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Géopolitique de la Corée du Nord
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Géopolitique de la Corée du Nord
Corée du Nord
La Corée du Nord, en forme longue la République populaire démocratique de Corée, en coréen Puk Chosŏn, 북조선 (hangul), 北朝鮮 (hanja), et Chosŏn Minjujuŭi Inmin Konghwaguk, 조선민주주의인민공화국 (hangul), 朝鮮民主主義人民共和國 (hanja), est un État qui couvre la partie Nord de la péninsule coréenne située en Asie orientale. Elle est limitrophe de la Chine (1 416 km de frontières communes) au Nord et de la Russie au Nord-Est (19 km de frontières), ainsi que de la République de Corée au Sud (238 km de frontières). Cette dernière frontière méridionale est bordée de part et d'autre sur 2 km d'épaisseur par la zone démilitarisée (DMZ), qui est en réalité très fortement militarisée, car surveillée au total par plus d'un million de soldats. Le Japon, proche voisin maritime, est séparé de la Corée du Nord par la mer du Japon. La capitale de la Corée du Nord est Pyongyang.
État communiste totalitaire (le Parti du travail de Corée étant, sur le plan constitutionnel, placé aux commandes de l'État), ce pays est le dernier au monde se réclamant officiellement du stalinisme.
Économie
La Corée du Nord a une économie planifiée. Suivant l'idéologie de Juche, la Corée du Nord a cherché pendant longtemps l'autosuffisance et a de ce fait eu une politique économique d'autarcie. Bien que les échanges avec l'extérieur aient été réduits, elle a reçu une importante aide chinoise et soviétique après la guerre de Corée (1950-1953), achetant à des tarifs préférentiels des matières premières non présentes sur son sol (comme le pétrole).
Depuis 2002, certaines réformes économiques ont été mises en place, comparables aux mesures de libéralisation mises en place en Chine dans les années 1990.
Les réformes sont toutefois présentées comme temporaires et certaines n'ont pas été maintenues. Depuis octobre 2005, le riz n'est plus vendu sur les marchés privés et relève à nouveau du seul système public de distribution. Cette mesure a été justifiée par l'augmentation de la production de céréales, alors que le développement des marchés privés avait augmenté les inégalités dans l'accès au riz, base de l'alimentation coréenne.
Croissance économique
Après la guerre de Corée, la croissance économique a été aussi rapide, voire plus, qu'en Corée du Sud : elle atteint 10 % par an en moyenne entre 1960 et 1970 et dépasse 17 % entre 1971 et 1975. Le ralentissement économique à partir de 1976 coïncide toutefois avec un dépassement, pour la première fois, de la Corée du Nord par la Corée du Sud en termes de produit national brut (PNB) par habitant.
Après la disparition de l'URSS et des démocraties populaires d'Europe de l'Est, la croissance économique a été nettement négative jusqu'en 1998 selon le ministère sud-coréen de la réunification. D'après la même source, le taux de croissance annuel moyen dépasse 3 % depuis 1999, mais la Corée du Nord n'a pas encore retrouvé le niveau d'autosuffisance alimentaire.
Niveau de développement
Le niveau de production d'électricité est un indicateur de l'industrialisation du pays. Il est en 2004 évalué à 21,71 milliards de kWh (939 kWh par habitant) .
Voici quelques indicateurs de développement pour situer les conditions de vie des Nord-Coréens :
le nombre de lignes téléphoniques est de 930 000 en 2003 (0,04 par habitant), légèrement supérieur à celui du Yémen (0,03 par habitant),
le taux de mortalité infantile est estimé à 27,11 pour mille en 2011, 76e le plus élevé (sur un total de 222 pays).
Situation alimentaire
La Corée du Nord avait atteint et dépassé le niveau d'autosuffisance alimentaire au début des années 1990, alors même que la majeure partie des terres arables étaient situées au sud lors de la division de la Corée.
