Sujets similaires
Derniers sujets
Sujets les plus vus
Sujets les plus actifs
Meilleurs posteurs
Sphinx | ||||
Syfou | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
abdelmalek | ||||
rakane | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
col.chibani | ||||
fennec dz | ||||
ZIGHOUD |
Ceux qui commencent le plus de sujets
Syfou | ||||
Sphinx | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
elmaknine | ||||
matriochkas | ||||
col.chibani | ||||
ZIGHOUD | ||||
Rahim Damon |
Connexion
Service de renseignements militaire canadien
3 participants
algeriedrs :: Forces conventionnelles et non-conventionnelles dans le monde :: Défense civile et services spéciaux :: Renseignements militaires dans le monde
Page 1 sur 1
Service de renseignements militaire canadien
Officier du renseignement
SURVOL
Ils assurent le soutien de l'activité liée au renseignement militaire dans le cadre des opérations, de la planification et du processus décisionnel à tous les échelons du commandement.
CE QU'ILS FONT
Les officiers du renseignement (O Rens) de la Force régulière sont des officiers commissionnés de la Branche des services du renseignement des Forces canadiennes (FC). Ils assurent le soutien de l'activité liée au renseignement militaire dans le cadre des opérations, de la planification et du processus décisionnel à tous les échelons du commandement des FC et du ministère de la Défense nationale (MDN). Les officiers du renseignement :
planifient et mettent en place la collecte, le traitement et la diffusion du renseignement
commandent et déploient du personnel et des ressources ou agissent comme officier d'état-major du renseignement au sein d'un élément maritime, terrestre, aérien ou d'une force interarmées ou multinationale ou dans un contexte interministériel
reconnaissent, exploitent et analysent l'information qui pourrait avoir une incidence sur des opérations militaires, des politiques et des objectifs nationaux
commandent et dirigent une unité, section ou équipe du renseignement
exploitent et administrent des systèmes de technologie de l'information (TI)
donnent des conseils au sujet des systèmes perfectionnés de surveillance et de collecte du renseignement et participent à leur planification
protègent les documents portant une cote de sécurité élevée
conseillent les commandants supérieurs (souvent en étant le seul conseiller en matière de renseignement)
Les O Rens peuvent travailler dans les contextes suivants :
analyse tactique, opérationnelle et stratégique
renseignement par imagerie (IMINT)
guerre électronique (GE)
renseignement humain (HUMINT)
renseignement électromagnétique (SIGINT)
opérations de soutien du renseignement militaire (MISO ou opérations psychologiques)
opérations d'information (OI)
gestion d'interrogatoire
contre-ingérence (CI)
renseignement lié au choix des objectifs
élaboration de politique et gestion de projet (en tant qu'officiers d'état-major)
Toutes les fonctions d'un O Rens engagent de lourdes responsabilités. Les erreurs éventuelles d'un O Rens peuvent compromettre des opérations et la sécurité militaire ou nationale, mettre le gouvernement dans l'embarras, avoir des effets néfastes sur le plan politique, susciter des réactions négatives au sein de la population et se traduire par des blessures, voire la mort, pour des militaires.
COMPÉTENCES REQUISES
Les O Rens doivent être des membres comme des chefs d'équipe désintéressés et dévoués, capables de diriger des troupes comme de suivre les ordres, en appuyant étroitement le quartier général ou l'état-major et le commandement des unités de combat. Ils doivent avoir le sens de l'initiative et faire preuve d'ingéniosité, être endurants tant physiquement que mentalement, posséder un bon esprit d'analyse, être capables de s'acquitter de nombreuses tâches, même quand le stress est intense et la situation difficile, tout en pouvant travailler sans supervision durant des périodes prolongées. Ils doivent très bien comprendre la nature des opérations militaires menées dans le monde, tant dans un contexte de paix que de guerre, et posséder d'excellentes aptitudes en expression écrite et orale dans les deux langues officielles.
Les O Rens doivent normalement détenir un diplôme universitaire préférablement en économie, en géographie, en histoire, en sciences de l'imagerie, en technologie de l'information, en études internationales, en journalisme, en études militaires et stratégiques ou en science politique.
Les candidats doivent satisfaire aux normes médicales des Forces canadiennes et réussir un processus de sélection comprenant des entrevues et un large éventail d'examens.
