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Ennemis de la nation Agérienne
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algeriedrs :: Histoire et actualité Algérienne :: Actualité Politique Algérienne :: Algérie défis et perspectives
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Ennemis de la nation Agérienne
Rappel du premier message :
Qui est Saâd Lounès?
Journaliste soit disons militant de la Liberté de Presse vie en France .
http://lequotidienalgerie.org/2009/12/24/l%E2%80%99armee-prepare-la-succession-de-bouteflika/
La double trahison des Marocains qui gouvernent l’Algérie
«Sommes-nous vraiment gouvernés par des algériens ?» Cette lancinante question, tout citoyen qui a eu affaire à l'administration, à la justice ou au pouvoir se l'est déjà posé à maintes reprises comme un éternel refrain. Au fil des générations depuis 1962, la rumeur publique a accusé tour à tour «hizb frança» (parti de la France), les DAF (déserteurs de l'armée française), les harkis et tous les services de renseignement réunis (Mossad, KGB, CIA, DGSE, etc.) de se cacher derrière la Sécurité Militaire (SM) le cœur du pouvoir algérien.
Cette douteuse et malsaine impression que les dirigeants de l'Etat n'aiment ni l'Algérie, ni son peuple a toujours plané autour de la relation gouvernants-gouvernés. On a tous remarqué cette malsaine habitude des membres de la nomenklatura qui, dès qu'ils n'occupent aucune fonction officielle, «fuient à l'étranger» dont ils ne consentent à revenir que pour occuper un nouveau poste. D'où les appellations de «mercenaires» ou de «coopérants» dont ils ont été affublés par les nombreux cadres algériens dont la promotion a été barrée ou sabotée par ces pontes du régime.
Les Marocains du MALG de Boussouf
La vérité vient enfin d'être révélée par un de ces hommes de l'ombre qui font et défont les institutions du pays selon leur bon vouloir. Le journal le Soir d'Algérie (1) a ouvert ses colonnes à son honorable correspondant Med Chafik Mesbah, ancien officier du DRS, qui a interviewé le colonel Ali Hamlat, ancien responsable des services techniques de la SM. D'après l'auteur, ce témoignage a été rédigé en 1999 sous le titre explicite : «Voilà comment sont nés les services secrets algériens», mais il ne le révèle que maintenant sans expliquer la raison de ce retard. Le colonel Hamlat lève donc «le voile sur cette première promotion des cadres de la Wilaya V, dont les membres ont, effectivement, constitué, pour la plupart, l'ossature du MALG». A la question «Sur le plan social, quelle était l'origine des membres de cette promotion Larbi Ben M'hidi?», Hamlat répond sans hésitation : «Tous étaient issus, en règle générale, de familles de réfugiés, de fonctionnaires au service du gouvernement marocain ou, accessoirement, de commerçants et d'agriculteurs établis au Maroc de longue date. La petite bourgeoisie, pour utiliser une formulation marxiste». Selon lui : «Le recensement effectué par l'Association des anciens du Malg a permis de situer à soixante-douze le nombre de stagiaires de cette promotion.» Leur directeur de stage Khelifa Laroussi, mystérieux adjoint du mystérieux Boussouf, et père du golden boy déchu Rafik Khalifa, leur avait décrété : «Vous êtes les futurs ministres de l'Algérie indépendante!» Selon les dires du colonel Hamlat, Boussouf leur avait déjà tracé les feuilles de route du contrôle de l'ALN, de la guerre de libération et … du futur Etat algérien : «La première concernait la mission de contrôle au sein des unités de l'ALN. Ce contrôle était indispensable pour maîtriser l'évolution de la lutte armée et répondre aux exigences du combat et du commandement. D'autant que la qualité de l'encadrement militaire des unités était à parfaire au regard des faibles qualifications des moudjahidine de la première heure. La seconde se rapportait à la nécessité d'exploiter utilement la masse d'informations recueillies… par tout moyen disponible. En rapport avec les transmissions, mais aussi des informations recueillies auprès de prisonniers et toute autre source susceptible d'améliorer notre capital documentaire.»
