algeriedrs
Bienvenue sur le forum non officiel de l'Etoile Nord-Africaine;

Afin de profiter pleinement de certains sujets sur le forum, merci de vous identifier si vous êtes déjà membre ou de rejoindre notre espace si vous ne l'êtes pas encore.

Corruption en algérie 120px-10

http://www.intervalle-dz.com/


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

algeriedrs
Bienvenue sur le forum non officiel de l'Etoile Nord-Africaine;

Afin de profiter pleinement de certains sujets sur le forum, merci de vous identifier si vous êtes déjà membre ou de rejoindre notre espace si vous ne l'êtes pas encore.

Corruption en algérie 120px-10

http://www.intervalle-dz.com/
algeriedrs
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Sujets similaires
Sondage
Derniers sujets
»  Direction de la Sécurité Intérieure (D.S.I)
Corruption en algérie EmptyVen 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15

» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Corruption en algérie EmptyVen 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15

» National security2 of Algéria
Corruption en algérie EmptyVen 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15

» National security2 of Algéria
Corruption en algérie EmptyLun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15

» Les exercices militaires russo-biélorusse
Corruption en algérie EmptyMer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15

» nouvelle grille de lecture du monde
Corruption en algérie EmptySam 20 Aoû - 18:47 par ZIGHOUD15

» Lobbyisme et démocratie
Corruption en algérie EmptySam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15

» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Corruption en algérie EmptyJeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15

» BRICS
Corruption en algérie EmptyJeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15

» LA MATRICE DU TERRORISME
Corruption en algérie EmptyVen 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15

» Dhû-l-Qarnayn ou le bicornu ....
Corruption en algérie EmptySam 21 Aoû - 22:46 par ZIGHOUD15

» Définition et conception ?!
Corruption en algérie EmptyLun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek

» Gendarmerie Nationale
Corruption en algérie EmptySam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek

» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Corruption en algérie EmptyMer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek

» إنتخابات الجزائر الجددة
Corruption en algérie EmptyMar 24 Sep - 1:02 par Sphinx

» Zouaves ! qui sont ?
Corruption en algérie EmptyDim 22 Sep - 22:22 par Sphinx

» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Corruption en algérie EmptyMar 25 Juin - 22:18 par Sphinx

» Carthage et l'occident ...
Corruption en algérie EmptyVen 21 Juin - 21:38 par Sphinx

» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Corruption en algérie EmptyLun 17 Juin - 23:35 par Sphinx

» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Corruption en algérie EmptySam 6 Oct - 19:16 par Sphinx

» dépenses militaires mondiales
Corruption en algérie EmptyDim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15

» algerian barkhane la citadelle
Corruption en algérie EmptyVen 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15

» cabale
Corruption en algérie EmptyMer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15

Galerie


Corruption en algérie Empty
Mai 2024
DimLunMarMerJeuVenSam
   1234
567891011
12131415161718
19202122232425
262728293031 

