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Antiaméricanisme
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Antiaméricanisme
L'antiaméricanisme (ou anti-américanisme ou américanophobie) décrit en général une position systématiquement négative, méfiante ou hostile vis-à-vis des États-Unis. Selon le contexte, il peut s'appliquer simplement envers sa politique, mais aussi envers sa société, son histoire, sa culture ou son peuple.
Histoire
Au cours de l'histoire s'est développée une Haßliebe (amour-haine) envers les États-Unis. Encore aujourd'hui, les Européens critiquent régulièrement l'« interventionnisme » américain, l'omniprésence de la langue anglaise (pourtant d’origine européenne), etc. L'Amérique latine est une autre terre traditionnelle de l'antiaméricanisme, à cause de la politique menée par les États-Unis sur cette partie du continent selon certains[réf. nécessaire], comme la crise de la Baie des Cochons ou le coup d'État de Pinochet soutenu par la CIA. A contrario, d'autres[Qui ?] affirment que l'argument de la politique des États-Unis sert à justifier l'échec relatif des démocraties et des économies sud-américaines[réf. nécessaire]. Plus récemment, le sentiment antiaméricain s'est répandu dans le reste du monde, en particulier dans le monde arabe[Comment ?].
L' Amérique fut très tôt considérée comme un continent que l'Europe pouvait coloniser. L'évêque et philosophe irlandais George Berkeley exprima en 1726 la théorie de la translatio imperii, studii et religionis, à savoir que le développement de l'humanité suivait d'est en ouest la course du soleil : l'Europe était à la pointe de la civilisation après que l'Orient et les Arabes eurent joué ce rôle. Les Amériques constituaient le prolongement logique de cette translation.
Cependant, de retour d'un voyage aux États-Unis, Charles Dickens exprima en 1842 sa déception : il publia un carnet de voyage (American Notes) critique vis-à-vis de la société américaine, en particulier du faible attachement au terroir et du manque de savoir-vivre. Les États-Unis représentaient pour les Européens la possibilité d'améliorer leur condition économique. Les Irlandais victimes de la famine, les Scandinaves, les Russes, les Burgenlandais et les Italiens émigrèrent en masse. Pour les opposants politiques, l'exil était une possibilité d'éviter l'emprisonnement : en 1848 les États-Unis connurent une vague d'immigration qui exporta d'Europe vers le Nouveau Monde le mécontentement social.
Au XXe siècle, les États-Unis devinrent un mauvais exemple socioéconomique aux yeux de la majorité syndicalistes ; le fordisme et le taylorisme naissants furent considérés comme inhumains : Bertolt Brecht critiqua le « capitalisme nu ». Dans les années 1920, les films et les compagnies américaines arrivèrent en Europe. La chanteuse noire Joséphine Baker obtint un grand succès en Europe et y devint l'un des symboles de l'Amérique, bien que le jazz fût considéré par l'élite américaine comme un-American (non américain). Dans le même temps, la participation des États-Unis à la Première Guerre mondiale engendra un sentiment antiaméricain dans les puissances de la Triple-Alliance. Il se renforça durant le marasme économique de la Grande Dépression. En Allemagne, les nationaux-socialistes accréditèrent l'idée que les États-Unis étaient dirigés par une conspiration juive.
Histoire
Au cours de l'histoire s'est développée une Haßliebe (amour-haine) envers les États-Unis. Encore aujourd'hui, les Européens critiquent régulièrement l'« interventionnisme » américain, l'omniprésence de la langue anglaise (pourtant d’origine européenne), etc. L'Amérique latine est une autre terre traditionnelle de l'antiaméricanisme, à cause de la politique menée par les États-Unis sur cette partie du continent selon certains[réf. nécessaire], comme la crise de la Baie des Cochons ou le coup d'État de Pinochet soutenu par la CIA. A contrario, d'autres[Qui ?] affirment que l'argument de la politique des États-Unis sert à justifier l'échec relatif des démocraties et des économies sud-américaines[réf. nécessaire]. Plus récemment, le sentiment antiaméricain s'est répandu dans le reste du monde, en particulier dans le monde arabe[Comment ?].
L' Amérique fut très tôt considérée comme un continent que l'Europe pouvait coloniser. L'évêque et philosophe irlandais George Berkeley exprima en 1726 la théorie de la translatio imperii, studii et religionis, à savoir que le développement de l'humanité suivait d'est en ouest la course du soleil : l'Europe était à la pointe de la civilisation après que l'Orient et les Arabes eurent joué ce rôle. Les Amériques constituaient le prolongement logique de cette translation.
