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Peut-on lutter contre la corruption ?

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Personne à contacter Re: Peut-on lutter contre la corruption ?

Message par Syfou Sam 21 Aoû - 0:43

La première question qui se pose ,est, comment lutté contre cette pratique ? Arrow

Corruption ?

La corruption est la perversion ou le détournement d'un processus ou d'une interaction entre une ou plusieurs personnes dans le dessein, pour le corrupteur, d'obtenir des avantages ou des prérogatives particulières ou, pour le corrompu, d'obtenir une rétribution en échange de sa bienveillance. Elle conduit en général à l'enrichissement personnel du corrompu ou à l'enrichissement de l'organisation corruptrice (groupe mafieux, entreprise, club, etc.). C'est une pratique qui peut-être tenue pour illicite selon le domaine considéré (commerce, affaires, politique...).

Elle peut concerner toute personne bénéficiant d'un pouvoir de décision, que ce soit une personnalité politique, un fonctionnaire, un cadre d'une entreprise privée, un médecin, un arbitre ou un sportif, un syndicaliste ou l'organisation à laquelle ils appartiennent.

On distingue la corruption active de la corruption passive. La corruption active consiste à proposer de l'argent ou un service à une personne qui détient un pouvoir en échange d'un avantage indu. La corruption passive consiste à accepter cet argent. Un exemple classique est celui d'un homme politique qui reçoit de l'argent à titre personnel ou pour son parti de la part d'une entreprise de travaux public et en retour lui attribue un marché public. L'homme politique pourrait être accusé de corruption passive : il a reçu de l'argent, alors que l'entreprise peut, elle, être accusée de corruption active.

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Personne à contacter Re: Peut-on lutter contre la corruption ?

Message par Syfou Sam 21 Aoû - 0:50

Classement des pays les plus corrompus

L’Indice de Perception de la Corruption (IPC) évalue la perception du niveau de corruption affectant les administrations publiques et la classe politique. C’est un indice composite fondé sur différents sondages et enquêtes réalisés par des organismes indépendants. L’IPC 2008 couvre 180 pays, soit un nombre de pays équivalent à celui couvert en 2007. Il classe les pays sur une échelle de 0 (haut degré de corruption perçu) à 10 (faible degré de corruption perçu).

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Le Danemark, la Nouvelle-Zélande et la Suède, obtiennent la note la plus élevée avec 9,3, suivis par Singapour, avec une note de 9,2. En bas du classement, on retrouve Haïti avec 1,4, l’Irak et Myanmar avec 1,3, et enfin la Somalie avec une note de 1.

Bien que, au sein du classement IPC, les notes n’évoluent que lentement d’une année sur l’autre, des différences statistiques significatives ont pu être relevées pour des pays situés en haut et en bas du classement. Si l’on compare les données ayant servi au calcul de l’IPC 2007 et de l’IPC 2008, les notes de la Bulgarie, du Burundi, des Maldives, de la Norvège et du Royaume-Uni enregistrent une baisse importante.

À l’inverse, une amélioration significative par rapport à l’année précédente peut être constatée dans les notes de l’Albanie, Chypre, la Géorgie, Maurice, le Nigeria, Oman, le Qatar, la Corée du Sud, Tonga et la Turquie.

Découvrez le classement complet des pays les plus corrompus dans :

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Personne à contacter Re: Peut-on lutter contre la corruption ?

Message par Syfou Sam 21 Aoû - 0:53

Afrique: Classement des pays les plus corrompus - Le Sénégal perd 14 places

Le nouveau rapport 2009 sur la corruption place le Sénégal à la 99e place sur 180 pays. Le Sénégal recule ainsi de 14 places - il était 85e en 2008. Un rang peu honorable et qui prouve que notre pays a encore beaucoup d'efforts à fournir pour se mettre à l'abri des dangers de la corruption. Le Sénégal est devancé dans ce rapport par une dizaine de pays africains comme le Botswana, le Cap-vert, l'Afrique du Sud, le Ghana ou encore le Burkina Faso et le Maroc.