Calendrier Calendrier

Connexion

Récupérer mon mot de passe

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Corruption en algérie

+2
cemoi
Mohamed
6 participants

Aller en bas

Personne à contacter Corruption en algérie

Message par Mohamed Lun 1 Mar - 17:59

Département des renseignements généraux RG , les services du DRS : Dossiers de corruption.
Retour sur l’assassinat de Ali Tounsi
Le colonel Chaïb Oultache a été interrogé vendredi dernier, pour une première fois, sur son lit d’hôpital dans le cadre de l’enquête sur un crime dont les causes devraient imposer des bouleversements au niveau de toutes les castes du pouvoir.
C’est de trois balles à la tête que cet ancien responsable de l’aviation militaire a tué, jeudi dernier, le directeur général de la sûreté nationale (DGSN) qui était assis à son bureau, et avait un stylo à la main. Des sources concordantes nous précisaient vendredi dernier que l’arme du crime avait quelque peu bloqué avant qu’elle ne puisse permettre à son détenteur de tirer les trois balles qui ont mis fin à la vie du DGSN. Ce blocage, nous avaient-elles dit, était dû au fait que l’arme du crime n’avait pas servi depuis très longtemps.
On dit d’ailleurs du colonel Oultache qu’il ne portait plus d’armes depuis de longues années. Mais ce jour-là, il l’avait bien en main, disent nos sources. Après avoir tué Ali Tounsi, il a, toujours selon nos sources, ouvert la porte capitonnée du bureau de la victime et a demandé à ce qu’on appelle deux autres responsables de la police dont celui de la sûreté d’Alger. Dès qu’il les a aperçus, il a commencé à tirer mais n’a atteint personne selon nos interlocuteurs. Pris de panique, les deux responsables se sont mis à courir, toujours selon nos sources, pour redescendre les escaliers en toute vitesse. L’on dit que dans cette course-poursuite, le responsable de la sûreté d’Alger est tombé dans les escaliers et s’est blessé à la tête.
Nos sources nous affirment que le colonel Oultache n’a pas retourné l’arme contre lui pour se suicider mais a été neutralisé par des policiers qui ont tiré sur lui alors qu’il poursuivait les deux responsables qui avaient pris leurs jambes à leur cou après avoir compris qu’il était décidé à les tuer eux aussi.
Oultache a été ainsi touché par deux balles, une dans l’abdomen et la seconde dans la cuisse. Evacué dans un état aggravé par des hémorragies de tout ordre, le blessé avait été immédiatement admis au bloc opératoire. Considéré comme la carte maîtresse d’un drame dont le mobile n’est pas simple à cerner, Oultache ne devait surtout pas mourir. Pour des considérations d’urgence absolue et surtout de garanties d’ordre sécuritaire, il a été transporté vers l’hôpital le plus proche de la DGSN. Un hôpital civil, bien éloigné ainsi de celui militaire de Aïn Naâdja ou de celui de la sûreté nationale, aux Glycines.
Toujours selon des sources concordantes, après avoir appris qu’il avait été relevé de ses fonctions par voie de presse, Oultache criait en ce malheureux jeudi, qu’il refusait d’être jeté en pâture, d’être le seul à payer. Des paraboles qui en disent long de l’engrenage dans lequel le pays continue d’être enfoncé.
Le premier interrogatoire
Le colonel Oultache a été interrogé pour la première fois vendredi dernier. L’on nous a précisé ce jour-là que le blessé parlait calmement et sans difficulté. Aucun élément de ce début d’interrogatoire n’a filtré mais aux dires de sources judiciaires, l’on s’attend à des révélations scabreuses.



