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Guerre civile de Côte d'Ivoire
algeriedrs :: Zones de conflits dans le monde :: Conflits, tensions, guerre et terrorisme :: Révolutions, Guerres et batailles
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Guerre civile de Côte d'Ivoire
Crise politico-militaire en Côte d'Ivoire
La crise politico-militaire en Côte d'Ivoire commence le 19 septembre 2002, un début de solution se profile le 24 janvier 2003 avec la signature de l’Accord de Linas-Marcoussis. Cependant, une brusque crispation en novembre 2004 remet en cause toutes les avancées obtenues. Une promesse de règlement final se dessine enfin avec la signature de l’Accord politique de Ouagadougou le 4 mars 2007.
Le 19 septembre 2002, des soldats rebelles venus du Burkina Faso tentent de prendre le contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo. Ils échouent dans leur tentative de prendre Abidjan mais parviennent à occuper les deux autres villes, respectivement dans le centre et le nord du pays.
La rébellion qui prendra plus tard le nom de "Forces Nouvelles" occupe progressivement la moitié nord du pays, le coupant ainsi en deux zones géographiques distinctes : le sud tenu par les Forces Armées Nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) et le nord tenu par les Forces Armées des Forces Nouvelles (FAFN).
Forces en présence
Trois grandes composantes armées sont en présence sur le territoire ivoirien :
Les forces de l'État de Côte d'Ivoire :
les Forces armées nationales de Côte d'Ivoire (FANCI) qui sont les forces officielles, également appelées loyalistes, constituées et équipées pour l'essentiel depuis l'indépendance du pays en 1960 ;
elles sont renforcées par des supplétifs ivoiriens et probablement non ivoiriens ;
Les forces rebelles :
les Forces armées des forces nouvelles (FAFN), qui sont les forces de la rébellion, tiennent 60% du pays, avec environ 7 000 hommes armés (chiffre variable, en fonction des va-et-vient d'une partie de ces hommes avec le Libéria) constituées et équipées pour l'essentiel depuis le début de la crise en 2002 ;
elles sont renforcées par des supplétifs ivoiriens et probablement non ivoiriens dont de nombreux chasseurs traditionnels (Dozo) ;
Les forces de maintien de la paix :
les forces de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) ;
les forces françaises : le 43e BIMa et les troupes envoyées dans le cadre de l'opération Licorne et sous mandat de l'ONU (Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire), soit 3 000 hommes en février 2003 et 4 600 en novembre 2004 ;
les soldats de la CEDEAO, les Casques blancs, eux aussi sous mandat de l'ONU.
L'État bénéficie de l'appui des Jeunes patriotes, groupe nationaliste accusé de violences contre des ressortissants français, après l'assassinat présumé de 67 civils ivoiriens par les Forces françaises Licorne. Issu, comme Soro Guillaune, de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), Charles Blé Goudé, le chef des "Jeunes patriotes" est acquis à la politique du président Laurent Gbagbo.
La crise politico-militaire en Côte d'Ivoire commence le 19 septembre 2002, un début de solution se profile le 24 janvier 2003 avec la signature de l’Accord de Linas-Marcoussis. Cependant, une brusque crispation en novembre 2004 remet en cause toutes les avancées obtenues. Une promesse de règlement final se dessine enfin avec la signature de l’Accord politique de Ouagadougou le 4 mars 2007.
Le 19 septembre 2002, des soldats rebelles venus du Burkina Faso tentent de prendre le contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo. Ils échouent dans leur tentative de prendre Abidjan mais parviennent à occuper les deux autres villes, respectivement dans le centre et le nord du pays.
La rébellion qui prendra plus tard le nom de "Forces Nouvelles" occupe progressivement la moitié nord du pays, le coupant ainsi en deux zones géographiques distinctes : le sud tenu par les Forces Armées Nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) et le nord tenu par les Forces Armées des Forces Nouvelles (FAFN).
