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Situation linguistique du soudan du nord
algeriedrs :: Socialisation et l’apprentissage de la vie en société :: Culture individuelle et culture collective :: Sociolinguistique Urbaine dans le monde
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Situation linguistique du soudan du nord
Situation linguistique du soudan du nord
La composition ethnique
La population est composée d’une vingtaine d’ethnies dont la plus importante est celle des Arabes (40 %), suivie des Dinkas (12 %), Béjas (7 %), Hamars, Zandes, Shilluks, Nuers, Mondaris, Lokutos, Nubiens, etc. On recense également une importante communauté de réfugiés (plus d’un million) répartie selon les nationalités suivantes: 55,7 % d'Érythréens, 25,4 % d'Éthiopiens, 14,3 % de Tchadiens, 4,2 % d'Ougandais et 0,4 % de Congolais (Congo-Kinshasa).
Le nord du pays (les deux tiers de la superficie du Soudan) est majoritairement arabophone et musulman (sunnite), tandis que le Sud est majoritairement chrétien et animiste (les religions traditionnelles). Ainsi, le Nord est habité par des populations (environ 23 millions) plus apparentées aux monde arabe, alors que le Sud est constitué de Soudanais (environ six millions) culturellement plus proches des Africains négroïdes.
La composition linguistique
Le Soudan est un pays très multilingue: on y dénombre plus de 125 langues. Le groupe majoritaire est constitué d'arabophones qui parlent l'arabe soudanais, une variété dialectale de l’arabe. On estime qu’entre 50 % à 70 % des habitants du pays parlent cet arabe soudanais, soit comme langue maternelle (51 %) soit comme langue seconde. Ces arabophones sont concentrés sur les rives du Nil, dans la région de la capitale, ainsi que dans la zone frontalière du Tchad. Cela signifie que, pour les Soudanais, la langue officielle, l’arabe classique, n’est jamais utilisée comme idiome maternel, d’autant plus que l’arabe soudanais et l’arabe classique constituent deux langues distinctes.
Les langues du Nord
Les principales langues parlées dans le nord du Soudan sont des langues couchitiques (dont le bédja avec 951 000 locuteurs) et tchadiques (dont le haoussa avec 418 000 locuteurs) appartenant à la famille chamito-sémitique, ainsi que des langues des familles nilo-saharienne (dont le nubien avec 740 000 locuteurs et le fur avec 500 000 locuteurs), nigéro-congolaise (dont le fulfude (90 000 locuteurs) et nigéro-kordofanienne (quelques petites langues en voie d'extinction).
L'anglais
L'anglais est une langue coloniale au Soudan. C'est pourquoi l'anglais a obtenu le double statut de langue officielle et de langue d'enseignement de 1889 jusqu' en 1956, année où le pays a obtenu son indépendance. Par la suite, l'arabe a remplacé l'anglais en tant que langue officielle, mais cette dernière langue a conservé ses prérogatives dans l'enseignement jusqu'en 1966. À partir de cette année-là, l'arabe a remplacé l'anglais dans plus d'une centaine d'établissements d'enseignement au primaire et au secondaire. L'anglais est devenu une langue seconde enseignée aux deux cycles du secondaire et un véhicule d'enseignement dans certaines universités. Même dans les universités où l'anglais était auparavant la langue d'enseignement, l'arabe remplit actuellement cette fonction. C'est aussi à la même époque que le français a été introduit au niveau secondaire.
Depuis 1966, l'anglais a été graduellement remplacé par l'arabe classique.
Le français
Au Soudan, le français représente la deuxième langue européenne après l'anglais. Le français est enseigné aux niveaux secondaire et universitaire, dans les centres culturels français ainsi que dans les établissements privés. Le Soudan a commencé à intégrer le français dans son système d'éducation au cours des années cinquante. En 1955, l'enseignement du français a débuté dans deux universités: l'Université du Caire à Khartoum et l'Université islamique à Omdurman. En 1960, le français fut introduit à la Faculté des lettres de l'Université de Khartoum où le département de français attribue une licence générale ou spécialisée, puis depuis quelques années un programme de maîtrise et de doctorat. Depuis 1965, le français est dispensé à l'École normale supérieure d'Omdurman, qui est devenue en 1974 la Faculté de pédagogie.
De plus, le français a été introduit dans l'enseignement secondaire en 1970; il fait partie des cours cours obligatoires pour les élèves du secondaire. Depuis les dix dernières années, de nombreux établissements privés et plusieurs alliances françaises offrent des cours de français pour adultes. (Haut Conseil de la Francophonie, 1998: p 58). Au cours des dix dernières années, soit depuis les années 2000, force est de constater qu'il existe une augmentation importante du nombre d'établissements privés enseignant le français. Cette situation peut s'expliquer par le fait que le Soudan ressent le besoin de communiquer avec les pays africains francophones voisins. L'intérêt du Soudan pour le français est surtout d'ordre économique : encourager les pays francophones à investir dans le pays. Déjà, de nombreux organismes internationaux et d'établissements d'enseignement privés installés au Soudan emploient le français: la Banque mondiale, la Banque française, la Banque des pays arabes, l'hôtel Méridien, les ambassades des pays francophones, etc. C'est pourquoi le gouvernement soudanais encourage l'apprentissage du français.
Données historico-linguistiques
L'histoire du Soudan se confond avec celle des Arabes et de l'islam, mais la Grande-Bretagne a joué également un rôle important dans la situation actuelle de ce pays aux prises avec une guerre civile .
La politique linguistique coloniale (1898-1956)
En 1898, le Soudan passa sous contrôle de l'Empire britannique, qui hérita alors de la violence et des conflits entre Arabes (au nord) et Négro-Africains (au sud). C’est ainsi que naquit le Condominium anglo-égyptien sur le Soudan. La colonisation britannique, qui perdura jusqu'en 1956, adopta une politique destinée à éviter les tensions entre le Nord et le Sud, et administra le pays comme deux entités distinctes. C'est pourquoi la colonisation britannique fut essentiellement militaire. Le pouvoir fut exercé par le Soudan Political Service, qui adopta une politique en s'appuyant sur les chefferies locales.
Dans le Nord, les Britanniques gérèrent la région selon le modèle connu de l’«administration directe» (Direct Rule), telle que développée dans les colonies du Proche-Orient et en Égypte. Ils mirent en place une structure centralisée et unificatrice, notamment dans l’Administration, la formation des cadres locaux, les réseau de chemin de fer, de télégraphe, etc. Ils imposèrent bien l'anglais dans l'Administration, mais se gardèrent de combattre l'arabe et la religion musulmane. Les cadres soudanais apprirent l'anglais, bien que toute la vie sociale nord-soudanaise continuât de se dérouler en arabe. Les écoles coraniques en arabe furent maintenues. L'anglais ne fut jamais imposé comme seule langue officielle, les membres du Sudan Political Service devaient obligatoirement être arabisants, bien que l'anglais fût la seule langue utilisée par l'Administration. Seule une petite élite soudanaise formée pour servir de cadres à la nation apprenait l'anglais. Les Britanniques favorisèrent le renforcement des relations entre le nord du Soudan et l'Égypte, de telle sorte que la culture égyptienne s'incorpora dans la vie nord-soudanaise.
Cependant, la politique linguistique des Britanniques ne donna pas les résultats escomptés, dans la mesure où, pour l’élite nordiste arabophone et musulmane, l’imposition de l’anglais heurta certaines susceptibilités, car elle voyait en l’arabe et en l’islam des valeurs authentiquement soudanaises.
Les langues de l’éducation
Au Soudan, l'école est gratuite mais non obligatoire. Dans le Nord, les écoles coraniques jouent un rôle de premier plan dans la scolarisation des jeunes tout au cours des six années du primaire. Seulement 50 % des élèves accèdent au secondaire où ils apprennent également l’anglais comme langue seconde, parfois le français. En 1995, on estimait que plus de 40 % de la population nord-soudanaise était analphabète, bien que le pays comptait plusieurs établissements d'enseignement supérieur comme l'Université de Khartoum (fondée en 1956), l'Université islamique d'Omdurman (1912) et l'Université de Juba (1975), cette dernière étant demeurée fermée lors de la guerre civile. La politique gouvernementale à l’égard des établissements supérieurs d’éducation oblige les établissements à enseigner en arabe, mais beaucoup de cours se donnent encore en anglais, notamment à l’Université de Khartoum. À peine 3 % des Soudanais ont aujourd’hui accès à l’université..
http://tlfq.ulaval.ca/axl/afrique/soudan.htm
Le 9 juillet 2001, le Soudan du Sud a déclaré son indépendance, séparant en deux la république du Soudan, la partie sud devenant le Soudan du Sud (8,2 millions d'habitants) d'une superficie de 619 745 km², ce qui est plus que la France (547 030 km²).
La composition ethnique
La population est composée d’une vingtaine d’ethnies dont la plus importante est celle des Arabes (40 %), suivie des Dinkas (12 %), Béjas (7 %), Hamars, Zandes, Shilluks, Nuers, Mondaris, Lokutos, Nubiens, etc. On recense également une importante communauté de réfugiés (plus d’un million) répartie selon les nationalités suivantes: 55,7 % d'Érythréens, 25,4 % d'Éthiopiens, 14,3 % de Tchadiens, 4,2 % d'Ougandais et 0,4 % de Congolais (Congo-Kinshasa).
Le nord du pays (les deux tiers de la superficie du Soudan) est majoritairement arabophone et musulman (sunnite), tandis que le Sud est majoritairement chrétien et animiste (les religions traditionnelles). Ainsi, le Nord est habité par des populations (environ 23 millions) plus apparentées aux monde arabe, alors que le Sud est constitué de Soudanais (environ six millions) culturellement plus proches des Africains négroïdes.
La composition linguistique
Le Soudan est un pays très multilingue: on y dénombre plus de 125 langues. Le groupe majoritaire est constitué d'arabophones qui parlent l'arabe soudanais, une variété dialectale de l’arabe. On estime qu’entre 50 % à 70 % des habitants du pays parlent cet arabe soudanais, soit comme langue maternelle (51 %) soit comme langue seconde. Ces arabophones sont concentrés sur les rives du Nil, dans la région de la capitale, ainsi que dans la zone frontalière du Tchad. Cela signifie que, pour les Soudanais, la langue officielle, l’arabe classique, n’est jamais utilisée comme idiome maternel, d’autant plus que l’arabe soudanais et l’arabe classique constituent deux langues distinctes.
Les langues du Nord
Les principales langues parlées dans le nord du Soudan sont des langues couchitiques (dont le bédja avec 951 000 locuteurs) et tchadiques (dont le haoussa avec 418 000 locuteurs) appartenant à la famille chamito-sémitique, ainsi que des langues des familles nilo-saharienne (dont le nubien avec 740 000 locuteurs et le fur avec 500 000 locuteurs), nigéro-congolaise (dont le fulfude (90 000 locuteurs) et nigéro-kordofanienne (quelques petites langues en voie d'extinction).
L'anglais
L'anglais est une langue coloniale au Soudan. C'est pourquoi l'anglais a obtenu le double statut de langue officielle et de langue d'enseignement de 1889 jusqu' en 1956, année où le pays a obtenu son indépendance. Par la suite, l'arabe a remplacé l'anglais en tant que langue officielle, mais cette dernière langue a conservé ses prérogatives dans l'enseignement jusqu'en 1966. À partir de cette année-là, l'arabe a remplacé l'anglais dans plus d'une centaine d'établissements d'enseignement au primaire et au secondaire. L'anglais est devenu une langue seconde enseignée aux deux cycles du secondaire et un véhicule d'enseignement dans certaines universités. Même dans les universités où l'anglais était auparavant la langue d'enseignement, l'arabe remplit actuellement cette fonction. C'est aussi à la même époque que le français a été introduit au niveau secondaire.
Depuis 1966, l'anglais a été graduellement remplacé par l'arabe classique.
Le français
Au Soudan, le français représente la deuxième langue européenne après l'anglais. Le français est enseigné aux niveaux secondaire et universitaire, dans les centres culturels français ainsi que dans les établissements privés. Le Soudan a commencé à intégrer le français dans son système d'éducation au cours des années cinquante. En 1955, l'enseignement du français a débuté dans deux universités: l'Université du Caire à Khartoum et l'Université islamique à Omdurman. En 1960, le français fut introduit à la Faculté des lettres de l'Université de Khartoum où le département de français attribue une licence générale ou spécialisée, puis depuis quelques années un programme de maîtrise et de doctorat. Depuis 1965, le français est dispensé à l'École normale supérieure d'Omdurman, qui est devenue en 1974 la Faculté de pédagogie.
