Sujets similaires
Derniers sujets
Sujets les plus vus
Sujets les plus actifs
Meilleurs posteurs
Sphinx | ||||
Syfou | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
abdelmalek | ||||
rakane | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
col.chibani | ||||
fennec dz | ||||
ZIGHOUD |
Ceux qui commencent le plus de sujets
Syfou | ||||
Sphinx | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
elmaknine | ||||
matriochkas | ||||
col.chibani | ||||
ZIGHOUD | ||||
Rahim Damon |
Connexion
Partis politiques de la République tchèque
algeriedrs :: Politiques,relations extérieures et diplomatie :: Institutions politiques, juridiques, idéologiques... :: Élections Municipales, régionales, présidentielles, législatives
Page 1 sur 1
Partis politiques de la République tchèque
Le Parti social-démocrate tchèque (ČSSD, gauche) : 74 députés
Le Parti démocratique civique (ODS, conservateurs libéraux) : 81 députés.
Le Parti communiste de Bohême et Moravie (KSČM, ancien Parti Communiste de Tchécoslovaquie) : 26 députés
L'Union chrétienne démocrate - Parti populaire tchécoslovaque (KDU-ČSL, centristes modérés) : 13 députés
Les Verts (SZ, écologistes de centre) : 6 députés
Union de la Liberté-Union démocratique (US-DUE, libéraux de centre-droite), n'a pas franchi le minimum de 5% de votes nécessaires pour entrer à la Chambre.
A noter que le KDU-ČSL et l'US-DUE ont formé (après les législatives de 2002) un groupe unique à la Chambre qui comptait 31 députés. Ce groupe n'existe plus.
wikipedia
Sphinx- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 8044
Age : 38
Emploi/loisirs : Mat
Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
Localisation : S.B.A
Re: Partis politiques de la République tchèque
Législatives tchèques: le paysage politique complètement redessiné
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les Tchèques ont dit un "non" énergique à un endettement supplémentaire de leur pays en se prononçant massivement, lors des législatives, en faveur de la responsabilité budgétaire dans le but d'éviter une répétition du scénario grec.
__________________
Les législatives tchèques de vendredi et samedi ont complètement redessiné le paysage politique du pays, entraînant la démission de quatre chefs de partis et l'arrivée de deux nouvelles formations dans une future coalition de centre-droit.
Le grand parti de droite ODS (20,22%) et les nouveaux arrivants TOP 09 (16,7%) à droite, et Affaires publiques (VV, 10,88%) au centre, disposent ensemble de 118 des 200 sièges de la chambre basse.
Ce score leur permettrait de constituer le gouvernement le plus fort de la République tchèque depuis les années 90.
Le leader de l'ODS, Petr Necas, qui prône l'assainissement radical des finances publiques du pays, s'est déjà dit prêt dimanche à assumer le poste de chef du futur gouvernement.
Avec 82 sièges, les sociaux-démocrates du CSSD (22,08%), bien qu'arrivés en tête, et les communistes (KSCM, 11,27%), se voient désormais limités à un rôle de simples figurants, dans l'incapacité totale de former une coalition.
Le président Vaclav Klaus a annoncé dimanche qu'il lancerait lundi une série de consultations avec les dirigeants de ces cinq formations.
Le CSSD sera représenté par son vice-président Bohuslav Sobotka, en remplacement du chef Jiri Paroubek, figure incontournable de la scène politique tchèque ces cinq dernières années, qui a annoncé samedi sa prochaine démission.
"Sois le bienvenu!", lui lance son ex-rival, l'ex-Premier ministre libéral Mirek Topolanek récemment retiré de la politique, devant l'inscription "Cimetière des politiciens", sur une caricature diffusée samedi soir par la chaîne de télévision publique CT.
Le fossoyeur imaginaire ne chômait pas ce week-end: M. Paroubek a été suivi par pas moins de trois autres leaders de partis qui n'ont pas quant à eux franchi le seuil d'éligibilité de 5%.
Cyril Svoboda, chef de la diplomatie en 2002-2006, a ainsi assumé la responsabilité de l'échec (4,39%) de l'Union chrétienne-démocrate (KDU-CSL). Cette formation centriste reste en dehors de la Chambre des députés pour la première fois depuis la chute du communisme en 1989.
Ondrej Liska, jeune chef des Verts (SZ), a opté pour le même geste: ce parti quitte le beau Palais Thun, siège de la chambre, après un séjour unique de trois ans (2,44%).
Le dernier du quatuor démissionnaire est le vétéran Milos Zeman, Premier ministre social-démocrate en 1998-2002. Pour ces législatives, il a fait son come-back, rassasié par des années de paisible retraite à la campagne. "Sorti de son terrier, le vieux blaireau y revient maintenant", a-t-il dit après que son "Parti des droits des citoyens" eut été crédité de 4,33% des voix.
Selon le président Vaclav Klaus qui doit prochainement désigner celui qui sera chargé de la formation du nouveau gouvernement, les élections ont apporté un "affaiblissement fondamental" des plus grands partis, le CSSD et l'ODS.
En effet, ces deux formations ont perdu une dizaine de points chacune par rapport aux élections de 2006, à la suite de l'apparition éclair sur le ciel politique du TOP 09 et de VV.
"Le vainqueur (CSSD) a perdu, le troisième (TOP 09) a gagné", résumait le journal dominical Nedelni Blesk.
Ce résultat constitue une "révolte civique qui s'est déroulée par le biais des bulletins de vote", a lancé le politologue Michal Klima. "C'est un tremblement de terre dans lequel les grands partis ont essuyé d'importantes pertes", a-t-il estimé, à CT.