Le contraste du mode de vie des «malgaches» (*) reconnu par Hamlat est déjà significatif de la différence d'état d'esprit entre les moudjahiddines de l'intérieur et les «planqués» de l'extérieur. «Ces lycéens et étudiants vivaient, au Maroc, dans des conditions de vie parfaitement pacifiques et heureuses. Des conditions qui étaient tout à fait déséquilibrées, cependant, par rapport à celles de leur peuple et de leurs frères étudiants qui mourraient en Algérie.» Le colonel Hamlat cite quelques noms connus de cette fameuse promotion des Marocains du MALG : Hadjadj Malika, Miri Rachida, Saliha Ould Kablia, Hamid Ghozali, Abdessmed Chellali, Berri Mustapha, Mohamed Semache, Kerzabi Smail, Abdallah Khalef (Kasdi Merbah), Abdelkader Khalef (Kamal), Mustapha Khalef (Kamel), Ali Tounsi (Ghaouti), Ahmed Zerhouni (Ferhat), Hadj Azzout (Nacer), Mohamed Laâla (Kaddour), Chérif Belkacem (Djamel), Abdelaziz Maoui (Sadek), Noureddine Delleci (Rachid), Abdelhamid Temmar (Abdenour), Abdallah Arbaoui (Nehru), Hassen Bendjelti (Abderazak), Ahmed Bennai (Hassan), Sid-Ahmed Osman (R'zine), Abderrahim Settouti (Bouzid), Khelladi Mohamed (Tahar), Boualem Bessaïeh (Lamine), Mohamed Morsly (Abdelaziz), etc…
Hamlat cite aussi les noms de deux riches familles marocaines qui ont offert leurs maisons et leurs fermes pour abriter les stages du MALG. Il s'agit des familles Benyekhlef et Bouabdallah. L'un des fils Bouabdallah, Abdelouahid est officier du DRS et député à l'APN. Il est actuellement Pdg d'Air Algérie, après avoir été celui de l'ANEP, CNEP, COSIDER.
Le colonel Hamlat raconte l'engouement des jeunes marocains ou soi-disant «Algériens de longue date» qui ont rejoint les cellules du FLN disséminées à travers le Maroc. En fait, la plupart d'entre eux militaient déjà dans les cellules lycéennes du parti nationaliste marocain de l'Istiqlal de Allel El Fassi. Bouteflika était même responsable de la cellule de son lycée à Oujda. Leur transfert naturel dans les rangs du FLN a été facilité par l'esprit révolutionnaire maghrébin, l'idéal du réveil musulman contre le joug colonial et l'ambition de libérer la riche Algérie dont les colons avaient fait un eldorado. Il faut rappeler que cet engouement nationaliste en faveur de la guerre de libération existait aussi à travers tout le monde arabe. Au Liban, Irak, Syrie, Egypte, etc. des jeunes manifestaient dans les rues et voulaient s'enrôler dans les rangs de l'ALN. Ce phénomène existe encore de nos jours chez les jeunes musulmans qui se sont engagés en Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie, Irak, etc. Il est connu que de nombreux européens et arabes ont combattu aux côtés des moudjahiddines de l'ALN et du FLN. Ils n'en ont pas pour autant dissimulé leur origine, comme l'ont fait en masse les marocains recrutés par Boussouf dans l'objectif de prendre le pouvoir.
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Qui est Saâd Lounès?
Journaliste soit disons militant de la Liberté de Presse vie en France .
http://lequotidienalgerie.org/2009/12/24/l%E2%80%99armee-prepare-la-succession-de-bouteflika/
La double trahison des Marocains qui gouvernent l’Algérie
«Sommes-nous vraiment gouvernés par des algériens ?» Cette lancinante question, tout citoyen qui a eu affaire à l'administration, à la justice ou au pouvoir se l'est déjà posé à maintes reprises comme un éternel refrain. Au fil des générations depuis 1962, la rumeur publique a accusé tour à tour «hizb frança» (parti de la France), les DAF (déserteurs de l'armée française), les harkis et tous les services de renseignement réunis (Mossad, KGB, CIA, DGSE, etc.) de se cacher derrière la Sécurité Militaire (SM) le cœur du pouvoir algérien.
Cette douteuse et malsaine impression que les dirigeants de l'Etat n'aiment ni l'Algérie, ni son peuple a toujours plané autour de la relation gouvernants-gouvernés. On a tous remarqué cette malsaine habitude des membres de la nomenklatura qui, dès qu'ils n'occupent aucune fonction officielle, «fuient à l'étranger» dont ils ne consentent à revenir que pour occuper un nouveau poste. D'où les appellations de «mercenaires» ou de «coopérants» dont ils ont été affublés par les nombreux cadres algériens dont la promotion a été barrée ou sabotée par ces pontes du régime.
