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Partis politiques aux États-Unis
algeriedrs :: Politiques,relations extérieures et diplomatie :: Institutions politiques, juridiques, idéologiques... :: Élections Municipales, régionales, présidentielles, législatives
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Partis politiques aux États-Unis
Liste de partis politiques des États-Unis
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Aux États-Unis deux partis politiques dominent la vie politique depuis la fin du XIXe siècle : le parti démocrate et le parti républicain. Ce bipartisme strict est encouragé par le scrutin uninominal majoritaire à un tour.
Grands partis
Parti démocrate
Parti républicain
Autres partis (Tiers partis)
Libertarian Party (Parti libertarien)
Green Party (Parti Vert) dont le personnage le plus connu est Ralph Nader
Reform Party (Parti de la réforme) fondé par Ross Perot
Constitution Party (Parti constitutionnaliste)
Petits partis
Comités News & letters
DSA (Sociaux démocrates d'Amérique)
Communist league US
Communist Party USA (Parti communiste des États-Unis)
Alaskan Independence Party (Parti indépendantiste alaskaien)
Parti indépendantiste portoricain (« Partido Independentista Puertorriqueño », PIP), socialiste
Parti Progressiste, trois formations politiques ont utilisées cette dénomination dans l’histoire américaine :
Parti progressiste (fondé en 1912)
Parti progressiste (fondé en 1924)
Parti progressiste (fondé en 1948)
Peace and Freedom Party (Parti Paix et Liberté)
Socialist Labor Party of America (Parti Socialiste Ouvrier d'Amérique)
Parti progressiste du Vermont
Washington State Progressive Party (Parti progressiste de l'État de Washington)
Parti socialiste des États-Unis
Solidarity
United States Marijuana Party (Parti de la Marijuana des États-Unis)
United States Pirate Party (Parti pirate des états-Unis)
Wikipedia
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Aux États-Unis deux partis politiques dominent la vie politique depuis la fin du XIXe siècle : le parti démocrate et le parti républicain. Ce bipartisme strict est encouragé par le scrutin uninominal majoritaire à un tour.
Grands partis
Parti démocrate
Parti républicain
Autres partis (Tiers partis)
Libertarian Party (Parti libertarien)
Green Party (Parti Vert) dont le personnage le plus connu est Ralph Nader
Reform Party (Parti de la réforme) fondé par Ross Perot
Constitution Party (Parti constitutionnaliste)
Petits partis
Comités News & letters
DSA (Sociaux démocrates d'Amérique)
Communist league US
Communist Party USA (Parti communiste des États-Unis)
Alaskan Independence Party (Parti indépendantiste alaskaien)
Parti indépendantiste portoricain (« Partido Independentista Puertorriqueño », PIP), socialiste
Parti Progressiste, trois formations politiques ont utilisées cette dénomination dans l’histoire américaine :
Parti progressiste (fondé en 1912)
Parti progressiste (fondé en 1924)
Parti progressiste (fondé en 1948)
Peace and Freedom Party (Parti Paix et Liberté)
Socialist Labor Party of America (Parti Socialiste Ouvrier d'Amérique)
Parti progressiste du Vermont
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Re: Partis politiques aux États-Unis
Les partis politiques aux États-Unis
Article de fond du politologue John Bibby
Professeur de sciences politiques à l'université du Wisconsin à Milwaukee, John Bibby a présidé la subdivision des partis politiques à l'American Political Science Association. Il fait autorité en ce qui concerne la politique et le gouvernement des États-Unis et est l'auteur de « Politics, Parties, and Elections in America ».
(Début de l'article)
Lorsque les fondateurs de la république des États-Unis rédigèrent la Constitution, en 1787, ils n'assignèrent aucun rôle précis aux partis politiques dans la structure de l'État. En fait, ils cherchèrent, par le truchement de diverses dispositions constitutionnelles telles que la séparation et l'équilibre des pouvoirs et l'élection indirecte du président par un collège de grands électeurs, à isoler la nouvelle république des partis et factions politiques.
En dépit de ces intentions, les États-Unis furent le premier pays à créer des partis de dimension nationale et à transférer le pouvoir exécutif d'une formation politique à une autre par des élections, en 1800.
