Taliban afghan Haqqani ( Haqqani réseau )

Taliban afghan Haqqani ( Haqqani réseau )

Le réseau Haqqani est un groupe d'insurgés en provenance de l'Afghanistan au milieu des années 1970 qui est allié aujourd'hui avec les talibans et affilié à Al-Qaïda et a été anciennement nourri par la CIA . Maulvi Jalaluddin Haqqani avec son fils Sirajuddin Haqqani diriger le groupe, qui est censé être basé dans le Waziristan frontalières tribales du Pakistan, même si elle opère sur les deux côtés de la frontière afghano-pakistanaise . Selon commandants militaires américains, il est «le réseau ennemi le plus résilient», et l'une des plus grandes menaces à la sous commandement américain des forces de l'OTAN et le gouvernement afghan dans la guerre actuelle en Afghanistan .

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Maulvi Jalaluddin Haqqani

Leadership

Jalaluddin Haqqani
Sirajuddin Haqqani
Badaruddin Haqqani - jeune frère de Sirajuddin
Sangeen Zadran - Selon le Département d'Etat américain, il est lieutenant supérieurs à Sirajuddin et le gouverneur d'ombre pour la province de Paktika, en Afghanistan.
Nasiruddin Haqqani
Abdul Aziz Abbasin - Selon le Trésor américain, il est «un commandant clé dans le réseau Haqqani» et sert de «gouverneur taliban de l'ombre Orgun district , la province de Paktika, Afghanistan ».
Haji Khan Mali - Selon l'OTAN, il est «le principal Haqqani commandant en Afghanistan» et est l'oncle d'Sirajuddin et Badaruddin.
Après Wikileaks Juillet 2010 Publication de 75.000 documents classifiés au public a appris que Sirajuddin Haqqani a été dans l'un palier de l' International Security Assistance Force de l 'ordre de priorité conjointe Effects List-son "tuer ou capturer» la liste. À partir de 2011 au Mali, Haji Khan était le commandant Haqqani hauts intérieur de l'Afghanistan. [/b]

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Contacts préliminaires entre Américains et réseau taliban Haqqani

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Spoiler:

Des émissaires américains ont rencontré l'été dernier des responsables du réseau taliban afghan Haqqani, bête noire de Washington en Afghanistan, avec l'aide des autorités pakistanaises, a révélé vendredi à Islamabad la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.

Ces contacts préliminaires ont eu lieu avant une série d'attaques contre les intérêts américains en Afghanistan dont Washington soupçonne qu'elles ont été organisées par le réseau Haqqani.
Les Etats-Unis ont depuis durci leur discours et leurs opérations contre ce groupe taliban.
"Le gouvernement pakistanais a aidé à organiser une rencontre" entre les Américains et le réseau Haqqani, a déclaré Mme Clinton lors d'une table ronde avec des médias pakistanais, après laquelle elle a quitté le Pakistan. Elle était attendue dans la soirée au Tadjikistan, puis ce week-end en Ouzbékistan.

"Nous ne sommes pas en négociations", a-t-elle toutefois tempéré. "Nous avons juste eu une rencontre préliminaire pour voir s'ils venaient".
Selon un responsable américain qui accompagnait Mme Clinton, la rencontre a été organisée "l'été dernier" par les services secrets pakistanais (Inter-Services Intelligence, ou ISI) et à leur demande.
Mme Clinton a indiqué ne voir "aucune contradiction" dans la stratégie américaine vis-à-vis des rebelles afghans, que Washington continue à combattre tout en les invitant à la table des négociations pour mettre fin à un sanglant conflit vieux de plus de dix ans.
Le réseau Haqqani, fondé dans les années 1980 par le chef de guerre afghan Jalaluddin Haqqani pour combattre l'invasion soviétique, a ensuite rallié le régime des talibans, et les a suivis dans leur rébellion après qu'ils eurent été chassés du pouvoir par les Occidentaux à la fin 2001.
La secrétaire d'Etat a ajouté vouloir "plus de coordination entre les Etats-Unis, le Pakistan et l'Afghanistan pour faire en sorte que les Afghans" puissent eux-mêmes mettre fin au conflit.
"Nous pensons avoir aujourd'hui l'occasion de commencer à parler", même s'"il n'y a aucune garantie que ces discussions permettront d'aller vers une résolution pacifique du conflit", a-t-elle poursuivi.
"Nous allons continuer à combattre où cela est nécessaire pour protéger nos intérêts, tout comme l'armée pakistanaise, car nous ne pouvons pas permettre aux terroristes de gagner du terrain".
"Mais nous sommes également ouverts au dialogue. Nous avons déjà parlé au (commandement central des) talibans, nous avons parlé au réseau Haqqani, pour pouvoir tester leur volonté et leur sincérité", a-t-elle ajouté.
"Et nous travaillons entre nous -- Afghanistan, Pakistan et Etats-Unis -- pour tenter de bâtir ensemble un processus qui puisse nous mener à des négociations. Les responsables pakistanais avec lesquels j'ai parlé ont la même vision que nous. Nous ne savons pas si cela va marcher, mais nous croyons fortement que nous devons tenter le coup".
Selon le responsable américain de la suite de Mme Clinton, "les Afghans étaient au courant" de la rencontre avec Haqqani "et notre message a été clair: 'la porte est ouverte à ceux qui le veulent, mais nous sommes prêts à combattre ceux qui veulent continuer à se battre'". Washington a "plusieurs fers au feu" pour tenter d'amener les talibans vers la paix, a-t-il affirmé.

AFP

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