Sujets similaires
Derniers sujets
Sujets les plus vus
Sujets les plus actifs
Meilleurs posteurs
Sphinx | ||||
Syfou | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
abdelmalek | ||||
rakane | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
col.chibani | ||||
fennec dz | ||||
ZIGHOUD |
Ceux qui commencent le plus de sujets
Syfou | ||||
Sphinx | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
elmaknine | ||||
col.chibani | ||||
matriochkas | ||||
ZIGHOUD | ||||
Rahim Damon |
Connexion
Guerre des Malouines
algeriedrs :: Zones de conflits dans le monde :: Conflits, tensions, guerre et terrorisme :: Révolutions, Guerres et batailles
Page 1 sur 1
Guerre des Malouines
La guerre des Malouines (en anglais : Falklands War, en espagnol : Guerra de las Malvinas) est un conflit entre l'Argentine et le Royaume-Uni à propos de la souveraineté sur les îles Malouines, situées à 480 km des côtes argentines et peuplées de descendants de Britanniques, entre avril et juin 1982. Bien que surpris par l'attaque argentine sur les îles, le Royaume-Uni réagit et chassa les troupes argentines. En Argentine, l'échec contribua à la chute de la junte militaire et à la transition démocratique.
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Guerre des Malouines
Contexte historique et juridique
La propriété des îles, qui figurent aujourd'hui sur la liste des territoires non autonomes de l'ONU, a longtemps été disputée. Au XVIIIe siècle, la France fut la première à les revendiquer, mais elle fut expulsée par l'Espagne qui les céda à la Grande-Bretagne. Les îles demeurèrent inoccupées de sorte que la souveraineté britannique perdit son effectivité.
L'Argentine obtint son indépendance de l'Espagne en 1816 et occupa les îles en 1820 avec une colonie pénitentiaire qui fut rapidement abandonnée. En 1833, le Royaume-Uni y établit une colonie, mais l'Argentine maintint sa revendication territoriale.
Avec le changement de statut, en 1946, des colonies et dominions, qui forment dorénavant le Commonwealth, Londres voyait ce différend territorial comme mineur. En 1965, sous l'effet de la résolution 2065 des Nations unies, qui exige l'application de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays coloniaux (1960), les négociations commencèrent ; dix-sept ans plus tard, très peu de choses avaient changé. En janvier 1976, le comité juridique interaméricain, organe de l'Organisation des États américains (OEA) simplement consultatif, déclare l'existence d'un « droit de souveraineté irréfutable » de l'Argentine sur les Malouines, sans avoir autorité à juger de ces choses. En août 1976, la 5e conférence du mouvement des non-alignés déclare l'Argentine « propriétaire légitime du territoire ».
Le différend est insolite, en ce que les deux États mettent en avant des droits issus du processus de décolonisation pour défendre leurs prétentions. Ainsi, le Royaume-Uni met en avant l'origine britannique des 2 000 habitants d'origine britannique (seuls une trentaine d'Argentins habitaient ces îles) et invoque l'article 73 de la Charte des Nations unies et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, tandis que l'Argentine invoquait le droit des peuples à la décolonisation, affirmant qu'il s'agissait d'une terre spoliée par les Britanniques depuis 150 ans ; l'ONU était plutôt favorable à l'Argentine.
L'Argentine devint une dictature militaire en mars 1976 et faisait face à des problèmes économiques graves, avec une inflation annuelle à 140 % quand le général Galtieri parvint au pouvoir en 1981. Son armée subissait un embargo sur les armes de la part des États-Unis depuis 1978, malgré le soutien de Washington à la junte, qui obtint aussi, sous Galtieri, celui de l'URSS.
La Royal Navy maintenait une présence militaire dans la zone sous la forme d'un petit groupe de quarante soldats des Royal Marines connu comme le groupe naval Naval Party 8901. Les négociations continuaient toutefois entre les deux pays. Cependant, celles-ci demeuraient formelles, les mêmes arguments étant ressassés.
La propriété des îles, qui figurent aujourd'hui sur la liste des territoires non autonomes de l'ONU, a longtemps été disputée. Au XVIIIe siècle, la France fut la première à les revendiquer, mais elle fut expulsée par l'Espagne qui les céda à la Grande-Bretagne. Les îles demeurèrent inoccupées de sorte que la souveraineté britannique perdit son effectivité.
