Sujets similaires
Derniers sujets
Sujets les plus vus
Sujets les plus actifs
Meilleurs posteurs
Sphinx | ||||
Syfou | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
abdelmalek | ||||
rakane | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
col.chibani | ||||
fennec dz | ||||
ZIGHOUD |
Ceux qui commencent le plus de sujets
Syfou | ||||
Sphinx | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
elmaknine | ||||
matriochkas | ||||
col.chibani | ||||
ZIGHOUD | ||||
Rahim Damon |
Connexion
Tourisme spatial
algeriedrs :: Actualité politique, économique, monétaire, financière, sociale et environnementale :: Construction automobile,navale, ferroviaire et aéronautique :: Astronautique et Agences Spatiales dans le monde :: Coopération entre pays
Page 1 sur 1
Tourisme spatial
Le tourisme spatial est une activité touristique concernant l'espace et qui consiste à envoyer des civils dans l'espace en réservant son voyage auprès d'une compagnie privée et non une organisation gouvernemental. Aujourd'hui de nombreuses entreprises se lancent dans ce nouveau secteur.
Les prémices d'un rêve
Depuis les premiers vols habités dans l'espace, il existe une fascination répandue pour cette forme d'aventure extrême. Suite aux problèmes budgétaires rencontrés par l'agence spatiale russe, certains, à condition d'être particulièrement fortunés, ont pu, à compter de 2001, réaliser leur rêve. Il existe aujourd'hui deux formes de tourisme spatial : le séjour en orbite dans la station spatiale internationale qui nécessite un très long entraînement et le vol suborbital qui consiste à passer quelques minutes à une altitude supérieure à 100 km mais qui est relativement moins coûteux et contraignant. En 2009, les opportunités du tourisme spatial orbital sont limitées et coûteuses, l' Agence spatiale fédérale russe étant la seule à fournir le transport. Le prix pour un vol organisé par Space Adventures à la Station spatiale internationale à bord du vaisseau spatial Soyouz est de 20 à 28 millions de dollars. La société Virgin Galactic de Richard Branson, créée en 2004 propose quant à elle d'emmener des touristes pour un vol suborbital à plus de 100 km d'altitude (altitude retenue de manière arbitraire comme étant la limite inférieure d'un vol spatial) à bord d'un avion spécialement conçu à cette fin. La durée de ce vol durerait de 2 a 3 heures et permettrait aux passagers de passer cinq minutes en apesanteur, avec seulement deux jours d'entraînement, pour une somme variant autour de 200 000 $. L'existence d'hôtels dans l'espace relève aujourd'hui toujours du domaine de la science-fiction. Mais Richard Branson a toutefois évoqué qu'un tel projet pourait finir par arriver avec le temps si les vols suborbitaux sont un succès. Jusqu'à présent (2009) seulement 7 touristes spatiaux ont volé, mais la compagnie Virgin Galactic compte déjà plus de 320 réservations pour ses vols.
Touristes spatiaux
Sept touristes de l'espace, à ce jour (septembre 2009), ont effectués des vols spatiaux avec Space Adventures :
Dennis Tito : du 28 avril au 6 mai 2001. Il a déboursé 20 millions de dollars
Mark Shuttleworth : du 25 avril au 5 mai 2002. Il a déboursé 21 millions de dollars
Gregory Olsen : du 1er octobre au 11 octobre 2005. Il aurait déboursé 20 millions de dollars (ce chiffre n'a pas été confirmé officiellement).
Anousheh Ansari : du 18 septembre au 29 septembre 2006. Une américano-iranienne, qui est la première femme touriste de l'espace, et première iranienne. Elle décolle le 18 septembre 2006 à bord de la mission Soyouz TMA-9, pour une durée de 10 jours à bord de l'ISS. Sous la pression des autorités russes et américaines, elle ne pourra pas garder le drapeau iranien sur sa combinaison, ni diffuser de message politique 1,2. Elle a déboursé 20 millions de dollars.
Charles Simonyi participant au vol Soyouz TMA-10 du 7 avril 2007 en direction l'ISS, pour un retour prévu le 20 avril. Selon Eric Anderson, PDG de Space Adventures, ce cinquième voyageur de l'espace a déboursé 25 millions de dollars. Charles Simonyi est un ancien employé de Microsoft qui a été pendant un temps en charge de la division application de la société américaine et plus particulière de la suite bureautique Microsoft Office. Il a depuis créé sa propre entreprise, Intentional Software3. Il est retourné dans l'espace le 26 mars 2009, devenant le premier touriste spatial à avoir été dans l'espace à deux reprises. Il a déboursé 25 millions de dollars pour son premier vol et 22 millions de dollars pour son deuxième vol.
Richard Garriott, participant au vol Soyouz TMA-13 le 13 octobre 2008. Il a déboursé 30 millions de dollars.
Guy Laliberté, décolle avec la mission Soyouz TMA-16 le 30 septembre 2009. Il a déboursé 35 millions de dollars.
http://fr.wikipedia.org
Les prémices d'un rêve
Depuis les premiers vols habités dans l'espace, il existe une fascination répandue pour cette forme d'aventure extrême. Suite aux problèmes budgétaires rencontrés par l'agence spatiale russe, certains, à condition d'être particulièrement fortunés, ont pu, à compter de 2001, réaliser leur rêve. Il existe aujourd'hui deux formes de tourisme spatial : le séjour en orbite dans la station spatiale internationale qui nécessite un très long entraînement et le vol suborbital qui consiste à passer quelques minutes à une altitude supérieure à 100 km mais qui est relativement moins coûteux et contraignant. En 2009, les opportunités du tourisme spatial orbital sont limitées et coûteuses, l' Agence spatiale fédérale russe étant la seule à fournir le transport. Le prix pour un vol organisé par Space Adventures à la Station spatiale internationale à bord du vaisseau spatial Soyouz est de 20 à 28 millions de dollars. La société Virgin Galactic de Richard Branson, créée en 2004 propose quant à elle d'emmener des touristes pour un vol suborbital à plus de 100 km d'altitude (altitude retenue de manière arbitraire comme étant la limite inférieure d'un vol spatial) à bord d'un avion spécialement conçu à cette fin. La durée de ce vol durerait de 2 a 3 heures et permettrait aux passagers de passer cinq minutes en apesanteur, avec seulement deux jours d'entraînement, pour une somme variant autour de 200 000 $. L'existence d'hôtels dans l'espace relève aujourd'hui toujours du domaine de la science-fiction. Mais Richard Branson a toutefois évoqué qu'un tel projet pourait finir par arriver avec le temps si les vols suborbitaux sont un succès. Jusqu'à présent (2009) seulement 7 touristes spatiaux ont volé, mais la compagnie Virgin Galactic compte déjà plus de 320 réservations pour ses vols.
Touristes spatiaux
Sept touristes de l'espace, à ce jour (septembre 2009), ont effectués des vols spatiaux avec Space Adventures :
Dennis Tito : du 28 avril au 6 mai 2001. Il a déboursé 20 millions de dollars
Mark Shuttleworth : du 25 avril au 5 mai 2002. Il a déboursé 21 millions de dollars
Gregory Olsen : du 1er octobre au 11 octobre 2005. Il aurait déboursé 20 millions de dollars (ce chiffre n'a pas été confirmé officiellement).
Anousheh Ansari : du 18 septembre au 29 septembre 2006. Une américano-iranienne, qui est la première femme touriste de l'espace, et première iranienne. Elle décolle le 18 septembre 2006 à bord de la mission Soyouz TMA-9, pour une durée de 10 jours à bord de l'ISS. Sous la pression des autorités russes et américaines, elle ne pourra pas garder le drapeau iranien sur sa combinaison, ni diffuser de message politique 1,2. Elle a déboursé 20 millions de dollars.
Charles Simonyi participant au vol Soyouz TMA-10 du 7 avril 2007 en direction l'ISS, pour un retour prévu le 20 avril. Selon Eric Anderson, PDG de Space Adventures, ce cinquième voyageur de l'espace a déboursé 25 millions de dollars. Charles Simonyi est un ancien employé de Microsoft qui a été pendant un temps en charge de la division application de la société américaine et plus particulière de la suite bureautique Microsoft Office. Il a depuis créé sa propre entreprise, Intentional Software3. Il est retourné dans l'espace le 26 mars 2009, devenant le premier touriste spatial à avoir été dans l'espace à deux reprises. Il a déboursé 25 millions de dollars pour son premier vol et 22 millions de dollars pour son deuxième vol.
Richard Garriott, participant au vol Soyouz TMA-13 le 13 octobre 2008. Il a déboursé 30 millions de dollars.
Guy Laliberté, décolle avec la mission Soyouz TMA-16 le 30 septembre 2009. Il a déboursé 35 millions de dollars.
http://fr.wikipedia.org
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
Re: Tourisme spatial
L’espace : une nouvelle destination touristique ?
Le 28 avril, on célèbre un nouveau jubilé important dans l’histoire de l’astronautique. Il y a exactement dix ans, le premier touriste spatial américain est parti à bord du vaisseau «Soyouz» vers l’ISS. Il s'agissait d'un ancien employé de la NASA, Dennis Tito. Il a passé 8 jours en orbite pour la somme de 20 millions de dollars. Depuis le début de l’ère des vols payants, 6 autres personnes ont suivi l’exemple de Dennis Tito, le dernier voyagea en 2009.
On ne sait pas combien de personnes ont fait la queue pour pouvoir voler dans l’espace. Cependant, malgré le prix du billet qui est en croissance, la part des moyens financiers que Roscosmos reçoit grâce au tourisme est tombé depuis les dix dernières années et il ne dépassera pas de toute façon le pour cent reçu du ministère concerné, qui a augmenté de 20 pour cent. Si à la frontière des deux siècles, le tourisme semblait être presque un moyen de sauver notre industrie spatiale, aujourd’hui il faut le détacher des programmes d’État, annonce à la «Voix de la Russie» l’expert dans le domaine de l’astronautique, Igor Lissov.
« Il faut qu’il existe au moins une division stricte des finances. Imaginons qu’une société commande un vaisseau avec son propre financement et transporte des touristes, embauche un équipage et ainsi de suite. Quand on le fait dans le cadre d’un programme d’État, cela pose toujours beaucoup de problèmes. Sans parler du fait qu'un touriste «pousse» notre cosmonaute hors de l’équipage. Je ne vois pas de nécessitée à transporter une fois par an des touristes sur l’ISS. Peut être que cela a un sens pour des organisateurs concrets qui reçoivent des commissions. Pour l’État cela n'a pas de sens ».
«Roskosmos» ne permettra aux vaisseaux privés de s’arrimer à l’ISS que lorsqu'ils répondront complètement aux normes de sécurité, explique le chef du bureau de presse, Alexandre Vorobiev.
« Il faut organiser la certification. Les écoutilles doivent être les mêmes, la qualité doit être bonne pour qu’après l’arrimage on n’apprenne pas qu’on a causé des dommages à l’ISS. C’est pourquoi on aura besoin de certaines normes. Cette question sera décidée non seulement pas Roskosmos mais aussi par tous les participants au projet de l’ISS ».
Les interlocuteurs de la «Voix de la Russie» sont persuadés que l'astronautique russe n’a pas besoin d'hôtels. Les prochaines années, il n’y aura pas d’afflux de touristes. D'autre part, les vols suborbitaux sont les plus accessibles aux touristes et pour ceux-là, les hôtels ne sont pas nécessaires.
french.ruvr.ru
Le 28 avril, on célèbre un nouveau jubilé important dans l’histoire de l’astronautique. Il y a exactement dix ans, le premier touriste spatial américain est parti à bord du vaisseau «Soyouz» vers l’ISS. Il s'agissait d'un ancien employé de la NASA, Dennis Tito. Il a passé 8 jours en orbite pour la somme de 20 millions de dollars. Depuis le début de l’ère des vols payants, 6 autres personnes ont suivi l’exemple de Dennis Tito, le dernier voyagea en 2009.
On ne sait pas combien de personnes ont fait la queue pour pouvoir voler dans l’espace. Cependant, malgré le prix du billet qui est en croissance, la part des moyens financiers que Roscosmos reçoit grâce au tourisme est tombé depuis les dix dernières années et il ne dépassera pas de toute façon le pour cent reçu du ministère concerné, qui a augmenté de 20 pour cent. Si à la frontière des deux siècles, le tourisme semblait être presque un moyen de sauver notre industrie spatiale, aujourd’hui il faut le détacher des programmes d’État, annonce à la «Voix de la Russie» l’expert dans le domaine de l’astronautique, Igor Lissov.
« Il faut qu’il existe au moins une division stricte des finances. Imaginons qu’une société commande un vaisseau avec son propre financement et transporte des touristes, embauche un équipage et ainsi de suite. Quand on le fait dans le cadre d’un programme d’État, cela pose toujours beaucoup de problèmes. Sans parler du fait qu'un touriste «pousse» notre cosmonaute hors de l’équipage. Je ne vois pas de nécessitée à transporter une fois par an des touristes sur l’ISS. Peut être que cela a un sens pour des organisateurs concrets qui reçoivent des commissions. Pour l’État cela n'a pas de sens ».
«Roskosmos» ne permettra aux vaisseaux privés de s’arrimer à l’ISS que lorsqu'ils répondront complètement aux normes de sécurité, explique le chef du bureau de presse, Alexandre Vorobiev.
« Il faut organiser la certification. Les écoutilles doivent être les mêmes, la qualité doit être bonne pour qu’après l’arrimage on n’apprenne pas qu’on a causé des dommages à l’ISS. C’est pourquoi on aura besoin de certaines normes. Cette question sera décidée non seulement pas Roskosmos mais aussi par tous les participants au projet de l’ISS ».
Les interlocuteurs de la «Voix de la Russie» sont persuadés que l'astronautique russe n’a pas besoin d'hôtels. Les prochaines années, il n’y aura pas d’afflux de touristes. D'autre part, les vols suborbitaux sont les plus accessibles aux touristes et pour ceux-là, les hôtels ne sont pas nécessaires.
french.ruvr.ru
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
algeriedrs :: Actualité politique, économique, monétaire, financière, sociale et environnementale :: Construction automobile,navale, ferroviaire et aéronautique :: Astronautique et Agences Spatiales dans le monde :: Coopération entre pays
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Ven 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Ven 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Lun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15
» Les exercices militaires russo-biélorusse
Mer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15
» nouvelle grille de lecture du monde
Sam 20 Aoû - 18:47 par ZIGHOUD15
» Lobbyisme et démocratie
Sam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15
» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Jeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15
» BRICS
Jeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15
» LA MATRICE DU TERRORISME
Ven 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15
» Dhû-l-Qarnayn ou le bicornu ....
Sam 21 Aoû - 22:46 par ZIGHOUD15
» Définition et conception ?!
Lun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek
» Gendarmerie Nationale
Sam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek
» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Mer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek
» إنتخابات الجزائر الجددة
Mar 24 Sep - 1:02 par Sphinx
» Zouaves ! qui sont ?
Dim 22 Sep - 22:22 par Sphinx
» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Mar 25 Juin - 22:18 par Sphinx
» Carthage et l'occident ...
Ven 21 Juin - 21:38 par Sphinx
» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Lun 17 Juin - 23:35 par Sphinx
» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Sam 6 Oct - 19:16 par Sphinx
» dépenses militaires mondiales
Dim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15
» algerian barkhane la citadelle
Ven 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» cabale
Mer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15