Naissance et influence des partis politiques
La création des partis politiques fut étroitement liée à l'extension du droit de vote, qui cessa d'être limité aux propriétaires terriens au début des années 1800. L'électorat s'étant considérablement développé, il fallut trouver un moyen de mobiliser les électeurs en masse. Les partis politiques s'organisèrent pour accomplir cette tâche essentielle. Ils sont donc nés dans le cadre de cette révolution démocratique et font partie, depuis les années 1830, du paysage politique américain. Aujourd'hui, les partis républicain et démocrate dominent la vie politique. Environ deux tiers des Américains se considèrent républicains ou démocrates et même ceux qui se disent indépendants ont généralement une couleur politique et font preuve d'un haut degré de fidélité envers l'un de ces partis.
L'influence des partis se manifeste aussi dans les institutions. Les deux grandes formations dominent la présidence, le Congrès, les postes de gouverneurs et les assemblées législatives des États. Tous les présidents qui se sont succédé depuis 1856 ont été soit républicains soit démocrates et, dans la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, la part du suffrage populaire obtenue par les deux partis a atteint en moyenne 95 %.
Un système bipartite
La compétition électorale entre les deux partis politiques est l'une des caractéristiques les plus saillantes et les plus durables du régime politique américain. Depuis les années 1860, les républicains et les démocrates dominent la vie électorale. Ce record sans précédent du monopole constant des deux partis reflète autant les aspects structurels du régime politique que les particularités des partis américains.
La règle habituelle pour l'élection des parlementaires, à l'échelon fédéral et au niveau des États, est celle du scrutin majoritaire à un tour. Contrairement au scrutin proportionnel, un seul parti peut gagner dans une circonscription donnée. Cela encourage la formation de deux partis ayant une vaste base capable de remporter la majorité relative, tout en condamnant les tiers partis à une défaite quasi perpétuelle, ce qui ne favorise pas leur longévité, sauf s'ils joignent leurs forces à celles d'un grand parti.
Un autre facteur qui renforce le bipartisme est la façon dont le collège électoral choisit le président. Pour accéder à la Maison-Blanche, un candidat doit en effet obtenir la majorité absolue des 538 voix des grands électeurs des cinquante États, ce qui fait qu'il est très difficile pour un tiers parti de remporter la présidence s'il ne s'allie pas à l'un des deux grands. En outre, la règle du « tout ou rien » s'applique également à l'élection des grands électeurs de chaque État. Il suffit à un candidat à la présidence, pour remporter les suffrages de la totalité des grands électeurs d'un État, d'obtenir la majorité relative des suffrages populaires dans cet État. Comme le scrutin uninominal, le collège électoral défavorise les tiers partis, qui ont peu de chances de remporter les suffrages du collège électoral d'un État et encore moins un nombre suffisant d'États pour élire un président.
Étant donné que républicains et démocrates dominent l'appareil gouvernemental, il n'est pas étonnant qu'ils aient institué d'autres règles électorales qui les favorisent. Le simple fait de faire figurer le nom d'un nouveau parti sur les bulletins de vote d'un État peut se révéler une entreprise difficile et coûteuse. Ainsi, en Pennsylvanie, la loi exige de tout nouveau parti qu'il obtienne la signature de 99 000 inscrits pour que le nom de ses candidats figure sur les bulletins de vote. En outre, la loi sur les Campagnes électorales fédérales (Federal Election Campaign Act) accorde des avantages spéciaux aux principaux partis, notamment le financement public des campagnes présidentielles (plus de 60 millions de dollars en l'an 2000) et des conventions nationales, ainsi que des subventions d'un montant égal à celui des fonds privés réunis par les candidats à l'investiture de leur parti.
Le mode de nomination des candidats propre aux États-Unis constitue un obstacle structurel supplémentaire pour les tiers partis. La démocratie américaine est la seule au monde à recourir à des élections primaires pour désigner les candidats des partis aux fonctions électives dans les États et au Congrès, ainsi qu'à des primaires au niveau des États pour désigner les candidats à l'investiture de chaque parti en vue des élections à la présidence. Dans la plupart des pays, les candidats sont désignés par la direction des partis. Mais aux États-Unis, ce sont les électeurs qui décident.
Cette participation de l'électorat au processus de nomination contribue également à la domination des partis républicain et démocrate depuis cent quarante ans. En remportant l'investiture d'un parti lors d'élections primaires, des contestataires peuvent figurer sur les bulletins de vote à l'occasion de scrutins législatifs et augmenter ainsi leurs chances de victoire aux élections nationales sans former de tiers parti. La désignation des candidats par le truchement de primaires tend donc à canaliser la contestation vers les deux grands partis et dispense les opposants de se lancer dans la tâche ardue qui consiste à former un tiers parti.