L'Argentine obtint son indépendance de l'Espagne en 1816 et occupa les îles en 1820 avec une colonie pénitentiaire qui fut rapidement abandonnée. En 1833, le Royaume-Uni y établit une colonie, mais l'Argentine maintint sa revendication territoriale.
Avec le changement de statut, en 1946, des colonies et dominions, qui forment dorénavant le Commonwealth, Londres voyait ce différend territorial comme mineur. En 1965, sous l'effet de la résolution 2065 des Nations unies, qui exige l'application de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays coloniaux (1960), les négociations commencèrent ; dix-sept ans plus tard, très peu de choses avaient changé. En janvier 1976, le comité juridique interaméricain, organe de l'Organisation des États américains (OEA) simplement consultatif, déclare l'existence d'un « droit de souveraineté irréfutable » de l'Argentine sur les Malouines, sans avoir autorité à juger de ces choses. En août 1976, la 5e conférence du mouvement des non-alignés déclare l'Argentine « propriétaire légitime du territoire ».
Le différend est insolite, en ce que les deux États mettent en avant des droits issus du processus de décolonisation pour défendre leurs prétentions. Ainsi, le Royaume-Uni met en avant l'origine britannique des 2 000 habitants d'origine britannique (seuls une trentaine d'Argentins habitaient ces îles) et invoque l'article 73 de la Charte des Nations unies et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, tandis que l'Argentine invoquait le droit des peuples à la décolonisation, affirmant qu'il s'agissait d'une terre spoliée par les Britanniques depuis 150 ans ; l'ONU était plutôt favorable à l'Argentine.
L'Argentine devint une dictature militaire en mars 1976 et faisait face à des problèmes économiques graves, avec une inflation annuelle à 140 % quand le général Galtieri parvint au pouvoir en 1981. Son armée subissait un embargo sur les armes de la part des États-Unis depuis 1978, malgré le soutien de Washington à la junte, qui obtint aussi, sous Galtieri, celui de l'URSS.
La Royal Navy maintenait une présence militaire dans la zone sous la forme d'un petit groupe de quarante soldats des Royal Marines connu comme le groupe naval Naval Party 8901. Les négociations continuaient toutefois entre les deux pays. Cependant, celles-ci demeuraient formelles, les mêmes arguments étant ressassés.
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Guerre des Malouines
Vers la guerre
Les causes de la guerre
En envahissant les îles Malouines, historiquement revendiquée par les Argentins, y compris par la gauche péroniste, la junte militaire comptait redorer son blason en unissant le pays confronté à la crise. De plus, les militaires argentins avaient développé le concept d'une « Argentine bicontinentale », qui comprendrait une partie du continent Antarctique, dotée de nombreuses ressources en matières premières. La possession des îles Malouines serait ainsi la première étape pour établir des « Antilles antarctiques » (îles Malouines, îles de Géorgie du Sud, les Orcades du Sud, les Sandwich du Sud, les Shetland du Sud), un trait d'union maritime avec des territoires que l'Argentine souhaitait annexer en Antarctique. Pour les militaires au pouvoir, l'« Argentine bicontinentale » n'est pas seulement un rêve, mais une mission patriotique qui doit être accomplie un jour.
Déclenchement
La junte argentine tenta de détourner l'attention portée par l'opinion publique sur l'économie et le respect des droits de l'homme grâce aux effets espérés d'une victoire nationale rapide dans les Malouines. Une pression fut exercée sur l'Organisation des Nations unies (ONU) avec une menace subtile d'invasion : les Britanniques n'y firent pas attention et continuèrent à tergiverser (les positions britanniques ne se sont pas exprimées d'une manière monolithique mais plutôt en tenant compte d'intérêts spéciaux et d'administrations diverses ; ce qui conduisit souvent les observateurs extérieurs à des erreurs d'appréciation). Les Argentins interprétèrent la politique britannique comme un désengagement[réf. nécessaire] en particulier si les îles étaient envahies - un point de vue également soutenu par le retrait planifié de la dernière unité de la Royal Navy en 1981 (dans le cadre d'une diminution générale de la flotte) et la loi sur la nationalité britannique de 1981 qui retirait la nationalité complète aux résidents des Îles Malouines.