La perte de points de l'ODS doit servir d'"avertissement", a avoué M. Necas. L'ODS a dû aussi avaler une pilule amère, la défaite subie dans la capitale Prague, jusqu'ici son bastion inébranlable, conquis par TOP 09.
AFP
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les Tchèques ont dit un "non" énergique à un endettement supplémentaire de leur pays en se prononçant massivement, lors des législatives, en faveur de la responsabilité budgétaire dans le but d'éviter une répétition du scénario grec.
__________________
Les législatives tchèques de vendredi et samedi ont complètement redessiné le paysage politique du pays, entraînant la démission de quatre chefs de partis et l'arrivée de deux nouvelles formations dans une future coalition de centre-droit.
Le grand parti de droite ODS (20,22%) et les nouveaux arrivants TOP 09 (16,7%) à droite, et Affaires publiques (VV, 10,88%) au centre, disposent ensemble de 118 des 200 sièges de la chambre basse.
Ce score leur permettrait de constituer le gouvernement le plus fort de la République tchèque depuis les années 90.
Le leader de l'ODS, Petr Necas, qui prône l'assainissement radical des finances publiques du pays, s'est déjà dit prêt dimanche à assumer le poste de chef du futur gouvernement.
Avec 82 sièges, les sociaux-démocrates du CSSD (22,08%), bien qu'arrivés en tête, et les communistes (KSCM, 11,27%), se voient désormais limités à un rôle de simples figurants, dans l'incapacité totale de former une coalition.
Le président Vaclav Klaus a annoncé dimanche qu'il lancerait lundi une série de consultations avec les dirigeants de ces cinq formations.
Le CSSD sera représenté par son vice-président Bohuslav Sobotka, en remplacement du chef Jiri Paroubek, figure incontournable de la scène politique tchèque ces cinq dernières années, qui a annoncé samedi sa prochaine démission.
"Sois le bienvenu!", lui lance son ex-rival, l'ex-Premier ministre libéral Mirek Topolanek récemment retiré de la politique, devant l'inscription "Cimetière des politiciens", sur une caricature diffusée samedi soir par la chaîne de télévision publique CT.
Le fossoyeur imaginaire ne chômait pas ce week-end: M. Paroubek a été suivi par pas moins de trois autres leaders de partis qui n'ont pas quant à eux franchi le seuil d'éligibilité de 5%.
Cyril Svoboda, chef de la diplomatie en 2002-2006, a ainsi assumé la responsabilité de l'échec (4,39%) de l'Union chrétienne-démocrate (KDU-CSL). Cette formation centriste reste en dehors de la Chambre des députés pour la première fois depuis la chute du communisme en 1989.
Ondrej Liska, jeune chef des Verts (SZ), a opté pour le même geste: ce parti quitte le beau Palais Thun, siège de la chambre, après un séjour unique de trois ans (2,44%).
Le dernier du quatuor démissionnaire est le vétéran Milos Zeman, Premier ministre social-démocrate en 1998-2002. Pour ces législatives, il a fait son come-back, rassasié par des années de paisible retraite à la campagne. "Sorti de son terrier, le vieux blaireau y revient maintenant", a-t-il dit après que son "Parti des droits des citoyens" eut été crédité de 4,33% des voix.
Selon le président Vaclav Klaus qui doit prochainement désigner celui qui sera chargé de la formation du nouveau gouvernement, les élections ont apporté un "affaiblissement fondamental" des plus grands partis, le CSSD et l'ODS.
En effet, ces deux formations ont perdu une dizaine de points chacune par rapport aux élections de 2006, à la suite de l'apparition éclair sur le ciel politique du TOP 09 et de VV.
"Le vainqueur (CSSD) a perdu, le troisième (TOP 09) a gagné", résumait le journal dominical Nedelni Blesk.
Ce résultat constitue une "révolte civique qui s'est déroulée par le biais des bulletins de vote", a lancé le politologue Michal Klima. "C'est un tremblement de terre dans lequel les grands partis ont essuyé d'importantes pertes", a-t-il estimé, à CT.
La perte de points de l'ODS doit servir d'"avertissement", a avoué M. Necas. L'ODS a dû aussi avaler une pilule amère, la défaite subie dans la capitale Prague, jusqu'ici son bastion inébranlable, conquis par TOP 09.
AFP
Sphinx- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 8044
Age : 38
Emploi/loisirs : Mat
Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
Localisation : S.B.A
algeriedrs :: Politiques,relations extérieures et diplomatie :: Institutions politiques, juridiques, idéologiques... :: Élections Municipales, régionales, présidentielles, législatives
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Ven 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Ven 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Lun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15
» Les exercices militaires russo-biélorusse
Mer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15
» nouvelle grille de lecture du monde
Sam 20 Aoû - 18:47 par ZIGHOUD15
» Lobbyisme et démocratie
Sam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15
» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Jeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15
» BRICS
Jeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15
» LA MATRICE DU TERRORISME
Ven 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15
» Dhû-l-Qarnayn ou le bicornu ....
Sam 21 Aoû - 22:46 par ZIGHOUD15
» Définition et conception ?!
Lun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek
» Gendarmerie Nationale
Sam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek
» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Mer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek
» إنتخابات الجزائر الجددة
Mar 24 Sep - 1:02 par Sphinx
» Zouaves ! qui sont ?
Dim 22 Sep - 22:22 par Sphinx
» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Mar 25 Juin - 22:18 par Sphinx
» Carthage et l'occident ...
Ven 21 Juin - 21:38 par Sphinx
» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Lun 17 Juin - 23:35 par Sphinx
» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Sam 6 Oct - 19:16 par Sphinx
» dépenses militaires mondiales
Dim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15
» algerian barkhane la citadelle
Ven 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» cabale
Mer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15