Femmes algériennes dans le monde entier

Lettre aux femmes algérienne dans le monde entier

Mesdames avant toute chose permettez moi de vous saluer.
Tellement je suis sur d’une chose ; que vous méritez le respect.
Vous battre tous les jours sans relâche pour devoir élever
Une génération de plus de valeureux guerriers
Dignes de leurs ancêtres dont l’histoire est chantée
Partout dans le monde pour ceux qui savent apprécier
La vraie valeur des hommes et leurs capacités
A pouvoir se battre jusqu'à la mort pour la liberté
Massinissa, Amirouche Ali la pointe vous avez enfanté
Nourris au sein, leur racontant des vers avant de les coucher
Qui gravaient leur mémoires et cela à tout jamais
Ce que voulait dire l’islam et l’amazighité
Comment leurs pères et mère ont toujours refusé.
L’occupation, l’humiliation, l’esclavage et la servilité.
Qu’un jour encore tout proche ou les hommes sont tombés

La kahina prêtresse est devenue reine par fatalité
Elle par se sagesse commandait des armées
Traçait des plans de batailles et négociait des traités de paix
L’histoire magnifique serait trop longue à raconter

Je reviens donc très vite a ce qui doit nous intéresser
Rappelez vous d’une chose avant de me juger
Hassiba n’est pas le nom d’une rue ou d’un souk à Alger
C’est le nom d’une femme qu’en morceaux on a découpée
Battue a mort, torturée comme une chienne et violée
Simplement pour étouffer pour toujours ce cri de liberté
Surgit d’outre tombe, dans des cœurs pétrifiés
Par les horreurs d’une guerre que l’on nous a imposée

Alors qu’ailleurs le monde florissant décolonisait
Um million de soldats on a vu débarquer
Brulants, tuant pillant nos villages éloignés
Encerclant doucement les richesses convoitées
Les villes ont eu leur compte et la bataille d’Alger
Etait en fait le massacre d’un peuple par des paras entrainés.
Nos chefs vite pris, torture, OAS et Guillotine importé
Je vous ai compris, des discours, c’est ce qu’ils disaient
En fait, ils ont su toujours qu’ils ne réussiraient jamais
A asservir ce peuple aux gènes si puissamment ancrées

Une autre stratégie, murement réfléchie a été décidée.
Se retirer doucement, et les laisser crever
De faim de froid de soif, et les télécommander
De l’extérieur cette fois il ne faut plus se montrer.
Tout homme à son prix il fallait les acheter
Menaçant tout les survivants avec des archives préfabriquées
Collabo c’est la mort si ça se savait
Ensuite insidieusement ils ont fait monter
Leurs larbins bardés de faux diplômes et en réalité
Des agents à leur solde et à la double nationalité
L’objectif n’était pas la vengeance ruminée
Mais de détruire un état après l’avoir ruiné
S’accaparer des richesses soigneusement enterrées
Revenir un peu plus tard en toute légitimité.
Casser tout les hommes, s’ils refusaient de marcher.
Un ordre de Paris seulement et les carrières brisées.
Prison, commissions de discipline ou retraite forcée
Matière grise, cerveaux, compétences éliminées
D’un système immonde et parfaitement huilé
Leur laisser une seule chance devenir émigré
Seuls les corrompus et les médiocres grimpaient
Les marches d’une échelle sociale complètent biaisée
Décider de tout de tous derrière la méditerranée

Je vous demande de croire c’est absolument vrai
La guerre n’est pas finie elle vient juste de commencer
Patienter 60ans pour revenir et enfin proclamer
Tout haut tout fort à qui veut l’écouter
Monsieur Algérie l’a enfin déclaré
L’Algérie est française au titre d’associée
Bien sur elle n’aura que des miettes à ramasser
Elle n’avait qu’a apprendre a bien se gérer
Compter ses finances et passer le relai
Une génération entière de vendus attendait
Que les moudjahidines veulent bien se lever
Diplômés de saint Cyr, HCE ou de l’Elysée.
Tout à fait serviles et prêts à enterrer
Ce drapeau si beau et si chèrement payés

Le monde complice aussi est prêt à accepter
Le dictat de la France sur des vieux colonisés
Démonstration de sa force le FIS, et le RND
Vous comprenez donc qui nous terrorisait
Pourquoi vos enfants sont morts ou disparaissaient
Tuer les ingénieurs des islamistes et de l’armée
Seul eux pouvaient encore pouvoir raisonner
Décortiquer cette toile si bien tissée.
Tel le virus du sida elle avait tout contaminé
Surtout les innocents faciles à manipuler
Prendre part pour l’islam et le financer
Pour mieux circoncire le feu et ensuite l’étouffer
De peur de voir un jour tous ses rêves brisés
A cause d’un prêche voilent et d’une faible natalité