L'habilitation de sécurité minimale exigée pour suivre le cours élémentaire d'officier du renseignement (CEOR) est « Secret », mais les O Rens doivent obtenir l'habilitation de sécurité « Très secret, Affectation spéciale ».
Programmes d'enrôlement
La plupart des candidats choisis proviennent du Programme de reclassement volontaire – Officiers (PRVO), du Programme de formation universitaire – Militaires du rang (PFUMR), du Programme spécial d'attribution de commission (PSAC) et du Programme d'intégration (Officiers sortis du rang) (PIOSR). On peut aussi accepter des candidats issus des programmes suivants:
Enrôlement direct en qualité d'officier – Les candidats de l'EDO doivent détenir un diplôme de 1er cycle d'une université canadienne reconnue, de préférence dans l'un des domaines énumérés à la section « Compétences nécessaires ». La maîtrise d'une ou plusieurs langues étrangères peut être un atout.
Transfert de catégorie de service – Les candidats qui s'enrôlent de nouveau ou qui proviennent de la Force de réserve peuvent être acceptés dans le cadre d'un transfert de catégorie de service.
Programme de formation des officiers de la Force régulière – Le PFOR comprend des études universitaires de premier cycle (baccalauréat) au Collège militaire royal du Canada, suivies d'une période de service obligatoire d'au moins trois ans au sein de la Force régulière des Forces canadiennes. Pour être admissible au PFOR, vous devez avoir terminé vos études secondaires et avoir obtenu les crédits préparatoires à l'université pertinents, être en 5e secondaire ou en 12e année dans un programme approprié dont la réussite est assurée.
SURVOL
Ils assurent le soutien de l'activité liée au renseignement militaire dans le cadre des opérations, de la planification et du processus décisionnel à tous les échelons du commandement.
CE QU'ILS FONT
Les officiers du renseignement (O Rens) de la Force régulière sont des officiers commissionnés de la Branche des services du renseignement des Forces canadiennes (FC). Ils assurent le soutien de l'activité liée au renseignement militaire dans le cadre des opérations, de la planification et du processus décisionnel à tous les échelons du commandement des FC et du ministère de la Défense nationale (MDN). Les officiers du renseignement :
planifient et mettent en place la collecte, le traitement et la diffusion du renseignement
commandent et déploient du personnel et des ressources ou agissent comme officier d'état-major du renseignement au sein d'un élément maritime, terrestre, aérien ou d'une force interarmées ou multinationale ou dans un contexte interministériel
reconnaissent, exploitent et analysent l'information qui pourrait avoir une incidence sur des opérations militaires, des politiques et des objectifs nationaux
commandent et dirigent une unité, section ou équipe du renseignement
exploitent et administrent des systèmes de technologie de l'information (TI)
donnent des conseils au sujet des systèmes perfectionnés de surveillance et de collecte du renseignement et participent à leur planification
protègent les documents portant une cote de sécurité élevée
conseillent les commandants supérieurs (souvent en étant le seul conseiller en matière de renseignement)
Les O Rens peuvent travailler dans les contextes suivants :
analyse tactique, opérationnelle et stratégique
renseignement par imagerie (IMINT)
guerre électronique (GE)
renseignement humain (HUMINT)
renseignement électromagnétique (SIGINT)
opérations de soutien du renseignement militaire (MISO ou opérations psychologiques)
opérations d'information (OI)
gestion d'interrogatoire
contre-ingérence (CI)
renseignement lié au choix des objectifs
élaboration de politique et gestion de projet (en tant qu'officiers d'état-major)
Toutes les fonctions d'un O Rens engagent de lourdes responsabilités. Les erreurs éventuelles d'un O Rens peuvent compromettre des opérations et la sécurité militaire ou nationale, mettre le gouvernement dans l'embarras, avoir des effets néfastes sur le plan politique, susciter des réactions négatives au sein de la population et se traduire par des blessures, voire la mort, pour des militaires.