Une vaste base et des positions centristes
Les partis américains jouissent d'une large base de soutien dans toutes les classes sociales. À l'exception des électeurs afro-américains, dont 90 % environ sont démocrates, les partis républicain et démocrate comptent un nombre important de partisans dans pratiquement tous les groupes socio-économiques du pays. Bien que les membres de syndicats soient généralement démocrates, les républicains peuvent compter recevoir au moins un tiers des voix de cet électorat et parfois jusqu'à 46 % comme en 1984.
De même, alors que le soutien dont bénéficie le parti démocrate diminue normalement en fonction inverse du revenu des électeurs, les candidats démocrates à la présidence peuvent généralement compter sur un important soutien dans les classes aisées. Les partis américains sont connus pour leur niveau relativement faible d'unité interne et pour l'absence d'une stricte adhésion à une idéologie ou à une série d'objectifs politiques. Ils ont toujours cherché avant tout à remporter les élections et à maîtriser l'appareil de l'État.
Étant donné la diversité socio-économique de leur électorat et la nécessité d'opérer au sein d'une société fondamentalement centriste, les partis américains adoptent des positions essentiellement modérées. Ils font également preuve d'une grande souplesse en politique. Cette absence de dogmatisme permet aux républicains comme aux démocrates de tolérer une grande diversité dans leurs rangs ; cela les aide aussi, le cas échéant, à absorber les tiers partis ainsi que les mouvements de protestation.
Décentralisation des partis
Il est difficile d'exagérer le degré de décentralisation qui caractérise les structures des partis politiques aux États-Unis. Ainsi, le président ne peut partir du principe que les parlementaires du parti au pouvoir soutiendront fidèlement ses programmes ; de même, au Congrès, les chefs de file des deux partis ne peuvent attendre des membres de leur camp qu'ils votent toujours selon la ligne du parti. Au sein du parti même, les comités républicains et démocrates pour la réélection des représentants et sénateurs (composés de parlementaires en fonction) agissent indépendamment des comités nationaux qui se consacrent aux élections présidentielles. À l'exception d'une gamme étroite de pouvoirs sur les modalités de sélection des délégués à la convention nationale, les instances nationales des partis interviennent rarement dans les affaires de leurs sections locales.
Ce degré de fragmentation est l'une des conséquences de la séparation des pouvoirs prévue par la Constitution, principe qui n'encourage guère l'unité entre les parlementaires et le chef de leur parti. Le fédéralisme accentue encore la décentralisation des partis en créant des milliers de circonscriptions différentes à l'échelon de la nation, des États et des instances locales chacune avec ses titulaires. Le recours aux élections primaires pour la désignation des candidats affaiblit aussi l'appareil du parti en lui retirant le contrôle du processus de sélection des candidats. Les candidats individuels sont encouragés à constituer leur propre comité de campagne et leur assise électorale afin de remporter les primaires puis les élections nationales.
Même la collecte des fonds destinés à financer leur campagne incombe aux candidats eux-mêmes, le montant des contributions des partis étant souvent strictement limité par la loi, notamment dans le cas des campagnes électorales fédérales.
Méfiance des Américains à l'égard des partis
Malgré la quantité de preuves attestant de l'importance attribuée aux partis dans le système politique américain, la méfiance à l'égard des formations politiques est profondément ancrée dans l'esprit des citoyens. L'adoption, au début du XXe siècle, des primaires directes pour désigner les candidats lors d'élections fédérales ou locales, et la récente prolifération des primaires présidentielles, qui jouent à présent un rôle décisif dans la nomination des candidats à la présidence, témoignent du sentiment d'hostilité qui prévaut dans l'opinion publique envers les partis. Les Américains n'aiment pas voir les dirigeants des partis exercer une grande influence sur les rouages de l'État. Comme le révèlent les sondages, un grand nombre d'électeurs estiment que les partis contribuent plus à embrouiller qu'à éclairer le débat public et qu'il vaudrait mieux qu'aucune mention de parti ne figure sur les bulletins de vote.