Tous vos maris hélas sont maintenant suspects
Hauts fonctionnaires, généraux ou entrepreneur privés
Politiques, avocats, journalistes autorisés à parler
Aux ascensions bizarres et des comptes à l’étranger
Désolé de le dire c’est malheureusement la pure vérité
Toujours ils ont menti et vous ont trompé
Vous voyant pas assez digne pour partager ce secret
Leurs âmes vendues et leur fierté avalée
Leurs discours bidon et histoires usurpée
Vous n’étiez pas seules à être trompées
.soyez vigilantes perspicaces et vous comprendrez

Le diagnostic il est vraiment facile à poser
Si vous aimez la France vous êtes victime d’une MST
Demandez-vous donc qui vous l’a raconté
Elle n’a rien de gentil voyez donc les émigrés
Les harkis, les corses, les juifs et les minorités
Comment elle traite les pauvres et les naturalisés
Elle n’a pas de parole ni de sincérité
Napoléonienne et méprisante elle n’admettra jamais
De se faire battre par des paysans simplement armés
De fusils de chasse au lièvre, et de cartouches usées
Se voir arracher de la gueule du loup quelle était
Le grenier de l’Afrique, et sa porte d’entrée
Son pétrole, son gaz, son or et ses denrées.
Ses espaces infinis et son climat tempéré

La cote d’ivoire est un bon exemple à méditer
La force licorne, pour seulement déloger
Un président assis sur le cacao du monde entier
Au tour de la Lybie aussi riche enfin de gouter
A sa virulence à elle et celle de ses alliés
Poussant un peuple ignare à s’entretuer
Appuyé de missile et de bandes armées
Démocratie et droits de l’homme, un mensonge parfait
Liberté égalité fraternité mais pour nous ça jamais
Partager le monde est le deal concocté
Par un gouvernement du monde et ses associés

Tout ce que je vous demande après m’avoir écouté
C’est de voir au fond de votre cœur que je sens palpiter
Vous poser des questions enfin et de rejuger
Accepter la couche d’un homme qui vous a manipulé
Vous a fait des enfants et dans le dos le premier
Hélas, comme vous je suis là à pleurer
De rage, d’avoir tout ce temps fait passer
Leurs manigances pour erreurs du passé
Supporté les gifles et les coups de pieds.

Intelligence avec l’ennemi, c’est déjà jugé
C’est de haute trahison qu’on parle et non de lâcheté
Les balles seront de trop pour les exécuter
Nous allons leur faire peur avant de les égorger
Salir leur mémoire et tout récupérer
Cet argent sale pour lequel ils ont luté
Traquer leurs enfants jusqu'à ce qu’ils aient quitté
Ces terres fertiles et fières que nos pères ont laissé
Ce pays pour lequel nous avons tout donné
Notre sueur notre jeunesse et dépensé sans compter

Car du haut de nos montagnes nous avons juré
De nous battre à mort et jusqu’au dernier
Pour notre honneur, nos enfants et notre souveraineté
Pour pouvoir regarder en face une fois enterrés
Un million et demi d’âmes qui se sont sacrifiés
Il y a tout juste une soixantaine d’années
Oubliés, vous peut être, nous ne pardonnerons jamais

Nos ordres sont clairs et il s’agit de luter
Surveiller nuit et jour ceux que l’on prenait
Pour des chefs clairvoyants et qui méritaient
Sois disant le respect, et les hautes destinées
Seules les femmes ce jour en sont dispensées
Il leur appartiendra un jour de se venger
Le diable dans une bouteille elles ont enfermées
Dans un certain sens elles sont mieux armées
Pour comprendre ce qui est machiavélique et non à la portée
De tout un chacun, et de mieux supporter
La pression exigée pour rester secret.
Et si un jour vous êtes vraiment fatigués
Dites vous seulement que dieu est de notre coté
Et que mille fois plus patients qu’il ne seront jamais.
Zighoud.

je te remercie zighoud , car nos méres nos soeurs ect.. on bcp souffert du colonislisme et de la solda-testes,qui a traité nos femmes d'hiers , militante ou non:elles ont subits le pire:et pour celà on ne peut pas oublier et nous avec.