COMPÉTENCES REQUISES
Les O Rens doivent être des membres comme des chefs d'équipe désintéressés et dévoués, capables de diriger des troupes comme de suivre les ordres, en appuyant étroitement le quartier général ou l'état-major et le commandement des unités de combat. Ils doivent avoir le sens de l'initiative et faire preuve d'ingéniosité, être endurants tant physiquement que mentalement, posséder un bon esprit d'analyse, être capables de s'acquitter de nombreuses tâches, même quand le stress est intense et la situation difficile, tout en pouvant travailler sans supervision durant des périodes prolongées. Ils doivent très bien comprendre la nature des opérations militaires menées dans le monde, tant dans un contexte de paix que de guerre, et posséder d'excellentes aptitudes en expression écrite et orale dans les deux langues officielles.
Les O Rens doivent normalement détenir un diplôme universitaire préférablement en économie, en géographie, en histoire, en sciences de l'imagerie, en technologie de l'information, en études internationales, en journalisme, en études militaires et stratégiques ou en science politique.
Les candidats doivent satisfaire aux normes médicales des Forces canadiennes et réussir un processus de sélection comprenant des entrevues et un large éventail d'examens.
L'habilitation de sécurité minimale exigée pour suivre le cours élémentaire d'officier du renseignement (CEOR) est « Secret », mais les O Rens doivent obtenir l'habilitation de sécurité « Très secret, Affectation spéciale ».
Programmes d'enrôlement
La plupart des candidats choisis proviennent du Programme de reclassement volontaire – Officiers (PRVO), du Programme de formation universitaire – Militaires du rang (PFUMR), du Programme spécial d'attribution de commission (PSAC) et du Programme d'intégration (Officiers sortis du rang) (PIOSR). On peut aussi accepter des candidats issus des programmes suivants:
Enrôlement direct en qualité d'officier – Les candidats de l'EDO doivent détenir un diplôme de 1er cycle d'une université canadienne reconnue, de préférence dans l'un des domaines énumérés à la section « Compétences nécessaires ». La maîtrise d'une ou plusieurs langues étrangères peut être un atout.
Transfert de catégorie de service – Les candidats qui s'enrôlent de nouveau ou qui proviennent de la Force de réserve peuvent être acceptés dans le cadre d'un transfert de catégorie de service.
Programme de formation des officiers de la Force régulière – Le PFOR comprend des études universitaires de premier cycle (baccalauréat) au Collège militaire royal du Canada, suivies d'une période de service obligatoire d'au moins trois ans au sein de la Force régulière des Forces canadiennes. Pour être admissible au PFOR, vous devez avoir terminé vos études secondaires et avoir obtenu les crédits préparatoires à l'université pertinents, être en 5e secondaire ou en 12e année dans un programme approprié dont la réussite est assurée.
Sphinx- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 8044
Age : 38
Emploi/loisirs : Mat
Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
Localisation : S.B.A
Re: Service de renseignements militaire canadien
FORMATION
La durée de la formation et les matières à l'étude pour l'instruction d'un officier particulier sont établies en fonction du programme d'enrôlement au moyen duquel il se joint aux FC.
Phase I : Évaluation initiale et cours élémentaire d'officier
Si votre candidature est retenue, vous serez enrôlé au sein des FC et, après une évaluation initiale, entreprendrez le cours élémentaire d'officier (CEO) à l'École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, à St-Jean-sur-Richelieu, au Québec. Vous y apprendrez les principes du leadership, les règlements et coutumes du service militaire, le maniement de base des armes et le secourisme. Vous participerez aussi à un programme rigoureux de conditionnement physique et de sports. Le CEO est offert en anglais et en français, et il constitue un préalable à toute formation ultérieure. Après le CEO, vous pourrez suivre un cours de langue seconde d'une durée de deux à sept mois, selon votre niveau de connaissance de cette langue.
Phase II : Cours commun de l'Armée de terre
La plupart des O Rens doivent suivre le cours commun de l'Armée de terre (CCAT), qui est donné au Centre d'instruction au combat de l'École d'infanterie, situé à la base des Forces canadiennes (BFC) Gagetown, au Nouveau-Brunswick. Vous poursuivrez l'instruction en leadership du CEO et approfondirez les compétences acquises, en plus d'apprendre le maniement des armes plus avancé, les techniques de campagne, les tactiques au niveau de la section et d'autres compétences liées aux armes de combat. Vous poursuivrez un programme intense de conditionnement physique et de sports.