Depuis que le Département des renseignements généraux a décidé de rendre publics de lourds dossiers de corruption, le pays semble avoir été plongé dans un état second. En effet, l’assurance que devait provoquer en principe, chez les citoyens, ce qui devait être ressenti comme étant de «la clarté et de la transparence dans la lutte contre la corruption», a de suite cédé la place à un sentiment de panique collective. Panique que l’assassinat de Tounsi vient justifier, indéniablement. Pire encore. Entre-temps et au lendemain de l’affaire Sonatrach, la folle rumeur de la constitution «sur instruction du président de la République» d’une commission d’enquête sur les assassinats des années 90 et que des sites Internet ont diffusé, a fait l’objet de commentaires terrifiants.
Sans pour autant confirmer l’information, un haut responsable à la présidence de la République estime que ce serait là la seule manière d’apaiser la mémoire collective après avoir voulu l’amnésier par les effets de mise en œuvre de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. L’on précise, comme lu déjà en ligne, la commission d’enquête en question devrait notamment s’attarder sur l’assassinat de Boudiaf et du général Fodil Saïdi, mort ainsi que son chauffeur, dans un accident de voiture en juin 1996 à Zelfana, dans le centre-est algérien. La victime était dans une voiture aux côtés de Mustapha Kouadri, alors wali de Laghouat. Le véhicule qui les transportait avait été écrabouillé par un camion. Seul Kouadri avait échappé à la mort mais s’en était sorti avec de profondes et graves blessures.
Les chaudes larmes de Zeroual
Nos sources affirment que le général Saïdi devait remplacer l’actuel DRS, Tewfik, de son vrai nom Mohamed Mediene. C’était au temps où Liamine Zeroual était président de la République. Zeroual, nous dit-on, avait pleuré la mort de Saïdi, à chaudes larmes. A cette époque, ceux à qui l’histoire a voulu donner un nouveau identifiant, étaient tous en poste et constituaient aux yeux de l’opinion publique nationale et internationale, le noyau dur du pouvoir et de la prise de décision particulièrement au titre de la lutte antiterroriste. Ce sont ce qu’on appelle «les janviéristes», les hauts responsables militaires de l’armée et de la sécurité militaire qui aujourd’hui sont ou décédés ou à la retraite.
Il est rare que des dossiers de corruption où sont mêlés des noms de hauts dignitaires du régime, aussi proches soient-ils du chef de l’Etat, soient rendus publics et dans le détail. Ou presque. «C’est comme si le pouvoir a fait en sorte de laisser tout le monde se servir à un moment où les caisses de l’Etat débordent d’argent et le nombre des marchés d’achats d’équipement et de réalisation d’infrastructures inscrites dans les deux programmes du président, considérable. L’on dit que les services du DRS ont eu à convoquer les meilleurs experts-comptables du pays pour préciser dans le détail tout ce qui a été consommé comme argent et pris comme commission dans divers secteurs à différents niveaux des hiérarchies. Nos sources évoquent, à cet effet, plus de 8 secteurs devant être fouillés au peigne fin. Evoqué à plusieurs reprises, le changement de gouvernement ne semble pas être sur les tablettes du président, du moins pour l’instant. Il faut croire que tant que les ministres sont en poste, ils ne doivent pas craindre grand-chose à part voir leur nom cité publiquement dans les colonnes de la presse. Ceux concernés doivent croiser chaque matin les doigts pour que ce changement n’ait pas lieu pour, disent nos sources, qu’ils continuent de bénéficier de ce qui leur apparaît comme étant une immunité politique. Immunité qui, faut-il le préciser, n’est contenue dans aucun texte de loi.
L’élite intellectuelle face à la dérive politique
Il faut croire encore une fois que tout est fait pour que les fils de l’écheveau s’enchevêtrent davantage les uns dans les autres, qu’ils ne l’étaient déjà. Aux dernières nouvelles, le chef de l’Etat se trouve actuellement en Suisse au chevet de son frère Mustapha, très malade. Un haut responsable nous racontait jeudi dernier que quand il a été mis au courant de l’assassinat de Tounsi, Bouteflika avait blêmi alors qu’il était déjà affaibli et aussi perturbé par l’état de santé de son frère hospitalisé depuis de longs mois à Genève. Pourtant, il est le seul à détenir le sceau de décisions officielles susceptibles d’être prises pour rendre les temps moins incertains et moins troubles et ce quel qu’en soit le prix.
Au-delà du caractère intenable et inquiétant de la situation qui prévaut dans le pays, il faut reconnaître que le système politique perd progressivement de sa consistance, du moins physique. Déjà, ceux qui constituaient ce que le défunt M’hamed Yazid, cet ancien ministre de l’Information au temps du GPRA, appelait de son vivant, le cabinet noir ou le pouvoir occulte, sont en phase d’extinction naturelle en raison de leur âge avancé, de leur état de santé, ou parfois des deux à la fois. Cependant, il est rare qu’un pays qui regorge de jeunesse comme l’Algérie se laisse prendre dans un tourbillon sans qu’il ne puisse s’assurer une relève politique digne de ce nom. Si les arcanes du pouvoir continuent de dégager les échos de la création d’un parti politique pour Saïd Bouteflika, le frère du président, en prévision de joutes électoraux à venir, ce qui s’apparente à l’opposition semble avoir encore une fois plié l’échine, pendant que l’élite intellectuelle a choisi de se tenir loin des soubresauts d’un magma où les règlements de compte ne feraient que commencer. Une élite qui se doit pourtant d’identifier des pistes pour sortir le pays de la crise dans laquelle il est englué.
Elle se doit surtout d’agir pour rappeler à l’ordre la décision politique dont les dérives sont multiples et exposent le pays au danger. Mais il faut peut-être attendre que cette élite intellectuelle se constitue en tant que telle pour qu’elle puisse paraître comme une véritable force de proposition et agir pour la sauvegarde du pays, avant qu’il ne soit trop tard.

