Sujets similaires
Derniers sujets
Sujets les plus vus
Sujets les plus actifs
Meilleurs posteurs
Sphinx | ||||
Syfou | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
abdelmalek | ||||
rakane | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
col.chibani | ||||
fennec dz | ||||
ZIGHOUD |
Ceux qui commencent le plus de sujets
Syfou | ||||
Sphinx | ||||
Daûphin_zz_47 | ||||
Droit_De_l'Homme | ||||
ZIGHOUD15 | ||||
elmaknine | ||||
matriochkas | ||||
col.chibani | ||||
ZIGHOUD | ||||
Rahim Damon |
Connexion
Sanction impériale contre les syriens
2 participants
algeriedrs :: Politiques,relations extérieures et diplomatie :: Politique étrangère, diplomatie et coopération internationale :: Sanctions internationales
Page 1 sur 1
Sanction impériale contre les syriens
L'UE va sanctionner le régime syrien
BRUXELLES - L'UE a l'intention de décréter un embargo sur les armes et de préparer d'autres sanctions contre le régime syrien en réponse à la répression sanglante des manifestations dans le pays, a déclaré vendredi la chef de la diplomatie de l'Union européenne, Catherine Ashton.
Au regard de la violence qui continue et afin de promouvoir un processus démocratique, l'UE a lancé ses procédures internes pour un embargo sur les armes et les équipements utilisés pour la répression interne, et va examiner de façon urgente d'autres mesures appropriées et ciblées, a annoncé Mme Ashton dans une déclaration.
Par ailleurs, l'UE ne franchira pas de nouvelles étapes pour faire progresser l'accord d'association avec la Syrie, qui accorderait d'importants avantages commerciaux à Damas, et réexaminera tous les aspects de sa coopération avec les autorités syriennes, a-t-elle ajouté.
Des diplomates européens avaient auparavant déjà indiqué à l'AFP que l'UE entamait dès maintenant les travaux en vue d'un embargo sur les armes et d'autres sanctions.
Les ambassadeurs des 27 Etats européens, réunis à Bruxelles, ont chargé vendredi leurs experts de plancher sur l'élaboration de ces sanctions, une procédure qui peut se dérouler assez rapidement, selon des diplomates.
Outre l'embargo sur les armes, il pourrait s'agir de gels d'avoirs et d'interdictions de visa à l'encontre des responsables de la répression. Une liste des personnes visées par ces sanctions devrait encore être établie.
Quant au principe d'une suspension de la coopération avec les autorités syriennes et le retrait de l'offre de signer un accord d'association, ils faisaient l'objet d'un large consensus, selon une source diplomatique.
L'UE verse chaque année quelque 210 millions d'euros d'aides et de prêts à la Syrie, de la politique de coopération, des fonds de la politique de voisinage et des crédits de la Banque européenne d'investissement.
Seuls les fonds versés directement au gouvernement syrien seraient concernés, les projets bénéficiant à la population par le biais d'organisations non gouvernementales seraient épargnés.
Dans sa déclaration, Mme Ashton indique par ailleurs que l'UE exprime sa vive inquiétude concernant la situation en Syrie, et condamne fermement la violence inacceptable à l'encontre des manifestants pacifiques.
En parallèle à Genève, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a voté vendredi une résolution demandant l'envoi urgent d'une mission en Syrie pour enquêter sur les violations des droits de l'homme. Il a condamné par ailleurs explicitement l'usage de la violence meutrière contre les manifestants pacifiques.
Quelques heures avant la réunion des ambassadeurs des 27 à Bruxelles, Pierre Vimont, le bras droit de Mme Ashton, s'était déjà dit plutôt confiant quant à l'adoption par l'UE des sanctions.
Je doute qu'il y ait beaucoup de difficultés avec les Etats européens parce que la répression est si évidente et si forte en Syrie, avait-il confié à des journalistes.
Il ne s'agit pas d'adopter des sanctions dans le simple but d'en adopter, il s'agit d'envoyer le bon message à Damas, pour qu'ils arrêtent la répression, avait-il expliqué.
Mais les discussions à 27 ont duré plus longtemps que prévu, selon des diplomates.