Phase III : Instruction élémentaire des officiers du renseignement
Le cours élémentaire d'O Rens (CEOR), qui est offert à l'École du renseignement militaire des Forces canadiennes (ERMFC), à Kingston, en Ontario, dure environ six mois et permet aux étudiants d'acquérir des compétences pratiques et des connaissances théoriques dans le domaine du renseignement et d'apprendre l'analyse stratégique, l'évaluation des menaces et le soutien de l'activité liée au renseignement. On met l'accent sur le leadership, l'administration, l'expression écrite, les exposés oraux ainsi que les aspects théoriques des opérations de renseignement et leur exécution. Vous apprendrez à superviser et à diriger une section du renseignement pendant des opérations tactiques. Les O Rens atteignent le niveau fonctionnel opérationnel après avoir terminé le CEOR, ce qui permet ensuite d'obtenir la qualification élémentaire d'officier (QEO).
AVANCEMENT PROFESSIONNEL
Les O Rens doivent avoir une connaissance fondamentale du renseignement militaire, acquise grâce à des cours magistraux et de perfectionnement, de la formation en cours d'emploi et par l'expérience. C'est pourquoi, après avoir obtenu une QEO, la carrière d'un O Rens se déroule habituellement comme suit :
La première affectation, en règle générale, à un poste d'officier de quart, d'analyste stratégique ou d'officier des opérations de renseignement, permet d'acquérir de l'expérience en étant supervisé.
La deuxième affectation, en règle générale, à un poste de nature opérationnelle ou analytique (selon les tâches qui n'auront pas fait partie du travail lors de la première affectation), permet d'acquérir de l'expérience de leadership au sein d'une formation tactique ou opérationnelle.
Affectations ultérieures :
- Les capitaines avec ancienneté peuvent occuper un poste d'analyste stratégique, d'analyste tactique ou opérationnel, d'officier des opérations de renseignement ou d'officier de soutien des opérations de renseignement, afin d'approfondir leur expérience et d'améliorer leurs qualités de chef comme leurs compétences en gestion.
- Les majors peuvent occuper un poste d'analyste principal stratégique, d'officier supérieur des opérations de renseignement, d'officier supérieur de soutien des opérations de renseignement ou d'analyste tactique ou opérationnel.
- Les lieutenants-colonels peuvent occuper un poste de directeur, de conseiller principal auprès d'un chef d'état-major d'armée ou d'officier supérieur de liaison du Canada, à l'étranger.
Au fur et à mesure que votre carrière se poursuivra et que votre expérience s'accroîtra, vous vous verrez offrir des occasions de suivre l'instruction d'une spécialité.
ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL
Bien que les O Rens travaillent habituellement dans des bureaux, ils peuvent participer aux opérations locales, nationales et internationales, sous divers climats et dans des conditions difficiles et dangereuses. Ils peuvent également être soumis à une pression supplémentaire, quand ils se voient confier la garde de renseignements de nature hautement délicate.
EMPLOIS CIVILS ÉQUIVALENTS
Analyste ou spécialiste du renseignement
Analyste des politiques
Spécialiste en imagerie
Spécialiste de la gestion de l'information
Conseiller en sécurité des technologies de l'information
Conseiller et enquêteur en sécurité et policier et enquêteur
Politicologue et spécialiste de la théorie politique
Journaliste
http://www.forces.ca
La durée de la formation et les matières à l'étude pour l'instruction d'un officier particulier sont établies en fonction du programme d'enrôlement au moyen duquel il se joint aux FC.
Phase I : Évaluation initiale et cours élémentaire d'officier
Si votre candidature est retenue, vous serez enrôlé au sein des FC et, après une évaluation initiale, entreprendrez le cours élémentaire d'officier (CEO) à l'École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, à St-Jean-sur-Richelieu, au Québec. Vous y apprendrez les principes du leadership, les règlements et coutumes du service militaire, le maniement de base des armes et le secourisme. Vous participerez aussi à un programme rigoureux de conditionnement physique et de sports. Le CEO est offert en anglais et en français, et il constitue un préalable à toute formation ultérieure. Après le CEO, vous pourrez suivre un cours de langue seconde d'une durée de deux à sept mois, selon votre niveau de connaissance de cette langue.
