Sujets similaires
Derniers sujets
Sujets les plus vus
Sujets les plus actifs
Meilleurs posteurs
Sphinx | ||||
Syfou | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
abdelmalek | ||||
rakane | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
col.chibani | ||||
fennec dz | ||||
ZIGHOUD |
Ceux qui commencent le plus de sujets
Syfou | ||||
Sphinx | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
elmaknine | ||||
col.chibani | ||||
matriochkas | ||||
ZIGHOUD | ||||
Rahim Damon |
Connexion
Géoéconomie du Maroc
2 participants
algeriedrs :: Géostratégie, géo-économie, géolocalisation, géopolitique, géosociétologie ... :: Géopolitique, géostratégie , géolocalisation,géosociétologie ... :: Géoéconomie et géolocalisation
Page 1 sur 1
Géoéconomie du Maroc
Stratégies2010
Voir la totalité du document :http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Economie-Marocaine-Strategies2010/60670.html
.
Royaume du Maroc Le Premier Ministre Ministère des Affaires Economiques et Générales Département de la Poste, des Télécommunications et des Technologies de l'Information
Stratégie e-Maroc 2010
Réalisations, Orientations & Plans d’action
Réussir notre Société de l’Information et du Savoir
Stratégie e-Maroc 2010. Réalisations, Orientations & Plans d’action
Septembre 2007
Livre de Référence
Réalisations, Orientations & Plans d’action
i
Réalisations, Orientations & Plans d’action
ii
"…La portée stratégique du secteur pour les nouvelles économies, conjuguée aux mutations profondes et rapides qui s’y opèrent, en prélude à l’émergence de la société du savoir et de la communication, nous impose un devoir de mise à niveau, permettant de doter notre pays de la capacité de maîtriser les nouvelles technologies de cette société, et d’exploiter, de façon optimale, les vastes possibilités qu’elles nous offrent. Car notre vœu est d’assurer à notre grand peuple un développement global et intégré permettant au Maroc d’occuper la place qui lui revient dans un monde transformé par la révolution numérique qui est en cours…".
Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors du discours prononcé en avril 2001, lors du symposium sur "le Maroc dans la société globale de l'information et du savoir"
Réalisations, Orientations & Plans d’action
iii
Réalisations, Orientations & Plans d’action
iv
Avant-propos
Depuis son lancement en Janvier 2005, la stratégie e-Maroc 2010 a œuvré à faire converger tous les efforts vers le développement de la Société de l’Information et de l’Economie du Savoir dans notre pays. Elle a en cela visé deux grands objectifs : Réduire la fracture numérique et Renforcer le Positionnement du Maroc à l’échelle internationale. A mi-parcours, de grands pas ont été réalisés vers une société de l’information à la fois inclusive et capable de soutenir les efforts du Maroc à fonder son développement sur la richesse de son capital humain. Sans...
Voir la totalité du document :http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Economie-Marocaine-Strategies2010/60670.html
.
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Géoéconomie du Maroc
Les choix stratégiques de la politique commerciale du Maroc
La conclusion par le Maroc de plusieurs accords de libre-échange n'est pas le fruit d'un pur hasard ; il s'agit d'une donnée fondamentale, une tendance lourde qui structure la politique étrangère du Royaume. Une politique qui cherche, notamment depuis 1999, des ancrages et des profondeurs régionaux pour multiplier les offres exportables, diversifier les partenaires commerciaux, développer les opportunités d'investissement et, partant, augmenter les opportunités d'emploi.