Les Marocains du MALG de Boussouf
La vérité vient enfin d'être révélée par un de ces hommes de l'ombre qui font et défont les institutions du pays selon leur bon vouloir. Le journal le Soir d'Algérie (1) a ouvert ses colonnes à son honorable correspondant Med Chafik Mesbah, ancien officier du DRS, qui a interviewé le colonel Ali Hamlat, ancien responsable des services techniques de la SM. D'après l'auteur, ce témoignage a été rédigé en 1999 sous le titre explicite : «Voilà comment sont nés les services secrets algériens», mais il ne le révèle que maintenant sans expliquer la raison de ce retard. Le colonel Hamlat lève donc «le voile sur cette première promotion des cadres de la Wilaya V, dont les membres ont, effectivement, constitué, pour la plupart, l'ossature du MALG». A la question «Sur le plan social, quelle était l'origine des membres de cette promotion Larbi Ben M'hidi?», Hamlat répond sans hésitation : «Tous étaient issus, en règle générale, de familles de réfugiés, de fonctionnaires au service du gouvernement marocain ou, accessoirement, de commerçants et d'agriculteurs établis au Maroc de longue date. La petite bourgeoisie, pour utiliser une formulation marxiste». Selon lui : «Le recensement effectué par l'Association des anciens du Malg a permis de situer à soixante-douze le nombre de stagiaires de cette promotion.» Leur directeur de stage Khelifa Laroussi, mystérieux adjoint du mystérieux Boussouf, et père du golden boy déchu Rafik Khalifa, leur avait décrété : «Vous êtes les futurs ministres de l'Algérie indépendante!» Selon les dires du colonel Hamlat, Boussouf leur avait déjà tracé les feuilles de route du contrôle de l'ALN, de la guerre de libération et … du futur Etat algérien : «La première concernait la mission de contrôle au sein des unités de l'ALN. Ce contrôle était indispensable pour maîtriser l'évolution de la lutte armée et répondre aux exigences du combat et du commandement. D'autant que la qualité de l'encadrement militaire des unités était à parfaire au regard des faibles qualifications des moudjahidine de la première heure. La seconde se rapportait à la nécessité d'exploiter utilement la masse d'informations recueillies… par tout moyen disponible. En rapport avec les transmissions, mais aussi des informations recueillies auprès de prisonniers et toute autre source susceptible d'améliorer notre capital documentaire.»
Le contraste du mode de vie des «malgaches» (*) reconnu par Hamlat est déjà significatif de la différence d'état d'esprit entre les moudjahiddines de l'intérieur et les «planqués» de l'extérieur. «Ces lycéens et étudiants vivaient, au Maroc, dans des conditions de vie parfaitement pacifiques et heureuses. Des conditions qui étaient tout à fait déséquilibrées, cependant, par rapport à celles de leur peuple et de leurs frères étudiants qui mourraient en Algérie.» Le colonel Hamlat cite quelques noms connus de cette fameuse promotion des Marocains du MALG : Hadjadj Malika, Miri Rachida, Saliha Ould Kablia, Hamid Ghozali, Abdessmed Chellali, Berri Mustapha, Mohamed Semache, Kerzabi Smail, Abdallah Khalef (Kasdi Merbah), Abdelkader Khalef (Kamal), Mustapha Khalef (Kamel), Ali Tounsi (Ghaouti), Ahmed Zerhouni (Ferhat), Hadj Azzout (Nacer), Mohamed Laâla (Kaddour), Chérif Belkacem (Djamel), Abdelaziz Maoui (Sadek), Noureddine Delleci (Rachid), Abdelhamid Temmar (Abdenour), Abdallah Arbaoui (Nehru), Hassen Bendjelti (Abderazak), Ahmed Bennai (Hassan), Sid-Ahmed Osman (R'zine), Abderrahim Settouti (Bouzid), Khelladi Mohamed (Tahar), Boualem Bessaïeh (Lamine), Mohamed Morsly (Abdelaziz), etc…
Hamlat cite aussi les noms de deux riches familles marocaines qui ont offert leurs maisons et leurs fermes pour abriter les stages du MALG. Il s'agit des familles Benyekhlef et Bouabdallah. L'un des fils Bouabdallah, Abdelouahid est officier du DRS et député à l'APN. Il est actuellement Pdg d'Air Algérie, après avoir été celui de l'ANEP, CNEP, COSIDER.
Le colonel Hamlat raconte l'engouement des jeunes marocains ou soi-disant «Algériens de longue date» qui ont rejoint les cellules du FLN disséminées à travers le Maroc. En fait, la plupart d'entre eux militaient déjà dans les cellules lycéennes du parti nationaliste marocain de l'Istiqlal de Allel El Fassi. Bouteflika était même responsable de la cellule de son lycée à Oujda. Leur transfert naturel dans les rangs du FLN a été facilité par l'esprit révolutionnaire maghrébin, l'idéal du réveil musulman contre le joug colonial et l'ambition de libérer la riche Algérie dont les colons avaient fait un eldorado. Il faut rappeler que cet engouement nationaliste en faveur de la guerre de libération existait aussi à travers tout le monde arabe. Au Liban, Irak, Syrie, Egypte, etc. des jeunes manifestaient dans les rues et voulaient s'enrôler dans les rangs de l'ALN. Ce phénomène existe encore de nos jours chez les jeunes musulmans qui se sont engagés en Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie, Irak, etc. Il est connu que de nombreux européens et arabes ont combattu aux côtés des moudjahiddines de l'ALN et du FLN. Ils n'en ont pas pour autant dissimulé leur origine, comme l'ont fait en masse les marocains recrutés par Boussouf dans l'objectif de prendre le pouvoir.