Le Sénégal occupe la 99e place parmi les pays les plus corrompus du monde et la 16e place au niveau africain. L'Afrique de l'Ouest s'est montrée la région la plus corrompue du continent noir avec la Gambie, le Mali, la Guinée, Guinée-Bissau, la Mauritanie qui se sont illustrés par leur rang qui les rapproche des pays les plus corrompus du monde, avec des indices qui varient entre 3 et 1,8. Cet Indice de perception de la corruption (Ipc) évalue la perception du niveau de corruption affectant l'administration publique et la classe politique dans un pays donné. Il s'agit d'un indice composite, fondé sur 13 enquêtes différentes, réalisées auprès d'entreprises ou d'experts. Comme dans son édition 2008, l'Ipc 2009 attribue un score à 180 pays.

Et selon le rapport publié hier, la grande majorité des pays évalués dans l'indice 2009 obtient une note inférieure à cinq sur une échelle de 0 (haut degré de corruption perçu) à 10 (faible degré de corruption perçu). Les notes les plus élevées sont attribuées à la Nouvelle-Zélande avec 9,4, au Danemark avec 9,3, à Singapour et à la Suède avec 9,2 et à la Suisse avec 9,0. 'Ces pays bénéficient d'une grande stabilité politique, d'une législation bien établie sur les conflits d'intérêt et d'institutions publiques solides et efficaces', explique le rapport publié par Transparency international.

Le Sénégal se trouve dans les pays au milieu du tableau à la 99e place avec 3,3. Il perd ainsi 14 places par rapport au rapport de 2008. Le Sénégal partage ce rang avec la Bosnie Herzégovine, la République Dominicaine, la Jamaïque, Madagascar, Tongon et la Zambie. Avant le Sénégal, on peut cependant trouver des pays africains avec un rang assez acceptable. C'est le cas du Botswana qui se trouve être le pays africain le moins corrompu à la 37 place avec 5,6. Il est suivi entre autres pays africains de l'Ile Maurice, (42e - 5,4), du Cap-Vert (46e -4,7), de l'Afrique Du Sud (55e -4,7), de la Namibie (56e -4,5) de la Tunisie (65e -4,2) du Ghana (69e -3,9), du Burkina Faso (79e -3,6) et du Maroc (89e -3,3).

Mais le Sénégal peu s'enorgueillir d'avoir dépassé beaucoup de pays africains comme le Bénin, la Gambie, le Niger (tous à la 106e place), le Togo, l'Algérie, Djibouti, l'Egypte, le Mali (ex-Ãoequo à la 111e place), la Mauritanie, la Libye, le Nigéria, l'Ouganda (ex Ãoequo 130e place), le Cameroun 146e, la Côte-d'Ivoire154e.

Selon toujours le document, les États 'fragiles et instables, souvent marqués par la guerre, demeurent' en bas du classement. La Somalie obtient ainsi un score de 1,1, l'Afghanistan de 1,3, le Myanmar de 1,4 et le Soudan, au même niveau que l'Irak, de 1,5. Les pays perçus comme les plus corrompus sont donc les Etats meurtris par des conflits récurrents, ayant réduit à néant leur infrastructure de gouvernance. 'Lorsque les institutions sont faibles ou inexistantes, la corruption se développe hors de tout contrôle et le pillage des ressources publiques alimente l'insécurité et le sentiment d'impunité. La corruption conduit également à une perte de confiance qui fragilise les institutions et les gouvernements naissants, chargés d'assurer la stabilité'.

Alors que l'économie mondiale enregistre les premiers signes de reprise, et que des Nations continuent à lutter contre les conflits et l'insécurité, aucune région du monde n'est à l'abri des dangers de la corruption. Telles sont les conclusions de l'Indice de Perception de la Corruption (Ipc) 2009 que Transparency International a publié hier.

L'Indice de Perception de la Corruption 2009 indique que la corruption risque de menacer la reprise économique mondiale.

Transparency International est la principale organisation de la société civile à la tête de la lutte contre la corruption.