Cette tendance est également commandée par la configuration mondiale post-bipolaire où les logiques géoéconomiques ont pris le devant sur les impératifs géopolitiques. Le début des années 1990 a été ainsi marqué par le développement notable des Accords commerciaux régionaux et l'approfondissement de certaines intégrations économiques régionales : conclusion de l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) en 1992, établissement du MERCOSUR (Marché commun du sud regroupant initialement l'Argentine, le Brésil, l'Uruguay et le Paraguay), lancement de l'Union économique et monétaire en 1992 par le Traité de Maastricht et fondation de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Constatant ces dynamiques de fond, le Maroc ne pouvait rester en marge de cette redistribution de la puissance économique à l'échelle planétaire. Déjà, en 1989, les cinq pays maghrébins ont fondé l'Union du maghreb arabe (UMA). De 1986 à 1993, le Maroc a contribué de manière active à l'Uruguay Round qui a refondé l'organisation mondiale des échanges. En 1995, il participait activement au Processus euro-méditerranéen de Barcelone qui s'est matérialisé par la conclusion d'un accord d'association dont la portée est non seulement économique, mais aussi politico-stratégique. Cette relation a été approfondie en 2005 par la conclusion d'un plan d'action PEV (Politique européenne de voisinage) complété en 2008 par un statut avancé. Celui-ci prévoit, notamment, la mise en place d'un Accord de libre-échange global et approfondi (ALEGA) et l'établissement d'un Espace économique commun (EEC) à l'image de l'Espace économique européen (EEE). Ces projets ambitieux permettront, à terme, au Maroc d'adhérer au marché intérieur européen et, donc, d'accéder aux quatre libertés fondamentales organisant celui-ci : libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des personnes. L'accès à un marché de presque 500 millions de consommateurs est donc potentiel pour les entreprises exportatrices marocaines. C'est dans cette optique qu'un processus de convergence réglementaire a été enclenché à la suite du Statut avancé. Trois secteurs prioritaires seront concernés par cette dynamique de rapprochement : les services financiers (assurances), les marchés publics et les normes industrielles et techniques. En 2010, trois accords, sectoriels et thématiques, ont été conclus : accord sur la libéralisation des produits agricoles, des produits agricoles transformés et des produits de la pêche ; accord sur la participation du Maroc à certaines agences européennes ; et accord sur l'établissement d'un mécanisme de règlement des différends.
En 1997, le Maroc a conclu un Accord de libre-échange avec l'Association européenne de libre-échange qui comprend la Suisse, l'Islande et le Liechtenstein. En 2001 la Déclaration d'Agadir, grâce à l'impulsion du Roi Mohammed VI, a été adoptée, concrétisée en 2004 par un accord prévoyant l'établissement d'une Zone de libre-échange entre le Maroc, la Tunisie, Égypte et la Jordanie. Il s'agit en fait d'une démarche qui s'inscrit aussi bien dans une perspective euro-méditerranéenne que dans un cadre arabe (projet de création d'une Zone de libre-échange arabe). En 2002, les négociations ont été lancées avec les États-unis pour aboutir, en 2004, à la conclusion d'un important accord de libre-échange entré en vigueur un an plus tard. En 2004, un accord de libre-échange avec la Turquie a été également conclu.
En juillet 2008, le Maroc a participé, à Paris, à la création de l'Union pour la Méditerranée (UPM). L'année 2011 a été également marquée par deux événements qui ne manqueront pas d'avoir des incidences positives à long terme sur la politique commerciale du Royaume : l'invitation officielle adressée en mai 2011 au Royaume par les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et le lancement, en janvier 2011, des négociations avec le Canada visant à aboutir à un accord préférentiel. Celui-ci, conjugué à l'accord déjà passé avec les États-unis, permettra aux entreprises marocaines d'accéder à un marché équivalent, en importance, à celui de l'Europe. Autant dire de la dimension commerciale internationale du Maroc.
Une dimension conjuguée aussi à un adossement aux accords commerciaux multilatéraux supervisés par l'Organisation mondiale du commerce. Ces réalisations sont également doublées d'une prospection continue et d'une recherche de profondeurs géostratégiques et géoéconomiques : consultations menées avec les pays constitutifs de l'UEMOA, démarches entreprises avec plusieurs pays latino-américains, participation à des rencontres continentales comme le Forum Chine-Afrique ou le Forum Japon-Afrique ou consolidation du partenariat économique avec des puissances mondiales comme la conclusion d'un accord de pêche avec la Russie.
Cette projection commerciale mondiale du Maroc reflète le dynamisme du pays ; elle exprime aussi une doctrine économique constante : la multiplication des réseaux d'interdépendance partant d'une vision pragmatique mais non moins stratégique. Une vision exprimée ,en haut lieu, par le Souverain marocain et qui est le résultat de trois cercles concentriques qui structurent la politique étrangère du Royaume : la solidarité, le voisinage et le partenariat.
Si, en dépit de la multiplication des Accords commerciaux préférentiels conclus, la balance commerciale du Maroc est déficitaire, cela est le contrecoup, entre autres, des limites actuelles de l'offre exportable et de l'insuffisance de la logistique portuaire et de transport. Toutefois, des réalisations majeures comme Tanger-Med sont à l'œuvre pour changer fondamentalement la physionomie du commerce extérieur marocain.