Berlin, Londres, Paris, Rome et Madrid notamment souhaitaient envoyer rapidement un message clair au régime du président syrien Bachar al-Assad, mais une poignée de petits et moyens pays étaient partisans de ne pas aller trop vite en besogne, a expliqué un diplomate européen sous couvert d'anonymat.
(©AFP / 29 avril 2011 22h34)
BRUXELLES - L'UE a l'intention de décréter un embargo sur les armes et de préparer d'autres sanctions contre le régime syrien en réponse à la répression sanglante des manifestations dans le pays, a déclaré vendredi la chef de la diplomatie de l'Union européenne, Catherine Ashton.
Au regard de la violence qui continue et afin de promouvoir un processus démocratique, l'UE a lancé ses procédures internes pour un embargo sur les armes et les équipements utilisés pour la répression interne, et va examiner de façon urgente d'autres mesures appropriées et ciblées, a annoncé Mme Ashton dans une déclaration.
Par ailleurs, l'UE ne franchira pas de nouvelles étapes pour faire progresser l'accord d'association avec la Syrie, qui accorderait d'importants avantages commerciaux à Damas, et réexaminera tous les aspects de sa coopération avec les autorités syriennes, a-t-elle ajouté.
Des diplomates européens avaient auparavant déjà indiqué à l'AFP que l'UE entamait dès maintenant les travaux en vue d'un embargo sur les armes et d'autres sanctions.
Les ambassadeurs des 27 Etats européens, réunis à Bruxelles, ont chargé vendredi leurs experts de plancher sur l'élaboration de ces sanctions, une procédure qui peut se dérouler assez rapidement, selon des diplomates.
Outre l'embargo sur les armes, il pourrait s'agir de gels d'avoirs et d'interdictions de visa à l'encontre des responsables de la répression. Une liste des personnes visées par ces sanctions devrait encore être établie.
Quant au principe d'une suspension de la coopération avec les autorités syriennes et le retrait de l'offre de signer un accord d'association, ils faisaient l'objet d'un large consensus, selon une source diplomatique.
L'UE verse chaque année quelque 210 millions d'euros d'aides et de prêts à la Syrie, de la politique de coopération, des fonds de la politique de voisinage et des crédits de la Banque européenne d'investissement.
Seuls les fonds versés directement au gouvernement syrien seraient concernés, les projets bénéficiant à la population par le biais d'organisations non gouvernementales seraient épargnés.
Dans sa déclaration, Mme Ashton indique par ailleurs que l'UE exprime sa vive inquiétude concernant la situation en Syrie, et condamne fermement la violence inacceptable à l'encontre des manifestants pacifiques.
En parallèle à Genève, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a voté vendredi une résolution demandant l'envoi urgent d'une mission en Syrie pour enquêter sur les violations des droits de l'homme. Il a condamné par ailleurs explicitement l'usage de la violence meutrière contre les manifestants pacifiques.
Quelques heures avant la réunion des ambassadeurs des 27 à Bruxelles, Pierre Vimont, le bras droit de Mme Ashton, s'était déjà dit plutôt confiant quant à l'adoption par l'UE des sanctions.
Je doute qu'il y ait beaucoup de difficultés avec les Etats européens parce que la répression est si évidente et si forte en Syrie, avait-il confié à des journalistes.
Il ne s'agit pas d'adopter des sanctions dans le simple but d'en adopter, il s'agit d'envoyer le bon message à Damas, pour qu'ils arrêtent la répression, avait-il expliqué.
Mais les discussions à 27 ont duré plus longtemps que prévu, selon des diplomates.
Berlin, Londres, Paris, Rome et Madrid notamment souhaitaient envoyer rapidement un message clair au régime du président syrien Bachar al-Assad, mais une poignée de petits et moyens pays étaient partisans de ne pas aller trop vite en besogne, a expliqué un diplomate européen sous couvert d'anonymat.
(©AFP / 29 avril 2011 22h34)
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
Re: Sanction impériale contre les syriens
Bachar al-Assad interdit de visa à l’union européenne
Le président syrien Bachar al Assad ainsi que neuf membres de son gouvernement et de son entourage se sont vu infliger lundi des sanctions par l'Union européenne, désireuse de peser en vue d'un arrêt des violences dans le pays.