Source:Quotidien d’Oran


Dernière édition par Syfou le Sam 4 Sep - 7:01, édité 3 fois (Raison : Source de l'article)

Mohamed
Membre
Membre

Masculin
Nombre de messages : 10
Age : 47
Date d'inscription : 07/02/2010

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par cemoi Jeu 18 Mar - 9:59

ANALYSE DE VOTRE TEXTE CI HAUT:

1 - "C’est de trois balles....": la presse parle de deux balles l'une à l'oeil l'autre à la bouche!!!!
2- "Ce blocage, nous avaient-elles dit, était dû au fait que l’arme du crime n’avait pas servi depuis très longtemps.": comment est ce possible qu'un colonel utilise une telle arme?
3-"Pris de panique, les deux responsables se sont mis à courir,...": c'est tjours ainsi le responsable à tjours peur .!!!heureusement que les petits sont là "mais a été neutralisé par des policiers "... je ne comprend pas ....votre article est incitatif ??? IL EXPRIME UN MESSAGE BIEN CLAIR...désolé je dois partir

cemoi
Membre
Membre

Masculin
Nombre de messages : 18
Age : 61
Date d'inscription : 08/03/2010

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Syfou Dim 2 Mai - 16:37

Bouteflika s’engage à trancher les mains qui touchent aux deniers publics

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika s’est engagé à poursuivre les corrompus quels que soient leur postes de responsabilité et menacé de les condamner aux plus lourdes peines. Il a, notamment, affirmé que les yeux de l’Etat sont éveillés et ne dorment jamais quand il s’agit de lutte contre le fléau qui nuit à notre économie.

Le président de la République a adressé, avant-hier, un message aux travailleurs algériens à l’occasion de la double fête nationale et internationale des employés, coïncidant au 1er Mai de chaque année. Il a réitéré l’engagement de l’Etat à poursuivre sa guerre contre tous les fléaux qui nuisent à l’économie nationale et les affronter dans le cadre de loi en vigueur.
Dans ce sillage, le président de la République a déclaré: « l’Etat n’épargnera aucun effort pour lutter contre l’ensemble des fléaux qui nuisent à notre économie dans le cadre de la loi, ainsi que tous ceux qui ont osé toucher aux deniers publics », en faisant allusion aux dossiers de corruption qui ont été transférés en justice, l’été dernier, et qui ont fait peur aux opérateurs économiques nationaux et étrangers.
Les mises en garde du président Bouteflika adressées aux « cadres corrompus » interviennent à la veille du lancement du plan d’investissement et de développement du prochain quinquennat 2010-2014, pour lequel une enveloppe financière estimée à 200 milliards de dollars est allouée.
Dans ce cadre, le président de la République a déclaré : « le programme quinquennal 2010-2014 maintiendra les efforts fournis par l’Etat dans les domaines politique et social et consolideront les conditions d’un grand développement et un meilleur pouvoir d’achat en plus de la création d’emplois et de la richesse ». Le président Bouteflika s’est, également, engagé à persister à assainir l’environnement économique au profit des opérateurs économiques qui persistent dans leurs activités dans le respect de la loi et qui participent à multiplier la richesse nationale et créer les postes d’emploi ».

Le président de la République a, également, reconnu que l’Algérie a été affectée par les répercussions de la crise économique et financière mondiale, notamment en ce qui concerne les revenus des exportations. Il a, dans ce cadre, appelé à « réunir toutes nos ressources et consacrer nos efforts pour diversifier et enrichir l’économie nationale », tout en appelant les opérateurs et chefs d’entreprises algériens à suivre l’élan de l’Etat. Il a, notamment, promis d’activer les mécanismes du contrôle permettant de mettre en œuvre le plan en question et l’habilitation des cadres qui se chargeront de son exécution dans les délais déterminés, afin de pouvoir rattraper les retards enregistrés dans l’application du programme quinquennal 2005-2009, en terme de projets et dépenses.