Cependant, de retour d'un voyage aux États-Unis, Charles Dickens exprima en 1842 sa déception : il publia un carnet de voyage (American Notes) critique vis-à-vis de la société américaine, en particulier du faible attachement au terroir et du manque de savoir-vivre. Les États-Unis représentaient pour les Européens la possibilité d'améliorer leur condition économique. Les Irlandais victimes de la famine, les Scandinaves, les Russes, les Burgenlandais et les Italiens émigrèrent en masse. Pour les opposants politiques, l'exil était une possibilité d'éviter l'emprisonnement : en 1848 les États-Unis connurent une vague d'immigration qui exporta d'Europe vers le Nouveau Monde le mécontentement social.
Au XXe siècle, les États-Unis devinrent un mauvais exemple socioéconomique aux yeux de la majorité syndicalistes ; le fordisme et le taylorisme naissants furent considérés comme inhumains : Bertolt Brecht critiqua le « capitalisme nu ». Dans les années 1920, les films et les compagnies américaines arrivèrent en Europe. La chanteuse noire Joséphine Baker obtint un grand succès en Europe et y devint l'un des symboles de l'Amérique, bien que le jazz fût considéré par l'élite américaine comme un-American (non américain). Dans le même temps, la participation des États-Unis à la Première Guerre mondiale engendra un sentiment antiaméricain dans les puissances de la Triple-Alliance. Il se renforça durant le marasme économique de la Grande Dépression. En Allemagne, les nationaux-socialistes accréditèrent l'idée que les États-Unis étaient dirigés par une conspiration juive.
Syfou- Adminstrateur
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Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
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Localisation : Dans un autre repère !
Re: Antiaméricanisme
Avec la fin de la Seconde Guerre mondiale et la défaite du nazisme, le monde connut une bipolarisation entre l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) communiste et les États-Unis capitalistes. Un antiaméricanisme d'idéologie communiste fut imposé dans les pays d'Europe centrale et de l'Est, et relayé par les partis communistes des pays alliés des États-Unis. En réaction à la menace soviétique, les dirigeants américains menèrent une politique anticommuniste qui culmina avec le maccarthysme. Le harcèlement des sympathisants communistes fut utilisé par les détracteurs des États-Unis comme un argument de la faiblesse de la démocratie américaine. Jean-François Revel affirme néanmoins dans son ouvrage l'Obsession anti-américaine que
« quelque odieux qu'ait été le maccarthysme et McCarthy, pourquoi omettre de constater que c'étaient les Américains eux-mêmes, républicains en tête, qui avaient déboulonné en moins de quatre ans l'encombrant sénateur ? En outre, c'est un fait que l'espionnage soviétique permit à Moscou de gagner plusieurs années dans la construction de sa bombe atomique. Il a été surabondamment confirmé aujourd'hui, et on avait déjà prouvé en 1970, que les époux Rosenberg étaient effectivement des agents du Komintern et que leur rôle fut des plus néfastes ; ou que Alger Hiss, un des collaborateurs les plus proches du président Franklin Roosevelt, notamment à la conférence de Yalta, travaillait lui aussi pour les services de l'Est et renseignait Staline. »
. En réplique à l'accusation concernant les défaillances de sa démocratie, les États-Unis répondent qu'ils sont l'un des rares pays à n'avoir jamais connu les deux systèmes totalitaires qu'ont connus l'Europe et d'autres parties du monde : le communisme et le nazisme.
Les interventions militaires américaines (utilisation de la bombe atomique contre le Japon, destruction totale de villes allemandes comme Dresde, guerre de Corée, guerre du Viêt Nam) depuis 1945 peuvent également jeter le doute sur l'image humaniste et civilisatrice des États-Unis. De plus, les États-Unis décidèrent durant la guerre froide de déstabiliser ou renverser des régimes démocratiques qu'ils craignaient de voir verser dans le communisme (par exemple le coup d'État du 11 septembre 1973 contre Salvador Allende au Chili) et de soutenir des régimes non démocratiques (par exemple l'Arabie saoudite). Les pays d'Europe occidentale appliquèrent également cette Realpolitik. Durant le même temps, la contre-culture américaine, pacifiste, conquérait l'Europe.
Le soutien des États-Unis à Israël depuis sa création en 1948, puis le maintien de troupes « infidèles » dans le pays des lieux saints de l'islam, l'Arabie saoudite après la deuxième guerre du Golfe contribuèrent à développer un sentiment antiaméricain dans le monde arabe. Il fut entretenu par certains gouvernements autoritaires (en Syrie ou en Iran) qui firent des États-Unis un exutoire du mécontentement populaire ; ce sentiment est également alimenté par les fondamentalistes musulmans.