Comme 13 autres personnalités syriennes auparavant, les ministres européens des Affaires étrangères ont décidé de geler les avoirs de ces personnes et de les interdire de visa à destination de l'Union européenne. La décision prendra effet mardi après publication au journal officiel de l'UE.
La répression des manifestations en faveur de la démocratie qui ont débuté le 18 mars à Deraa, dans le Sud, a fait près de 900 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
"Si quelqu'un réprime son propre peuple de cette façon, répond à des manifestations pacifiques par la force, l'UE ne peut pas rester sans réponse", a expliqué un diplomate européen.
"L'Union européenne est une communauté de valeurs et nous ne pouvons pas rester les bras croisés alors que les droits de l'Homme sont violés de manière si brutale dans notre voisinage immédiat", a-t-il ajouté.
Les Vingt-sept avaient initialement choisi de ne pas cibler Bachar al Assad en espérant qu'il soit ainsi incité à ne plus faire usage de la force face aux manifestants, mais sans succès.
Il n'est toutefois pas certain que son inscription sur la liste des sanctions ne soit suivie de plus d'effets.
Plusieurs diplomates européens ont estimé que la décision était de nature avant tout symbolique, les canaux de financement du régime syrien n'étant pas dépendants de l'Europe.
Plusieurs ministres, dont Alain Juppé, Guido Westerwelle et William Hague, au nom respectivement de la France, de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne, ont apporté un soutien clair à ces sanctions avant le début de la réunion.
"La répression en Syrie se poursuit et il est important de voir reconnu le droit à un processus pacifique, la libération des prisonniers politiques et l'engagement de réformes, pas la répression", a déclaré le chef de la diplomatie britannique.
En dehors des gels d'avoirs et des interdiction de visas, l'UE a imposé début mai un embargo sur les armes à destination de la Syrie.
Les Etats-Unis avaient de leur côté décidé de sanctions à l'égard de Bachar al Assad et de six membres de son entourage mercredi dernier.
Les autorités syriennes ont rejeté la responsabilité des violences sur des groupes armés soutenus par des mouvements islamistes et des puissances étrangères et qui, disent-elles, ont tué plus de 120 membres des forces de sécurité.
Six personnes sont mortes samedi dans la ville de Homs lors des funérailles de personnes tuées lors de manifestations contre le régime de Bachar al Assad, qui a succédé à son père Hafez à la mort de ce dernier en 2000 après trente ans au pouvoir.
Reuters
gnet.tn
Le président syrien Bachar al Assad ainsi que neuf membres de son gouvernement et de son entourage se sont vu infliger lundi des sanctions par l'Union européenne, désireuse de peser en vue d'un arrêt des violences dans le pays.
Comme 13 autres personnalités syriennes auparavant, les ministres européens des Affaires étrangères ont décidé de geler les avoirs de ces personnes et de les interdire de visa à destination de l'Union européenne. La décision prendra effet mardi après publication au journal officiel de l'UE.
La répression des manifestations en faveur de la démocratie qui ont débuté le 18 mars à Deraa, dans le Sud, a fait près de 900 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
"Si quelqu'un réprime son propre peuple de cette façon, répond à des manifestations pacifiques par la force, l'UE ne peut pas rester sans réponse", a expliqué un diplomate européen.
"L'Union européenne est une communauté de valeurs et nous ne pouvons pas rester les bras croisés alors que les droits de l'Homme sont violés de manière si brutale dans notre voisinage immédiat", a-t-il ajouté.
Les Vingt-sept avaient initialement choisi de ne pas cibler Bachar al Assad en espérant qu'il soit ainsi incité à ne plus faire usage de la force face aux manifestants, mais sans succès.
Il n'est toutefois pas certain que son inscription sur la liste des sanctions ne soit suivie de plus d'effets.
Plusieurs diplomates européens ont estimé que la décision était de nature avant tout symbolique, les canaux de financement du régime syrien n'étant pas dépendants de l'Europe.
