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Actualité en afrique centrale
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algeriedrs :: Actualité politique, économique, monétaire, financière, sociale et environnementale :: Actualité politique, sociale et environnementale internationale :: Actualité politique,sociale et environnementale en Afrique
Page 1 sur 1
Actualité en afrique centrale
L'Afrique centrale est une région d'Afrique comprenant le sud du Sahara, l'est du bouclier ouest-africain et l'ouest de la Vallée du Rift.
Elle comprend les pays suivants :
le Burundi
la République centrafricaine
le Tchad
la République démocratique du Congo (Congo-Kinshasa, l'ex-Zaire)
le Rwanda
le Cameroun
la Guinée équatoriale
le Gabon
la République du Congo (Congo-Brazzaville)
L'Angola, et la Zambie — pays de l'Afrique australe — sont parfois considérés comme faisant partie de l'Afrique centrale.
Le fleuve Congo est la plus importante source d'eau de la région.
wikipedia
- Spoiler:
Elle comprend les pays suivants :
le Burundi
la République centrafricaine
le Tchad
la République démocratique du Congo (Congo-Kinshasa, l'ex-Zaire)
le Rwanda
le Cameroun
la Guinée équatoriale
le Gabon
la République du Congo (Congo-Brazzaville)
L'Angola, et la Zambie — pays de l'Afrique australe — sont parfois considérés comme faisant partie de l'Afrique centrale.
Le fleuve Congo est la plus importante source d'eau de la région.
wikipedia
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Age : 38
Emploi/loisirs : Mat
Humeur : Peu importe.
Date d'inscription : 19/12/2008
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Re: Actualité en afrique centrale
RDC : plus de 200 morts dans l’explosion d’un camion-citerne
L’accident s’est produit dans le village de Sauge dans le sud du pays
L’explosion d’un camion-citerne dans la localité de Sauge, en République Démocratique du Congo, a fait plus de 200 morts. Les autorités tentent d’inhumer au plus vite les corps calcinés.
L’incendie d’un camion-citerne vendredi soir dans le village de Sauge, dans le Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo, a fait 220 morts et plus de 150 blessés, rapporte Radio Okapi qui cite des sources provinciales qui se sont exprimées ce samedi. « Il y a eu un accident, un camion-citerne s’est renversé et le pétrole s’est échappé de partout », a indiqué Marcellin Cisambo, gouverneur de la province du Sud-Kivu.
L’explosion a fait des victimes dans les maisons avoisinantes où les gens regardaient les matchs de quarts de finale de la Coupe du monde qui se sont déroulés ce vendredi, notamment celui qui opposait le Ghana et l’Uruguay. Les victimes se comptent aussi parmi les personnes qui se sont précipitées pour recueillir le fioul qui s’écoulait du camion. « Des personnes ont été tuées alors qu’elles tentaient de siphonner du pétrole mais la plupart des victimes se trouvaient chez elles en train de regarder le match (de la Coupe dumonde) », a indiqué le gouverneur de la province du Sud-Kivu. Les causes de l’accident restent inconnues. Plusieurs pistes sont avancées par l’AFP : un excès de vitesse, selon des sources policières, ou l’effondrement d’une partie de la route d’après les témoignages recueillis.
« Eviter que (les) corps se décomposent »
Dans le village de Sange, qui se situe sur la voie reliant la capitale de la province du Sud-Kivu, Bukavu, et la ville d’Uvira, les premiers corps ont commencé à être inhumés. « Nous avons choisi de faire des fosses communes, parce que la plupart de corps, complètement calcinés, ne sont plus identifiables et c’est aussi pour éviter que ces corps se décomposent », a confié le vice-gouverneur de la province, Claude Kibala Nkolde à Radio Okapi. Ce drame intervient quelques jours après la célébration mercredi du cinquantenaire de la RDC.
http://www.afrik.com
L’accident s’est produit dans le village de Sauge dans le sud du pays
L’explosion d’un camion-citerne dans la localité de Sauge, en République Démocratique du Congo, a fait plus de 200 morts. Les autorités tentent d’inhumer au plus vite les corps calcinés.