MALGRE LES SIGNES DE REPRISE DE L'ENONOMIE MONDIALE : Les résultats de l'indice 2009 jugés inquiétants

'Au moment où des plans de relance très importants sont mis en oeuvre partout dans le monde, parallèlement à des versements massifs de fonds publics et des efforts pour stabiliser la paix, il est indispensable de déterminer en quoi la corruption entrave la bonne gouvernance et l'obligation de rendre des comptes. Il s'agit d'une nécessité si nous voulons briser son cycle vicieux', a déclaré hier Huguette Labelle, Présidente de Transparency International (Ti) au moment de la publication du rapport. 'La lutte contre la corruption nécessite un contrôle fort des Parlements, un appareil judiciaire efficace, des organismes d'audit et de lutte contre la corruption indépendants et disposant de ressources suffisantes, une mise en oeuvre vigoureuse de la loi, une transparence des budgets publics, des aides et des financements et, enfin, une presse indépendante et une société civile énergique', souligne toujours Huguette Labelle. Ce qui lui fait dire que 'la communauté internationale doit inventer des solutions efficaces pour aider les pays déchirés par la guerre à se développer et à soutenir leurs propres institutions.' Une responsabilité partagée par les Etats du Nord. ' Globalement, les résultats de l'indice 2009 sont inquiétants. Ainsi, même les pays industrialisés ne doivent pas être trop confiants : l'offre de corruption et l'utilisation de pots-de-vin sont souvent le fait d'entreprises basées dans ces pays. Certaines juridictions, liées à de nombreux pays en tête du classement, disposent d'un secret financier qui affaiblit grandement les efforts menés pour lutter contre la corruption et permettre le recouvrement des avoirs volés'.

Pour la présidente de Transparency International, 'l'argent de la corruption ne doit pouvoir trouver de refuge nulle part. Nous ne devons plus nous trouver des excuses'.

Le rapport précise que les pots-de-vin, les cartels et les autres pratiques de corruption sapent la concurrence et provoquent une déperdition massive des ressources destinées au développement dans tous les pays, particulièrement dans les plus pauvres.

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Personne à contacter Re: Peut-on lutter contre la corruption ?

Message par Syfou Sam 21 Aoû - 0:59

L’Algérie parmi les pays les plus corrompus au monde

Transparency international a rendu public son Indice de perception de la corruption

L’Algérie régresse à grands pas. L’indice de perception de la corruption (IPC) 2007 rendu public hier, à Berlin et à Londres par Transparency International (TI), démontre que l’Algérie a perdu 15 places par rapport à l’année écoulée.
L’Algérie est à la 99e place sur 179 pays classés (l’IPC comprenait 163 pays en 2006). Sa note est médiocre : 3 sur 10. Selon l’IPC, plus la note est basse, plus la corruption est étendue. Avoir une note de 10 signifie que le pays est transparent et ne connaît pas de corruption. Les auteurs de l’IPC considèrent qu’une note inférieure à 3 signifie l’existence d’un « haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat ». En 2006, l’Algérie a été classée à la 84e place mondiale avec une note de 3,1 sur 10. En Afrique, l’Algérie est classée à la 16e place, la Tunisie à la 7e place (61e au niveau mondial), le Maroc à la 10e et l’Egypte à la 17e.

L’Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC), que préside Djillali Hadjadj et qui représente Transparency International à Alger, n’est pas surprise par le mauvais score enregistré par l’Algérie. « La situation sociopolitique et économique catastrophique qui prévaut en Algérie, depuis plusieurs années déjà, n’a cessé de favoriser les conditions de l’explosion de la corruption – petite et grande – à tous les niveaux, et tout est fait par le pouvoir en place pour que la généralisation de ce fléau se poursuive à grande échelle. Le retour en force d’un Etat policier, autoritaire, répressif et liberticide, est un des principaux indicateurs de ce maintien de l’Algérie parmi les pays cancres de la corruption au sein de la communauté internationale », estime l’AACC, dans un communiqué rendu public hier.

« Naîveté politique »