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Sphinx- Adminstrateur
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
«Le régime algérien fait preuve de myopie»
Pour Benjamin Stora*, universitaire spécialisé sur le Maghreb, les dirigeants algériens donnent l'impression de ne pas tenir compte de la nouvelle donne géopolitique.
LE FIGARO.-Comment expliquez-vous l'ambiguïté du pouvoir algérien à l'égard du conflit libyen?
Benjamin STORA.-Elle n'est pas le produit d'une doctrine clairement définie au sommet de l'État. Elle révèle plutôt des atermoiements, des peurs dissimulées sur la conduite à suivre. Il y a aussi des raisons historiques. La matrice culturelle du régime algérien a peu changé depuis l'époque Boumediene. Le fer de lance de la diplomatie algérienne, c'est encore en grande partie l'anti-impérialisme des années 1970. Cela peut paraître difficile à croire, mais les dirigeants algériens donnent l'impression de ne pas tenir compte de la nouvelle donne géopolitique, qu'il s'agisse de la chute du mur de Berlin, de la fin de la guerre froide, de l'élection de Barack Obama… Ils analysent les relations internationales à l'aune de critères révolus, ils se veulent en quelque sorte fidèles à un monde disparu et du même coup font preuve de myopie. À cela s'ajoute la personnalité du président Bouteflika, qui a été longtemps le chef de la diplomatie de Boumediene et qui, à ce titre, a très bien connu Kadhafi. Même si les deux hommes ont eu des différends importants ces derniers temps, en particulier sur les rébellions sahariennes, ils appartiennent à la même génération de combat politique. Le deuxième facteur qui explique cette ambiguïté, c'est un nationalisme exacerbé qui rejette le principe du droit d'ingérence. Enfin, un certain nombre de responsables algériens redoutent que ce printemps arabe ne fasse le jeu d'un islam radical qu'ils ont combattu tout au long des années 1990.
Mais la chute de Ben Ali, de Moubarak, de Kadhafi et bientôt peut-être de Bachar el-Assad a de quoi ébranler les dirigeants algériens…
Il est clair que le pouvoir est divisé sur la conduite à adopter. Le courant conservateur tient la corde, mais il ne représente pas forcément l'armée. Il y a des islamo-conservateurs ou de vieux nationalistes arabes qui sont toujours au pouvoir, qui s'accrochent au passé et qui ne comprennent pas les aspirations aux changements de la jeunesse arabe, en particulier de la jeunesse berbère, nombreuse, éduquée et à l'affût des bruits du monde.
L'Algérie peut-elle échapper au printemps arabe?
Pour la plupart des Algériens, les réformes promises régulièrement par le gouvernement relèvent de l'effet d'annonce. Face à l'immobilisme du régime, il y a une aspiration très forte au changement. Mais le rythme de ce changement ne sera pas le même. Les Algériens ont déjà beaucoup donné dans le passé. La guerre d'indépendance, le printemps berbère, l'instauration du multipartisme en 1988… Le traumatisme de la guerre civile des années 1990 pèse toujours sur la société algérienne. Les Algériens savent aussi par expérience que la chute d'un chef d'État n'entraîne pas forcément la chute de l'appareil qui le soutient. C'est encore plus vrai en Algérie, où le pouvoir est beaucoup plus opaque, complexe et sophistiqué qu'ailleurs à cause notamment de la manne pétrolière, des groupes d'intérêts qui en vivent et du clientélisme qu'elle génère. Et puis l'Algérie est un grand pays, cinq fois la France, 36 millions d'habitants contre moins de 8 millions en Libye. Un espace immense et une population hétérogène qui se compose de Sahariens, de Mozabites, de Kabyles, d'Algérois, d'Oranais qui ne marchent pas forcément du même pas. En outre, l'Algérie est un pays très riche et le pouvoir dispose de ressources financières considérables de nature à empêcher qu'un mouvement de revendications sociales ne se transforme en contestation politique. Malgré cela, les Algériens sont de plus en plus choqués par la répression en Syrie, suivent avec intérêt le processus de démocratisation en Tunisie, et craignent également un possible isolement de leur pays sur la scène internationale. Comment, dans ces conditions, ne pas croire à un changement démocratique en Algérie?
*Auteur de Le 89 arabe, réflexions sur les révolutions en cours, aux Éditions Stock
http://lefigaro.fr
Benjamin Stora
- Spoiler:
Benjamin Stora, né le 2 décembre 1950 à Constantine, est un historien français, professeur des universités. Ses recherches portent sur l'histoire du Maghreb contemporain, l'Algérie coloniale et l'immigration en France.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Benjamin_Stora
Pour Benjamin Stora*, universitaire spécialisé sur le Maghreb, les dirigeants algériens donnent l'impression de ne pas tenir compte de la nouvelle donne géopolitique.
