce de la réouverture de la frontière est venu ainsi que pour les calculs internes en Algérie, les touristes radis se dirigeaient vers la Tunisie pour passer leurs vacances, et aussi longtemps que la Tunisie est désormais dans une phase de transition après le renversement du dictateur Benali, la première destination touristique d’alternative reste le Maroc, parce que de leur proximité géographique, en raison des mesures sévères imposées par la France et les pays de “Schengen” sur l’octroi de visas aux Algériens.

Le propriétaire d’un touriste au Maroc, a déclaré à la rubrique «Nouvelles d’aujourd’hui”: “Le Maroc est un candidat de recevoir entre 1,5 et 2 millions de touristes Algérie chaque année, et c’est ce qui va relancer le tourisme, et de relancer un certain nombre de projets dans l’Est, qui a endommagé une grande partie de la décision de fermer la frontière.”

D’autre part, n’exclut pas les observateurs des pourparlers serait menée par Bouteflika avec William Burns, l’émissaire américain pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, qui était en visite dans la région la semaine dernière avait adressée de Rabat relation avec l’Algérie, et la nécessité d’une normalisation entre les deux voisins pour faire face aux défis majeurs auxquels font face les deux systèmes par la flambée de manifestations appelant à la réforme, menée par les jeunes dans cette région.

Source : LEPOST
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