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Les services de renseignements algériens
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algeriedrs :: Forces de sécurité algériennes (قوى الأمن الجزائرية) :: Services de renseignements et de la sécurité algérienne
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Les services de renseignements algériens
par Invite Sam 2 Avr - 22:46
En exclusivité: Les
services de renseignements algériens. De la sécurité militaire au DRS,
les pionniers de l'école révolutionnaire.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Certes l’Algérie traverse en ce moment et depuis son accession à sa
souveraineté des zones de turbulence. 47 ans après, elle est toujours
confrontée aux esprits du mal, ceux qui n’ont jamais accepté cette
indépendance, depuis la célèbre nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954
date de la déclaration de la lutte armée pour la libération du pays.
Plus de sept années et demi de combat acharné, et 132 ans
de résistance populaire, pour que l’Algérien est parvenue à arracher
son indépendance un 3 juillet 1962. Depuis, les récits de cette
glorieuse révolution ne cessaient de paraître dans les medias et
diffusés par la télévision, mais une partie importante de l’étape de
cette révolution est demeurée presque un tabou, dans l’anonymat. La
nouvelle génération n’a pris connaissance que des groupes de
Moudjahidine qui activaient dans le maquis. Alors qu’une branche très
importante qui a favorisée toujours la victoire dans les combats et qui
est la branche des SR Services de Renseignement de la révolution. Qui à
l’aube de l’indépendance prendra le titre de
LE SERVICE QUI BOULEVERSE LA FRANCE
La Sécurité Militaire. Une structure issue d’un passé glorieux dans le
sacrifice, née au maquis, dont le père n’est outre que Si Mabrouk (
Abdelhfid Boussouf) , qui a eu l’idée de créer au côté de l’ALN, une
structure forte qui manipulera les renseignements et récoltera les
informations de l’ennemi pour connaitre sa stratégie et ses objectifs.
Pour cela le choix de la région de la wilaya V était de mise, d’autant
plus que cette wilaya de l’Oranie est la plus vaste wilaya du pays, et
qui va abriter la première école algérienne de formation des espions.
Si mabrouk créa d’abord, les transmissions, en formant des
cadres dans le réseau d’écoute radio .Le formateur n’était outre que le
commandant Omar Tellidji, enfant de Laghouat, qui était engagé dans
l’armée française stationnée au Maroc, Si Mabrouk le côtoya et réussit
sans aucune peine à le convaincre à déserter les rangs de l’ennemi pour
rejoindre ses frères dans l’ALN, il sera le premier instructeur dans le
domaine des transmissions.
Si Mabrouk, réussi aussi recruter des jeunes lyciens
résidents au Maroc, avec lesquels, Omar forma des opérateurs et
techniciens. Un groupe de Dix neuf membres dont huit jeunes filles
(Miri Rachida, Hadhadh Malika, Mustapha Berri, Smail Kerzabi,
Abdessamad Chellali, Mohamed Semmache et les autres. Dont Laroussi
Khalifa le père d’Abdelmoumen était le directeur du Stage de cette
Première promotion appelée promotion Larbi Ben Mhidi.
LA REDOUTABLE PROMOTION LARBI BENMHIDI
La promotion Larbi Ben Mhidi était la plus redoutable qui avait donnée
du fil à retordre à l’armée d’occupation, car certains stagiaires qui
venaient du Maroc, d’autres sont venus de l’intérieur de l’Algérie et
de France, dont le jeune lycien Ouali Boumaza alias Tayeb, a fait
trembler l’état français après avoir organisé une antenne de
renseignement à Paris où il a accédé sans difficultés aux documents
classés Top Secret de l’état français ;. Ces renseignements exploités
lors des négociations pétrolières menées avec la France.