De plus, le français a été introduit dans l'enseignement secondaire en 1970; il fait partie des cours cours obligatoires pour les élèves du secondaire. Depuis les dix dernières années, de nombreux établissements privés et plusieurs alliances françaises offrent des cours de français pour adultes. (Haut Conseil de la Francophonie, 1998: p 58). Au cours des dix dernières années, soit depuis les années 2000, force est de constater qu'il existe une augmentation importante du nombre d'établissements privés enseignant le français. Cette situation peut s'expliquer par le fait que le Soudan ressent le besoin de communiquer avec les pays africains francophones voisins. L'intérêt du Soudan pour le français est surtout d'ordre économique : encourager les pays francophones à investir dans le pays. Déjà, de nombreux organismes internationaux et d'établissements d'enseignement privés installés au Soudan emploient le français: la Banque mondiale, la Banque française, la Banque des pays arabes, l'hôtel Méridien, les ambassades des pays francophones, etc. C'est pourquoi le gouvernement soudanais encourage l'apprentissage du français.
Données historico-linguistiques
L'histoire du Soudan se confond avec celle des Arabes et de l'islam, mais la Grande-Bretagne a joué également un rôle important dans la situation actuelle de ce pays aux prises avec une guerre civile .
La politique linguistique coloniale (1898-1956)
En 1898, le Soudan passa sous contrôle de l'Empire britannique, qui hérita alors de la violence et des conflits entre Arabes (au nord) et Négro-Africains (au sud). C’est ainsi que naquit le Condominium anglo-égyptien sur le Soudan. La colonisation britannique, qui perdura jusqu'en 1956, adopta une politique destinée à éviter les tensions entre le Nord et le Sud, et administra le pays comme deux entités distinctes. C'est pourquoi la colonisation britannique fut essentiellement militaire. Le pouvoir fut exercé par le Soudan Political Service, qui adopta une politique en s'appuyant sur les chefferies locales.
Dans le Nord, les Britanniques gérèrent la région selon le modèle connu de l’«administration directe» (Direct Rule), telle que développée dans les colonies du Proche-Orient et en Égypte. Ils mirent en place une structure centralisée et unificatrice, notamment dans l’Administration, la formation des cadres locaux, les réseau de chemin de fer, de télégraphe, etc. Ils imposèrent bien l'anglais dans l'Administration, mais se gardèrent de combattre l'arabe et la religion musulmane. Les cadres soudanais apprirent l'anglais, bien que toute la vie sociale nord-soudanaise continuât de se dérouler en arabe. Les écoles coraniques en arabe furent maintenues. L'anglais ne fut jamais imposé comme seule langue officielle, les membres du Sudan Political Service devaient obligatoirement être arabisants, bien que l'anglais fût la seule langue utilisée par l'Administration. Seule une petite élite soudanaise formée pour servir de cadres à la nation apprenait l'anglais. Les Britanniques favorisèrent le renforcement des relations entre le nord du Soudan et l'Égypte, de telle sorte que la culture égyptienne s'incorpora dans la vie nord-soudanaise.
Cependant, la politique linguistique des Britanniques ne donna pas les résultats escomptés, dans la mesure où, pour l’élite nordiste arabophone et musulmane, l’imposition de l’anglais heurta certaines susceptibilités, car elle voyait en l’arabe et en l’islam des valeurs authentiquement soudanaises.
Les langues de l’éducation
Au Soudan, l'école est gratuite mais non obligatoire. Dans le Nord, les écoles coraniques jouent un rôle de premier plan dans la scolarisation des jeunes tout au cours des six années du primaire. Seulement 50 % des élèves accèdent au secondaire où ils apprennent également l’anglais comme langue seconde, parfois le français. En 1995, on estimait que plus de 40 % de la population nord-soudanaise était analphabète, bien que le pays comptait plusieurs établissements d'enseignement supérieur comme l'Université de Khartoum (fondée en 1956), l'Université islamique d'Omdurman (1912) et l'Université de Juba (1975), cette dernière étant demeurée fermée lors de la guerre civile. La politique gouvernementale à l’égard des établissements supérieurs d’éducation oblige les établissements à enseigner en arabe, mais beaucoup de cours se donnent encore en anglais, notamment à l’Université de Khartoum. À peine 3 % des Soudanais ont aujourd’hui accès à l’université..
http://tlfq.ulaval.ca/axl/afrique/soudan.htm
Syfou- Adminstrateur
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Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
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