Toutefois, la situation s'est gravement détériorée dans les années 1990, sous l'effet conjugué de différents facteurs :
la diminution des échanges avec la Russie et la Chine, et en particulier la fin des livraisons de pétrole soviétique à des conditions préférentielles ;
une série de catastrophes climatiques (sécheresses, inondations) : la sécheresse du printemps 2001, la plus forte des 80 dernières années, a été suivie de l'hiver le plus froid depuis 50 ans et les inondations de 2007 ont détruit plus de 11 % des récoltes du pays ;
une sur-utilisation des engrais et des pesticides ayant épuisé les sols ;
la déforestation, ayant entraîné le lessivage des sols lors des inondations.
Selon certaines ONG, comme Médecins sans frontières98, le fonctionnement même du système économique (centralisé et qui inciterait les responsables de provinces à truquer à la hausse les résultats) aurait été un des facteurs de la famine entre 1995 et 1999, ayant causé des centaines de milliers de victimes, et ayant conduit le pays à faire pour la première fois appel à l'aide internationale. Cette explication sur l'incidence du mode d'organisation économique n'est pas retenue par une autre analyse qui relève que le système économique centralisé a, au contraire, permis de mobiliser les ressources du pays sur l'objectif prioritaire de retour à l'autosuffisance alimentaire, en l'orientant de l'industrie vers l'agriculture.
En 2005, le Programme alimentaire mondial (PAM) estimait que la moitié de la population était sous-alimentée et que plus du tiers des habitants souffraient de malnutrition chronique. Toujours selon le PAM, le taux de malnutrition aiguë, qui s'établit à 16 % à la fin des années 1990, est estimé en 2005 à 7 %. Près de 40 % des enfants présentaient des retards de croissance biologique. Environ 70 % de la population n'aurait accès qu'au système public de distribution. La quantité des rations avait diminué de « 319 grammes par jour et par personne en 2003 – ce qui était déjà insuffisant – à 250 grammes en mars 2005 ».
En 2007, l'ONU évalue à environ un cinquième de ses besoins le déficit alimentaire de la Corée du Nord et, parmi les aides étrangères, la Corée du Sud doit livrer 400 000 tonnes de riz en six mois. La situation pourrait être aggravée par les inondations d'août 2007 qui ont entraîné d' « énormes dégâts humains et matériels » selon l'agence officielle nord-coréenne KCNA : plusieurs centaines de personnes seraient mortes ou disparues et des dizaines de milliers de familles seraient sans abri, les dégâts étant également très importants pour les réseaux de communication et de transport.
En 2008, l'administration américaine fournit à la Corée du Nord 500 000 tonnes de denrées alimentaires. Le Programme alimentaire mondial de l'ONU en distribue près de 400 000 tonnes, et les ONG américaines près de 100 000 tonnes. En 2010, un nouveau rapport d'Amnesty International affirme, sur la base de témoignages individuels, que des milliers de Nord-Coréens sont contraints de manger de l'herbe et des écorces d'arbre pour survivre. Début 2011, la Corée du Nord lance un nouvel appel à l'aide alimentaire internationale.
La Corée du Nord, un Etat parasite ?
Depuis son retrait du TNP (Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires) en 1993, la Corée du Nord défie ponctuellement la communauté internationale; ( Washington )
s’inscrit dans la stratégie nord-coréenne visant à se doter d’une arme de dissuasion afin de pérenniser son régime et de négocier en position de force avec Washington. Pour autant, la communauté internationale, emmenée par la fermeté américaine, ne semble pas disposer à entamer des pourparlers avec Pyongyang et poursuit sa politique surannée d’isolement de la Corée du Nord. Au-delà des conséquences désastreuses de cette stratégie sur le plan économique et humanitaire, l’inaction profite globalement aux autorités nord-coréennes ainsi qu’aux Etats limitrophes qui n’ont aucun intérêt direct à désamorcer le jeu géostratégique qui se joue dans la région.