Phase II : Cours commun de l'Armée de terre
La plupart des O Rens doivent suivre le cours commun de l'Armée de terre (CCAT), qui est donné au Centre d'instruction au combat de l'École d'infanterie, situé à la base des Forces canadiennes (BFC) Gagetown, au Nouveau-Brunswick. Vous poursuivrez l'instruction en leadership du CEO et approfondirez les compétences acquises, en plus d'apprendre le maniement des armes plus avancé, les techniques de campagne, les tactiques au niveau de la section et d'autres compétences liées aux armes de combat. Vous poursuivrez un programme intense de conditionnement physique et de sports.
Phase III : Instruction élémentaire des officiers du renseignement
Le cours élémentaire d'O Rens (CEOR), qui est offert à l'École du renseignement militaire des Forces canadiennes (ERMFC), à Kingston, en Ontario, dure environ six mois et permet aux étudiants d'acquérir des compétences pratiques et des connaissances théoriques dans le domaine du renseignement et d'apprendre l'analyse stratégique, l'évaluation des menaces et le soutien de l'activité liée au renseignement. On met l'accent sur le leadership, l'administration, l'expression écrite, les exposés oraux ainsi que les aspects théoriques des opérations de renseignement et leur exécution. Vous apprendrez à superviser et à diriger une section du renseignement pendant des opérations tactiques. Les O Rens atteignent le niveau fonctionnel opérationnel après avoir terminé le CEOR, ce qui permet ensuite d'obtenir la qualification élémentaire d'officier (QEO).
AVANCEMENT PROFESSIONNEL
Les O Rens doivent avoir une connaissance fondamentale du renseignement militaire, acquise grâce à des cours magistraux et de perfectionnement, de la formation en cours d'emploi et par l'expérience. C'est pourquoi, après avoir obtenu une QEO, la carrière d'un O Rens se déroule habituellement comme suit :
La première affectation, en règle générale, à un poste d'officier de quart, d'analyste stratégique ou d'officier des opérations de renseignement, permet d'acquérir de l'expérience en étant supervisé.
La deuxième affectation, en règle générale, à un poste de nature opérationnelle ou analytique (selon les tâches qui n'auront pas fait partie du travail lors de la première affectation), permet d'acquérir de l'expérience de leadership au sein d'une formation tactique ou opérationnelle.
Affectations ultérieures :
- Les capitaines avec ancienneté peuvent occuper un poste d'analyste stratégique, d'analyste tactique ou opérationnel, d'officier des opérations de renseignement ou d'officier de soutien des opérations de renseignement, afin d'approfondir leur expérience et d'améliorer leurs qualités de chef comme leurs compétences en gestion.
- Les majors peuvent occuper un poste d'analyste principal stratégique, d'officier supérieur des opérations de renseignement, d'officier supérieur de soutien des opérations de renseignement ou d'analyste tactique ou opérationnel.
- Les lieutenants-colonels peuvent occuper un poste de directeur, de conseiller principal auprès d'un chef d'état-major d'armée ou d'officier supérieur de liaison du Canada, à l'étranger.
Au fur et à mesure que votre carrière se poursuivra et que votre expérience s'accroîtra, vous vous verrez offrir des occasions de suivre l'instruction d'une spécialité.
ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL
Bien que les O Rens travaillent habituellement dans des bureaux, ils peuvent participer aux opérations locales, nationales et internationales, sous divers climats et dans des conditions difficiles et dangereuses. Ils peuvent également être soumis à une pression supplémentaire, quand ils se voient confier la garde de renseignements de nature hautement délicate.
EMPLOIS CIVILS ÉQUIVALENTS
Analyste ou spécialiste du renseignement
Analyste des politiques
Spécialiste en imagerie
Spécialiste de la gestion de l'information
Conseiller en sécurité des technologies de l'information
Conseiller et enquêteur en sécurité et policier et enquêteur
Politicologue et spécialiste de la théorie politique
Journaliste
http://www.forces.ca
Sphinx- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 8044
Age : 38
Emploi/loisirs : Mat
Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
Localisation : S.B.A
Re: Service de renseignements militaire canadien
Forces canadiennes: fuite de documents classifiés
26 janvier
Les Forces armées canadiennes ont enquêté sur une potentielle fuite de documents classifiés d'une station de travail sécurisée à la base militaire de Kandahar, en Afghanistan, l'an dernier.
Les données électroniques, qui contenaient des informations sur les ressources et les objectifs de l'armée canadienne dans la guerre en Afghanistan, ont été envoyées à un nombre inconnu de destinataires non autorisés, selon des documents militaires obtenus grâce à la Loi sur l'accès à l'information.
