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    Enlèvement ou prise d'otages

    2 participants

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    Personne à contacter Enlèvement ou prise d'otages

    Message par Syfou Jeu 16 Sep - 22:13

    Enlèvement

    Un enlèvement, rapt ou kidnapping est l'action qui consiste à s'emparer de quelqu'un ou à le détenir, contre sa volonté, généralement par la force. Lorsque le but de l'enlèvement est politique ou qu'il a lieu dans un contexte guerrier on parle de prise d'otages.

    Origine du mot kidnapping

    L'anglicisme kidnapping vient de kidnap, composé de kid (enfant) et nap, variante de nab signifiant familièrement choper, cueillir dans le sens d'enlever, arrêter. Ce mot était initialement utilisé dans les colonies américaines pour désigner le vol des enfants qui servaient de domestique et de travailleurs.

    Rançon

    Les enlèvements ont souvent pour but d'échanger la personne contre une rançon, généralement de l'argent. Certaines régions du monde sont particulièrement touchées par les enlèvements comme l'Irak, la Colombie ou Haïti. Pour l'année 2007, la police mexicaine a enregistré 438 enlèvements contre rançon, mais le chiffre réel serait plus élevé, car beaucoup de ces enlèvements ne sont pas signalés.

    Enlèvement d'enfant

    Il existe plusieurs formes différentes d'enlèvement d'enfant.

    Un inconnu enlève un enfant pour des buts criminels.
    Un inconnu enlève un enfant ou plus généralement un bébé pour qu'il devienne son propre enfant.
    Un parent empêche l'autre parent de voir son enfant, souvent suite à un divorce, allant parfois dans un autre pays.
    Un inconnu enlève un enfant pour le violer.

    Législation

    En France, selon l'article 224-1 du code pénal, « Le fait, sans ordre des autorités constituées et hors les cas prévus par la loi, d'arrêter, d'enlever, de détenir ou de séquestrer une personne, est puni de vingt ans de réclusion criminelle ».
    Selon l'article 224-2 du même code, « L'infraction prévue à l'article 224-1 est punie de trente ans de réclusion criminelle lorsque la victime a subi une mutilation ou une infirmité permanente provoquée volontairement ou résultant soit des conditions de détention, soit d'une privation d'aliments ou de soins. »
    Selon le même aliéna, « Elle est punie de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'elle est précédée ou accompagnée de tortures ou d'actes de barbarie ou lorsqu'elle est suivie de la mort de la victime. »
    Ces peines pouvant être assorties d'une période de sureté définie par les deux premiers alinéas de l'article 132-23 du même code.

    Otage

    Un otage est une personne retenue prisonnière par un preneur d'otage, et dont la vie sauve et la libération dépendent d'une exigence à remplir par une tierce partie. Les armées en guerre ont souvent, par le passé, recouru à cette pratique en territoire ennemi pour assurer la sécurité de leurs troupes ou réprimer des actes hostiles. Ce fut notamment le cas durant les deux Guerres mondiales.

    Quand le motif est apolitique et ne vise qu'à l'obtention d'une rançon, on parle d'enlèvement, de kidnapping ou de rapt. Dans d'autres cas, il s'agit d'une forme de terrorisme visant à la libération de prisonniers, à la livraison d'armes, à l'impunité des ravisseurs.

    Otages utilisés comme boucliers humains

    Au cours d'un conflit armé, les otages sont considérés comme des boucliers humains quand ils sont placés en avant des combattants de façon à mettre ceux-ci à l’abri, ou mis dans des convois militaires, trains, navires etc. et dans des lieux jugés stratégiques afin d'éviter leur attaque ou leur bombardement.

    Une population est « prise en otage » quand des combattant sont dissimulés dans des zones civiles ; il s’agit là aussi de boucliers humains.

    Otages dans l'Antiquité

    Dans l'Antiquité, des otages étaient parfois offerts à un autre État pour garantir un traité. Trop impopulaire, cette pratique ne semble pas s'être maintenue.

    Otages pendant la guerre civile russe (1918-1921)

    En décembre 1920, la révolution russe est confrontée à une forte résistance, la guerre civile est partout. Le gouvernement des soviets annonce dans la Pravda et les Izvestia qu'il considère ses prisonniers de la Garde blanche et des groupes Savinkov et Wrangel comme des otages : en cas d'attaque contre les chefs des soviets, ils seront « exterminés sans merci ». Lisant cela, Pierre Kropotkine, l'anarchiste, s'adresse aussitôt à Lénine : « Respecté Vladimir Iltich, n'y a-t-il personne autour de vous pour rappeler à vos camarades que de telles mesures sont un retour aux pires périodes du Moyen Âge ? Quiconque se soucie de l'avenir du communisme ne peut y recourir. Personne n'a-t-il expliqué ce qu'est réellement un otage ? Un otage est détenu non pas en punition de quelque crime mais pour exercer un chantage sur l'ennemi avec sa mort. Vos camarades ne comprennent-ils pas que pour les otages et leurs familles, cela équivaut à une restauration de la torture ? N'y verra-t-on pas le signe que vous considérez votre expérience communiste comme un échec et que ce n'est plus tant ce système qui vous est si cher que vous essayez de sauver mais votre propre peau ? »

    Otages étrangers au Liban (1982-1991)

    Durant la guerre du Liban, les enlèvements étaient nombreux touchant la population locale et les étrangers.

    Otages français

    Marcel Carton, diplomate (22 mars 1985 - libéré le 4 mai 1988)
    Marcel Fontaine, diplomate (22 mars 1985 - libéré le 4 mai 1988)
    Jean-Paul Kauffmann, journaliste (22 mai 1985 - libéré le 4 mai 1988)
    Michel Seurat, chercheur au CNRS (22 mai 1985, en même temps que Jean-Paul Kauffmann – l'annonce de son exécution a été faite le 6 mars 1986. Son corps été retrouvé le 24 novembre 2005 dans un chantier de construction à Beyrouth)
    Marcel Coudari (2 mars 1986 – libéré le 11 novembre 1986)
    Camille Sontag, avait 84 ans au moment de son rapt (7 mai 1986 – libéré le 10 novembre 1986)
    Philippe Rochot, journaliste d'Antenne 2, enlevé avec ses trois camarades alors qu'ils filmaient une manifestation du Hezbollah (8 mars 1986 - libéré le 7 juin 1986)
    Georges Hansen, journaliste d'Antenne 2 (8 mars 1986 - libéré le 7 juin 1986)
    Aurel Cornéa, journaliste d'Antenne 2 (8 mars 1986 -libéré le 24 décembre 1986)
    Jean-Louis Normandin, journaliste d'Antenne 2 (8 mars 1986 - libéré le 27 novembre 1987)
    Roger Auque, journaliste (13 janvier 1987 – libéré le 27 novembre 1987)

    Otages américains

    David Dodge, vice-président de l'Université américaine de Beyrouth (AUB) (19 juillet 1982 – libéré le 20 juillet 1983)
    Frank Reiger, professeur à l'AUB (11 février 1984 – libéré le 16 avril 1984).
    Jeremy Levin, journaliste, chef du bureau de CNN (7 mars 1984 – a réussi à s'évader le 18 février 1985).
    William Buckley, chef du bureau de la CIA au Liban (16 mars 1984 – mort probablement en 1985, sous la torture. Ses restes ont été retrouvés le 27 décembre 1991 dans la banlieue sud de Beyrouth).
    Benjamin Weir, pasteur protestant (8 mai 1984 – libéré le 19 septembre 1985).
    Peter Kilburn, bibliothécaire à l'AUB (3 décembre 1984 - assassiné le 18 avril 1986).
    Lawrence Martin Jenco, prêtre catholique, directeur du Catholic Relief Services (9 janvier 1985 – libéré le 24 juillet 1986).
    Terry Anderson, journaliste, chef du bureau Moyen-Orient de l'Associated Press (16 mars 1985 – libéré le 4 décembre 1991).
    David Jacobsen, directeur de l'Hôpital Américain de Beyrouth (28 mai 1985 - libéré le 2 novembre 1986)
    Thomas Sutherland, doyen de la Faculté d'agronomie de l'AUB (9 juin 1985 – libéré le 18 novembre 1991)
    Frank Reed, directeur de la Lebanese International School (9 septembre 1986 – libéré le 1er mai 1990)
    Joseph Cicippio, comptable à l'AUB, enlevé sur le campus (12 septembre 1986 – libéré le 2 décembre 1991)
    Edward Tracy, écrivain (21 octobre 1986 - libéré le 11 août 1991).
    Alann Steen, professeur au Beirut University College (24 janvier 1987 – libéré le 3 décembre 1991).
    Robert Polhill, professeur au Beirut University College (24 janvier 1987 – libéré le 22 avril 1990).
    Jesse Turner, professeur au Beirut University College (24 janvier 1987 – libéré le 21 octobre 1991).
    William Higgins, lieutenant-colonel de la marine américaine, commandant en chef adjoint de l'ONUST, l'Organisation des Nations unies pour la supervision de la trêve (17 février 1988 – sa mort, probablement sous la torture, a été annoncée le 6 juillet 1990. Son corps a été retrouvé le 24 décembre 1991).

    Otages britanniques

    Geoffrey Nash, chercheur (14 mars 1985 – libéré le 28 mars 1985).
    Brian Levick (15 mars 1985 – libéré le 30 mars 1985).
    Alec Collett, journaliste et fonctionnaire à l'UNRWA (25 mars 1985 – son corps a été retrouvé le 18 avril 1986).
    Brian Keenan, anglo-irlandais, professeur à l'AUB, enlevé sur le campus de l'université (11 avril 1986 – libéré le 24 août 1990)
    John McCarthy, journaliste (17 avril 1986 – libéré le 8 août 1991).
    Terry Waite, envoyé spécial de l'archevêque de Canterbury, chef de l'Eglise anglicane, pour négocier la libération de John McCarthy. En dépit des interventions de son Église auprès des autorités iraniennes, il sera l'un des derniers otages à être libérés par le Hezbollah (20 janvier 1987 – 18 novembre 1991).
    Jackie Mann, 77 ans, britannique (12 mai 1989 – libéré le 23 septembre 1991).

    Autres nationalités

    Alberto Molinari, cadre commercial italien, (11 septembre 1985 – son corps n'a jamais été retrouvé).
    Rudolf Cordes, Allemand (17 janvier 1987 - libéré le 12 septembre 1988).
    Alfred Schmidt, Allemand (20 janvier 1987 - libéré le 7 septembre 1987).
    Mitheleshvara Singh, Indien, professeur à l'AUB (24 janvier 1987 – libéré le 3 octobre 1988).

    Otages étrangers en Irak

    Depuis la capitulation du régime de Saddam Hussein en Irak, et sous l'occupation américaine, un très grand nombre d'otages sont pris par diverses factions politiques en guerrilla ou plus souvent encore à des fins crapuleuses. Quelques-uns ont malheureusement été exécutés.

    Otages français

    Le 20 août 2004, deux journalistes français Christian Chesnot, Georges Malbrunot et leur chauffeur iraquien, sont enlevés par l’Armée islamique en Irak, au sud de Bagdad. Une campagne internationale se développe en faveur de la libération des otages : Les représentants des musulmans de France, Le comité des oulémas musulmans (sunnites), Yasser Arafat demandent la libération des deux journalistes français. Une manifestation de soutien a eu lieu le 30 août à Paris. Le 15 septembre 2004, des dizaines de personnes ont manifesté dans les rues de la capitale irakienne pour exiger la libération des deux journalistes français pris en otages.
    Les ravisseurs réclament l’abrogation de la loi sur la laïcité à l’école qualifiée d’«injustice et une agression contre l'islam et la liberté personnelle dans le pays de la liberté présumée». Ils sont finalement libérés le 21 décembre 2004.

    Florence Aubenas et son guide Hussein Hanoun, enlevés le 5 janvier et libérés le 11 juin 2005.
    Bernard Planche, qui travaille pour l'ONG AACCESS dans le secteur économique et social a été enlevé le 5 décembre 2005 par des inconnus armés dans le quartier résidentiel de Mansour, à l'ouest de Bagdad, alors qu'il sortait de chez lui pour aller travailler et libéré le 7 janvier 2006.

    Otages américains

    Nick Berg, homme d'affaires, enlevé en avril 2004, le 11 mai une vidéo d'Al-Qaida en Irak montre sa décapitation.
    Sgt. Keith Maupin, enlevé le 9 avril 2004, présumé mort en juin, considéré comme disparu par l'armée.
    Tom Fox, pacifiste, enlevé le 26 novembre 2005 et retrouvé mort le 9 mars 2006.

    Otages italiens

    Fabrizio Quattrocchi, abattu d'une balle dans la tête le 14 avril 2004. Premier otage occidental assassiné. Ses 3 autres compagnons sont libérés le 8 juin 2004.
    Enzo Baldoni, journaliste, exécuté par l'Armée islamique en Irak le 27 août 2004.
    Simona Toretta et Simona Pari, âgées toutes deux de 29 ans, ont été enlevées le 7 septembre 2004 à Bagdad dans les bureaux de leur ONG, un pont pour Bagdad. Elles ont été libérées le 28 septembre.
    Salvatore Santoro, homme d'affaires exécuté le 16 décembre 2004 par le Mouvement islamique des moudjahidin irakiens.
    Giuliana Sgrena, journaliste à "Il Manifesto", enlevée le 4 février 2005 à Bagdad, à la sortie d'une mosquée où elle était allée interviewer des habitants de Falloujah. Le 16 février, la journaliste demande en larmes le retrait des troupes italiennes dans une vidéo. Elle est libérée le 4 mars, alors que Nicola Calipari, membre des services secrets italiens, est tué par des balles américaines à l'approche de l'aéroport de Bagdad à hauteur d'un barrage américain.

    Otages d'autres nationalités

    Suzanne Osthoff, 43 ans, archéologue allemande et son chauffeur. Ils ont été enlevés le 25 novembre 2005 dans la région de Ninive, dans le nord-ouest du pays. Dans leur message vidéo, les ravisseurs demandent à l'Allemagne de cesser toute collaboration avec le gouvernement irakien et menacent de tuer leurs deux otages. Ils ont été libérés par les ravisseurs le 18 décembre 2005.

    Otages en Territoires Palestiniens

    Otage anglais

    Alan Johnston, journaliste de la BBC à Gaza, fut enlevé par un groupe de terroristes palestiniens le 12 mars 2007 et fut libéré le 4 juillet.

    Otages francais

    Guilad Shalit, franco-israélien, a été enlevé le 25 Juin 2006 à l'âge de 19 ans au sud de Gaza, par les Brigades Ezzedine Al-Qassam (branche armée du Hamas) et par le Comité de résistance populaire et « l'Armée de l'islam », un groupe créé fin 2005 avec l'aide du Hamas et se revendiquant du courant d'al-Qaida.

    Otages en Colombie

    On recense environ 3000 otages en Colombie, que l'on peut classer en deux groupes: « les otages « financiers » – aux mains de divers groupes et libérables contre rançon –, en majorité écrasante et les otages « politiques » – aux mains des FARC et libérables contre un échange de prisonniers. »

    Otages colombiens

    Fernando Araújo (4 décembre 2000 - 31 décembre 2006); après sa libération, a été nommé ministre des Affaires étrangères
    Clara Rojas a été enlevée le 23 février 2002, en compagnie d'Ingrid Betancourt, elle devait être candidate à la vice-présidence de la république. Elle a décidé de rester en compagnie d'Ingrid quand les FARC ont proposé de la relâcher. Elle fut libérée le 10 janvier 2008.

    Otages français

    Aïda Duvaltier: franco-colombienne enlevée en mars 2001 par le groupuscule EPL (Ejército Popular de Liberacion), à l'âge de 67 ans; elle avait insisté pour être enlevée à la place de son mari, malade.[3] Malgré le paiement d'une rançon, elle est retrouvée morte en février 2006.
    .
    Íngrid Betancourt, femme politique franco-colombienne, candidate à la présidence de la république, prise en otage par l'organisation de guerrilla FARC le 23 février 2002 et libérée le 02 juillet 2008.

    Otages célèbres
    Politiques

    les fils de François Ier en otage auprès de Charles Quint pour garantir l'exécution du traité de Madrid.
    Jean II le Bon, roi de France, fait prisonnier après la défaite de Poitiers en 1356.
    Prise d'otages des Jeux olympiques de Munich
    Crise iranienne des otages
    Françoise Claustre, Marc Combe et le Dr Christophe Staewenet, un Allemand sont enlevés le 21 avril 1974 dans le Tibesti (Tchad) par des rebelles menés par Hissène Habré et Goukouni Weddeye. Françoise Claustre ne sera relachée avec son mari Pierre Claustre que le 31 janvier 1977.
    Daniel Pearl, journaliste américain enlevé, puis assassiné à Karachi au Pakistan le 30 janvier 2002.

    « Crapuleux »

    Le bébé de Charles et Anne Lindberg
    le baron Empain
    La petite Mélodie Nakachian

    Economie

    Afin de garantir le "retour au pays" des travailleuses immigrées, le gouvernement des pays d'accueil impose parfois la présence d'enfant laissés au pays de départ.

    Etymologie

    En germanique, "ghil"ou "ghisil", signifie "otage" ou "héritier". Il a donné les prénoms Gilbert, Gilles, Gisèle, Ghislain (ou Guislain). Otage : terme de la famille de hôte, hôtel... (h)ostage. L'otage (souvent un fils, des vassaux) était forcé de loger dans la demeure du vainqueur et garantissait que le vaincu allait appliquer les conditions du traité de paix. Exemple : les fils de François Ier, otages de Charles Quint.

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    Personne à contacter Re: Enlèvement ou prise d'otages

    Message par Syfou Jeu 16 Sep - 22:18

    AFRIQUE :Cinq Français enlevés au Niger par un groupe armé

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Sept personnes travaillant pour le groupe Areva et la société Satom (Vinci), dont cinq ressortissants français, ont été enlevées jeudi 16 septembre au Niger. Les entreprises, le gouvernement français et les autorités nigériennes ont tour à tour confirmé ces informations révélées par le site du journal Le Monde. Les sept employés ont été enlevés par un "groupe armé" qui pourrait compter de sept à trente personnes, d'après le gouvernement nigérien, qui affirme par ailleurs que les deux autres otages sont un Togolais et un Malgache.

    "En l'état de nos informations, sept personnes, dont cinq ressortissants français employés par Areva et Satom, ont été enlevées la nuit dernière dans la région d'Arlit, au Niger", a déclaré, jeudi, le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero. "Tous les services de l'État sont pleinement mobilisés, notamment le centre de crise du ministère des Affaires étrangères ainsi que notre ambassade à Niamey", a-t-il ajouté.

    Renforcement "immédiat" de la sécurité

    "Un certain nombre de dispositions ont été prises, aussi bien militaires que policières, pour rapidement rechercher les victimes ainsi que les auteurs de l'enlèvement sans pour autant compromettre la vie des otages", a déclaré le porte-parole du gouvernement nigérien, Laouali Dan Dah, selon qui les membres du groupe armé "parlaient majoritairement arabe et souvent tamachek", langue des touaregs vivant dans la région. "Après leur forfait, ils ont pris la direction d'Inabangaret", près de la frontière avec l'Algérie et le Mali, a-t-il ajouté.


    Le groupe français Areva, qui exploite des mines d'uranium au Niger, déplore "l'enlèvement, dans la nuit de mercredi à jeudi, de deux salariés travaillant sur le site minier d'Arlit (près de 1.000 km au nord de Niamey)". Les cinq autres personnes kidnappées travaillaient pour Satom, filiale du groupe Vinci de bâtiment et travaux publics, très présente en Afrique et qui travaille comme sous-traitant d'Areva sur le site minier d'Arlit. Les deux entreprises ont annoncé un renforcement "immédiat" des mesures de sécurité pour leurs salariés au Niger.

    Le précédent récent de Michel Germaneau

    Le 19 avril dernier, un Français de 78 ans, Michel Germaneau, qui travaillait pour un projet humanitaire, a été enlevé dans le nord du Niger par un commando d'Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi). Son exécution a été annoncée le 25 juillet par Aqmi. Aqmi a lancé ensuite des menaces contre les intérêts français en France et dans la région, et la France a renforcé ses mesures de sécurité. Dans son dernier conseil aux voyageurs, actualisé sur son site Internet le 31 août, le Quai d'Orsay indiquait : "Les menaces d'Al-Qaeda au Maghreb islamique contre les ressortissants français doivent être prises très au sérieux."

    "Les risques d'enlèvement dans la bande frontalière avec le Mali, tout particulièrement à proximité de la région de l'Azaouagh, restent élevés", ajoutait-il. Il précisait encore que les mines, le brigandage et les grands trafics constituaient "une autre menace sérieuse sur l'ensemble de la zone saharienne de l'Aïr et du Ténéré" et qu'il était "formellement déconseillé de se rendre dans les régions situées au nord de la ligne Ayorou-Ingaï-Agadez-Nguimi". Areva a annoncé le 27 juillet le renforcement de sa vigilance au Niger, où il exploite deux gisements d'uranium et emploie près de 2.500 personnes dont une cinquantaine de Français, après la mort de Michel Germaneau.

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    Personne à contacter Re: Enlèvement ou prise d'otages

    Message par Syfou Dim 26 Sep - 23:25

    Terrorisme et prise d’otages : guerre totale et stratégies nationales

    En assurant qu’il ne prévoit pas d’intervention militaire pour libérer les otages enlevés au Niger et qu’il attend des signes d’AQMI, le gouvernement français annonce son option : la négociation qui débouchera forcément, si elle aboutit, à un paiement de rançon et/ou à une libération de terroristes détenus dans un des pays du Sahel.

    Le décor est planté : Al-Qaïda entend faire des “demandes légitimes” à la France et la France “attend”, selon son ministre de la Défense, “d’entrer en contact avec Al-Qaïda”.
    Autant les puissances occidentales sont engagées dans la lutte contre le terrorisme des attentats, autant elles semblent désarmées dans la lutte contre le terrorisme du kidnapping. L’Allemagne, les Pays-Bas, la Suisse, l’Espagne, la France et, probablement, d’autres États d’Europe ont eu à éprouver cette stratégie. Et tous ont cédé aux conditions des groupes terroristes, quand cela fut possible. L’échec du raid franco-mauritanien monté contre un camp terroriste pour libérer l’otage Michel Germaneau a peut-être définitivement dissuadé les états-majors de l’option militaire. Du moins dans la région du Sahel. Une région qu’il est difficile de déserter, pour la France, au vu des enjeux économiques et géopolitiques qu’elle représente. Dans un tel contexte, le terrorisme islamiste a de beaux jours devant lui et se transformera probablement en simple entreprise de piraterie qui servira à enrichir, pour partie, les éléments des groupes armés et à financer, pour une autre, l’organisation terroriste.
    Les puissances occidentales se retrouveront à assumer deux stratégies : celle de la lutte préventive contre le “terrorisme d’attentats” et celle de la “gestion” du “terrorisme de prise d’otages”.
    Les terroristes, sachant que l’Algérie n’est officiellement pas disposée à faciliter les tractations en vue de paiement de rançons, préféreront opérer plus au Sud, de sorte à pouvoir négocier à partir du Mali, élu plateforme de ses funestes transactions. Déjà, en 2003, une partie des touristes allemands, suisses et néerlandais enlevés par le GSPC a été transférée au Mali à travers l’Algérie avant que des négociations ne s’engagent entre le groupe terroriste et les États concernés.
    Les gouvernements touchés ont visiblement du mal à concevoir quelque riposte à une pratique qui les confronte à leur opinion nationale. La dimension humanitaire des cas de prise d’otages les amène à reconsidérer le principe théorique de lutte antiterroriste qui rejette tout compromis avec le terrorisme. Dans la plupart des démocraties, perturbées par le populisme et le nationalisme opportuniste, le destin de l’otage est autant une cause humanitaire qu’un enjeu de politique intérieure. Les ressortissants européens semblent plus recherchés que les Américains, États-Unis ayant pour ligne de conduite de ne pas marchander la libération de leurs otages.
    La France, plus présente que d’autres au Sahel, fera peut-être les frais de cette adaptation opérationnelle dans laquelle le terrorisme islamiste fait d’une pierre deux coups : il en tire les bénéfices financiers en même temps que les dividendes médiatiques.
    L’absence de doctrine en la matière constitue aujourd’hui une grande faiblesse politique pour la communauté internationale devant l’impératif d’une guerre totale au terrorisme.

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    Personne à contacter Re: Enlèvement ou prise d'otages

    Message par Sphinx Lun 9 Jan - 21:34

    Les deux otages tués au Niger ont-ils été sacrifiés par la France ?

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    Depuis plusieurs mois, Annabelle Delory en est persuadée. On n'a pas fait le maximum pour sauver son frère Vincent, 25 ans, mort brûlé vif au Sahel le 8 janvier 2011, au lendemain de son enlèvement avec son ami Antoine de Léocour, dans un bar du centre-ville de Niamey :

    « De ce que je vois, il y avait moyen de le sauver et j'ai vraiment l'impression qu'on l'a laissé mourir. »

    Les conditions de l'assaut donné par les forces spéciales françaises héliportées à partir de Ouagadougou, dans les broussailles désertiques de la frontière nigéro-malienne, commencent à se préciser.

    Selon le témoignage d'un membre de la même katiba d'AQMI, Mohammed Ould M'Balle, incarcéré à Nouakchott et entendu par le juge d'instruction français Yves Jannier en novembre dernier, les ravisseurs d'Antoine et Vincent étaient au nombre de huit, dans un 4X4 blanc.

    Des zones d'ombre

    Dès l'enlèvement, la Garde Nationale et la Gendarmerie nigériennes sont mobilisées et tentent de rattraper le convoi. La Garde décroche avec un blessé. Le véhicule des ravisseurs roule toute la nuit.

    Au matin, les gendarmes nigériens lancés à leurs trousses sont pris en otage à leur tour, avec leur véhicule de service, à la faveur d'une embuscade qui fait un mort et quatre blessés. Un troisième véhicule, appelé en renfort, rejoint le convoi avec un nombre inconnu d'hommes.

    Le ministre de l'Intérieur du Niger, Ousmane Cissé, qui a cédé son portefeuille à la faveur des élections présidentielles d'avril, se souvient :

    « J'avais donné des consignes à la Garde Nationale et à la Gendarmerie de tout faire pour sauver les otages et de me les ramener vivants. Mon objectif était d'obtenir la libération des otages. Honnêtement, je ne peux pas me mettre à la place des autorités françaises.

    Moi, personnellement, à mon niveau de connaissance, je ne savais pas qu'une intervention était prévue. J'ai appris qu'un assaut avait été donné le lendemain, par hasard. J'ai perdu deux hommes. Ils sont sortis parce que j'avais donné des instructions et malheureusement, ils ne sont pas revenus. Je ne sais pas qui les a tués. Il y a quand même des zones d'ombre, je pense. »

    TF1 n'a pas tout filmé

    En septembre dernier, TF1 a publié une vidéo filmée par un appareil de surveillance de l'armée française et versée au dossier d'instruction. On y voit l'embuscade du matin, les trois véhicules en file indienne puis l'assaut, vers 10H30 : les trois 4X4 s'immobilisent en désordre, sous les arbres, une trentaine de soldats commandos des forces spéciales sont déposés au sol, puis les hélicoptères entrent en action.

    Le véhicule de renfort est détruit. Le 4X4 blanc aussi mais cette séquence n'est pas filmée. La déclassification de cette minute d'image n'a pas été autorisée par le ministre de la Défense. On entend aussi l'ordre de sécurisation du 4X4 blanc, après la destruction du véhicule. « Reçu pour la sécurisation du pick-up blanc mais le pick-up blanc est détruit. » Enfin, on voit s'enfuir à pied au moins sept combattants d'AQMI, qui ne seront pas poursuivis ni inquiétés.

    Vincent Delory n'avait pas succombé aux cinq impacts de balles

    Lors de ce même interrogatoire, publié vendredi par Libération, le Mauritanien Mohammed Ould M'Balle a complété certains trous du récit, tel qu'il l'a entendu raconter par les ravisseurs à leur retour au camp.

    Selon lui, ils ont immédiatement abandonné leurs véhicules pour éviter d'être abattus par les hélicoptères.

    « Fayçal al-Jazaïri se trouvait en compagnie d'un des otages, qu'il tira à une distance pas loin du véhicule. Mais l'otage n'avait plus la force de suivre Fayçal al-Jazaïri dans sa marche. En conséquence, ce dernier l'abattit de plusieurs balles à partir de son arme de kalachnikov. »

    C'est ainsi que mourut Antoine de Léocour, décédé d'une balle à bout touchant, à 200 mètres environ de la scène de l'assaut.

    « Aucun, parmi les éléments de la katiba n'avait retiré le deuxième otage, qui avait brûlé dans le véhicule à bord duquel il se trouvait. Pour ma part, je pense que le véhicule a pris feu suite aux tirs d'une part, et d'autre part en raison de l'existence d'essence à son bord », poursuit le Mauritanien.

    L'autopsie a confirmé que Vincent Delory n'avait pas succombé aux cinq impacts de balles mais bien « aux effets thermiques » de l'incendie. Il gisait à un mètre environ de la voiture. Il semble qu'il a réussi à se glisser hors du véhicule mais pas à échapper au brasier.

    Un commandant « dans l'incapacité d'apporter des précisions »

    Surgissent alors de nouvelles questions. « Pourquoi les hommes des forces spéciales, qui étaient à 30 mètres de mon frère, ne sont-ils pas allés directement sur la voiture ? On ne sait pas. Ils n'ont pas été interrogés par la justice. On nous a dit qu'il y avait des tirs qui venaient. Sur la vidéo, on ne voit qu'un seul tireur. On a appris aussi qu'ils n'avaient pas de gilets pare-balles », raconte Annabelle Delory.

    Qu'est-ce-qui a provoqué l'incendie du 4X4 blanc ?

    « Les militaires qui ont été interrogés ne disent pas grand chose. Ils ont tiré sur le véhicule pour le stopper mais ils ne voyaient rien. Aucun d'entre eux n'a la moindre idée de la raison pour laquelle le véhicule a explosé. »

    Le patron de l'époque du Commandement des opérations spéciales, le général Frédéric Beth, entendu également, est « dans l'incapacité d'apporter des précisions » sur ce point.

    On ne sait pas trop d'ailleurs quel était l'objectif d'Archange Foudroyant. Avec un bilan de six morts - deux gendarmes nigériens, deux otages français et deux hommes d'AQMI – a-t-il été atteint ? Est-ce une réussite, comme l'a estimé l'état-major de l'armée ? Un carnage, un massacre, comme en juge Me Franck Berton, l'avocat de la famille Delory ?

    La justice, d'ailleurs, en jugera-t-elle ? Annabelle Delory en doute :

    « Le juge d'instruction ne clarifiera pas tout ça, non. Personne ne jugera la responsabilité de l'armée. L'armée est juge et partie. Personne n'est juge non plus de la décision politique. L'Etat fait ce qu'il veut. Tout ça, ça nous fait mal. »

    Source:rue89.com
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