Le Gouvernement en cours de formation formulera sa politique commerciale à l'intérieur de fondations et de cadres juridiques et institutionnels déjà établis. Il sera donc lié par un réseau dense d'accords, bilatéraux et multilatéraux, portant sur le commerce et l'investissement. Il aura par ailleurs la chance de récolter les fruits et les retombées de chantiers structurants mis en route dont les multiples plans sectoriels, lesquels ont une dimension régionale avérée. Ainsi, le Plan solaire se conjugue de manière heureuse avec des projets inscrits dans le cadre de l'Euro-Méditerranée. De même, le Plan Halieutis a une double dimension, atlantique et méditerranéenne, non négligeable. Ces paramètres structurels font donc que la politique commerciale du Royaume soit commandée par des choix stratégiques de longue date, et ce, quelque soit la conjoncture politique du moment.
Par Zakaria ABOUDDAHAB
Source:lematin.ma
La conclusion par le Maroc de plusieurs accords de libre-échange n'est pas le fruit d'un pur hasard ; il s'agit d'une donnée fondamentale, une tendance lourde qui structure la politique étrangère du Royaume. Une politique qui cherche, notamment depuis 1999, des ancrages et des profondeurs régionaux pour multiplier les offres exportables, diversifier les partenaires commerciaux, développer les opportunités d'investissement et, partant, augmenter les opportunités d'emploi.
Cette tendance est également commandée par la configuration mondiale post-bipolaire où les logiques géoéconomiques ont pris le devant sur les impératifs géopolitiques. Le début des années 1990 a été ainsi marqué par le développement notable des Accords commerciaux régionaux et l'approfondissement de certaines intégrations économiques régionales : conclusion de l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) en 1992, établissement du MERCOSUR (Marché commun du sud regroupant initialement l'Argentine, le Brésil, l'Uruguay et le Paraguay), lancement de l'Union économique et monétaire en 1992 par le Traité de Maastricht et fondation de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Constatant ces dynamiques de fond, le Maroc ne pouvait rester en marge de cette redistribution de la puissance économique à l'échelle planétaire. Déjà, en 1989, les cinq pays maghrébins ont fondé l'Union du maghreb arabe (UMA). De 1986 à 1993, le Maroc a contribué de manière active à l'Uruguay Round qui a refondé l'organisation mondiale des échanges. En 1995, il participait activement au Processus euro-méditerranéen de Barcelone qui s'est matérialisé par la conclusion d'un accord d'association dont la portée est non seulement économique, mais aussi politico-stratégique. Cette relation a été approfondie en 2005 par la conclusion d'un plan d'action PEV (Politique européenne de voisinage) complété en 2008 par un statut avancé. Celui-ci prévoit, notamment, la mise en place d'un Accord de libre-échange global et approfondi (ALEGA) et l'établissement d'un Espace économique commun (EEC) à l'image de l'Espace économique européen (EEE). Ces projets ambitieux permettront, à terme, au Maroc d'adhérer au marché intérieur européen et, donc, d'accéder aux quatre libertés fondamentales organisant celui-ci : libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des personnes. L'accès à un marché de presque 500 millions de consommateurs est donc potentiel pour les entreprises exportatrices marocaines. C'est dans cette optique qu'un processus de convergence réglementaire a été enclenché à la suite du Statut avancé. Trois secteurs prioritaires seront concernés par cette dynamique de rapprochement : les services financiers (assurances), les marchés publics et les normes industrielles et techniques. En 2010, trois accords, sectoriels et thématiques, ont été conclus : accord sur la libéralisation des produits agricoles, des produits agricoles transformés et des produits de la pêche ; accord sur la participation du Maroc à certaines agences européennes ; et accord sur l'établissement d'un mécanisme de règlement des différends.
En 1997, le Maroc a conclu un Accord de libre-échange avec l'Association européenne de libre-échange qui comprend la Suisse, l'Islande et le Liechtenstein. En 2001 la Déclaration d'Agadir, grâce à l'impulsion du Roi Mohammed VI, a été adoptée, concrétisée en 2004 par un accord prévoyant l'établissement d'une Zone de libre-échange entre le Maroc, la Tunisie, Égypte et la Jordanie. Il s'agit en fait d'une démarche qui s'inscrit aussi bien dans une perspective euro-méditerranéenne que dans un cadre arabe (projet de création d'une Zone de libre-échange arabe). En 2002, les négociations ont été lancées avec les États-unis pour aboutir, en 2004, à la conclusion d'un important accord de libre-échange entré en vigueur un an plus tard. En 2004, un accord de libre-échange avec la Turquie a été également conclu.