Le poste de travail d'où originait la fuite se trouvait dans un centre de gestion des renseignements classifiés, une importante plaque tournante du renseignements qui fournit des informations aux militaires sur le terrain et aux décideurs à Ottawa.
Selon les documents obtenus par La Presse Canadienne, la police militaire a été alertée le 14 mai dernier par un soldat travaillant dans le centre en question.
L'incident est survenu des mois avant que le site WikiLeaks ne commence à diffuser des centaines de milliers de communications diplomatiques et militaires américaines. Aucun des documents canadien n'aurait été largement diffusé ou ne se serait trouvé entre les mains de l'organisation de Julian Assange.
Mais des observateurs du monde militaire, comme le sénateur libéral Colin Kenny, ont argué que cette fuite était troublante parce qu'elle était survenue dans une installation située près du front.
Il a ajouté que le fait qu'aucune de ces données n'a fait surface jusqu'à présent ne signifiait pas que le risque était totalement anéanti.
«À chaque fois qu'il y a une fuite d'information, nous nous inquiétons de la possibilité qu'elle puisse mettre en danger nos troupes et nos intérêts en Afghanistan», a affirmé M. Kenny, un ancien président du Comité sénatorial de la sécurité nationale et de la défense.
Les policiers militaires n'ont pas été en mesure de déterminer la source de la fuite, mais ont indiqué qu'il était peu probable que les opérations canadiennes aient été mises en danger. Ils ont toutefois conseillé au ministère de la Défense d'entreprendre une enquête sur les conséquences de cette fuite.
Un porte-parole pour les opérations canadiennes à l'étranger n'a pas voulu commenter le dossier, et aucun membre des Forces canadiennes n'a pu indiquer si une enquête approfondie avait eu lieu.
Selon un compte-rendu de l'incident effectué par des enquêteurs de la police militaire canadienne, la fuite survenue au centre de renseignements s'est étalée sur une certaine période de temps, mais les dates précises sont caviardées dans les documents.
Une fois informés du problème, des officiers du renseignement ont retracé les courriels, identifié les comptes de destinataires erronés et «une requête a été effectuée pour la suppression du données classifiées», indiquait un document du Service national des enquêtes des Forces canadiennes.
"métro montreal"
26 janvier
Les Forces armées canadiennes ont enquêté sur une potentielle fuite de documents classifiés d'une station de travail sécurisée à la base militaire de Kandahar, en Afghanistan, l'an dernier.
Les données électroniques, qui contenaient des informations sur les ressources et les objectifs de l'armée canadienne dans la guerre en Afghanistan, ont été envoyées à un nombre inconnu de destinataires non autorisés, selon des documents militaires obtenus grâce à la Loi sur l'accès à l'information.
Le poste de travail d'où originait la fuite se trouvait dans un centre de gestion des renseignements classifiés, une importante plaque tournante du renseignements qui fournit des informations aux militaires sur le terrain et aux décideurs à Ottawa.
Selon les documents obtenus par La Presse Canadienne, la police militaire a été alertée le 14 mai dernier par un soldat travaillant dans le centre en question.
L'incident est survenu des mois avant que le site WikiLeaks ne commence à diffuser des centaines de milliers de communications diplomatiques et militaires américaines. Aucun des documents canadien n'aurait été largement diffusé ou ne se serait trouvé entre les mains de l'organisation de Julian Assange.
Mais des observateurs du monde militaire, comme le sénateur libéral Colin Kenny, ont argué que cette fuite était troublante parce qu'elle était survenue dans une installation située près du front.
Il a ajouté que le fait qu'aucune de ces données n'a fait surface jusqu'à présent ne signifiait pas que le risque était totalement anéanti.
«À chaque fois qu'il y a une fuite d'information, nous nous inquiétons de la possibilité qu'elle puisse mettre en danger nos troupes et nos intérêts en Afghanistan», a affirmé M. Kenny, un ancien président du Comité sénatorial de la sécurité nationale et de la défense.
Les policiers militaires n'ont pas été en mesure de déterminer la source de la fuite, mais ont indiqué qu'il était peu probable que les opérations canadiennes aient été mises en danger. Ils ont toutefois conseillé au ministère de la Défense d'entreprendre une enquête sur les conséquences de cette fuite.