« Ceux qui croyaient que derrière les discours officiels et autres déclarations où le chef de l’Exécutif et son ministre de la Justice évoquaient leur intention de lutter contre la corruption se cachait une réelle volonté politique, en ont eu pour leur "naïveté" politique : tout cela était de la poudre aux yeux destinée aux partenaires internationaux et qui a surtout servi au plan interne à régler des comptes pour des luttes de pouvoir », ajoute l’AACC. L’association relève que l’Algérie « combat avec acharnement » la mise en place de mécanismes internationaux de surveillance de l’application de la Convention des Nations unies contre la corruption. Convention pourtant ratifiée par Alger autant que celle de l’Union africaine. « Non seulement l’arsenal législatif et réglementaire issu de ces Conventions est très indigent et très incomplet, mais il n’est même pas appliqué », relève l’AACC. Elle cite l’exemple de l’agence gouvernementale contre la corruption qui n’est toujours pas mise en place en dépit de la promulgation d’un décret portant sa création. « Second exemple, le processus de déclaration de patrimoine est éclaté et dispersé, sans mécanisme de suivi et de contrôle, et surtout non effectif, le chef du gouvernement ne se donnant même pas la peine de rendre publique sa propre déclaration de patrimoine », note l’AACC. Selon elle, les 200 milliards de dollars débloqués pour le plan de consolidation de la relance économique sont la proie de prédateurs et de « charognards maffieux ».

Elle évoque le recours systématique aux marchés de gré à gré, devenu une règle « dans nombre de ministères et au niveau des exécutifs de wilaya ». « Tout récemment encore, le ministre des Affaires religieuses annonçait, suite à l’ouverture des plis pour les études de la grande mosquée d’Alger, que ce sera au président de la République de choisir "l’heureux élu" parmi les 5 bureaux d’études retenus lors de la première sélection ! En vertu de quelle loi et de quelle réglementation sur les marchés publics, ce ministre annonce-t-il pareille décision ? », se demande l’AACC. Elle s’interroge sur l’opportunité de consacrer 3 milliards de dollars pour la construction d’une mosquée alors que la grande pauvreté se développe dans le pays et que le président de la République préconise la rigueur dans les dépenses publiques. Ravagés par la violence, la Somalie et l’Irak figurent parmi les pays les plus corrompus au monde. Au Moyen-Orient, Israël arrive en tête des pays les moins touchés par la corruption (30e au rang mondial), suivi par le Qatar, les Emirats arabes unis, le Bahreïn, Oman et la Jordanie. La Syrie, l’Iran, le Yémen et le Liban sont mal classés. Le Liban occupe la même place que l’Algérie, l’Arménie, le Belize, la Mongolie et la République Dominicaine.

« Institutions publiques compromises »

Le Bostawana est le pays le plus « propre » d’Afrique. Il est talonné de près par l’Afrique du Sud, le Cap-Vert, Maurice, la Namibie et les Seychelles. Les pays nordiques, principalement la Finlande, le Danemark et la Suède, gardent leur place de leaders mondiaux en matière d’absence de corruption. La Nouvelle-Zélande, le Singapour, l’Islande et les Pays-Bas sont également bien placés. La Grande-Bretagne arrive à la 12e place, l’Allemagne à la 16e, le Japon à 17e, la France à la 19e, les Etats-Unis à la 20e, l’Espagne à la 25e, l’Italie à la 41e, la Turquie à la 64e et la Russie à la 143e. Le Brésil et la Chine sont classés à la 72e place. « Les résultats de l’IPC 2007 montrent que la grande corruption dans les transactions commerciales internationales prend des proportions de plus en plus inquiétantes. L’Algérie est devenue un "acteur" important de ce type de corruption, et ce n’est pas un hasard si 4 principaux fournisseurs de l’Algérie – l’Allemagne, le Canada, l’Italie et le Japon – n’ont toujours pas ratifié la Convention des Nations unies contre la corruption », observe l’AACC, notant que l’énorme manne pétrolière entre les mains du pouvoir contribue à entretenir la corruption.

Transparency International relève que ce sont les pays les plus pauvres qui souffrent le plus sous le joug de la corruption. « Il est de leur responsabilité de s’attaquer au problème. Les notes faibles de l’IPC indiquent que les institutions publiques sont fortement compromises. La priorité est d’améliorer la transparence dans la gestion financière, de la collecte des impôts aux dépenses publiques, de renforcer les procédures de contrôle et de mettre fin à l’impunité dont bénéficient les responsables corrompus », préconise l’ONG. Huguette Labelle, présidente de Transparency International, estime que les pays dont les notes sont les plus basses en matière de corruption doivent prendre ces résultats avec le plus grand sérieux et agir dès maintenant pour renforcer la responsabilité des institutions publiques. « Mais les pays les mieux notés doivent également agir, en particulier pour sévir contre les activités de corruption dans le secteur privé », ajoute-t-elle. L’Indice de perceptions de la corruption de TI classe les pays en fonction du degré de corruption perçu dans les administrations publiques et la classe politique. Son élaboration fait appel à des sondages d’experts réalisés par des organismes indépendants crédibles. Johann Graf Lambsdorff, professeur d’université à Passau en Allemagne, est chargée d’établir l’IPC pour Transparency International. L’IPC définit la corruption comme l’abus d’une charge publique à des fins d’enrichissement personnel (les pots-de-vin dans le cadre de marchés publics, le détournement des fonds publics, etc).