Le recrutement à cette époque n’était pas celui
d’aujourd’hui trop de bagages. Il suffit d’être Algérien avec un niveau
secondaire et surtout animé de sentiments patriotiques pour rejoindre
la redoutable école des services secrets Algérien. Ces jeunes qui
vivaient au Maroc, loin des batails quotidiennes et des bombardements
leur unique appartenance à l’Algérie a stimulée leurs esprits pour
rejoindre l’ALN. Ils étaient déjà structurés dans le militantisme,
malgré leur jeune âge, ils étaient membres de l’IGEMA et du FLN, parmi
eux Cherif Belkacem alias Djamal, Mahfoudh Hadjadj était responsable de
l’Ugema à Meknès. Je rappel aux amnésiques et ceux qui ne cessaient de
chanter que les Algériens qui vivaient au Maroc étaient loin de la
guerre et de la révolution. Non messieurs vous vous trempez. Nous
étions encore des petits enfants mais structurés et préparés pour la
relève dans le maquis, au primaire nous avions une école spéciale du
FLN ALN, la formation était partagée entre l’enseignement pédagogique
et la doctrine de la révolution sous la direction du commissaire
politique Boudghene Stambouli alias Si Rachid. A l’âge de 8 ans on a
commencé le maniement des armes. Les services français nous
surveillaient de prés et n’hésitaient pas à envoyer des colis piégés à
l’adresse des militants Algériens. A Khemisset il y’avait toute une
base de formation de l’ALN, le commandant Hafrad Bilal a fait partie
des instructeurs, ses élèves se sont retrouvés après avec des grades de
Généraux. Il y avait aussi la structure de Casablanca, où les armes
arrivaient par voie maritime, il fallait les chargés et les acheminer
au le maquis. Il y a aussi la transaction faite entre les éléments
Algérien et le colonel Américain installé avec ses troupes à la base de
Nouasser prés de Casablanca, une grande quantité d’arme achetée par
l’Algérie, un convoi militaire s’est dirigé dans le plus grand secret
vers la frontière. A retenir aussi l’intervention des services
Algériens pour faire échouer un attentat terroriste des agents du
Mossad pour assassiner le Président Egyptien Djamal Abdennasser, lors
de sa visite au Maroc. A Meknes tous un groupe de jeunes lyciens quitta
la ville pour rejoindre l’ALN, ils avaient abandonnés tous leurs biens,
Ali Tounsi, abandonna même son scooter dans la rue. Et c’est comme ça
que les premiers élèves des services secrets ont rejoint la maison des
Benyekhlef à Oujda où la formation théorique est donnée, dans cette
villa entourée d’un jardin et d’un mur long d’environs quatre mètres,
elle abritait la direction au rez-de-chaussée et les stagiaires l’étage
supérieur avec les dortoirs.
Quant à la formation pratique, elle s’est déroulée dans la
ferme des Benabdellah à quelques kilomètres d’Oujda. Les écuries de
cette ferme serviront de dortoir, et l’hangar aménagé en salle des
cours. Mais ce centre malgré le secret qui l’entourait, il a été repéré
par l’ennemi. Pendant que quelques stagiaire apprenaient le maniement
des armes, un avion ennemi survola à basse altitude cette ferme moteur
éteint et dévoilera le secret. Le responsable Abdellah Arbaoui donna
l’ordre d’évacuation immédiate de ce centre qui fut bombardé le
lendemain par deux avions T6 de l’armée française.
Le nombre des stagiaires de cette promotion Larbi Benmhidi
est situé à soixante-douze, la majorité venue des classes de terminale
ou de première secondaire des lycées Marocains. Elle comprenait aussi
des membres qui étaient déjà à l’université et qui ont rejoint
l’encadrement pédagogique du centre, parmi eux Noureddine Delleci alias
Rachid, Abdelaziz Maoui alias Sadek Mustapha Moughlam alias Djaâfar,
Belaïd Abdessalam alias Jugurtha, Abdellah Arbaoui alias Nehru, Ali
Tounsi alias Ghaouti, Benbouzid et d’autres.
Quant aux élements de cette première promotion des agents
secrets, nous citons quelques uns, Ali Hamlat alias El Hadi alias
Yahia, est resté dans les services jusqu’à sa mise en retraite il avait
le grade de Colonel., Abdellah Khalef alias Kasdi Mebah, devenu patron
des services à l’indépendance c’était le major de promotion ,lâchement
assassiné en 1994, Ahmed Zerhouni alias Ferhat décédé , Hadj Azzout
alias Nacer et Mohamed Laâla alias Kaddour devenus Ambassadeurs, il y a
ceux qui sont devenus des Ministres, Abdelhamid Temmar alias Abdennour,
Arbaoui Abdellah alias Nehru, superviseur de l’enseignement militaire
dont le programme comprenait : le parcours du combattant, le maniement
des armes et des explosifs, les marches de combat, les tours de garde,
l’ordre serré, le close-combat et même la pratique des arts martiaux.
