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Stratégie militaire française
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algeriedrs :: Forces conventionnelles et non-conventionnelles dans le monde :: Différents sujets militaires. :: Tactique et stratégie militaire
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Stratégie militaire française
La politique de défense de la France depuis 1945
Recouvrer le statut de puissance et se préserver du danger allemand
Après la seconde guerre mondiale, la France dut concevoir sa politique de défense dans une relative dépendance à l’égard des Etats-Unis et ce, jusqu’au début des années 1960. En 1940, la France cessa d’être une puissance en remettant son sort aux mains de Allemagne. Dès la fin de la guerre, la France cherchera à se prémunir contre une résurgence du péril allemand et signa avec le Royaume-Uni la traité de Dunkerque en 1947, alliance conclut pour cinquante ans. C’est d’ailleurs dans ce nouveau contexte que l’OTAN naquit du pacte de Bruxelles. Dans le même temps, sa politique coloniale contraignit la France à conduire deux guerres.
Ne concevant la place de la France «qu’au premier rang », De Gaulle chercha à redonner à la politique de défense une grande autonomie dès qu’il eut mis un terme à la guerre d’Algérie.
Alliée sans soumission
En 1959, le président de la république française déclara aux stagiaires de l’école de guerre :« la défense de la France doit être française ».
Le 13 février 1960, la France explosait sa première bombe « A » elle a pu ainsi organiser sa défense ultime selon la doctrine de la dissuasion du faible au fort estimant que : « La France a besoin d’alliés et d’amis et non de protecteurs » De Gaule essaya d’obtenir des américains un partage des pouvoirs dans l’OTAN en vain ce qui l’amena à retirer ses forces des structures du commandement militaire de l’OTAN.
Le concept français de défense
La politique de sécurité et de défense vise à protéger les intérêts fondamentaux de la nation qui se répartissent entre intérêts vitaux, intérêts stratégiques et intérêts de puissance : l’intégrité du territoire, le maintien de la paix en Europe et les responsabilités sur la scène internationale. Elle mis ainsi en œuvre un concept qui fédère les différentes composantes : la défense armée, la défense civile, la défense économique et la défense culturelle
La stratégie française
En 1994, le Livre Blanc redéfinit la stratégie française : « L'association de la dissuasion et de l'action dans la stratégie de défense française évolue vers un nouvel équilibre » :
1-. L'outil de défense s'inscrit alors dans ce nouveau contexte et repose sur : la posture permanente de sûreté, qui " autour de la dissuasion comprend les capacités de prévention, de protection et de constitution de forces et de changement de format "
2- Un ensemble de moyens projetables lorsque la défense des intérêts commande d'agir loin des frontières. Le terme de fonction stratégique apparaît dans le concept d'emploi des forces publié en 1997.
3- On observera que l’importance de la projection est affirmée puisque cette fonction occupe une place ‘’prépondérante’’. Les quatre ‘’fonctions’’ que les armées doivent maîtriser délimitent leur domaine naturel d’exercice. Un espace à quatre dimensions apparaît donc, toute activité des forces pouvant se comprendre dorénavant comme une combinaison de ces fonctions. Cet aspect est souligné dans le concept d’emploi des forces. Mais est –ce bien le cas dans la réalité ?
Trois objections apparaissent lorsque l'on examine le bien-fondé de ce référentiel Alors que dissuasion, prévention et protection ont un caractère permanent, la projection est circonstanciée:
C- Les points de convergence et de divergences entre la doctrine américaine et la doctrine européenne.
L’objectif américain en Europe est clair et se conjugue d’emblée sur un double registre. Une l’Europe stable et sûre pour que les soldats américains n’aient plus à verser leur sang. Des économies européennes suffisamment développées pour offrir des possibilités d’investissement et pour créer des emplois aux Etats-Unis. Tout cela sera possible avec une Europe démocratique intégrée et coopérant avec les Etats–Unis. Il y a une institution centrale capable d’assurer la sécurité de l’Europe mais aussi de promouvoir son « intégration » : l’OTAN.
La présence militaire américaine en Europe est jugée nécessaire pour « préserver l’influence des Etats-Unis et leur leadership dans l’OTAN ».