Metaoui Fayçal, pour El Watan

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Personne à contacter Re: Peut-on lutter contre la corruption ?

Message par Syfou Sam 21 Aoû - 1:01

La France, "un des pays les plus corrompus au monde" ?

L'un des intermédiaires lors de contrats d'armement de la vente en 1994 de trois sous-marins par la France au Pakistan, Ziad Takieddine, a accusé hier les Chiraquiens d'avoir fait de la France "un des pays les plus corrompus au monde".

Dans une interview accordée au Journal du Dimanche, il accuse "Jacques Chirac et Dominique de Villepin, à l'Elysée, et leurs 'hommes, le diplomate Maurice Gourdault-Montagne et, notamment, un homme de l'ombre, Alexandre Djouhri, d'avoir, par leurs agissements, fait que la France passe aujourd'hui pour un des pays les plus corrompus au monde et ne vende plus rien à l'international".

Cet homme d'affaires d'origine libanaise se défend d'avoir joué un rôle d'intermédiaire dans la vente de sous-marins français au Pakistan en 1994, contrat qui aurait donné lieu au versement de commissions, et a déposé début mai une série de plaintes visant les auteurs de déclarations et d'informations apparues dans le cadre de l'enquête sur l'attentat de Karachi (14 morts dont 11 Français en mai 2002).

Selon le NouvelObs, les juges d'instruction Marc Trévidic et Yves Jannier étudient aujourd'hui la possibilité que l'attentat de Karachi soit lié à l'arrêt, entre fin 1995 et début 1996, de certaines des commissions dans les contrats de vente de sous-marins Agosta 90B au Pakistan et de frégates militaires à l'Arabie Saoudite, dit Sawari II.

L'existence de "rétrocommissions" qui auraient pu servir à financer la campagne d'Edouard Balladur a été évoquée, ce que l'ancien Premier ministre, entendu par une mission d'information de l'Assemblée nationale, a nié.

M. Takieddine, assure également avoir été un témoin direct de la rivalité entre Chiraquiens et Sarkozystes au sujet du contrat Miksa, "un important marché d'équipement de police pour la surveillance des frontières saoudiennes".

"Avec (Claude) Guéant et (Brice) Hortefeux, nous nous sommes rendus une première fois à Riyad en octobre 2003 avec un projet de contrat complet 'sans intermédiaire'. Lors d'un deuxième rendez-vous, trois semaines plus tard, le prince Naiev, ministre de l'Intérieur, nous a sorti une autre 'offre' française, émanant des chiraquiens... de 22% plus chère", détaille-t-il en la qualifiant de "honteuse pour la France".

M. Takieddine assure par ailleurs avoir rencontré le général Philippe Rondot à la demande de l'Elysée. "Il arrive et me parle du contrat Miksa, avant de me proposer un 'partage' des commissions entre chiraquiens et sarkozystes", affirme-t-il.

L'avocat de M. Rondot, Me Eric Morain, répond dans le "JDD" que son client "ne connaît pas M. Takieddine et ne l'a jamais rencontré" et que cette rencontre "aurait été mentionnée dans les carnets" du général si elle avait eu lieu.

Quoi qu'il en soit, si ces pratiques devaient être confirmées, elles ne feraient que nuire un peu plus à l'image de nos hommes politiques...

Pierrot Dupuy
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Personne à contacter Re: Peut-on lutter contre la corruption ?

Message par Syfou Sam 21 Aoû - 1:06

Lutter contre la corruption dans les pays en développement

Le combat contre la corruption n’est pas l’apanage des pays industrialisés. Sur les 134 pays qui ont participé à la IXè Conférence internationale sur la lutte contre la corruption organisée par Transparency International à Durban en octobre dernier, plus d’une centaine de pays en développement étaient représentés. Ces derniers sont de plus en plus nombreux à exprimer leur volonté de lutter contre ce problème, faisant écho aux initiatives internationales comme la Convention de l’OCDE contre la corruption.