Noureddine Delleci alias Rachid il enseignait l’économie politique,
Mustapha Moughlam il enseignait l’histoire de l’antiquité, Belaïd
Abdessalam il enseignait l’histoire du Mouvement National Algérien. Ali
Tounsi l’actuel DGSN,
Bien sûr il y’en a d’autres noms qu’on a omis de les
citer, mais ils son tous dans notre mémoire, ils étaient les pionniers
dans la lutte pour libérer El Watan une première fois, et ils étaient
présents aussi pour sauver El Watan une seconde fois durant la décennie
quatre-vingt dix. Une seconde étape a été franchi, dont la décennie
rouge demeure un témoin capital, du sacrifice des enfants de l’Algérie,
pour couper l’herbe sous les pieds des puissances étrangères, et mettre
en échec ‘’ le Plan Bleu’’ élaboré par François Mitterrand pour
déstabiliser l’Algérie. Cette Sécurité Militaire qui devient DRS
(Direction des renseignements et Sécurité) n’est outre qu’un service
qui protège le pays et la nation, à l’instar des autres services de
sécurité et les patriotes de ce pays. Certains individus sans scrupule
frappés par la nostalgie du colonialisme, continuaient à le désigner de
tous les noms comme si c’était un ‘’Ghoul ‘’ ou ‘’le Baâbâ ‘’.
En cette date commémorative du déclanchement de la
Révolution, nous avons tentés de lever une petite partie du voile, sur
le grand sacrifice de la famille révolutionnaire qui est tous le peuple
Algérien qui a souffert pendant de très longues années de 1830 à 1962.
Et à continué à souffrir pendant la décennie rouge.
A. BENBRIK
Samedi 17 Octobre 2009
Source: Réflexion ( un quotidien national d'information)
services de renseignements algériens. De la sécurité militaire au DRS,
les pionniers de l'école révolutionnaire.
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Certes l’Algérie traverse en ce moment et depuis son accession à sa
souveraineté des zones de turbulence. 47 ans après, elle est toujours
confrontée aux esprits du mal, ceux qui n’ont jamais accepté cette
indépendance, depuis la célèbre nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954
date de la déclaration de la lutte armée pour la libération du pays.
Plus de sept années et demi de combat acharné, et 132 ans
de résistance populaire, pour que l’Algérien est parvenue à arracher
son indépendance un 3 juillet 1962. Depuis, les récits de cette
glorieuse révolution ne cessaient de paraître dans les medias et
diffusés par la télévision, mais une partie importante de l’étape de
cette révolution est demeurée presque un tabou, dans l’anonymat. La
nouvelle génération n’a pris connaissance que des groupes de
Moudjahidine qui activaient dans le maquis. Alors qu’une branche très
importante qui a favorisée toujours la victoire dans les combats et qui
est la branche des SR Services de Renseignement de la révolution. Qui à
l’aube de l’indépendance prendra le titre de
LE SERVICE QUI BOULEVERSE LA FRANCE
La Sécurité Militaire. Une structure issue d’un passé glorieux dans le
sacrifice, née au maquis, dont le père n’est outre que Si Mabrouk (
Abdelhfid Boussouf) , qui a eu l’idée de créer au côté de l’ALN, une
structure forte qui manipulera les renseignements et récoltera les
informations de l’ennemi pour connaitre sa stratégie et ses objectifs.
Pour cela le choix de la région de la wilaya V était de mise, d’autant
plus que cette wilaya de l’Oranie est la plus vaste wilaya du pays, et
qui va abriter la première école algérienne de formation des espions.
Si mabrouk créa d’abord, les transmissions, en formant des
cadres dans le réseau d’écoute radio .Le formateur n’était outre que le
commandant Omar Tellidji, enfant de Laghouat, qui était engagé dans
l’armée française stationnée au Maroc, Si Mabrouk le côtoya et réussit
sans aucune peine à le convaincre à déserter les rangs de l’ennemi pour
rejoindre ses frères dans l’ALN, il sera le premier instructeur dans le
domaine des transmissions.
Si Mabrouk, réussi aussi recruter des jeunes lyciens
résidents au Maroc, avec lesquels, Omar forma des opérateurs et
techniciens. Un groupe de Dix neuf membres dont huit jeunes filles
(Miri Rachida, Hadhadh Malika, Mustapha Berri, Smail Kerzabi,
Abdessamad Chellali, Mohamed Semmache et les autres. Dont Laroussi
Khalifa le père d’Abdelmoumen était le directeur du Stage de cette
Première promotion appelée promotion Larbi Ben Mhidi.
LA REDOUTABLE PROMOTION LARBI BENMHIDI
La promotion Larbi Ben Mhidi était la plus redoutable qui avait donnée
du fil à retordre à l’armée d’occupation, car certains stagiaires qui
venaient du Maroc, d’autres sont venus de l’intérieur de l’Algérie et
de France, dont le jeune lycien Ouali Boumaza alias Tayeb, a fait
trembler l’état français après avoir organisé une antenne de
renseignement à Paris où il a accédé sans difficultés aux documents
classés Top Secret de l’état français ;. Ces renseignements exploités
lors des négociations pétrolières menées avec la France.
Le recrutement à cette époque n’était pas celui
d’aujourd’hui trop de bagages. Il suffit d’être Algérien avec un niveau
secondaire et surtout animé de sentiments patriotiques pour rejoindre
la redoutable école des services secrets Algérien. Ces jeunes qui
vivaient au Maroc, loin des batails quotidiennes et des bombardements
leur unique appartenance à l’Algérie a stimulée leurs esprits pour
rejoindre l’ALN. Ils étaient déjà structurés dans le militantisme,
malgré leur jeune âge, ils étaient membres de l’IGEMA et du FLN, parmi
eux Cherif Belkacem alias Djamal, Mahfoudh Hadjadj était responsable de
l’Ugema à Meknès. Je rappel aux amnésiques et ceux qui ne cessaient de
chanter que les Algériens qui vivaient au Maroc étaient loin de la
guerre et de la révolution. Non messieurs vous vous trempez. Nous
étions encore des petits enfants mais structurés et préparés pour la
relève dans le maquis, au primaire nous avions une école spéciale du
FLN ALN, la formation était partagée entre l’enseignement pédagogique
et la doctrine de la révolution sous la direction du commissaire
politique Boudghene Stambouli alias Si Rachid. A l’âge de 8 ans on a
commencé le maniement des armes. Les services français nous
surveillaient de prés et n’hésitaient pas à envoyer des colis piégés à
l’adresse des militants Algériens. A Khemisset il y’avait toute une
base de formation de l’ALN, le commandant Hafrad Bilal a fait partie
des instructeurs, ses élèves se sont retrouvés après avec des grades de
Généraux. Il y avait aussi la structure de Casablanca, où les armes
arrivaient par voie maritime, il fallait les chargés et les acheminer
au le maquis. Il y a aussi la transaction faite entre les éléments
Algérien et le colonel Américain installé avec ses troupes à la base de
Nouasser prés de Casablanca, une grande quantité d’arme achetée par
l’Algérie, un convoi militaire s’est dirigé dans le plus grand secret
vers la frontière. A retenir aussi l’intervention des services
Algériens pour faire échouer un attentat terroriste des agents du
Mossad pour assassiner le Président Egyptien Djamal Abdennasser, lors
de sa visite au Maroc. A Meknes tous un groupe de jeunes lyciens quitta
la ville pour rejoindre l’ALN, ils avaient abandonnés tous leurs biens,
Ali Tounsi, abandonna même son scooter dans la rue. Et c’est comme ça
que les premiers élèves des services secrets ont rejoint la maison des
Benyekhlef à Oujda où la formation théorique est donnée, dans cette
villa entourée d’un jardin et d’un mur long d’environs quatre mètres,
elle abritait la direction au rez-de-chaussée et les stagiaires l’étage
supérieur avec les dortoirs.
Quant à la formation pratique, elle s’est déroulée dans la
ferme des Benabdellah à quelques kilomètres d’Oujda. Les écuries de
cette ferme serviront de dortoir, et l’hangar aménagé en salle des
cours. Mais ce centre malgré le secret qui l’entourait, il a été repéré
par l’ennemi. Pendant que quelques stagiaire apprenaient le maniement
des armes, un avion ennemi survola à basse altitude cette ferme moteur
éteint et dévoilera le secret. Le responsable Abdellah Arbaoui donna
l’ordre d’évacuation immédiate de ce centre qui fut bombardé le
lendemain par deux avions T6 de l’armée française.
Le nombre des stagiaires de cette promotion Larbi Benmhidi
est situé à soixante-douze, la majorité venue des classes de terminale
ou de première secondaire des lycées Marocains. Elle comprenait aussi
des membres qui étaient déjà à l’université et qui ont rejoint
l’encadrement pédagogique du centre, parmi eux Noureddine Delleci alias
Rachid, Abdelaziz Maoui alias Sadek Mustapha Moughlam alias Djaâfar,
Belaïd Abdessalam alias Jugurtha, Abdellah Arbaoui alias Nehru, Ali
Tounsi alias Ghaouti, Benbouzid et d’autres.
Quant aux élements de cette première promotion des agents
secrets, nous citons quelques uns, Ali Hamlat alias El Hadi alias
Yahia, est resté dans les services jusqu’à sa mise en retraite il avait
le grade de Colonel., Abdellah Khalef alias Kasdi Mebah, devenu patron
des services à l’indépendance c’était le major de promotion ,lâchement
assassiné en 1994, Ahmed Zerhouni alias Ferhat décédé , Hadj Azzout
alias Nacer et Mohamed Laâla alias Kaddour devenus Ambassadeurs, il y a
ceux qui sont devenus des Ministres, Abdelhamid Temmar alias Abdennour,
Arbaoui Abdellah alias Nehru, superviseur de l’enseignement militaire
dont le programme comprenait : le parcours du combattant, le maniement
des armes et des explosifs, les marches de combat, les tours de garde,
l’ordre serré, le close-combat et même la pratique des arts martiaux.
Noureddine Delleci alias Rachid il enseignait l’économie politique,
Mustapha Moughlam il enseignait l’histoire de l’antiquité, Belaïd
Abdessalam il enseignait l’histoire du Mouvement National Algérien. Ali
Tounsi l’actuel DGSN,
Bien sûr il y’en a d’autres noms qu’on a omis de les
citer, mais ils son tous dans notre mémoire, ils étaient les pionniers
dans la lutte pour libérer El Watan une première fois, et ils étaient
présents aussi pour sauver El Watan une seconde fois durant la décennie
quatre-vingt dix. Une seconde étape a été franchi, dont la décennie
rouge demeure un témoin capital, du sacrifice des enfants de l’Algérie,
pour couper l’herbe sous les pieds des puissances étrangères, et mettre
en échec ‘’ le Plan Bleu’’ élaboré par François Mitterrand pour
déstabiliser l’Algérie. Cette Sécurité Militaire qui devient DRS
(Direction des renseignements et Sécurité) n’est outre qu’un service
qui protège le pays et la nation, à l’instar des autres services de
sécurité et les patriotes de ce pays. Certains individus sans scrupule
frappés par la nostalgie du colonialisme, continuaient à le désigner de
tous les noms comme si c’était un ‘’Ghoul ‘’ ou ‘’le Baâbâ ‘’.
En cette date commémorative du déclanchement de la
Révolution, nous avons tentés de lever une petite partie du voile, sur
le grand sacrifice de la famille révolutionnaire qui est tous le peuple
Algérien qui a souffert pendant de très longues années de 1830 à 1962.
Et à continué à souffrir pendant la décennie rouge.
A. BENBRIK
Samedi 17 Octobre 2009
Source: Réflexion ( un quotidien national d'information)
Dernière édition par akid.lotfi le Sam 13 Aoû - 15:29, édité 1 fois (Raison : Aucune Insulte n'est tolérée contre un forumiste ou quelconque membre de l'armée!)
Invite- Invité
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Localisation : Arris
Re: Les services de renseignements algériens
par rakane Dim 3 Avr - 17:00
mr benboulaid ça me fait un grand honneur de lire ce commentaire c'est l'âme de l'algèrien pur qui parle.hommage au brâve de l'algerie et au general foudil saidi.
rakane- Invité
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