Pour la Chine, la Corée du Nord est un pion stratégique dont elle n’a nullement l’intention de se départir. Depuis la proclamation de la République populaire démocratique de Corée (RPDC) en 1948, le gouvernement chinois a toujours activement soutenu le régime de Pyongyang. Ce soutien se manifeste sous diverses formes: aide alimentaire, livraison de produits énergétiques, vente d’armes, transfert de technologie nucléaire. Principale alliée de la Corée du nord, la Chine s’oppose vertement à la stricte application des sanctions internationales qui pourraient à terme provoquer la chute du régime de Pyongyang et entraîner un afflux incontrôlé de réfugiés sur les 1300 kilomètres de sa frontière avec son voisin communiste. Par ailleurs, la Chine n’a pas intérêt à mettre en péril une relation économique mutuellement bénéfique. Le commerce bilatéral de la Chine avec la RPDC s’est soldé à 2,8 milliards de dollars en 2008, soit une augmentation d’environ 40 % par rapport à 2007. Quant aux exportations chinoises au pays de Kim Il-Sung, elles se sont élevées à 2 milliards de dollars l’année dernière. En outre, la Chine s’est vu attribuer la gestion de plusieurs installations portuaires nord-coréennes, ce qui lui procure un avantage commercial certain sur ses concurrents japonais et sud-coréens. D’un point de vue stratégique, le soutien de la Chine à Pyongyang assure au régime chinois la présence d’une nation amie à sa frontière sud-est, véritable zone tampon entre son territoire et celui de la Corée du Sud démocratique qui abrite environ 30 000 soldats et marins américains. Cela permet à la Chine de réduire son déploiement militaire dans la région pour se concentrer plus directement sur la question de l’indépendance de Taïwan. Par ailleurs, l’allégeance nord-coréenne à la Chine offre à cette dernière un rempart contre la domination militaire des Etats-Unis et la concurrence économique japonaise.
Pour la Corée du Sud, la capacité de nuisance du régime de Kim Jong-il n’a pas que des inconvénients. Sur le plan militaire, la menace nucléaire nord-coréenne – soutenue par la Chine – permet à Séoul de justifier la présence militaire américaine sur son territoire et le soutien diplomatique de Washington. Le maintien par l’armée américaine d’un important stock d’armement dans le pays lui épargne également de coûteuses dépenses en matière de défense. Sur le plan politique, le statut quo des relations inter-coréennes accommode une Corée du Sud désireuse de favoriser une évolution graduelle du conflit sans se lancer dans une aventure politique désastreuse. En effet, Séoul n’a aucun intérêt à voir s’effondrer le gouvernement de Pyongyang. Les coûts induits par une chute brutale du régime entameraient le dynamisme et la croissance économique du « dragon» sud-coréen. Il en va de même pour la question de la réunification des deux Etats: la volonté d’encourager la réunification avec le voisin du Nord est largement tempérée par les craintes de voir cette réunification déboucher sur des difficultés économiques et sociales auxquelles le Sud devrait faire face. La difficile reconversion de la Corée du Nord – dont l’économie est l’une des plus sinistrées de la planète pourrait engendrer une diminution de la production et de la compétitivité des entreprises sud-coréennes ou provoquer un écroulement rapide des investissements directs étrangers. Ainsi, le coût de la réunification coréenne oscillerait entre 25 milliards et 3,5 trillions de dollars selon les experts. Les prévisions alarmistes des Sud-coréens ne semblent toutefois pas être partagées par leur riverain japonais.
Pour le Japon, la perspective d’une réunification « à l’allemande » du peuple coréen, même si elle est fort peu probable à court terme, demeure une éventualité qu’elle n’exclut pas, et qu’elle redoute même. En effet, les conséquences d’une Corée réunifiée seraient très dommageables pour l’économie japonaise: Tokyo se verrait alors contrainte de rivaliser avec les deux locomotives chinoises et coréennes. Cette analyse vient d’ailleurs d’être corroborée par une étude de la prestigieuse Goldman Sachs qui estime que le nouvel Etat coréen pourrait bien se classer au huitième rang économique mondial d’ici 2050, devant la France, l’Allemagne… et le Japon. Cette puissance économique pourrait se doubler d’une puissance politique avec laquelle la nouvelle Corée tenterait de déstabiliser ou de menacer les intérêts de son rival japonais, par exemple en jouant sur les scandales politico-financiers de la classe politique nippone ou sur le levier non négligeable que représentent les quelques 600 000 Coréens résidant au Japon dont le statut social et politique n’est toujours pas reconnu. Par ailleurs, la présence d’une seconde puissance nucléarisée sur son front occidental persuaderait Tokyo de nucléariser son arsenal militaire afin de pérenniser son intégrité territoriale et de préserver l’équilibre dans la région. Face au conflit inter-coréen, le Japon s’estime de plus en plus vulnérable, surtout que sa dépendance militaire vis-à-vis des Etats-Unis s’est vue maintes fois critiquer par son opinion publique au cours de la dernière décennie. L’importance croissante du budget japonais consacré à la défense et à la sécurité (48 milliards d’euros en 2008) démontre bien que Tokyo prend très au sérieux les menaces qui pèsent sur son avenir.