Les efforts déployés sont réels mais les avancées concrètes restent encore faibles. En fait, dans la plupart des pays en développement, la corruption est banalisée: elle relève du quotidien de la population et des entrepreneurs, qui vivent avec, et vont jusqu’à la considérer avec fatalisme comme partie intégrante de leur culture. Non seulement les décisions publiques et les règles officielles – comme l’attribution d’un marché public ou le montant des taxes à payer - se négocient, mais bien souvent l’accès à un service public ou l’exercice d’un droit, comme l’obtention d’une pièce d’état civil, se monnayent également.

Plusieurs mécanismes contribuent à diffuser et à banaliser les pratiques de corruption dans ces pays. Les fonctionnaires qui refusent de jouer le jeu sont écartés des postes importants et les entrepreneurs qui s’y opposent se trouvent pénalisés par rapport à leurs concurrents. De plus, au fil des ans, il s’est formé une représentation de l’État où l’accès à la fonction publique, loin de signifier le service des droits des citoyens en écho à leurs devoirs, est d’abord perçu comme le moyen le moins risqué pour s’enrichir rapidement ; ce qui contribue à ancrer dans les mentalités la « normalité » de la corruption.

En fait, c’est l’environnement direct dans lequel évoluent l’agent public et l’agent privé qui va permettre et favoriser l’émergence de la corruption. L’organisation et la gestion des administrations publiques dans les pays en développement souffrent souvent de lourdeurs et de dysfonctionnements qui vont les rendre particulièrement vulnérables à la corruption. La multiplication des réglementations contraignantes et complexes et la faiblesse des contrôles y sont des caractéristiques fréquentes.

Mais pour clarifier la logique d’ensemble, il importe de compléter cette lecture institutionnelle en prenant en compte les dimensions politique et économique. Que ce soit au Bénin, en Bolivie, au Maroc, au Pakistan ou aux Philippines – cinq pays qui font l’objet d’une étude menée par le Centre de développement de l’OCDE et le PNUD – les pratiques de corruption sont étroitement liées au mode de gouvernement.

L’équation cachée entre pouvoir politique et pouvoir économique peut se manifester de manière directe. On parle alors de patrimonialisme comme au Maroc, où l’accès au pouvoir politique mène à des privilèges économiques. Elle peut également prendre des formes plus indirectes à l’instar des Philippines où pouvoir politique veut dire position de pouvoir dans un système clientéliste, donc monnayable. A tous les

niveaux, le processus d’allocation des postes politiques et administratifs ou des positions de rente économique – exploitation des ressources naturelles, licences d’importation, par exemple – peut être influencé par les ressources potentielles qu’ils représentent. Quel que soit le cas de figure, l’équilibre politique se trouve cimenté par ces échanges de privilèges contre un soutien politique ou une allégeance.

CORRUPTION ET SOUS-DEVELOPPEMENT

Autre point commun aux pays étudiés, la condition de sous-développement même favorise la corruption. Les corrélations observées entre niveau de corruption et niveau de développement, souvent évoquées pour justifier les actions de lutte contre la corruption, révèlent aussi une causalité inverse: la corruption est favorisée par la condition de sous-développement. Citons les mécanismes principaux. Tout d’abord, le faible niveau des salaires dans la fonction publique pousse à la petite corruption et la tension qui existe entre l’offre et la demande de services publics génère davantage d’occasions de recourir à la corruption. Ensuite, les individus tendent à préférer une « carrière étatique » compte tenu du manque d’opportunités qui s’offrent dans le secteur privé. Enfin, le faible niveau d’éducation maintient les citoyens dans l’ignorance de leurs droits, et ne leur permet pas de participer à la vie politique.