Le plan d'invasion fut conçu par l'amiral Jorge Anaya, le chef passionnément anti-britannique de la marine argentine. Après l'échec des négociations en janvier 1982, les plans furent finalisés et l'invasion programmée pour avril. Le navire de patrouille pour l'Antarctique de la Royal Navy HMS Endurance reçut l'ordre d'évacuer des civils argentins, ferrailleurs venus démonter une installation de chasse à la baleine sur l'île de Géorgie du Sud à 1 390 km des Malouines, le 25 mars, accusés par Londres d'être en réalité des sous-officiers argentins . Il en fut toutefois empêché par trois vaisseaux de guerre argentins et n'insista pas, et Buenos Aires qualifiera par la suite cet acte d'agression . Cependant, le 30 mars, malgré la preuve supplémentaire[réf. nécessaire] que la marine argentine embarquait des troupes à Puerto Belgrano, le comité commun de renseignement du Royaume-Uni pour l'Amérique latine déclara que l'« invasion n'était pas imminente. »
Relations diplomatiques
Depuis que les relations bilatérales formelles étaient interrompues, les diplomates péruviens à Londres représentaient les intérêts diplomatiques argentins auprès du gouvernement britannique et les diplomates suisses représentaient la couronne britannique auprès des autorités argentines.
La guerre
Le 26 mars, le général Leopoldo Galtieri décide d'envahir l'île de Géorgie du Sud, située à quelques milliers de kilomètres des îles Malouines mais dépendantes, politiquement, de celles-ci. Baptisée « Operación Rosario », l'opération est dirigée par l’amiral Anaya et Alfredo Astiz .
Le 2 avril, la Marine argentine débarque plusieurs milliers d'hommes aux Malouines. La garnison de la Royal Marine oppose une résistance courageuse mais inutile. Le gouverneur Rex Hunt demande aux marines de se rendre, ils seront conduits à Montevideo avec le gouverneur britannique. L’île passe sous administration militaire de l’Argentine.
Les causes de la guerre
En envahissant les îles Malouines, historiquement revendiquée par les Argentins, y compris par la gauche péroniste, la junte militaire comptait redorer son blason en unissant le pays confronté à la crise. De plus, les militaires argentins avaient développé le concept d'une « Argentine bicontinentale », qui comprendrait une partie du continent Antarctique, dotée de nombreuses ressources en matières premières. La possession des îles Malouines serait ainsi la première étape pour établir des « Antilles antarctiques » (îles Malouines, îles de Géorgie du Sud, les Orcades du Sud, les Sandwich du Sud, les Shetland du Sud), un trait d'union maritime avec des territoires que l'Argentine souhaitait annexer en Antarctique. Pour les militaires au pouvoir, l'« Argentine bicontinentale » n'est pas seulement un rêve, mais une mission patriotique qui doit être accomplie un jour.
Déclenchement
La junte argentine tenta de détourner l'attention portée par l'opinion publique sur l'économie et le respect des droits de l'homme grâce aux effets espérés d'une victoire nationale rapide dans les Malouines. Une pression fut exercée sur l'Organisation des Nations unies (ONU) avec une menace subtile d'invasion : les Britanniques n'y firent pas attention et continuèrent à tergiverser (les positions britanniques ne se sont pas exprimées d'une manière monolithique mais plutôt en tenant compte d'intérêts spéciaux et d'administrations diverses ; ce qui conduisit souvent les observateurs extérieurs à des erreurs d'appréciation). Les Argentins interprétèrent la politique britannique comme un désengagement[réf. nécessaire] en particulier si les îles étaient envahies - un point de vue également soutenu par le retrait planifié de la dernière unité de la Royal Navy en 1981 (dans le cadre d'une diminution générale de la flotte) et la loi sur la nationalité britannique de 1981 qui retirait la nationalité complète aux résidents des Îles Malouines.