02-05-2010
Par D. Bouâti
Syfou
Syfou
Adminstrateur
Adminstrateur

Masculin
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Syfou Mer 12 Mai - 16:55

Le pain béni du terrorisme

Il en va du terrorisme comme du trafic de drogue et cela se vérifie autant au Pakistan qu’en Afghanistan, en Colombie ou ailleurs : c’est dans les pays dont les économies sont les plus rongées par la corruption que les deux phénomènes prospèrent le mieux.

L’Algérie l’a appris à ses dépens : on ne manipule pas impunément l’islamisme, car il finit toujours par nous exploser à la figure, et quand on s’y empêtre, on n’en sort jamais sans dégâts. Et pendant qu’on s’essaie, plutôt maladroitement, à “tourner la page” et que l’islamisme se redéploie en douceur mais en profondeur dans la société, l’islamisme armé, lui, a déjà développé de nouveaux procédés de recrutement et d’action. Des procédés qui lui sont devenus accessibles grâce au soutien logistique que lui offre Al-Qaïda depuis quelques années déjà, mais devenus possibles, aussi, par la grâce de facteurs strictement internes au pays, dont la corruption galopante.
Il en va du terrorisme comme du trafic de drogue et cela se vérifie autant au Pakistan qu’en Afghanistan, en Colombie ou ailleurs : c’est dans les pays dont les économies sont les plus rongées par la corruption que les deux phénomènes prospèrent le mieux.
Cela se vérifie de même en Algérie, avec cette affaire de détournement de matériel militaire ultramoderne au profit “détonnant” des terroristes qui voudraient en faire usage dans leurs opérations macabres mais aussi au profit “sonnant et trébuchant” d’agents civils ou militaires et d’importateurs véreux.
La corruption, ce n’est pas seulement un fléau qui menace l’économie d’un pays et qui condamne celui-ci au sous-développement perpétuel et ses populations à la pauvreté éternelle. C’est le pain béni du terrorisme par excellence et, au-delà d’un certain seuil, c’est un péril, aussi vrai qu’imminent, pour la sécurité nationale. L’histoire très récente regorge d’exemples de pays anéantis et d’États tombés en ruine pour n’avoir pas su ou voulu combattre la corruption qui gangrénait leurs entreprises et institutions.
La lutte contre la corruption en prend, par conséquent, des allures d’œuvre de survie nationale. Pour autant, elle peine visiblement à se mettre en branle. L’Algérie devra-t-elle attendre d’en faire l’expérience jusqu’au bout ? Quitte à apprendre, toujours à ses dépens, comme elle le fit face à l’islamisme, que la corruption se combat et qu’elle ne s’apprivoise jamais ?

Liberté
Syfou
Syfou
Adminstrateur
Adminstrateur

Masculin
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !

Revenir en haut Aller en bas

L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Droit_De_l'Homme Ven 31 Déc - 4:35

5 cadres de la BDL arrêtés pour dilapidation de 53 millions de DA

Cinq cadres de la Banque de Développement Local (BDL) de la ville d’Illizi, dans le sud d’Algérie, ont été arrêtés et présentés à la justice pour dilapidation de deniers publics et faux en écritures, a appris l’APS mercredi 29 décembre auprès de source judiciaire. Les mis en cause sont accusés d’avoir dilapidé un total de 53 millions de dinars (720 000 euros), alors qu’une expertise approfondie est en cours pour déterminer le montant exact du préjudice causé.

Présentés mardi devant le parquet d'Illizi, sous les chefs d'inculpation de dilapidation de deniers publics et de faux et usage de faux en écritures de banque, les mis en cause ont été écroués, a-t-on précisé à la cellule de communication du tribunal.

L'affaire a éclaté en 2006, après la disparition de l'un des mis en cause de l'agence bancaire locale. Une disparition suspecte qui a amené la direction générale de la Banque à ordonner une inspection au niveau de cette agence, a-t-on expliqué.

Une première enquête, menée par les services de la police judicaire et les chargés de l’inspection de la Banque, a révélé un trou de 13 millions de dinars (175 000 euros), avant que ne soit découvert, quelques jours après, un second trou financier estimé à plus de 40 millions dinars (537 000 euros), a-t-on ajouté.