Un porte-parole pour les opérations canadiennes à l'étranger n'a pas voulu commenter le dossier, et aucun membre des Forces canadiennes n'a pu indiquer si une enquête approfondie avait eu lieu.
Selon un compte-rendu de l'incident effectué par des enquêteurs de la police militaire canadienne, la fuite survenue au centre de renseignements s'est étalée sur une certaine période de temps, mais les dates précises sont caviardées dans les documents.
Une fois informés du problème, des officiers du renseignement ont retracé les courriels, identifié les comptes de destinataires erronés et «une requête a été effectuée pour la suppression du données classifiées», indiquait un document du Service national des enquêtes des Forces canadiennes.
"métro montreal"
Invité- Invité
Re: Service de renseignements militaire canadien
c'est professionnelle donc un métier, ce n'est plus de mon age.
abdelmalek- Adm
-
Nombre de messages : 1145
Age : 76
Emploi/loisirs : médecin
Humeur : sinusoidale
Date d'inscription : 28/03/2009
Localisation : ALGERIENNE
Re: Service de renseignements militaire canadien
Espion canadien: la GRC a été alerté par la FBI
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
HALIFAX - La Gendarmerie royale du Canada (GRC) avait été avertie par le FBI qu'un officier de renseignement de l'Armée canadienne faisait de l'espionnage au profit des Russes, selon des documents rendus publics jeudi.
À la demande du réseau CBC, la Couronne fédérale a consenti à rendre publiques des versions censurées de trois mandats de perquisition utilisés pour obtenir des preuves contre un officier de renseignement de l'armée canadienne qui a admis le mois dernier avoir communiqué des secrets militaires à la Russie.
Le sous-lieutenant Jeffrey Paul Delisle, âgé de 41 ans, a reconnu sa culpabilité à deux accusations relevant de la Loi sur la sécurité de l'information, ainsi qu'à une accusation d'abus de confiance, pour avoir vendu des informations «classifiées» de 2007 à 2012. Delisle travaillait à un centre de renseignement militaire ultrasecret à Halifax.
L'information «classifiée» à laquelle il avait accès était partagée par le Canada, la Grande-Bretagne, les États-Unis, la Nouvelle-Zélande et l'Australie.
L'un des documents rendus publics démontre que la GRC avait ouvert une enquête après avoir reçu une lettre du directeur adjoint du FBI, Frank Figliuzzi, qui lui faisait part des soupçons qui pesaient sur un officier de renseignement canadien.
La lettre a été expédiée le 2 décembre 2011, soit six semaines avant l'arrestation de Delisle.
Suite à lire :
http://www.985fm.ca/national/nouvelles/espionnage-les-mandats-de-l-affaire-delisle-seron-191168.html
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Sujets similaires
» Service de renseignements militaire ougandais
» Service de renseignements militaire allemand
» Renseignements pour la formation medecine militaire
» Service de renseignements militaire allemand
» Renseignements pour la formation medecine militaire
algeriedrs :: Forces conventionnelles et non-conventionnelles dans le monde :: Défense civile et services spéciaux :: Renseignements militaires dans le monde
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Ven 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Ven 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Lun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15
» Les exercices militaires russo-biélorusse
Mer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15
» nouvelle grille de lecture du monde
Sam 20 Aoû - 18:47 par ZIGHOUD15
» Lobbyisme et démocratie
Sam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15
» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Jeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15
» BRICS
Jeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15
» LA MATRICE DU TERRORISME
Ven 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15
» Dhû-l-Qarnayn ou le bicornu ....
Sam 21 Aoû - 22:46 par ZIGHOUD15
» Définition et conception ?!
Lun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek
» Gendarmerie Nationale
Sam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek
» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Mer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek
» إنتخابات الجزائر الجددة
Mar 24 Sep - 1:02 par Sphinx
» Zouaves ! qui sont ?
Dim 22 Sep - 22:22 par Sphinx
» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Mar 25 Juin - 22:18 par Sphinx
» Carthage et l'occident ...
Ven 21 Juin - 21:38 par Sphinx
» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Lun 17 Juin - 23:35 par Sphinx
» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Sam 6 Oct - 19:16 par Sphinx
» dépenses militaires mondiales
Dim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15
» algerian barkhane la citadelle
Ven 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» cabale
Mer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15