Cependant, la France qui n’a ni ennemi à ses frontières, ni véritable ennemi dans le monde ; sa politique est certes autonome. Elle joue un rôle non négligeable, notamment à l’ONU et sur la scène internationale ; mais, ses engagements extérieurs tiennent de plus en plus compte du poids des Etats-Unis dans les organisations internationales et celui de ses alliés européens.
Source:L’encyclopédie « Stratégie-Militaire »
Recouvrer le statut de puissance et se préserver du danger allemand
Après la seconde guerre mondiale, la France dut concevoir sa politique de défense dans une relative dépendance à l’égard des Etats-Unis et ce, jusqu’au début des années 1960. En 1940, la France cessa d’être une puissance en remettant son sort aux mains de Allemagne. Dès la fin de la guerre, la France cherchera à se prémunir contre une résurgence du péril allemand et signa avec le Royaume-Uni la traité de Dunkerque en 1947, alliance conclut pour cinquante ans. C’est d’ailleurs dans ce nouveau contexte que l’OTAN naquit du pacte de Bruxelles. Dans le même temps, sa politique coloniale contraignit la France à conduire deux guerres.
Ne concevant la place de la France «qu’au premier rang », De Gaulle chercha à redonner à la politique de défense une grande autonomie dès qu’il eut mis un terme à la guerre d’Algérie.
Alliée sans soumission
En 1959, le président de la république française déclara aux stagiaires de l’école de guerre :« la défense de la France doit être française ».
Le 13 février 1960, la France explosait sa première bombe « A » elle a pu ainsi organiser sa défense ultime selon la doctrine de la dissuasion du faible au fort estimant que : « La France a besoin d’alliés et d’amis et non de protecteurs » De Gaule essaya d’obtenir des américains un partage des pouvoirs dans l’OTAN en vain ce qui l’amena à retirer ses forces des structures du commandement militaire de l’OTAN.
Le concept français de défense
La politique de sécurité et de défense vise à protéger les intérêts fondamentaux de la nation qui se répartissent entre intérêts vitaux, intérêts stratégiques et intérêts de puissance : l’intégrité du territoire, le maintien de la paix en Europe et les responsabilités sur la scène internationale. Elle mis ainsi en œuvre un concept qui fédère les différentes composantes : la défense armée, la défense civile, la défense économique et la défense culturelle
La stratégie française
En 1994, le Livre Blanc redéfinit la stratégie française : « L'association de la dissuasion et de l'action dans la stratégie de défense française évolue vers un nouvel équilibre » :
1-. L'outil de défense s'inscrit alors dans ce nouveau contexte et repose sur : la posture permanente de sûreté, qui " autour de la dissuasion comprend les capacités de prévention, de protection et de constitution de forces et de changement de format "
2- Un ensemble de moyens projetables lorsque la défense des intérêts commande d'agir loin des frontières. Le terme de fonction stratégique apparaît dans le concept d'emploi des forces publié en 1997.
3- On observera que l’importance de la projection est affirmée puisque cette fonction occupe une place ‘’prépondérante’’. Les quatre ‘’fonctions’’ que les armées doivent maîtriser délimitent leur domaine naturel d’exercice. Un espace à quatre dimensions apparaît donc, toute activité des forces pouvant se comprendre dorénavant comme une combinaison de ces fonctions. Cet aspect est souligné dans le concept d’emploi des forces. Mais est –ce bien le cas dans la réalité ?
Trois objections apparaissent lorsque l'on examine le bien-fondé de ce référentiel Alors que dissuasion, prévention et protection ont un caractère permanent, la projection est circonstanciée:
C- Les points de convergence et de divergences entre la doctrine américaine et la doctrine européenne.
L’objectif américain en Europe est clair et se conjugue d’emblée sur un double registre. Une l’Europe stable et sûre pour que les soldats américains n’aient plus à verser leur sang. Des économies européennes suffisamment développées pour offrir des possibilités d’investissement et pour créer des emplois aux Etats-Unis. Tout cela sera possible avec une Europe démocratique intégrée et coopérant avec les Etats–Unis. Il y a une institution centrale capable d’assurer la sécurité de l’Europe mais aussi de promouvoir son « intégration » : l’OTAN.
La présence militaire américaine en Europe est jugée nécessaire pour « préserver l’influence des Etats-Unis et leur leadership dans l’OTAN ».