Forces en présence
Trois grandes composantes armées sont en présence sur le territoire ivoirien :
Les forces de l'État de Côte d'Ivoire :
les Forces armées nationales de Côte d'Ivoire (FANCI) qui sont les forces officielles, également appelées loyalistes, constituées et équipées pour l'essentiel depuis l'indépendance du pays en 1960 ;
elles sont renforcées par des supplétifs ivoiriens et probablement non ivoiriens ;
Les forces rebelles :
les Forces armées des forces nouvelles (FAFN), qui sont les forces de la rébellion, tiennent 60% du pays, avec environ 7 000 hommes armés (chiffre variable, en fonction des va-et-vient d'une partie de ces hommes avec le Libéria) constituées et équipées pour l'essentiel depuis le début de la crise en 2002 ;
elles sont renforcées par des supplétifs ivoiriens et probablement non ivoiriens dont de nombreux chasseurs traditionnels (Dozo) ;
Les forces de maintien de la paix :
les forces de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) ;
les forces françaises : le 43e BIMa et les troupes envoyées dans le cadre de l'opération Licorne et sous mandat de l'ONU (Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire), soit 3 000 hommes en février 2003 et 4 600 en novembre 2004 ;
les soldats de la CEDEAO, les Casques blancs, eux aussi sous mandat de l'ONU.
L'État bénéficie de l'appui des Jeunes patriotes, groupe nationaliste accusé de violences contre des ressortissants français, après l'assassinat présumé de 67 civils ivoiriens par les Forces françaises Licorne. Issu, comme Soro Guillaune, de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), Charles Blé Goudé, le chef des "Jeunes patriotes" est acquis à la politique du président Laurent Gbagbo.
Syfou- Adminstrateur
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Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Guerre civile de Côte d'Ivoire
Origine du conflit
Le règne de Félix Houphouët-Boigny
Sous la présidence de Félix Houphouët-Boigny (de 1960 jusqu'à sa mort en 1993), la Côte d'Ivoire est un pays très bien intégré dans le commerce mondial. Les principales recettes de l'État viennent de l'exportation de matières premières produites dans la zone forestière, notamment le cacao (dont la Côte d'Ivoire est le premier producteur mondial), le café et le coton mais également le gaz naturel.
Ce commerce extérieur a permis au pays de se développer et aux citoyens d'avoir un bon niveau de vie. Ce paradis économique et social, dans une Afrique pauvre, attire de nombreux immigrants des pays voisins. C'est ainsi que, notamment, les Burkinabè et Guinéens furent nombreux à s'établir dans la zone forestière au sud du pays. D'abord comme ouvriers sur les chantiers forestiers, dans les usines et villes de la côte, dans les plantations industrielles et individuelles, ils sont devenus par la suite producteurs agricoles pour certains.
Vers la fin du règne d'Houphoët-Boigny, dans les années 1990, la Côte d'ivoire connut des soubresauts liés à la transition du régime de parti unique à un régime multipartisan. À sa mort, le pays entra dans une crise multiforme. Ses successeurs n'avaient pas son aura et ils ne surent faire face ni aux difficultés économiques dues pour une grande part à la dégradation des termes de l'échange entre pays du tiers monde et pays développés, ni aux difficultés politiques.
Le concept d'ivoirité et son application politique
Le 8 décembre 1994, une révision du Code électoral impose aux candidats à la présidence de prouver leur ascendance ivoirienne, garante de leur citoyenneté, alors que pendant la période Houphouët-Boigny, les cartes d’identité leur avaient été largement distribuées.
Le 26 août 1995, Henri Konan Bédié, alors président depuis la mort d'Houphouët-Boigny, réintroduit le concept d'ivoirité. Selon lui, ce concept permet à la Côte d'Ivoire de mieux préserver son identité. Cela lui permet également d'évincer son principal rival, Alassane Ouattara originaire du nord dont les parents sont Burkinabé.