En juillet 2008, le Maroc a participé, à Paris, à la création de l'Union pour la Méditerranée (UPM). L'année 2011 a été également marquée par deux événements qui ne manqueront pas d'avoir des incidences positives à long terme sur la politique commerciale du Royaume : l'invitation officielle adressée en mai 2011 au Royaume par les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et le lancement, en janvier 2011, des négociations avec le Canada visant à aboutir à un accord préférentiel. Celui-ci, conjugué à l'accord déjà passé avec les États-unis, permettra aux entreprises marocaines d'accéder à un marché équivalent, en importance, à celui de l'Europe. Autant dire de la dimension commerciale internationale du Maroc.
Une dimension conjuguée aussi à un adossement aux accords commerciaux multilatéraux supervisés par l'Organisation mondiale du commerce. Ces réalisations sont également doublées d'une prospection continue et d'une recherche de profondeurs géostratégiques et géoéconomiques : consultations menées avec les pays constitutifs de l'UEMOA, démarches entreprises avec plusieurs pays latino-américains, participation à des rencontres continentales comme le Forum Chine-Afrique ou le Forum Japon-Afrique ou consolidation du partenariat économique avec des puissances mondiales comme la conclusion d'un accord de pêche avec la Russie.
Cette projection commerciale mondiale du Maroc reflète le dynamisme du pays ; elle exprime aussi une doctrine économique constante : la multiplication des réseaux d'interdépendance partant d'une vision pragmatique mais non moins stratégique. Une vision exprimée ,en haut lieu, par le Souverain marocain et qui est le résultat de trois cercles concentriques qui structurent la politique étrangère du Royaume : la solidarité, le voisinage et le partenariat.
Si, en dépit de la multiplication des Accords commerciaux préférentiels conclus, la balance commerciale du Maroc est déficitaire, cela est le contrecoup, entre autres, des limites actuelles de l'offre exportable et de l'insuffisance de la logistique portuaire et de transport. Toutefois, des réalisations majeures comme Tanger-Med sont à l'œuvre pour changer fondamentalement la physionomie du commerce extérieur marocain.
Le Gouvernement en cours de formation formulera sa politique commerciale à l'intérieur de fondations et de cadres juridiques et institutionnels déjà établis. Il sera donc lié par un réseau dense d'accords, bilatéraux et multilatéraux, portant sur le commerce et l'investissement. Il aura par ailleurs la chance de récolter les fruits et les retombées de chantiers structurants mis en route dont les multiples plans sectoriels, lesquels ont une dimension régionale avérée. Ainsi, le Plan solaire se conjugue de manière heureuse avec des projets inscrits dans le cadre de l'Euro-Méditerranée. De même, le Plan Halieutis a une double dimension, atlantique et méditerranéenne, non négligeable. Ces paramètres structurels font donc que la politique commerciale du Royaume soit commandée par des choix stratégiques de longue date, et ce, quelque soit la conjoncture politique du moment.
- Zakaria ABOUDDAHAB
Professeur à la Faculté de droit de Rabat-Agdal et conseiller auprès du Centre d'études internationales.
Par Zakaria ABOUDDAHAB
Source:lematin.ma
Sphinx- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 8044
Age : 39
Emploi/loisirs : Mat
Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
Localisation : S.B.A
algeriedrs :: Géostratégie, géo-économie, géolocalisation, géopolitique, géosociétologie ... :: Géopolitique, géostratégie , géolocalisation,géosociétologie ... :: Géoéconomie et géolocalisation
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mer 6 Nov - 19:39 par ZIGHOUD15
» Zouaves ! qui sont ?
Mer 6 Nov - 13:55 par ZIGHOUD15
» nouvelle grille de lecture du monde
Ven 24 Mai - 22:18 par ZIGHOUD15
» Direction de la Sécurité Intérieure (D.S.I)
Ven 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Ven 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Ven 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Lun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15
» Les exercices militaires russo-biélorusse
Mer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15
» Lobbyisme et démocratie
Sam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15
» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Jeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15
» BRICS
Jeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15
» LA MATRICE DU TERRORISME
Ven 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15
» Définition et conception ?!
Lun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek
» Gendarmerie Nationale
Sam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek
» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Mer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek
» إنتخابات الجزائر الجددة
Mar 24 Sep - 1:02 par Sphinx
» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Mar 25 Juin - 22:18 par Sphinx
» Carthage et l'occident ...
Ven 21 Juin - 21:38 par Sphinx
» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Lun 17 Juin - 23:35 par Sphinx
» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Sam 6 Oct - 19:16 par Sphinx
» dépenses militaires mondiales
Dim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15
» algerian barkhane la citadelle
Ven 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» cabale
Mer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15