L’analyse institutionnelle de la corruption fournit des indications sur les remèdes à apporter. Une plus grande transparence, l’obligation de rendre des comptes, l’amélioration de la gestion des ressources humaines dans l’administration publique basée sur un système méritocratique sont autant de principes d’action qui, mis en œuvre, permettent son contrôle. La simplification et la rationalisation de l’intervention de l’État dans l’activité économique vont aussi de toute évidence réduire les opportunités de corruption. Une étude réalisée au niveau de l’administration des douanes au Sénégal, à l’aide de tests économétriques, a mis en évidence que la baisse des taxes douanières, la simplification de leur structure, l’ application de réformes réduisant les pouvoirs discrétionnaires des agents douaniers et l’informatisation des procédures ont permis à la fraude de reculer de 85% entre 1990 et 1995.

Mais identifier les directions d’action à suivre n’est qu’une petite partie du chemin à parcourir. La difficulté principale reste la mise en œuvre de ces principes d’action, car elle passe par la définition d’une stratégie réellement opérationnelle. On se heurte généralement à deux types d’obstacles. Le premier est d’ordre économique. Si la condition de sous-développement ne fait pas de la corruption un phénomène inéluctable, les moyens dont disposent ces pays ne sont pas les mêmes que ceux des pays plus avancés. Difficile alors de généraliser la stratégie mise en œuvre à Hong Kong, qui repose sur une force d’investigation et de contrôle généreusement dotée en moyens humains et matériels (voir encadré). La baisse de la corruption doit s’appuyer sur le processus de développement même et les actions anti-corruption doivent s’inscrire dans un cadre plus large de politiques visant à améliorer l’efficacité du secteur public, la gestion des ressources budgétaires et de l’aide. Le deuxième obstacle est d’ordre politique, puisque toute réforme va en effet se heurter aux intérêts des bénéficiaires de la corruption. Les dirigeants politiques mêmes ont pu avoir à « jouer le jeu » pour accéder à leurs positions ; ils peuvent également craindre qu’une lutte contre la corruption fragilise l’équilibre politique.

En ce sens, les associations issues de la société civile et les médias peuvent contribuer à l’émergence d’une volonté politique en dénonçant la corruption, en faisant pression sur le gouvernement et en contrôlant ses actions. Mais les véritables obstacles à la lutte contre la corruption sont autant les intérêts de la pyramide politico-administrative que le fatalisme et l’ignorance des victimes, souvent maintenus par une culture de la peur. Or, l’information permet l’action. Il est donc crucial de mener des travaux de recherche précisant l’incidence de la corruption, son organisation et ses déterminants, afin de susciter et de guider à la fois l’action de la société civile et celle des agences d’aide.

Le secteur privé peut également constituer un allié important. Il est en effet, dans l’intérêt d’une partie au moins du secteur privé d’opérer dans un environnement structuré où l’État à travers des institutions fortes réglemente et arbitre le jeu de la concurrence. Les organisations internationales et régionales ont aussi un rôle politique important à jouer dans la mesure où elles peuvent servir de relais aux demandes exprimées par les sociétés civiles et permettre aux hommes politiques d’insérer des programmes de réformes difficiles dans un cadre de contraintes extérieures. Enfin, plus que par des actions ponctuelles contre la corruption, ou par un soutien à une agence spécialisée, les agences d’aide bilatérales peuvent participer à la lutte contre la corruption dans les pays en développement au travers des programmes de renforcement des capacités institutionnelles, mais aussi en appliquant systématiquement les principes recommandés de transparence et d’efficacité dans la gestion des projets soutenus.

Une chose est sûre : le problème de la corruption dans les PED ne saurait se résoudre par la simple transposition des infrastructures anti-corruption qui fonctionnent dans les pays de l’OCDE. Les expériences de ces pays en termes de textes de lois, de code des marchés publics, de procédures de contrôle, par exemple, sont certes précieuses mais se résument finalement à un élément technique dans un processus de transformation beaucoup plus complexe. La réduction de la corruption permet le développement économique mais doit aussi s’appuyer sur ce développement même. Il appartient donc à chaque pays de définir en fonction de sa trajectoire historique, sa stratégie propre qui permettra d’amorcer un cercle vertueux favorisant développement et amélioration de la gouvernance.