Ce rejet d'Alassane Ouattara s'appuyait sur le rejet ancien du dioula, l'homme du Nord pour les Ivoiriens de la côte et du centre. À une différence ethnique s'ajoute en effet une différence de religion : les Ivoiriens du Nord, majoritairement musulmans, sont soupçonnés de ne pas être Ivoiriens et sont donc rejetés par les Ivoiriens du Sud, majoritairement chrétiens. Les populations du Nord et du centre, notamment les Malinkés, ont des patronymes identiques à ceux des immigrés de même ethnie provenant des pays voisins. Ceux qui sont dans cette situation subissent toutes sortes d'injustices. Certains voient leurs pièces d'identité détruites par les forces de l'ordre. Ils n'obtiennent plus de carte d'identité, de passeport et ne peuvent ni avoir de certificat de nationalité ni voter. Malgré le fait que certains Ivoiriens du Sud (notamment les Akans) possèdent aussi des patronymes identiques à certains peuples immigrés (Ghana, Togo et Libéria), ils ne subissent pas le même sort.
L'apparition du concept d'ivoirité s'explique essentiellement par la crise économique que connaît la Côte d'Ivoire depuis le milieu des années 1980. En effet, cette réaction xénophobe est apparu lorsque l'économie de ce pays a cessé de créer massivement des emplois. Cette situation n'a pas sensiblement réduit les flux migratoires provenant des pays musulmans pauvres et surpeuplés du Sahel. Le but de l'ivoirité semble être avant tout d'empêcher les populations étrangères, qui peuvent rentrer dans ce pays sans visa, de participer à la compétition pour le pouvoir politique et d'accéder aux emplois de la fonction publique. En effet, les étrangers représentaient 26% de la population en 1998.
Le 22 octobre 1995, contre un seul candidat (les autres candidats sont refusés par la Cour suprême ou ont boycotté l'élection), Henri Konan Bédié est élu président de la Côte d'Ivoire avec 96,44% des voix. Fort de ce succès, il effectue en 1998 une réforme de la propriété foncière avec l'appui de tous les partis politiques, y compris celui d'Allassane Ouattara. Avec cette réforme, seuls les Ivoiriens de souche peuvent détenir des terres.
Le 24 décembre 1999, Henri Konan Bédié est renversé par l'armée, non pas à cause du concept d'ivoirité mais pour une réforme de la Constitution qui lui aurait permis de se présenter jusqu'à l'âge de 75 ans. Le concept d'ivoirité disparaît mais la tentation xénophobe persiste.
Le général Robert Guéï est placé au pouvoir jusqu'à la tenue de nouvelles élections, l'ivoirité reste utilisée dans la politique du pays pour limiter la vie sociale des « Ivoiriens d'origine douteuse ». C'est dans ces conditions que le 23 juillet 2000, une nouvelle Constitution est adoptée par référendum, tous les partis politiques ayant appelé à voter pour. Elle stipule que seul les Ivoiriens nés de parents ivoiriens peuvent se présenter à une élection présidentielle. Une vaste « campagne d'identification », destinée à définir la véritable citoyenneté des Ivoiriens, est entamée. Cette nouvelle Constitution n'empêche pas Alassane Ouattara de se déclarer candidat à l'élection présidentielle.
Le règne de Félix Houphouët-Boigny
Sous la présidence de Félix Houphouët-Boigny (de 1960 jusqu'à sa mort en 1993), la Côte d'Ivoire est un pays très bien intégré dans le commerce mondial. Les principales recettes de l'État viennent de l'exportation de matières premières produites dans la zone forestière, notamment le cacao (dont la Côte d'Ivoire est le premier producteur mondial), le café et le coton mais également le gaz naturel.
Ce commerce extérieur a permis au pays de se développer et aux citoyens d'avoir un bon niveau de vie. Ce paradis économique et social, dans une Afrique pauvre, attire de nombreux immigrants des pays voisins. C'est ainsi que, notamment, les Burkinabè et Guinéens furent nombreux à s'établir dans la zone forestière au sud du pays. D'abord comme ouvriers sur les chantiers forestiers, dans les usines et villes de la côte, dans les plantations industrielles et individuelles, ils sont devenus par la suite producteurs agricoles pour certains.
Vers la fin du règne d'Houphoët-Boigny, dans les années 1990, la Côte d'ivoire connut des soubresauts liés à la transition du régime de parti unique à un régime multipartisan. À sa mort, le pays entra dans une crise multiforme. Ses successeurs n'avaient pas son aura et ils ne surent faire face ni aux difficultés économiques dues pour une grande part à la dégradation des termes de l'échange entre pays du tiers monde et pays développés, ni aux difficultés politiques.