Les attentats du 11 septembre 2001 provoquèrent un grand élan de sympathie en Europe vis-à-vis des États-Unis. La gestion, qualifiée d'« unilatérale » et contestée, de la menace terroriste par le pays (détention illimitée de suspects à Guantanamo sans recours possible, intervention militaire en Irak en 2003, soutien aux méthodes israéliennes contestées de lutte contre les groupes palestiniens terroristes, blanc-seing délivré au gouvernement russe pour sa « lutte contre le terrorisme » lors de la seconde guerre de Tchétchénie) a vraisemblablement fait diminuer cette sympathie et nourri une nouvelle vague d'antiaméricanisme tant dans le monde arabe qu'en Europe et au Canada, particulièrement au Québec.
« quelque odieux qu'ait été le maccarthysme et McCarthy, pourquoi omettre de constater que c'étaient les Américains eux-mêmes, républicains en tête, qui avaient déboulonné en moins de quatre ans l'encombrant sénateur ? En outre, c'est un fait que l'espionnage soviétique permit à Moscou de gagner plusieurs années dans la construction de sa bombe atomique. Il a été surabondamment confirmé aujourd'hui, et on avait déjà prouvé en 1970, que les époux Rosenberg étaient effectivement des agents du Komintern et que leur rôle fut des plus néfastes ; ou que Alger Hiss, un des collaborateurs les plus proches du président Franklin Roosevelt, notamment à la conférence de Yalta, travaillait lui aussi pour les services de l'Est et renseignait Staline. »
. En réplique à l'accusation concernant les défaillances de sa démocratie, les États-Unis répondent qu'ils sont l'un des rares pays à n'avoir jamais connu les deux systèmes totalitaires qu'ont connus l'Europe et d'autres parties du monde : le communisme et le nazisme.
Les interventions militaires américaines (utilisation de la bombe atomique contre le Japon, destruction totale de villes allemandes comme Dresde, guerre de Corée, guerre du Viêt Nam) depuis 1945 peuvent également jeter le doute sur l'image humaniste et civilisatrice des États-Unis. De plus, les États-Unis décidèrent durant la guerre froide de déstabiliser ou renverser des régimes démocratiques qu'ils craignaient de voir verser dans le communisme (par exemple le coup d'État du 11 septembre 1973 contre Salvador Allende au Chili) et de soutenir des régimes non démocratiques (par exemple l'Arabie saoudite). Les pays d'Europe occidentale appliquèrent également cette Realpolitik. Durant le même temps, la contre-culture américaine, pacifiste, conquérait l'Europe.
Le soutien des États-Unis à Israël depuis sa création en 1948, puis le maintien de troupes « infidèles » dans le pays des lieux saints de l'islam, l'Arabie saoudite après la deuxième guerre du Golfe contribuèrent à développer un sentiment antiaméricain dans le monde arabe. Il fut entretenu par certains gouvernements autoritaires (en Syrie ou en Iran) qui firent des États-Unis un exutoire du mécontentement populaire ; ce sentiment est également alimenté par les fondamentalistes musulmans.
Les attentats du 11 septembre 2001 provoquèrent un grand élan de sympathie en Europe vis-à-vis des États-Unis. La gestion, qualifiée d'« unilatérale » et contestée, de la menace terroriste par le pays (détention illimitée de suspects à Guantanamo sans recours possible, intervention militaire en Irak en 2003, soutien aux méthodes israéliennes contestées de lutte contre les groupes palestiniens terroristes, blanc-seing délivré au gouvernement russe pour sa « lutte contre le terrorisme » lors de la seconde guerre de Tchétchénie) a vraisemblablement fait diminuer cette sympathie et nourri une nouvelle vague d'antiaméricanisme tant dans le monde arabe qu'en Europe et au Canada, particulièrement au Québec.
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Re: Antiaméricanisme
Critique économique
La critique économique est le plus souvent reliée à une contestation de l'économie de marché par les anticapitalistes et les communistes. Des personnalités libérales comme Maurice Allais, prix Nobel français, vont même jusqu'à proposer des réformes fondamentales du système économique. Le système américain libéral, serait responsable de la pauvreté et de la désagrégation des structures sociales. Bien que cette critique ait connu une quasi-disparition avec l'effondrement du bloc communiste en 1989–1991, le mouvement altermondialiste a repris cet angle d'attaque. En effet, presque toute la classe politique (de l'extrême gauche à la droite libérale) admet que le capitalisme est source d'inégalités ; la politique américaine étant toujours plus libérale que celle des pays Européens, beaucoup dénoncent le mépris de l'économie des pays défavorisés ou même les problèmes sociaux liés au capitalisme. Les crises boursières comme le krach de 1929 provoquent une certaine méfiance des Européens principalement vis-à-vis de l'économie américaine.