Le plan d'invasion fut conçu par l'amiral Jorge Anaya, le chef passionnément anti-britannique de la marine argentine. Après l'échec des négociations en janvier 1982, les plans furent finalisés et l'invasion programmée pour avril. Le navire de patrouille pour l'Antarctique de la Royal Navy HMS Endurance reçut l'ordre d'évacuer des civils argentins, ferrailleurs venus démonter une installation de chasse à la baleine sur l'île de Géorgie du Sud à 1 390 km des Malouines, le 25 mars, accusés par Londres d'être en réalité des sous-officiers argentins . Il en fut toutefois empêché par trois vaisseaux de guerre argentins et n'insista pas, et Buenos Aires qualifiera par la suite cet acte d'agression . Cependant, le 30 mars, malgré la preuve supplémentaire[réf. nécessaire] que la marine argentine embarquait des troupes à Puerto Belgrano, le comité commun de renseignement du Royaume-Uni pour l'Amérique latine déclara que l'« invasion n'était pas imminente. »
Relations diplomatiques
Depuis que les relations bilatérales formelles étaient interrompues, les diplomates péruviens à Londres représentaient les intérêts diplomatiques argentins auprès du gouvernement britannique et les diplomates suisses représentaient la couronne britannique auprès des autorités argentines.
La guerre
Le 26 mars, le général Leopoldo Galtieri décide d'envahir l'île de Géorgie du Sud, située à quelques milliers de kilomètres des îles Malouines mais dépendantes, politiquement, de celles-ci. Baptisée « Operación Rosario », l'opération est dirigée par l’amiral Anaya et Alfredo Astiz .
Le 2 avril, la Marine argentine débarque plusieurs milliers d'hommes aux Malouines. La garnison de la Royal Marine oppose une résistance courageuse mais inutile. Le gouverneur Rex Hunt demande aux marines de se rendre, ils seront conduits à Montevideo avec le gouverneur britannique. L’île passe sous administration militaire de l’Argentine.
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Guerre des Malouines
Attaque argentine
Le gouverneur des îles Malouines Rex Hunt fut informé par le gouvernement britannique d'une invasion argentine possible le 31 mars et prépara la défense avec les majors Mike Norman et Gary Noot, à la tête de 67 marines, plus que ce dont ils auraient dû disposer : la garnison étant sur le point d'être relevée, les troupes arrivant et celles partant étaient sur l'île en même temps. Ce total fut réduit à 55 quand 12 marines embarquèrent à bord du bateau de patrouille Endurance pour observer les soldats argentins basés dans la Géorgie du Sud. Enfin, la force fut appuyée par 23 volontaires à temps partiel dispersés dans des points stratégiques alors que les casernes de Moody Brook étaient abandonnées.
Le 2 avril, le destroyer argentin Santisima Trinidad s'arrêta à 500 mètres de la crique Mullet et débarqua 21 engins d'assaut argentins Gémini avec 92 commandos.
À 5 h 45, les Argentins avaient atteint leur premier objectif, les casernes Moody Brook et y lancèrent une attaque puissante, utilisant des armes lourdes et des grenades au phosphore [réf. nécessaire] . Elle prit fin quand les Argentins s'aperçurent que les casernes étaient abandonnées. Les premiers prisonniers argentins furent faits ce jour.
Le 3 avril, Rex Hunt et le major Norman décidèrent de capituler, suivie le lendemain de la section du caporal York.
Après la reddition, les Royal Marines et les volontaires furent rassemblés dans les terrains de sport. Des photos furent prises, photos qui galvanisèrent l'opinion publique britannique quand elle les vit. Ensuite, les hommes furent emmenés en Uruguay, puis au Royaume-Uni. Un marine prédit à un garde argentin : « Ne vous installez pas trop confortablement, nous allons revenir ». Ce qui fut fait 72 jours plus tard.
Les Argentins envahirent dans le même temps aussi la Géorgie du Sud-et-les Îles Sandwich du Sud, mais alors qu'ils ne croyaient avoir à faire qu'à des scientifiques, n'ayant donc envoyé qu'un navire de transport escorté d'un seul aviso de la classe d'Estienne d'Orves, ils tombèrent sur un détachement de Royal Marines qui, avec leurs lance-roquettes, infligèrent de tels dégâts à l'aviso que celui-ci dut se mettre à l'abri. Toutefois, peu de temps après, les Britanniques s'inclinèrent devant les troupes argentines. À Buenos Aires, de grandes foules agitant des drapeaux inondèrent la Plaza de Mayo en entendant les nouvelles. À Londres, le gouvernement était stupéfait.