L’incendie d’un camion-citerne vendredi soir dans le village de Sauge, dans le Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo, a fait 220 morts et plus de 150 blessés, rapporte Radio Okapi qui cite des sources provinciales qui se sont exprimées ce samedi. « Il y a eu un accident, un camion-citerne s’est renversé et le pétrole s’est échappé de partout », a indiqué Marcellin Cisambo, gouverneur de la province du Sud-Kivu.
L’explosion a fait des victimes dans les maisons avoisinantes où les gens regardaient les matchs de quarts de finale de la Coupe du monde qui se sont déroulés ce vendredi, notamment celui qui opposait le Ghana et l’Uruguay. Les victimes se comptent aussi parmi les personnes qui se sont précipitées pour recueillir le fioul qui s’écoulait du camion. « Des personnes ont été tuées alors qu’elles tentaient de siphonner du pétrole mais la plupart des victimes se trouvaient chez elles en train de regarder le match (de la Coupe dumonde) », a indiqué le gouverneur de la province du Sud-Kivu. Les causes de l’accident restent inconnues. Plusieurs pistes sont avancées par l’AFP : un excès de vitesse, selon des sources policières, ou l’effondrement d’une partie de la route d’après les témoignages recueillis.
« Eviter que (les) corps se décomposent »
Dans le village de Sange, qui se situe sur la voie reliant la capitale de la province du Sud-Kivu, Bukavu, et la ville d’Uvira, les premiers corps ont commencé à être inhumés. « Nous avons choisi de faire des fosses communes, parce que la plupart de corps, complètement calcinés, ne sont plus identifiables et c’est aussi pour éviter que ces corps se décomposent », a confié le vice-gouverneur de la province, Claude Kibala Nkolde à Radio Okapi. Ce drame intervient quelques jours après la célébration mercredi du cinquantenaire de la RDC.
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Re: Actualité en afrique centrale
Afrique centrale: Mettre en œuvre l’architecture de paix et de sécurité
La coopération dans ce domaine demeure largement insuffisante une décennie après la demande de l’Union africaine (UA)
Le dernier rapport d’International Crisis Group, est le précurseur d’une série de rapports qui analysent les dimensions régionales de l’insécurité en Afrique et les réponses qui y ont été apportées. Malgré leur soutien officiel à la création d’une architecture régionale de paix et de sécurité, les dirigeants d’Afrique centrale n’ont démontré qu’un engagement limité pour encourager la coopération sécuritaire. Afin de développer l’intégration politique, ils doivent se réinvestir dans la CEEAC, la réformer et fixer des priorités de sécurité claires et précises, ce qui ne peut se faire sans une volonté politique accrue. «L’architecture de paix et de sécurité en Afrique centrale ressemble à une construction inachevée», estime Thierry Vircoulon, le directeur du projet Afrique centrale de Crisis Group. «Les pesanteurs inhérentes à la géopolitique régionale, combinées aux égoïsmes nationaux, rendent la coopération problématique. Leur décryptage est nécessaire pour mesurer le chemin parcouru et les obstacles à franchir pour permettre à la CEEAC d’être plus efficace en matière de gestion des crises et de politiques sécuritaires».
Etablie en 1983 avec la double bénédiction de l’UA et de l’Union européenne (UE), la CEEAC incarnait la volonté de promouvoir le développement économique régional. La spirale de violence qui a enflammé la région dans les années 1990 a tristement souligné la nécessité d’une réponse politique et sécuritaire cohérente au niveau régional. La Communauté a ainsi progressivement étendu son mandat initial à la prévention, gestion et résolution des conflits. Malheureusement, à l’instar de l’intégration économique, les efforts dans le domaine de la coopération politique et sécuritaire n’ont pas produit les résultats escomptés. La coopération entre les Etats d’Afrique centrale demeure à l’état rhétorique. Les dirigeants régionaux doivent définir des objectifs communs et des priorités de sécurité dans une optique de mise en œuvre pratique et de résultats concrets, et les transcrire dans un plan de travail annuel. Cela n’est possible que dans le cadre d’une entité efficace politiquement et financièrement. La gouvernance et le processus décisionnel de la CEEAC doivent être réformés et les Etats membres doivent payer leur contribution.