Pour les Etats-Unis, les risques de prolifération nucléaire et/ou de transfert de technologie fissile servent de prétextes pour maintenir des forces armées en Corée du Sud et au Japon, formant ainsi une sorte de ceinture militaire face à une Chine aux aguets.
Trois objectifs spécifiques sous-tendent la stratégie nord-coréenne de Washington: la lutte contre la prolifération nucléaire, la dénuclarisation de la Corée du Nord et l’ouverture de discussions bilatérales à ce sujet avec la Chine. Déjà sous l’administration Bush a été mise en place, avec la collaboration du Japon, une initiative de sécurité anti-prolifération visant à développer les capacités d’interception des vaisseaux nord-coréens transportant du matériel nucléaire. Or, cette manœuvre a été gravement affaiblie par l’absence de participation des Sud-Coréens et des Chinois. Washington s’est également engagé dans un processus de négociation à six (Corée du Nord, Corée du Sud, Chine, Russie et Japon) dans le but de trouver une solution viable au problème posé par le nucléaire nord-coréen. S’il est peu vraisemblable que les discussions du sextette amènent Pyongyang à se dénucléariser, il est en revanche possible qu’un accord de contrôle des réacteurs nord-coréens soit signé en échange d’une aide économique supplémentaire: c’est ce que l’administration Obama s’emploie à obtenir depuis la reprise des hostilités par Pyongyang en juillet dernier. La carte maîtresse des Etats-Unis dans sa stratégie nord-coréenne reste cependant le régime chinois: l’objectif primordial de Washington est d’inciter Pékin à faire pression sur Pyongyang, en lui rappelant notamment les conséquences du conflit (augmentation des capacités militaires japonaises, renforcement de la coopération américano-nippone). Le scénario idéal pour les Américains serait l’organisation par la Chine d’un coup d’Etat qui éliminerait de fait Kim Jong-il et le remplacerait par un régime dictatorial prêt à abandonner ses ambitions nucléaires et à suivre l’exemple chinois d’ouverture vers le monde.
Ce dernier scénario pourrait toutefois se retourner contre les intérêts américains. En effet, si la tension venait à monter en Corée, la Chine pourrait se décider à éliminer le régime nord-coréen pour éviter une guerre dont elle risquerait d’être l’une des perdantes. Une telle solution mettrait fin au problème nord-coréen mais pourrait affaiblir la position américaine sur le continent asiatique puisqu’il ne lui serait plus nécessaire de maintenir ses soldats en Corée et au Japon. Avantageux pour tous, le statut quo semble être de mise à brève échéance. Mais la partie n’est pas encore gagnée…
Pour aller plus loin:
* La fiche signalétique de la Corée du Nord sur le site de l’Université de Sherbrooke :
http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/pays/PRK/fr.html
* L’analyse de la banque Goldman Sachs sur le site de l’association Korea is one:
http://www.amazon.fr/Lautre-pays-matin-calme-nord-cor%C3%A9ens/dp/2200350538/ref=sr_1_8?ie=UTF8&s=books&qid=1264996685&sr=1-8
* L’autre pays du matin calme: les paradoxes nord-coréens, de Barthélémy Courmont:
http://www.korea-is-one.org/spip.php?article3184
* Corée: réunification impossible ? Quid de l’après Kim Jong-il ?, de Claude Helper:
http://www.amazon.fr/Cor%C3%A9e-r%C3%A9unification-mission-impossible-Jong-il/dp/2296073263/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1264996830&sr=1-1
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