Le gouverneur des îles Malouines Rex Hunt fut informé par le gouvernement britannique d'une invasion argentine possible le 31 mars et prépara la défense avec les majors Mike Norman et Gary Noot, à la tête de 67 marines, plus que ce dont ils auraient dû disposer : la garnison étant sur le point d'être relevée, les troupes arrivant et celles partant étaient sur l'île en même temps. Ce total fut réduit à 55 quand 12 marines embarquèrent à bord du bateau de patrouille Endurance pour observer les soldats argentins basés dans la Géorgie du Sud. Enfin, la force fut appuyée par 23 volontaires à temps partiel dispersés dans des points stratégiques alors que les casernes de Moody Brook étaient abandonnées.
Le 2 avril, le destroyer argentin Santisima Trinidad s'arrêta à 500 mètres de la crique Mullet et débarqua 21 engins d'assaut argentins Gémini avec 92 commandos.
À 5 h 45, les Argentins avaient atteint leur premier objectif, les casernes Moody Brook et y lancèrent une attaque puissante, utilisant des armes lourdes et des grenades au phosphore [réf. nécessaire] . Elle prit fin quand les Argentins s'aperçurent que les casernes étaient abandonnées. Les premiers prisonniers argentins furent faits ce jour.
Le 3 avril, Rex Hunt et le major Norman décidèrent de capituler, suivie le lendemain de la section du caporal York.
Après la reddition, les Royal Marines et les volontaires furent rassemblés dans les terrains de sport. Des photos furent prises, photos qui galvanisèrent l'opinion publique britannique quand elle les vit. Ensuite, les hommes furent emmenés en Uruguay, puis au Royaume-Uni. Un marine prédit à un garde argentin : « Ne vous installez pas trop confortablement, nous allons revenir ». Ce qui fut fait 72 jours plus tard.
Les Argentins envahirent dans le même temps aussi la Géorgie du Sud-et-les Îles Sandwich du Sud, mais alors qu'ils ne croyaient avoir à faire qu'à des scientifiques, n'ayant donc envoyé qu'un navire de transport escorté d'un seul aviso de la classe d'Estienne d'Orves, ils tombèrent sur un détachement de Royal Marines qui, avec leurs lance-roquettes, infligèrent de tels dégâts à l'aviso que celui-ci dut se mettre à l'abri. Toutefois, peu de temps après, les Britanniques s'inclinèrent devant les troupes argentines. À Buenos Aires, de grandes foules agitant des drapeaux inondèrent la Plaza de Mayo en entendant les nouvelles. À Londres, le gouvernement était stupéfait.
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
algeriedrs :: Zones de conflits dans le monde :: Conflits, tensions, guerre et terrorisme :: Révolutions, Guerres et batailles
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Ven 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Ven 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Lun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15
» Les exercices militaires russo-biélorusse
Mer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15
» nouvelle grille de lecture du monde
Sam 20 Aoû - 18:47 par ZIGHOUD15
» Lobbyisme et démocratie
Sam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15
» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Jeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15
» BRICS
Jeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15
» LA MATRICE DU TERRORISME
Ven 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15
» Dhû-l-Qarnayn ou le bicornu ....
Sam 21 Aoû - 22:46 par ZIGHOUD15
» Définition et conception ?!
Lun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek
» Gendarmerie Nationale
Sam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek
» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Mer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek
» إنتخابات الجزائر الجددة
Mar 24 Sep - 1:02 par Sphinx
» Zouaves ! qui sont ?
Dim 22 Sep - 22:22 par Sphinx
» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Mar 25 Juin - 22:18 par Sphinx
» Carthage et l'occident ...
Ven 21 Juin - 21:38 par Sphinx
» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Lun 17 Juin - 23:35 par Sphinx
» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Sam 6 Oct - 19:16 par Sphinx
» dépenses militaires mondiales
Dim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15
» algerian barkhane la citadelle
Ven 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» cabale
Mer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15