Les États-Unis sont également accusés de vivre aux dépens du reste du monde, car ils possèdent un déficit commercial important et persistant.
Dans son ouvrage Un autre monde contre le fanatisme du marché, Joseph E. Stiglitz, prix Nobel d'économie en 2001, évoque les problèmes que pose le déficit commercial des États-Unis. Le déficit commercial des États-Unis précise-t-il n'est pas soutenable et est source d'instabilité financière internationale (en cas de forte baisse du dollar, hausse de l'euro…). Les États-Unis financent leur déficit commercial par les emprunts à l'étranger et non par l'épargne. Il ajoute, alors que les États-Unis étaient les plus grands créanciers du monde, ils sont devenus les plus grands débiteurs.
Il est à noter que les États-Unis sont également un grand pays importateur de produits du monde développé et sous-développé, ce qui stimule le développement économique des autres pays. Les pays européens scrutent la croissance américaine, car ils savent que leur propre santé économique dépend de celle des États-Unis. Ce développement est cependant inégal car les pays riches importent des pays pauvres surtout des matières premières bon marché pour y exporter soit des biens de consommation à forte valeur ajoutée soit des produits subventionnés. Ces produits subventionnés faussent le marché des pays vers lesquels ils sont exportés, ce qui provoque la disparition de secteurs entiers de l'économie locale. Les États-Unis comme l'Union européenne se voient souvent reprocher de fausser la concurrence mondiale par le biais de subventions (agriculture, aéronautique) et de porter atteinte, en particulier, aux pays agricoles du tiers monde. Les altermondialistes, quant à eux, dénoncent systématiquement le libéralisme commercial qui développe la fracture entre pays pauvres et pays riches, ainsi que la fracture entre riches et pauvres à l'intérieur même des pays développés.
La critique économique est le plus souvent reliée à une contestation de l'économie de marché par les anticapitalistes et les communistes. Des personnalités libérales comme Maurice Allais, prix Nobel français, vont même jusqu'à proposer des réformes fondamentales du système économique. Le système américain libéral, serait responsable de la pauvreté et de la désagrégation des structures sociales. Bien que cette critique ait connu une quasi-disparition avec l'effondrement du bloc communiste en 1989–1991, le mouvement altermondialiste a repris cet angle d'attaque. En effet, presque toute la classe politique (de l'extrême gauche à la droite libérale) admet que le capitalisme est source d'inégalités ; la politique américaine étant toujours plus libérale que celle des pays Européens, beaucoup dénoncent le mépris de l'économie des pays défavorisés ou même les problèmes sociaux liés au capitalisme. Les crises boursières comme le krach de 1929 provoquent une certaine méfiance des Européens principalement vis-à-vis de l'économie américaine.
Les États-Unis sont également accusés de vivre aux dépens du reste du monde, car ils possèdent un déficit commercial important et persistant.
Dans son ouvrage Un autre monde contre le fanatisme du marché, Joseph E. Stiglitz, prix Nobel d'économie en 2001, évoque les problèmes que pose le déficit commercial des États-Unis. Le déficit commercial des États-Unis précise-t-il n'est pas soutenable et est source d'instabilité financière internationale (en cas de forte baisse du dollar, hausse de l'euro…). Les États-Unis financent leur déficit commercial par les emprunts à l'étranger et non par l'épargne. Il ajoute, alors que les États-Unis étaient les plus grands créanciers du monde, ils sont devenus les plus grands débiteurs.
Il est à noter que les États-Unis sont également un grand pays importateur de produits du monde développé et sous-développé, ce qui stimule le développement économique des autres pays. Les pays européens scrutent la croissance américaine, car ils savent que leur propre santé économique dépend de celle des États-Unis. Ce développement est cependant inégal car les pays riches importent des pays pauvres surtout des matières premières bon marché pour y exporter soit des biens de consommation à forte valeur ajoutée soit des produits subventionnés. Ces produits subventionnés faussent le marché des pays vers lesquels ils sont exportés, ce qui provoque la disparition de secteurs entiers de l'économie locale. Les États-Unis comme l'Union européenne se voient souvent reprocher de fausser la concurrence mondiale par le biais de subventions (agriculture, aéronautique) et de porter atteinte, en particulier, aux pays agricoles du tiers monde. Les altermondialistes, quant à eux, dénoncent systématiquement le libéralisme commercial qui développe la fracture entre pays pauvres et pays riches, ainsi que la fracture entre riches et pauvres à l'intérieur même des pays développés.
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