L’affaire est en cours d’instruction et nécessite une expertise approfondie pour déterminer avec précision le montant du préjudice causé à la banque et la responsabilité de chacun des cinq mis en cause, selon la même source.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Droit_De_l'Homme
Droit_De_l'Homme
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Droit_De_l'Homme Lun 21 Fév - 23:48

Les ex-chefs de la police judiciaire et de la brigade criminelle d’Alger jugés le 28 février



L’ancien chef de la police judiciaire pour Alger, le divisionnaire Messaoud Zayane, et le chef de la brigade criminelle, le commissaire principal Yacine Oussadit, près la sûreté de wilaya d’Alger, seront déférés le 28 février prochain, devant le tribunal correctionnel de Azazga près la cour de Tizi Ouzou.

Poursuivis pour entre autres, de délit de «corruption», ils comparaîtront avec le richissime commerçant de Koléa, (à l’ouest d’Alger), Achour Abderrahmane, par qui le scandale du détournement de 32 milliards de dinars a secoué la BNA (Banque nationale d’Algérie).
Il avait été condamné à une peine de 18 ans de prison dans un premier procès, au cours duquel plusieurs responsables de la BNA, dont l’ancien PDG ont été jugés.
Ainsi, le 28 février prochain, le tribunal de Azazga, aura à juger un autre volet de cette grave affaire où sont impliqués Messaoud Zayane, Yacine Oussadit, auxquels il est reproché d’avoir obtenu des chèques, des sommes d’argent et des «cadeaux» en contrepartie de services rendus au commerçant, à la tête de plusieurs sociétés au nom desquelles des sommes colossales ont été détournées de la BNA, par le jeu de chèques de cavalerie et de traites.
Placé sous mandat de dépôt, il y a près de cinq mois, Messaoud Zayane, aura à s’expliquer sur les fonds qu’il aurait reçu de la part de Achour Abderrahmane et qui auraient servi à l’achat d’une carcasse de villa et d’un salon de coiffure. Pour sa part Yacine Oussadit est poursuivi pour avoir bénéficié de chèques ayant permis l’achat d’un restaurant en plein cœur de la capitale et d’espèces pour l’acquisition d’un appartement, entre 2004 et 2005, alors qu’une enquête sur les présumées malversations de Achour Abderrahmane, déclenchée par la police judiciaire, à la suite d’une lettre de dénonciation, est déclarée «infructueuse».
Mieux, et alors qu’un mandat d’arrêt venait d’être lancé contre Achour Abderrahamane, ce dernier quitte le pays et s’installe au Maroc, d’où il a été extradé, il y a quatre ans.
Des complicités avérées ont été relevées au niveau de la police et pour lesquelles des poursuites judiciaires ont été engagées contre plusieurs officiers de police, dont l’ancien directeur de la clinique de la Sûreté nationale (Les Glycines), le chef de la police judiciaire de Tipasa et son adjoint. Dans ces dossiers, le nom de Messaoud Zayane n’est pas cité. Il aura fallu le scandale du commissaire des RG d’Oran, condamné à une peine de prison pour une supposée affaire de drogue puis relaxé par la suite, et qu’il aille se plaindre auprès de l’ex-ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, pour que l’ex-patron de la police judiciaire d’Alger soit relevé de son poste, puis poursuivi.
Sa révocation des rangs de la police est intervenue le 21 février 2010 et notifiée le
24 du même mois, soit 24 heures avant la mort de Ali Tounsi, son principal allié. Très attendu, le procès de Azazga, va certainement faire tache d’huile….

