Forces spéciales de l’armée belge

Forces spéciales de l’armée belge



Le SFG est ouvert à tout militaire belge de toutes les armes ayant un minimum 4 années d'expérience.

Une de ses autres missions est la formation d'agents de sécurité employés notamment dans les Ambassades Belges, et mieux connus sous le terme DAS : (Détachement d'Agents de Sécurité)

Il est à noter que, suivant le plan de restructuration de la Défense, l'unité est appelée à déménager vers HEVERLEE à partir 2012.

Le Special Forces Group reprendra les traditions du Régiment de Parachutistes, suite à la dissolution du 1 Bataillon de Parachutistes et aura l'honneur de veiller sur l'étendard désormais confié à sa garde.

L'unité changera d'insigne de béret et arborera dorénavant «l'épée ailée» que portèrent les glorieux anciens du SAS (Special Air Service).

http://www.mil.be/armycomp/units/index.asp?lan=fr&id=587

Les forces spéciales recrutent des soldats d’élite

Les forces spéciales de l’armée belge sont à la recherche de soldats d’élite afin de compléter leurs rangs.

Le groupe des forces spéciales (SFG), une petite unité d’élite de l’armée belge, a lancé une campagne de recrutement afin de combler les vides dans ses effectifs, qui ne s’adresse qu’aux militaires déjà en service, a-t-on appris mardi de sources militaires.

Il organise à cette fin un «Infoday» mercredi dans ses nouvelles installations de Heverlee (Louvain) et espère ainsi attirer une quarantaine de candidats (officiers, sous-officiers et volontaires) pour entamer l’exigeante formation. Avec l’espoir d’en conserver une douzaine en fin de parcours.

Parmi les conditions préalables figurent la possession du niveau de sécurité «Secret OTAN», une bonne condition physique, la capacité de «pouvoir prendre des initiatives» et de «travailler seul ou en petits groupes isolés», la motivation et la disponibilité, indique le site internet de l’unité.

Le SFG compte quelque 130 personnes, dont un certain nombre - confidentiel - de membres pleinement opérationnels à l’issue d’une formation d’au moins deux ans au terme de laquelle ceux qui ne l’avaient pas auparavant doivent obtenir leur brevet para-commando.

L’objectif du ministère de la Défense était voici quelques années de disposer de onze équipes de six équipiers chacune. Mais le SFG peine à atteindre les pleins effectifs, en raison des difficultés de la formation et des contraintes familiales que ce métier implique.

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20121009_00215843