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Message par Syfou Sam 21 Aoû - 1:13

Programme mondial de lutte contre la corruption


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Message par djaouti mohamed Ven 10 Sep - 22:39

lutté avec intelligence simplécité et surtout diplomatie

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Message par abdelmalek Mar 14 Sep - 14:33

oui on peut" lutter avec intelligence simplicité et surtout diplomatie".

personnelement j'apporte une idée de faire une journée d'étude sur la bonne gouvernance.
et comme une expérience pilote a temouchent:dont voilà le programme:

A/:exemple de bonne gouvernance chez l'Emir Abdelkader:par le docteur abdelmalek omar.
B/la bonne gouvernance en afrique l'exemple de l'algerie par le professeur boutaleb kouider:conference faite a l'UA en présence de notre ambassadeur en étiopie.
C/le choix des hommes politiques dans la gestion d'une APC:la gouvernance par le choix des partis:par monsieur Mouas said journaliste.
la présence des gestionnaires avec les élus est importante pour un débats pédagogique.
PEUT FAIRE CETTE JOURNEE:pour lutter contre la corruption avec intelligence simplicité et surtout avec diplomatie. trés simple mais on peut construire un pays.
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Message par Droit_De_l'Homme Mer 15 Sep - 1:33

nous pourrons bien lutter contre la corruptions certes, mais c'est les générations futurs qui bénéficieront des résultats car c'est pas du jour au lendemain qu'on peut effectuer un tel changement.

la corruption a une liaison directe avec le niveau de vie d'un pays et ces ressources... développement suivra !!

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Message par abdelmalek Mer 15 Sep - 9:31

faisant l'apprentissage pour que les générations futurs bénéficies.
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Message par abdelmalek Lun 4 Oct - 15:40

je crois qu'il est temps de commencer pour construire une génération meilleur, et, un classement viable et meilleurs.
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Message par Droit_De_l'Homme Lun 4 Oct - 18:24

Je crois que ça a déjà commencé docteur! notre cher aimable président à préféré commencé par le plat de résistance sans prendre l'entrée! c'est un très grand engagement de remettre en marche les raffineries de plusieurs entre les 48. c'est un plaisir
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Message par abdelmalek Mar 5 Oct - 10:01

on le remercie ;on doit donner notre appuis selon nos moyens :et moi personnellement je crois commencer par la pédagogie et ouvrir l'œil a nos responsables locaux est important.
je pense faire assister a la journée des lycéens pour mieux sensibiliser nos jeunes,.
dans le programme ajouté :programme mondial de lutte contre la corruption des nation unis :une synthèse de 08 pages.
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Message par Droit_De_l'Homme Jeu 7 Oct - 3:44

je vous en courage docteur c'est une très bonne initiative, la pédagogie est sensible comme sujet a traiter, je vous souhaite bonne participation, j'aimerais aussi y assister!! mais serais pas sur place, je participerais de ce que je peux voir utile par le net en attendant! par ailleurs j'aimerais bénéficier de votre intervention pédagogique sur ce plan. je vous remercie.
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Message par abdelmalek Jeu 7 Oct - 11:38

je vous remercie pour votre encouragement. et a tantot.
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Message par abdelmalek Dim 31 Oct - 12:10

je crois que la journée va ce dérouler aprés aid el adha:avec le même programme en ajoutant probablement :un jeune lycée parmis les intervenants: et un magistrat de la cour de mascara(mais il hésite) on va essayer de le sensibiliser.les invités seront les lycéens,la sociétés civils les élues ect...VOIL0 CHER AMI COMMENT JE PENSE FAIRE CETTE JOURN2E AVEC VOTRE AIDE ET CELUI DE DIEU;
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Message par Droit_De_l'Homme Dim 31 Oct - 13:47

je vous encourage docteur, c'est une très bonne initiative.
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Message par abdelmalek Mar 2 Nov - 13:00

merci .
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Message par abdelmalek Dim 21 Aoû - 14:56

j'ai le dvd :mais je ne sais pas comment indroduire dans le forum.
toujours est il ,le site de la fondationemir abdelkader-oran.com PEUT MONTRER certaines séquences .
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Message par Syfou Sam 3 Déc - 0:24

L'indice de perception de corruption 2011

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Message par abdelmalek Lun 5 Déc - 12:55

tout en luttant contre la corruption et la mauvaise gouvernance:on doit préparer les nouvelles générations a l'école:donc mettre l'école pour le futur citoyen: sinon on tourne en rond:si le citoyen ne participe pas aussi jeune qu'il soit. l'école est la base pour le futur .
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