Non seulement les partis fonctionnent dans un climat généralement hostile, mais ils doivent faire face à un nombre croissant d'électeurs qui attachent une importance réduite à leur identification personnelle à une formation politique. Un indice du recul de l'esprit de parti est la forte incidence du panachage électoral (ticketsplitting), qui consiste à voter, dans la même élection, pour des candidats de partis différents. Avec l'affaiblissement de l'influence des partis sur les choix des électeurs et la tendance manifestée par beaucoup d'entre eux à préférer le panachage, la politique américaine se concentre sur le candidat et non sur le parti.
Tiers partis et candidats indépendants
Les tiers partis et les candidats indépendants font périodiquement leur apparition sur la scène politique américaine. Ils orientent le débat public souvent sur des problèmes de société que les grands partis n'ont pas su aborder. Mais la plupart d'entre eux ne vivent que le temps d'une élection, puis disparaissent ou sont absorbés par l'un des deux grands partis. Depuis les années 1850, une seule nouvelle formation, le Parti républicain, a acquis le statut de grand parti. Dans ce cas, la question inéluctable de l'esclavage divisait le pays et servit de base au recrutement des candidats et à la mobilisation des électeurs. Bien que le tableau n'atteste guère la viabilité à long terme des tiers partis, il est clair qu'ils sont capables d'exercer une influence notable sur l'issue des élections. Ainsi, en 1912, la candidature de Theodore Roosevelt en tant que candidat d'un tiers parti a divisé l'électorat républicain et permis au démocrate Woodrow Wilson d'être élu président sans avoir obtenu la majorité du vote populaire.
En 1992, la candidature de Ross Perot a attiré des électeurs dont la plupart avaient voté républicain dans les années 1980, ce qui a contribué à la défaite du président républicain sortant, George H.W. Bush. Il n'est guère surprenant, par conséquent, que les dirigeants des deux partis s'inquiètent vivement de l'impact que pourraient avoir des candidats indépendants ou de tiers partis.
Malgré les manifestations de soutien à un tiers parti, les énormes obstacles évoqués ci-dessus s'opposent à la victoire du candidat à la présidence ou même à l'élection d'un nombre important de sénateurs ou de représentants. L'un des facteurs qui jouent le plus chez les électeurs est la crainte de « gaspiller » leur suffrage en votant pour le candidat d'un tiers parti. On a vu des électeurs opter pour un « vote utile » en donnant leur voix à un autre quand ils sentaient que le candidat d'un tiers parti n'avait aucune chance de l'emporter. Ainsi, en 1980, le candidat centriste indépendant John Anderson ne recueillit que 57 % des voix de ses partisans et, en 1992, 79 % des électeurs favorables à Ross Perot votèrent pour lui tandis que 21 % se ravisèrent. Le vote pour des candidats de tiers partis relève aussi de ce qu'il est convenu d'appeler le « vote de protestation ». Des sondages Gallup ont révélé qu'en 1992, 5 % des personnes qui disaient avoir l'intention de voter pour Ross Perot précisaient qu'ils ne le feraient pas s'ils croyaient à ses chances de l'emporter. Dans l'hypothèse où il serait élu, le candidat indépendant ou d'un tiers parti, se heurterait d'ailleurs à un énorme problème au lendemain de son élection à savoir former un gouvernement, gouverner puis travailler avec un Congrès dominé par des républicains et des démocrates peu enclins à coopérer avec un président n'appartenant pas à l'un des deux principaux partis politiques.
(Fin de l'article)
(Diffusé par le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat. Site Internet : http://usinfo.state.gov/francais/)
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Re: Partis politiques aux États-Unis
Les républicains aux USA
Fondé en février 1854, suite à des revendications et des manifestations sur l'esclavage et la souverainté des Etats, le parti républicain commença à se faire une place dans l'univers politique américain à peine quelques annés aprés sa création .De nombreux personnagescélèbres qui se sont succédés à la présidence sont d'ailleurs issus de ce parti:Comme Abraham lincoln......
Lire la suite sur:
http://fr.redaction.tv/jeux/culture/les-republicains-aux-usa.xhtml
Fondé en février 1854, suite à des revendications et des manifestations sur l'esclavage et la souverainté des Etats, le parti républicain commença à se faire une place dans l'univers politique américain à peine quelques annés aprés sa création .De nombreux personnagescélèbres qui se sont succédés à la présidence sont d'ailleurs issus de ce parti:Comme Abraham lincoln......
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