El Watan, 20 février 2011
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Droit_De_l'Homme
Droit_De_l'Homme
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par abdelmalek Mar 22 Fév - 12:07

il nous faut les incorruptibles, car cette maladie est une affaires d'état sinon il ne faut pas perdre de temps avec des bla bla:la maladie est un cancer qui nous nous permettra jamais de nous développés et au contraire régresser. un logement qui revient a l'état plus 5millions de dinars:il y a quelque chose qui ne va pas.
abdelmalek
abdelmalek
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1145
Age : 76
Emploi/loisirs : médecin
Humeur : sinusoidale
Date d'inscription : 28/03/2009
Localisation : ALGERIENNE

Revenir en haut Aller en bas

L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par abdelmalek Lun 28 Mar - 16:26

je crois du fond du coeur, que la DRS avec une volonté qui existe peut nous apporter une solution qui peut diminuer bcp ce phénoméne mondial: avec des hommes que nous aimerons nommés les meilleurs et bien sur l'état ne doit pas lisiner sur le statut de ces hommes:donc un departement spécialisé polyvalent sur leur pécule important et a léses. le juge anglais :le service du trésor remet un chéquier et dépense a lsa convenance:je crois cette méthode l'état n'aura pas a controler ce serviteur de l'état n'aura pas la folie des grandeur.
abdelmalek
abdelmalek
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1145
Age : 76
Emploi/loisirs : médecin
Humeur : sinusoidale
Date d'inscription : 28/03/2009
Localisation : ALGERIENNE

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Syfou Lun 26 Sep - 2:44

1 352 individus jugés par les tribunaux en 2010

Le chiffre est pour le moins effarant ! Près de 948 affaires liées à la corruption ont été tranchées par les tribunaux en 2010

C’est ce qu’a indiqué, jeudi dernier à Alger, le directeur des Affaires pénales et des grâces au ministère de la Justice, M. Mokhtar Lakhdari. Intervenant lors d’une journée d’information sur le rôle de la société civile dans la lutte contre la corruption, M. Lakhdari a laissé entendre que les tribunaux avaient prononcé des peines contre 1 352 accusés dans 948 affaires liées à la corruption.
Dans le détail, viennent en premier lieu les détournements de deniers publics qui constituent les crimes de corruption les plus répandus avec 475 affaires pour la même année, suivis de l’abus de fonction avec 107 affaires, la corruption de fonctionnaires avec quelque 95 affaires et enfin l’octroi de privilèges injustifiés dans les marchés publics où 79 affaires ont été jugées. Selon les statistiques pénales, les collectivités locales viennent en tête des secteurs touchés par les affaires liées à la corruption avec 146 affaires, suivies par les secteurs de la poste avec 133 affaires, et des banques avec 78 affaires.
M. Lakhdari a indiqué, dans ce contexte, que les statistiques pénales font apparaître une propagation du phénomène de corruption en Algérie et aident à en définir les causes. Il soulignera, toutefois, que les statistiques ne reflètent pas la véritable ampleur du phénomène de corruption.
M. Lakhdari précisera, par ailleurs, que le taux de corruption dans la plupart des pays ne dépasse pas 10% de l’ensemble des crimes, ajoutant que beaucoup d’affaires ne sont pas dévoilées ou dénoncées. Par ailleurs, M. Lakhdari a évoqué les aspects cachés de la corruption qui se traduisent généralement par une richesse excessive, la dilapidation de deniers publics, la mauvaise réalisation des projets publics, le clientélisme et l’opacité en matière de prestations administratives.
Pour la circonstance, M. Lakhdari rappellera que le rapport de l’ONG Transparency International sur les indicateurs de la corruption a placé l’Algérie à la 92e place en 2008, la 111e place en 2009 et la 105e en 2010 sur une liste comprenant 178 pays.
M. Lakhdari a critiqué les rapports de l’ONG qui focalisent sur le critère de corruption passive ainsi que certains aspects liés à l’évasion fiscale et au mouvement illégal de capitaux. Selon des experts, le critère de cette ONG n’est pas exhaustif et trace les contours d’une carte géopolitique de la corruption, laquelle place les pays africains à la tête des pays corrompus ignorant leurs spécificités en tant que pays en voie de développement, estime-t-il encore.
Pour M. Lakhdari, la législation algérienne lutte contre la corruption, le clientélisme et les abus de fonction et les grandes mutations politiques qu’a connues l’Algérie ont toujours été accompagnées de mesures juridiques et judiciaires de lutte contre la corruption.
“L’ouverture économique et l’absence de mécanismes de contrôle ont favorisé l’émergence de nouvelles formes de corruption”, a-t-il souligné, avant d’évoquer les spéculations sur les marchandises importées, les affaires liées au commerce extérieur et aux banques, à l’utilisation de faux registres de commerce et de transfert illégal de devises et de blanchiment d’argent.
Il a également mis en avant les réformes législatives initiées par l’Algérie en matière de lutte contre la corruption, notamment le jumelage des législations pénale et économique et la promulgation de textes de lois pour la lutte contre le trafic de drogue, le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et la corruption. Soulignons enfin que l’Algérie a créé durant la dernière décennie une cellule de traitement des renseignements financiers et procédé à l’adoption de la convention des Nations unies sur la lutte contre la corruption.