Cependant, la France qui n’a ni ennemi à ses frontières, ni véritable ennemi dans le monde ; sa politique est certes autonome. Elle joue un rôle non négligeable, notamment à l’ONU et sur la scène internationale ; mais, ses engagements extérieurs tiennent de plus en plus compte du poids des Etats-Unis dans les organisations internationales et celui de ses alliés européens.
Source:L’encyclopédie « Stratégie-Militaire »
Syfou- Adminstrateur
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Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
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Re: Stratégie militaire française
faut mettre a jour ,le nouveau concept de la stategie de la defense francaise et europeen (le livre blanc 2008).
endiploy- Membre
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Re: Stratégie militaire française
Des hélicoptères et des soldats français en Libye
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Alain Juppé l'a confirmé : Paris a déployé une vingtaine d'hélicoptères et 450 hommes.
L’opération militaire menée par l’Otan en Libye a franchi un palier. La France a envoyé des hélicoptères d’attaque pour soutenir les insurgés dans leur combat contre les forces du colonel Mouammar Kadhafi.
Rattachés à l'aviation légère de l'armée de terre française, une vingtaine d’hélicoptères ont été embarqués à bord du bâtiment de projection et de commandement "Le Tonnerre ", qui a quitté la base navale de Toulon dans la nuit du 17 au 18 mai dernier, selon les informations révélées par le blog spécialisé Le Mamouth et confirmées par Europe 1. Des hélicoptères auxquels s'ajoutent quelque 450 hommes.
"Pas de changement de stratégie", pour Juppé
Alain Juppé a confirmé l'information lundi, depuis Bruxelles. Pour le ministre des Affaires étrangères, il n'y a cependant "pas de changement de stratégie" : "nous sommes toujours à la stricte application des résolutions du Conseil de sécurité, qui prévoient de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour protéger les populations", a-t-il assuré, au micro d'Europe 1. L'envoi d'hélicoptères permet simplement de réaliser "des frappes plus ciblées", plus proches du terrain", a-t-il précisé. "Un avion ça vole très haut, un hélicoptère ça vole plus bas", a succinctement expliqué Alain Juppé.
Deux mois après le début de l'opération aérienne de la coalition internationale sous commandement de l'Otan en Libye, le 19 mars, l'intervention des hélicoptères de combat permettrait de viser certaines cibles des forces de Mouammar Kadhafi que les avions de chasse ne parviennent plus à détruire, en raison des risques de dégâts collatéraux.
Si le ministre a répété que l'engagement de troupes françaises au sol était exclu, l’envoi d’une force héliportée peut laisser présager un engagement plus poussé des forces françaises. L’escadrille embarquée sur le Tonnerre comprend en effet une douzaine de Gazelle anti-char, mais aussi des Tigres, des hélicoptères de plus grande taille embarquant une très importante puissance de feu. Le dispositif inclut également des appareils de recherche et de sauvetage, au cas où un hélicoptère serait abattu.
Le feu vert de l’opération a été donné par l’Elysée, qui amorce ainsi un virage dans la stratégie adoptée par l’Otan sur le front libyen. La France doit en informer avant la fin de la semaine le groupe de contact, qui rassemble tous les pays engagés dans la coalition. La France espère ainsi inciter ses partenaires à s’engager plus massivement.
Une tentative d'intimidation
La présence au large de la Libye d'une force expéditionnaire robuste, prête à débarquer, est clairement une tentative d'intimidation à l'égard des troupes loyales à Mouammar Kadhafi. Cela pourrait avoir deux conséquences : les soldats pro-Kadhafi pourraient être plus nombreux à déserter, ou, hypothèse moins optimiste, quelque 450 militaires français, tout près des exactions perpétrées par les soldats libyens, pourraient se voir obligés d'intervenir au sol. Et ce au nom du devoir impérieux de protéger les civils.
L'Otan est lancée depuis le 31 mars dans une intervention militaire en Libye sous mandat de l'ONU, avec pour mission d’empêcher le régime Kadhafi de s’en prendre à la population libyenne. Mais le conflit entre insurgés et forces pro-Kadhafi s’enlise malgré les frappes de l’Otan. pourtant, Alain Juppé a insisté "sur la volonté de la France" "de ne pas nous éterniser en Libye".