LE FIGARO.-Comment expliquez-vous l'ambiguïté du pouvoir algérien à l'égard du conflit libyen?
Benjamin STORA.-Elle n'est pas le produit d'une doctrine clairement définie au sommet de l'État. Elle révèle plutôt des atermoiements, des peurs dissimulées sur la conduite à suivre. Il y a aussi des raisons historiques. La matrice culturelle du régime algérien a peu changé depuis l'époque Boumediene. Le fer de lance de la diplomatie algérienne, c'est encore en grande partie l'anti-impérialisme des années 1970. Cela peut paraître difficile à croire, mais les dirigeants algériens donnent l'impression de ne pas tenir compte de la nouvelle donne géopolitique, qu'il s'agisse de la chute du mur de Berlin, de la fin de la guerre froide, de l'élection de Barack Obama… Ils analysent les relations internationales à l'aune de critères révolus, ils se veulent en quelque sorte fidèles à un monde disparu et du même coup font preuve de myopie. À cela s'ajoute la personnalité du président Bouteflika, qui a été longtemps le chef de la diplomatie de Boumediene et qui, à ce titre, a très bien connu Kadhafi. Même si les deux hommes ont eu des différends importants ces derniers temps, en particulier sur les rébellions sahariennes, ils appartiennent à la même génération de combat politique. Le deuxième facteur qui explique cette ambiguïté, c'est un nationalisme exacerbé qui rejette le principe du droit d'ingérence. Enfin, un certain nombre de responsables algériens redoutent que ce printemps arabe ne fasse le jeu d'un islam radical qu'ils ont combattu tout au long des années 1990.
Mais la chute de Ben Ali, de Moubarak, de Kadhafi et bientôt peut-être de Bachar el-Assad a de quoi ébranler les dirigeants algériens…
Il est clair que le pouvoir est divisé sur la conduite à adopter. Le courant conservateur tient la corde, mais il ne représente pas forcément l'armée. Il y a des islamo-conservateurs ou de vieux nationalistes arabes qui sont toujours au pouvoir, qui s'accrochent au passé et qui ne comprennent pas les aspirations aux changements de la jeunesse arabe, en particulier de la jeunesse berbère, nombreuse, éduquée et à l'affût des bruits du monde.
L'Algérie peut-elle échapper au printemps arabe?
Pour la plupart des Algériens, les réformes promises régulièrement par le gouvernement relèvent de l'effet d'annonce. Face à l'immobilisme du régime, il y a une aspiration très forte au changement. Mais le rythme de ce changement ne sera pas le même. Les Algériens ont déjà beaucoup donné dans le passé. La guerre d'indépendance, le printemps berbère, l'instauration du multipartisme en 1988… Le traumatisme de la guerre civile des années 1990 pèse toujours sur la société algérienne. Les Algériens savent aussi par expérience que la chute d'un chef d'État n'entraîne pas forcément la chute de l'appareil qui le soutient. C'est encore plus vrai en Algérie, où le pouvoir est beaucoup plus opaque, complexe et sophistiqué qu'ailleurs à cause notamment de la manne pétrolière, des groupes d'intérêts qui en vivent et du clientélisme qu'elle génère. Et puis l'Algérie est un grand pays, cinq fois la France, 36 millions d'habitants contre moins de 8 millions en Libye. Un espace immense et une population hétérogène qui se compose de Sahariens, de Mozabites, de Kabyles, d'Algérois, d'Oranais qui ne marchent pas forcément du même pas. En outre, l'Algérie est un pays très riche et le pouvoir dispose de ressources financières considérables de nature à empêcher qu'un mouvement de revendications sociales ne se transforme en contestation politique. Malgré cela, les Algériens sont de plus en plus choqués par la répression en Syrie, suivent avec intérêt le processus de démocratisation en Tunisie, et craignent également un possible isolement de leur pays sur la scène internationale. Comment, dans ces conditions, ne pas croire à un changement démocratique en Algérie?
*Auteur de Le 89 arabe, réflexions sur les révolutions en cours, aux Éditions Stock
http://lefigaro.fr
Syfou- Adminstrateur
- Nombre de messages : 5687
Date d'inscription : 11/01/2010
Re: Ennemis de la nation Agérienne
Le chef d’Al-Qaîda appelle les Algériens à faire la «révolution» !
Le nouveau numéro un d’Al-Qaîda, l’Egyptien Ayman al-Zawahiri, a appelé, hier, mardi dans une vidéo, les Libyens à fonder un régime islamiste et les Algériens à se révolter à leur tour.
Dans cette vidéo d’un peu plus de 13 minutes, enregistrée en août ou septembre, le successeur d’Oussama Ben Laden a félicité les rebelles libyens pour la prise de Tripoli, les pressant d’adopter la loi coranique, la charia, comme base du régime qui doit succéder à celui de Mouammar Kadhafi. «La première chose que l’Otan fera, sera de vous demander d’abandonner l’Islam», a assuré l’Egyptien à l’intention des Libyens, en qualifiant de «gang occidental» l’alliance militaire qui a soutenu militairement les rebelles du Conseil national de transition (CNT). «Cerveau» des opérations et principal porte-parole d’Al-Qaîda, Al-Zawahiri est devenu ainsi l’homme le plus recherché du monde. Sa tête est mise à prix pour 25 millions de dollars par les autorités américaines. «Et si j’ai félicité notre peuple en Libye pour sa victoire contre le tyran, j’appelle le peuple d’Algérie à suivre leur exemple», a-t-il ajouté. «Vos frères en Tunisie, puis en Libye ayant jeté leurs tyrans aux poubelles de l’Histoire, pourquoi ne vous révoltez-vous pas contre votre tyran ?», a lancé le nouveau chef d’Al-Qaîda à l’adresse des Algériens. Visiblement en perte de vitesse, Al-Qaîda tente ainsi désespérément de revenir sur le devant de la scène.
Source:algerie.360
Sphinx- Adminstrateur
- Nombre de messages : 8044
Date d'inscription : 19/12/2008
Re: Ennemis de la nation Agérienne
les ennemies de notre pays sont internes et externes: mais il est ceux de intérieur sont plus dangereux que celui de l' extérieurs .
il faut dire que l'école et les partis avec la sociétés civiles ne jouent pas le jeux pour un meilleurs prise en charge de l'éducation aussi bien de l'éléve que du militant:là il y a un troue dans la loi sur les partis et les associations pour leurs devoir d'éducation et du militantisme dans la vie de toujours..........
il faut dire que l'école et les partis avec la sociétés civiles ne jouent pas le jeux pour un meilleurs prise en charge de l'éducation aussi bien de l'éléve que du militant:là il y a un troue dans la loi sur les partis et les associations pour leurs devoir d'éducation et du militantisme dans la vie de toujours..........
abdelmalek- Adm
- Nombre de messages : 1145
Date d'inscription : 28/03/2009
Re: Ennemis de la nation Agérienne
Lorsqu’un jour le peuple veut vivre,
Force est pour le destin de répondre,
Force est pour les ténèbres de se dissiper,
Force est pour les chaînes de se briser.
"Abou el Kacem Chebbi"
À la maladresse du fils, première toujours, répond indéfectiblement celle du père
Force est pour le destin de répondre,
Force est pour les ténèbres de se dissiper,
Force est pour les chaînes de se briser.
"Abou el Kacem Chebbi"
les kabyle avec la france un fils de harki parle
[url][/url]
À la maladresse du fils, première toujours, répond indéfectiblement celle du père
Sphinx- Adminstrateur
- Nombre de messages : 8044
Date d'inscription : 19/12/2008
Re: Ennemis de la nation Agérienne
Et voici un intellect à l'extême stupidité ; un darwin peut en chaché un autre
Cest qui se machin , cet intellect éclairé
---------L’influence turque dans la Libye post-Kadhafi, par K.Weinstein
Par Kenneth R. Weinstein* — L’Algérie vient d’accorder l’asile à Kadhafi. Comble de l’ironie, son gouvernment a déclaré l’avoir fait « pour des raisons humanitaires ». En fait, au-delà de l’absurde de certaines déclarations, la guerre libyenne dévoile le comportement ou la vision de nombreux Etats-nations, face au Printemps arabe bien entendu, mais aussi de manière plus globale. Ainsi, entre une doctrine Obama timorée, le courage diplomatique du tandem Sarkozy-Cameron et le recul de l’Union européenne, la Turquie a, elle, souhaité rattraper le terrain perdu. Sans doute est-il nécessaire de s’en inquiéter.
http://lebulletindamerique.com/2011/09/03/linfluence-turque-dans-la-libye-post-kadhafi-par-k-weinstein/
Cest qui se machin , cet intellect éclairé
Kenneth R. Weinstein
Kenneth R. Weinstein is the President and Chief Executive Officer of Hudson Institute. He oversees the institute's research, project management, external affairs, marketing, and government relations efforts. He is an expert in international affairs, public policy and public discourse, U.S.-European relations, political affairs, Middle East affairs, France, Japan, and religion. He comments on national and international affairs on television and in publications such as The Washington Post, The Weekly Standard, and The New Republic.
Ken Weinstein is a political theorist who received his Ph.D. in Political Science from Harvard University, his D.E.A. in Soviet and Eastern European Studies from the Institut d'Etudes Politiques de Paris, and his B.A. in General Studies in the Humanities from the University of Chicago. He grew up in New York City and attended Stuyvesant High School. He has taught at Claremont McKenna College and Georgetown University.
He has been decorated with a knighthood in Arts and Letters by the French Ministry of Culture and Communication as a Chevalier dans l'Ordre des Arts et des Lettres, and he serves by presidential appointment and Senate confirmation as a member of the National Humanities Council, the governing body of the National Endowment for the Humanities. He also serves on the Guiding Coalition of the Project on National Security Reform.
Married to Amy Kauffman, and the father of three, he lives in Washington, D.C
http://en.wikipedia.org
Daûphin_zz_47- Adm
- Nombre de messages : 2215
Date d'inscription : 06/08/2010
Re: Ennemis de la nation Agérienne
A question évidente, réponse évidente:
Nous, le peuple algérien, on est le premier ennemi de l'Algérie avant même ceux qui nous gouvrernent car nous faisons passer nos intérêts individuels avant ceux de la nation et nous parlons de patrie mais on est incapable de se sacrifier pour la défendre comme l'on fait nos ancêtres, grand-parents, et parents face à la France et ses supplétifs !
Nous, le peuple algérien, on est le premier ennemi de l'Algérie avant même ceux qui nous gouvrernent car nous faisons passer nos intérêts individuels avant ceux de la nation et nous parlons de patrie mais on est incapable de se sacrifier pour la défendre comme l'on fait nos ancêtres, grand-parents, et parents face à la France et ses supplétifs !
angelo- Membre
- Nombre de messages : 66
Date d'inscription : 01/04/2011
Re: Ennemis de la nation Agérienne
L’USraël prépare un CNT en Algérie !
Dans notre article publié au mois de février dernier et intitulé « Ingérence de la CIA dans les affaires internes de l’Algérie ! », nous vous informions que lors du Congrès international d’urgence organisé par le Parti des travailleurs algériens en décembre 2011, en collaboration avec l’Union générale des travailleurs algériens, le dirigeant syndicaliste américain Alain Benjamin avait révélé que Washington préparait un Conseil National de Transition (CNT) en Algérie avec la complicité d’Algériens dont l’identité n’était pas révélée.
Louisa Hanoune, chef du Parti des travailleurs, avait alors condamné le « complot américain visant la création d’un Conseil National de Transition en cas de soulèvement populaire en Algérie ». Ces manœuvres contre l’Algérie, à commencer par les appels lancés pour « La Révolution du 17 septembre » relayée notamment par Bernard-Henri Levy, sont l’œuvre des renseignements américains. Le peuple algérien, conscient de ces manœuvres, n’a pas répondu à l’appel. Louisa Hanoune a qualifié de « traître » celui qui collabore avec des forces étrangères contre son pays et appelle le peuple algérien à la vigilance.
L’information, qui n’a pas été démentie par les responsables américains, suscite de nombreuses interrogations en Algérie. Louisa Hanoune a fait allusion à une rencontre en Algérie entre Abdallah Djaballah, président du Front pour la justice et le développement (FJD), Parti non encore agréé, et les ambassadeurs de France et des Etats-Unis…
Des syndicalistes américains ayant pris part au congrès des travailleurs algériens ont tenu à préciser que leur opinion s’opposait totalement à ces « guerres menées par leur pays sous drapeau de l’OTAN ». Selon ces participants, des personnalités algériennes ont, en effet, été contactées par les Américains en vue de diriger un « Conseil National de Transition ». La délégation des syndicalistes américains ajoute qu’un site appartenant à l’administration américaine aurait récemment publié des informations selon lesquelles les Etats-Unis s’apprêteraient à « mettre en place un Conseil National de Transition en Algérie en cas de révolte populaire contre le gouvernement en place » !
Les renseignements généraux algériens ont enquêté sur les véritables auteurs de l’appel anonyme à manifester en septembre dernier (« La Révolution du 17 septembre ») et sur leurs motivations. Ils ont discrètement interrogé certains animateurs de réseaux sociaux algériens afin de recueillir des informations sur cette présumée manifestation qui, au final, devait légitimer une ingérence de l’USraël. Suite à cette enquête, le ministre algérien de l’Intérieur a accusé des « parties étrangères » en relation avec l’entité sioniste de chercher à provoquer des troubles dans le pays.