Lazhar.D
Syfou
Syfou
Adminstrateur
Adminstrateur

Masculin
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par abdelmalek Lun 26 Sep - 15:55

moi je crois en les hommes de ce pays ,sinon ou allons nous :donc construire un état forts par des hommes a la hauteur de ce peuple:ce n'est pas de la phylo mais on peut danser sur un pied mais sur deux c'est mieux.
abdelmalek
abdelmalek
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1145
Age : 76
Emploi/loisirs : médecin
Humeur : sinusoidale
Date d'inscription : 28/03/2009
Localisation : ALGERIENNE

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter la coruption

Message par abdelmalek Jeu 16 Fév - 11:53

la coruption touche tout le monde même les plus respectueux ,nous avons un virus:dans l'un de ses discourt notre Président de la République avait parler qu'il était u courant de la rançon dans les barrages qu routier pour faire passer les camions de ciment. mais il y a plus les commissions de retrait des permis de couduire :il faut laisser son regard de ce cotés: enfin je salut trés bien ce corps qui est un élément important de la structure de l'état.
abdelmalek
abdelmalek
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1145
Age : 76
Emploi/loisirs : médecin
Humeur : sinusoidale
Date d'inscription : 28/03/2009
Localisation : ALGERIENNE

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Syfou Jeu 7 Juin - 0:40

دائرة الرقاصة في البيض
رئيس مصلحة يضبط متلبسا باستلام رشوة


ضبطت المصالح الأمنية المشتركة بولاية البيض يوم الثلاثاء 5 جوان رئيس مصلحة بدائرة "الرقاصة" متلبسا داخل مكتبه الاداري باستلام رشوة حسب ما ذكره مصدر أمني.
وحسب نفس المصدر فقد تم ضبط هذا الموظف وهو يستلم مبلغا ماليا قدره عشرون ألف دينار في شكل رشوة من طرف مواطن قاطن بنفس البلدية بهدف الاستفادة من إعانة خاصة بالبناء الريفي.
وأوضح المصدر أن العملية تمت بعد نصب كمين محكم وضعته مصالح الدرك الوطني بالبيض بالتنسيق مع الجهات الأمنية المختصة بعد شبهات حامت حول المعني البالغ من العمر 42 سنة والذي كان محل عدد من الشكاوي.
وقد تم وضع المتهم رهن الحبس المؤقت ريثما يتم عرضه أمام الجهات القضائية المختصة للفصل في القضية حسب ما أشار إليه نفس المصدر.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Syfou
Syfou
Adminstrateur
Adminstrateur

Masculin
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Invité Sam 9 Juin - 13:24

c'est une question civisme et de bonne volonté ... si chaque citoyen victime de ce genre de pratiques saurait faire valoir ses droits ..on diminuerait de ce fléau...je salue le citoyen qui a déposé plainte ..
Anonymous
Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par abdelmalek Dim 10 Juin - 14:49

a la réflexion: il est difficile de mettre de l'ordre son la contribution de l'écxole primaire qui forme le citoyen; nous devons avoir le point de dire non et basta, car ce virus mine la société et le futur d'une nation.
abdelmalek
abdelmalek
Adm
Adm

Masculin
Nombre de messages : 1145
Age : 76
Emploi/loisirs : médecin
Humeur : sinusoidale
Date d'inscription : 28/03/2009
Localisation : ALGERIENNE

Revenir en haut Aller en bas

Personne à contacter Re: Corruption en algérie

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum