Exportations d'armes allemandes

Chronologie:Les ventes d'armes se portent bien

Ils s'appellent Dingo, Leopard, BO-105 ou Type-204 et ils sont les stars de l'export allemand : un blindé, un tank, un hélicoptère et un sous-marin. Leurs ventes ont propulsé ces dix dernières années l'Allemagne au troisième rang des pays exportateurs d'armes (11% du commerce mondial), derrière les Etats-Unis (30%) et la Russie (23%), note la Frankfurter Rundschau. Un score dont n'est pas fier le quotidien, selon lequel, "dans le commerce des armes, l'Allemagne est définitivement passée au rang de grossiste". Depuis le début de la décennie, les exportations allemandes ont en effet presque doublé, affirme un rapport de l'institut de recherche de la paix SIPRI, publié le 15 mars. "Il est vrai que la plupart des acheteurs sont des démocraties stables. Mais la fourniture de sous-marins aux éternelles rivales que sont la Turquie et la Grèce [les deux premiers clients] n'est pas exactement un acte de détente", grince la FR, qui a fait du pacifisme un de ses chevaux de bataille.

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Waffenmeister Deutschland

Deutschland ist im Rüstungsgeschäft endgültig in die Reihe der Großhändler aufgestiegen: der Anteil am globalen Handel mit Kriegsmaterial stieg von sechs auf elf Prozent. Grüne und Linke sind alarmiert. Von Hannes Gamillscheg, Andreas Schwarzkopf und Thomas Kröter

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Deutschland ist im Rüstungsgeschäft endgültig in die Reihe der Großhändler aufgestiegen: Seit Beginn des Jahrzehnts haben sich die deutschen Waffenexporte fast verdoppelt, der Anteil am globalen Handel mit Kriegsmaterial stieg von sechs auf elf Prozent. Dies geht aus den neuesten Zahlen über den globalen Handel mit konventionellen Waffen hervor, die das Friedensforschungsinstitut Sipri am Montag in Stockholm veröffentlicht.

Insgesamt lag der Umsatz der Waffenhändler zwischen 2005 und 2009 um 22 Prozent höher als in der davor liegenden Fünfjahresperiode. Deutschland mischt in diesem Geschäft immer stärker mit, noch mehr exportierten nur die USA mit 30 Prozent und Russland mit 23 Prozent.

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Wichtigstes Abnehmerland für die deutsche Rüstungsindustrie war die Türkei, an die 14 Prozent der Ausfuhren gingen. Griechenland nahm 13 Prozent ab und Südafrika 12 Prozent. U-Boote vom Typ 209 und 214, teils auch unter Lizenz in anderen Ländern gebaut, sorgten für den meisten Umsatz, zudem vor allem Panzerfahrzeuge.

Das schwedische Institut gab keine Zahlen für den finanziellen Wert an. Sipri kommt regelmäßig zu höheren Angaben über deutsche Rüstungsexporte als die Bundesregierung, weil das Institut Kompensationsgeschäfte und den Handel mit gebrauchter Bundeswehrausrüstung sowie "Geschenke" durch Schätzwerte in die Statistik einbezieht. Die Grünen zeigten sich vom deutschen Rüstungsexport-Boom alarmiert. Parteichefin Claudia Roth meint: "Der dramatische Anstieg der Waffenexporte zeigt erneut, dass wir eine viel stärkere Rüstungskontrolle und schärfere Kriterien für den Waffenexport brauchen." Vor allem müsse der Bundestag "endlich das Recht bekommen, die Bundesregierung in Sachen Rüstungsexporte zu kontrollieren".

"Grauenvoll" nennt Linken-Vize-Fraktionschef Jan van Aken im Gespräch mit der FR den Anstieg deutscher Rüstungsexporte und fordert einen Exportstopp. Hierzulande "darf es keine Arbeitsplätze geben, die darauf beruhen, dass woanders Menschen sterben" - entweder, weil die Länder die Waffen benutzten, oder weil sie wie Malaysia ihren Rüstungshaushalt aufblähten, anstatt gegen Armut zu kämpfen. Van Aken will mit Rüstungskonversion Firmen und Jobs erhalten. Statt technisch hochwertiger Waffen könnten die Fachleute etwa chirurgisches Gerät entwickeln.

Gelassener reagiert der sicherheitspolitische Sprecher der SPD-Bundestagsfraktion, Rainer Arnold. "Der zweite Blick lohnt sich", sagt er der FR. Er kann "nichts Verwerfliches" daran finden, wenn deutsche Firmen zu einem immer größeren Teil Waffen an Nato-Partner lieferten. Bei Lieferungen in andere Länder müsse man "sehr kritisch" sein. Er selbst schaue bei Exporten von Handfeuerwaffen etwa in arabische Staaten genau hin. Allerdings "wollen wir, dass sie den Terror bekämpfen". Ganz ohne Pistolen gehe dies aber nicht.

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L'entreprise allemande Rheinmetall MAN remporte le Contrat pour la Fourniture de 2700 Militaires camions à l'Armée Australienne

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Ministre de la Défense, Stephen Smith, est attendu à la fin d'un concours amère pour fournir des milliers de camions pour les Forces de défense, annonce aujourd'hui la société allemande Rheinmetall MAN a remporté le contrat.

La décision a été critiquée par des initiés de la Défense, qui disent les soldats pouvaient être laissés exposés aux attentats à la bombe en bordure de route par la façon dont l'offre a été manipulé. Le gouvernement va jeter un os le chemin de la société Thales à Bendigo, en ordonnant à environ 150 de ses Utes Bushmaster et de prévenir les pertes d'emplois potentielles dans l'entreprise. Le projet de 2,9 milliards d'approvisionnement 2700 lumière, camions moyens et lourds a été à trois voies de tirs entre l'option MAN Rheinmetall, Thales et Mercedes-Benz. Une source proche de l'appel d'offres dit que certains des camions étaient à l'origine Rheinmetall fourni aux forces armées britanniques, mais sera détourné vers l'Australie après que les Britanniques coupés de leur ordre. ''Ces véhicules, alors qu'ils répondent la plupart du temps les exigences d'appel d'offres, ne sont pas réellement conçus pour s'adapter aux conditions du [Australian Defence Force], il faudra dans le déploiement. Ils devront être modifiés pour répondre aux spécifications du FAD,''a dit la source. Le Herald a rapporté plus tôt cette année préoccupations parmi les initiés de la défense que les spécifications pour les camions ont quitté les ont exposés à des engins explosifs improvisés en Afghanistan. ''La préoccupation majeure est que le gouvernement a mis la pression sur la DMO [Defence Materiel Organisation] pour sélectionner l'option la moins coûteuse en ce qui concerne peu de cas des niveaux de protection et le coût total sur la vie de l'équipement,''a dit la source. ''... Il est hautement improbable que le niveau de protection pourront être mis à niveau pour répondre aux menaces en constante évolution. Par conséquent, lorsque ADF déploie dans leur environnement prochaine menace, ils seront soit besoin d'acheter de nouveaux véhicules ou d'envoyer des soldats avec une protection aux normes.''

12/12/2011 Collecteur: Didier Vlaminck www.smh.com.au

Source:gicat.info