Le Parti Anti Sioniste appelle le peuple algérien à la vigilance, et surtout à se méfier de toutes les promesses « démocratiques » des Obama et compagnie, tous aux ordres du sionisme et de ses lobbies ! Le projet pour l’Algérie n’est ni plus ni moins qu’un projet colonial. Les immenses richesses enfouies au Sahara sont convoitées, et toutes les manœuvres de déstabilisation sont possibles pour se les approprier…
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste
Source:partiantisioniste.com
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
que dire qu'un complot est possible et des ALGERIENS comme marionette. les guignols ont une main a l'intérieur pour les manoeuvrés .l'ALGERIE derange par ses hommes et par son histoire,
il est sur que nos frontiére tire une convoitise du sol et du sous sol.
il faut être a la hauteur du pays, les bhl existent partout et monsieur samedi(s.s° existe ?DONC UNE CONFITURE A L4IMAGE DE CE QUI CE TRAME dans notre environnement régional et sous régional donne une reflexion en profondeur pour pouvoir quantifier cette bataille par des hommes a la huateur et la grandeur du pays.
il est sur que nos frontiére tire une convoitise du sol et du sous sol.
il faut être a la hauteur du pays, les bhl existent partout et monsieur samedi(s.s° existe ?DONC UNE CONFITURE A L4IMAGE DE CE QUI CE TRAME dans notre environnement régional et sous régional donne une reflexion en profondeur pour pouvoir quantifier cette bataille par des hommes a la huateur et la grandeur du pays.
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
----Le leader en exil du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK)
Ferhat Mehenni, leader en exil du Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie en visite en Israël
http://lh6.ggpht.com/-vPlNvj5OmU4/TA379aVDlvI/AAAAAAAAAtg/sLCuhHLlVTc/s160-c/Ferhat%252520Mehenni.jpg
Ferhat Mehenni, 61 ans, le leader en exil du Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK- indépendantiste) et un autre dirigeant du MAK, dont l’identité n’est pas connue, sont arrivés ce dimanche 20 mai 2012 à Jérusalem, pour une visite de cinq jours en Israël.
La visite a été organisée par Jacques Kupfer, chargé des relations extérieures du Likoud – le parti du Premier Ministre Benyamin Netanyahou -, et réputé proche de l’extrême-droite israélienne.
Selon ses proches, la visite de Ferhat Mehenni en Israël vise à drainer de nouveaux soutiens politiques. Le leader kabyle aurait des attaches profondes à la Terre Sainte puisqu’il appartient aux At Ugshalal, l’une des quatre tribus aux liens supposés avec le Judaïsme.
Lire:
http://www.algerie360.com/algerie/ferhat-mehenni-leader-en-exil-du-mouvement-pour-l%E2%80%99autonomie-de-la-kabylie-en-visite-en-israel/
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
A mon avis, les israéliens feraient mieux de ne pas trop s’approcher des portes d’Alger, ce serait déclencher une déflagration générale conduisant les peuples maghrébins à s’unir en mettant de côté leurs divergences. Autrement dit, Israël risquerait de creuser sa propre tombe !
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
La Cour d’appel de Paris s’oppose à l’extradition de Dhina en Algérie
La demande d’extradition de l’opposant islamiste Mourad Dhina en Algérie a peu de chances d’aboutir. La Cour d'appel de Paris s’est opposée ce mercredi 4 juillet à la demande d'extradition de Dhina, détenu à Paris depuis le 16 janvier en exécution d'un mandat d'arrêt international lancé par l'Algérie. M. Dhina devrait par conséquent être remis en liberté d'ici la fin de journée.
Fondateur du mouvement Rachad (basé en Europe) et ex‑cadre du FIS‑dissous, M. Dhina, physicien exilé en Suisse, avait été arrêté à l'aéroport parisien d'Orly en vertu d'un mandat d'arrêt international.
http://www.tsa-algerie.com/divers/la-cour-d-appel-de-paris-s-oppose-a-l-extradition-de-dhina-en-algerie_21353.html
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
Mathieu Guidère, islamologue ignorant
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Mathieu Guidère, islamologue ignorant ou manipulateur ?
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Mathieu Guidère, islamologue ignorant ou manipulateur ?
Avec l’islam et son insidieuse emprise idéologique qui atteint aussi nos experts occidentaux, nous ne sommes jamais au bout de nos surprises. En voici un exemple concret et tout frais : il date de ce mercredi 26 octobre 2011. Lisez donc cette courte interview de Mathieu Guidère, publiée par France Soir, pour vous en convaincre.
Guidière : "La charia pourrait aider les Libyens"
Mathieu Guidère, professeur d’islamologie et de pensée arabe à l’université de Toulouse-II Le Mirail, s'exprime sur l'instauration de la charia en Libye.
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/guidiere-charia-pourrait-aider-libyens-150702.html
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Re: Ennemis de la nation Agérienne
Qui est mohamed larbi zitout ?
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https://www.youtube.com/watch?v=OlXku_B21p0
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"Mohamed Larbi Zitout
Diplômé de l'Ecole Nationale d'Administration, Alger
Master's en relations internationales"
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"Beaucoup de ces propos induisent les algériens en erreur , c'est de genre de personnes utilisées par des pays ennemis pour renverser un Etat !!! prenez conscience !"
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https://www.youtube.com/watch?v=OlXku_B21p0
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Syfou- Adminstrateur
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