Ils devront également accroître leur engagement politique en nommant leurs représentants auprès du Comité des ambassadeurs et aux postes de secrétaires généraux adjoints. Les partenaires étrangers, en particulier l’UE, la France et les Etats-Unis, doivent exercer un rôle important en renforçant le Secrétariat général et en soutenant une coordination efficace au sein du Groupe des amis de la CEEAC. «Au cours des prochaines années, le défi fondamental n’est pas tant d’injecter des fonds supplémentaires dans la CEEAC que de conférer un sens politique à une organisation paralysée par le jeu de méfiance, de rivalités et d’hostilités feutrées entre ses membres », analyse Comfort Ero, la directrice du programme Afrique de Crisis Group. «La CEEAC pourrait être une plateforme permettant d’établir la confiance entre les Etats de la région. Si elle est laissée à l’abandon et le sommet des chefs d’Etat continue d’être retardé, les pays d’Afrique centrale continueront de placer leurs propres intérêts au-delà des impératifs de sécurité régionaux».
http://journaldebangui.com
La coopération dans ce domaine demeure largement insuffisante une décennie après la demande de l’Union africaine (UA)
- Spoiler:
- © provincenordkivu.org
Vue des présidents au sommet de la communauté économique des Etats de l’Afrique centrale
Le dernier rapport d’International Crisis Group, est le précurseur d’une série de rapports qui analysent les dimensions régionales de l’insécurité en Afrique et les réponses qui y ont été apportées. Malgré leur soutien officiel à la création d’une architecture régionale de paix et de sécurité, les dirigeants d’Afrique centrale n’ont démontré qu’un engagement limité pour encourager la coopération sécuritaire. Afin de développer l’intégration politique, ils doivent se réinvestir dans la CEEAC, la réformer et fixer des priorités de sécurité claires et précises, ce qui ne peut se faire sans une volonté politique accrue. «L’architecture de paix et de sécurité en Afrique centrale ressemble à une construction inachevée», estime Thierry Vircoulon, le directeur du projet Afrique centrale de Crisis Group. «Les pesanteurs inhérentes à la géopolitique régionale, combinées aux égoïsmes nationaux, rendent la coopération problématique. Leur décryptage est nécessaire pour mesurer le chemin parcouru et les obstacles à franchir pour permettre à la CEEAC d’être plus efficace en matière de gestion des crises et de politiques sécuritaires».
Etablie en 1983 avec la double bénédiction de l’UA et de l’Union européenne (UE), la CEEAC incarnait la volonté de promouvoir le développement économique régional. La spirale de violence qui a enflammé la région dans les années 1990 a tristement souligné la nécessité d’une réponse politique et sécuritaire cohérente au niveau régional. La Communauté a ainsi progressivement étendu son mandat initial à la prévention, gestion et résolution des conflits. Malheureusement, à l’instar de l’intégration économique, les efforts dans le domaine de la coopération politique et sécuritaire n’ont pas produit les résultats escomptés. La coopération entre les Etats d’Afrique centrale demeure à l’état rhétorique. Les dirigeants régionaux doivent définir des objectifs communs et des priorités de sécurité dans une optique de mise en œuvre pratique et de résultats concrets, et les transcrire dans un plan de travail annuel. Cela n’est possible que dans le cadre d’une entité efficace politiquement et financièrement. La gouvernance et le processus décisionnel de la CEEAC doivent être réformés et les Etats membres doivent payer leur contribution.
Ils devront également accroître leur engagement politique en nommant leurs représentants auprès du Comité des ambassadeurs et aux postes de secrétaires généraux adjoints. Les partenaires étrangers, en particulier l’UE, la France et les Etats-Unis, doivent exercer un rôle important en renforçant le Secrétariat général et en soutenant une coordination efficace au sein du Groupe des amis de la CEEAC. «Au cours des prochaines années, le défi fondamental n’est pas tant d’injecter des fonds supplémentaires dans la CEEAC que de conférer un sens politique à une organisation paralysée par le jeu de méfiance, de rivalités et d’hostilités feutrées entre ses membres », analyse Comfort Ero, la directrice du programme Afrique de Crisis Group. «La CEEAC pourrait être une plateforme permettant d’établir la confiance entre les Etats de la région. Si elle est laissée à l’abandon et le sommet des chefs d’Etat continue d’être retardé, les pays d’Afrique centrale continueront de placer leurs propres intérêts au-delà des impératifs de sécurité régionaux».
http://journaldebangui.com
Syfou- Adminstrateur
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Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
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Localisation : Dans un autre repère !
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