La France est donc tentée d’accélérer les opérations, d’autant que le coût de son engagement s’élève déjà à 54 millions d’euros depuis le début de son intervention, soit 1,2 million d’euros par jour. De plus, si l’opération dépasse les six mois, le gouvernement devra s’expliquer devant l’Assemblée nationale et lui rendre des comptes.
Source:*europe1
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Alain Juppé l'a confirmé : Paris a déployé une vingtaine d'hélicoptères et 450 hommes.
L’opération militaire menée par l’Otan en Libye a franchi un palier. La France a envoyé des hélicoptères d’attaque pour soutenir les insurgés dans leur combat contre les forces du colonel Mouammar Kadhafi.
Rattachés à l'aviation légère de l'armée de terre française, une vingtaine d’hélicoptères ont été embarqués à bord du bâtiment de projection et de commandement "Le Tonnerre ", qui a quitté la base navale de Toulon dans la nuit du 17 au 18 mai dernier, selon les informations révélées par le blog spécialisé Le Mamouth et confirmées par Europe 1. Des hélicoptères auxquels s'ajoutent quelque 450 hommes.
"Pas de changement de stratégie", pour Juppé
Alain Juppé a confirmé l'information lundi, depuis Bruxelles. Pour le ministre des Affaires étrangères, il n'y a cependant "pas de changement de stratégie" : "nous sommes toujours à la stricte application des résolutions du Conseil de sécurité, qui prévoient de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour protéger les populations", a-t-il assuré, au micro d'Europe 1. L'envoi d'hélicoptères permet simplement de réaliser "des frappes plus ciblées", plus proches du terrain", a-t-il précisé. "Un avion ça vole très haut, un hélicoptère ça vole plus bas", a succinctement expliqué Alain Juppé.
Deux mois après le début de l'opération aérienne de la coalition internationale sous commandement de l'Otan en Libye, le 19 mars, l'intervention des hélicoptères de combat permettrait de viser certaines cibles des forces de Mouammar Kadhafi que les avions de chasse ne parviennent plus à détruire, en raison des risques de dégâts collatéraux.
Si le ministre a répété que l'engagement de troupes françaises au sol était exclu, l’envoi d’une force héliportée peut laisser présager un engagement plus poussé des forces françaises. L’escadrille embarquée sur le Tonnerre comprend en effet une douzaine de Gazelle anti-char, mais aussi des Tigres, des hélicoptères de plus grande taille embarquant une très importante puissance de feu. Le dispositif inclut également des appareils de recherche et de sauvetage, au cas où un hélicoptère serait abattu.
Le feu vert de l’opération a été donné par l’Elysée, qui amorce ainsi un virage dans la stratégie adoptée par l’Otan sur le front libyen. La France doit en informer avant la fin de la semaine le groupe de contact, qui rassemble tous les pays engagés dans la coalition. La France espère ainsi inciter ses partenaires à s’engager plus massivement.
Une tentative d'intimidation
La présence au large de la Libye d'une force expéditionnaire robuste, prête à débarquer, est clairement une tentative d'intimidation à l'égard des troupes loyales à Mouammar Kadhafi. Cela pourrait avoir deux conséquences : les soldats pro-Kadhafi pourraient être plus nombreux à déserter, ou, hypothèse moins optimiste, quelque 450 militaires français, tout près des exactions perpétrées par les soldats libyens, pourraient se voir obligés d'intervenir au sol. Et ce au nom du devoir impérieux de protéger les civils.
L'Otan est lancée depuis le 31 mars dans une intervention militaire en Libye sous mandat de l'ONU, avec pour mission d’empêcher le régime Kadhafi de s’en prendre à la population libyenne. Mais le conflit entre insurgés et forces pro-Kadhafi s’enlise malgré les frappes de l’Otan. pourtant, Alain Juppé a insisté "sur la volonté de la France" "de ne pas nous éterniser en Libye".
La France est donc tentée d’accélérer les opérations, d’autant que le coût de son engagement s’élève déjà à 54 millions d’euros depuis le début de son intervention, soit 1,2 million d’euros par jour. De plus, si l’opération dépasse les six mois, le gouvernement devra s’expliquer devant l’Assemblée nationale et lui rendre des comptes.
Source:*europe1
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