Le concept d'ivoirité et son application politique
Le 8 décembre 1994, une révision du Code électoral impose aux candidats à la présidence de prouver leur ascendance ivoirienne, garante de leur citoyenneté, alors que pendant la période Houphouët-Boigny, les cartes d’identité leur avaient été largement distribuées.
Le 26 août 1995, Henri Konan Bédié, alors président depuis la mort d'Houphouët-Boigny, réintroduit le concept d'ivoirité. Selon lui, ce concept permet à la Côte d'Ivoire de mieux préserver son identité. Cela lui permet également d'évincer son principal rival, Alassane Ouattara originaire du nord dont les parents sont Burkinabé.
Ce rejet d'Alassane Ouattara s'appuyait sur le rejet ancien du dioula, l'homme du Nord pour les Ivoiriens de la côte et du centre. À une différence ethnique s'ajoute en effet une différence de religion : les Ivoiriens du Nord, majoritairement musulmans, sont soupçonnés de ne pas être Ivoiriens et sont donc rejetés par les Ivoiriens du Sud, majoritairement chrétiens. Les populations du Nord et du centre, notamment les Malinkés, ont des patronymes identiques à ceux des immigrés de même ethnie provenant des pays voisins. Ceux qui sont dans cette situation subissent toutes sortes d'injustices. Certains voient leurs pièces d'identité détruites par les forces de l'ordre. Ils n'obtiennent plus de carte d'identité, de passeport et ne peuvent ni avoir de certificat de nationalité ni voter. Malgré le fait que certains Ivoiriens du Sud (notamment les Akans) possèdent aussi des patronymes identiques à certains peuples immigrés (Ghana, Togo et Libéria), ils ne subissent pas le même sort.
L'apparition du concept d'ivoirité s'explique essentiellement par la crise économique que connaît la Côte d'Ivoire depuis le milieu des années 1980. En effet, cette réaction xénophobe est apparu lorsque l'économie de ce pays a cessé de créer massivement des emplois. Cette situation n'a pas sensiblement réduit les flux migratoires provenant des pays musulmans pauvres et surpeuplés du Sahel. Le but de l'ivoirité semble être avant tout d'empêcher les populations étrangères, qui peuvent rentrer dans ce pays sans visa, de participer à la compétition pour le pouvoir politique et d'accéder aux emplois de la fonction publique. En effet, les étrangers représentaient 26% de la population en 1998.
Le 22 octobre 1995, contre un seul candidat (les autres candidats sont refusés par la Cour suprême ou ont boycotté l'élection), Henri Konan Bédié est élu président de la Côte d'Ivoire avec 96,44% des voix. Fort de ce succès, il effectue en 1998 une réforme de la propriété foncière avec l'appui de tous les partis politiques, y compris celui d'Allassane Ouattara. Avec cette réforme, seuls les Ivoiriens de souche peuvent détenir des terres.
Le 24 décembre 1999, Henri Konan Bédié est renversé par l'armée, non pas à cause du concept d'ivoirité mais pour une réforme de la Constitution qui lui aurait permis de se présenter jusqu'à l'âge de 75 ans. Le concept d'ivoirité disparaît mais la tentation xénophobe persiste.
Le général Robert Guéï est placé au pouvoir jusqu'à la tenue de nouvelles élections, l'ivoirité reste utilisée dans la politique du pays pour limiter la vie sociale des « Ivoiriens d'origine douteuse ». C'est dans ces conditions que le 23 juillet 2000, une nouvelle Constitution est adoptée par référendum, tous les partis politiques ayant appelé à voter pour. Elle stipule que seul les Ivoiriens nés de parents ivoiriens peuvent se présenter à une élection présidentielle. Une vaste « campagne d'identification », destinée à définir la véritable citoyenneté des Ivoiriens, est entamée. Cette nouvelle Constitution n'empêche pas Alassane Ouattara de se déclarer candidat à l'élection présidentielle.
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