Plusieurs ministres, dont Alain Juppé, Guido Westerwelle et William Hague, au nom respectivement de la France, de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne, ont apporté un soutien clair à ces sanctions avant le début de la réunion.
"La répression en Syrie se poursuit et il est important de voir reconnu le droit à un processus pacifique, la libération des prisonniers politiques et l'engagement de réformes, pas la répression", a déclaré le chef de la diplomatie britannique.
En dehors des gels d'avoirs et des interdiction de visas, l'UE a imposé début mai un embargo sur les armes à destination de la Syrie.
Les Etats-Unis avaient de leur côté décidé de sanctions à l'égard de Bachar al Assad et de six membres de son entourage mercredi dernier.
Les autorités syriennes ont rejeté la responsabilité des violences sur des groupes armés soutenus par des mouvements islamistes et des puissances étrangères et qui, disent-elles, ont tué plus de 120 membres des forces de sécurité.
Six personnes sont mortes samedi dans la ville de Homs lors des funérailles de personnes tuées lors de manifestations contre le régime de Bachar al Assad, qui a succédé à son père Hafez à la mort de ce dernier en 2000 après trente ans au pouvoir.
Reuters
gnet.tn
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
Re: Sanction impériale contre les syriens
La Suisse a gelé 31,8 millions de dollars d'actifs financiers appartenant aux autorités syriennes
La Suisse a gelé 31,8 millions de dollars d'actifs financiers appartenant aux autorités syriennes. Cette mesure a été prise dans le cadre de nouvelles sanctions imposées par l'Union européenne à l'égard du président Bachar el-Assad et de 22 autres hautes figures politiques syriennes.
La Suisse avait déjà gelé les actifs du régime du guide libyen Mouammar Kadhafi, au montant de 767 millions de dollars, ainsi que 484 millions de dollars de l'ex-président égyptien Hosni Moubarak et 70 millions de dollars de l'ex-président tunisien Zin al-Abidin ben Ali.
ruvr.ru
La Suisse a gelé 31,8 millions de dollars d'actifs financiers appartenant aux autorités syriennes. Cette mesure a été prise dans le cadre de nouvelles sanctions imposées par l'Union européenne à l'égard du président Bachar el-Assad et de 22 autres hautes figures politiques syriennes.
La Suisse avait déjà gelé les actifs du régime du guide libyen Mouammar Kadhafi, au montant de 767 millions de dollars, ainsi que 484 millions de dollars de l'ex-président égyptien Hosni Moubarak et 70 millions de dollars de l'ex-président tunisien Zin al-Abidin ben Ali.
ruvr.ru
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
Re: Sanction impériale contre les syriens
L'UE interdit tout nouvel investissement pétrolier en Syrie
BRUXELLES - L'Union européenne a décidé vendredi de renforcer encore ses sanctions contre le régime syrien en interdisant notamment tout nouvel investissement dans le secteur pétrolier ainsi que la fourniture au pays de pièces et billets de banques.
Compte tenu de la poursuite de la campagne brutale du régime syrien contre sa propre population, l'Union européenne a décidé aujourd'hui d'adopter des sanctions supplémentaires, a annoncé le chef de sa diplomatie, Catherine Ashton, dans un communiqué.
Les détails des nouvelles mesures seront connus samedi lorsqu'ils seront publiés au Journal officiel, qui permet leur entrée en vigueur.
Deux personnes et six sociétés seront ajoutées à la liste des sanctions européennes incluant gel d'avoirs et interdiction de visa. Au total, 56 individus et 18 sociétés sont désormais visés.
Le ministère français des Affaires étrangères a toutefois indiqué dès vendredi soir que les deux personnes visées par les nouvelles sanctions de l'UE étaient les ministres syriens de la Justice et de l'Information.
Parmi les six nouvelles entités sanctionnées par Bruxelles figurent la société de télécommunications Syriatel, contrôlée par Rami Makhlouf, la holding Cham ainsi que la chaîne de télévision privée al-Dounya TV, précise aussi le porte-parole du ministère, Romain Nadal.
Des diplomates européens ont annoncé de leur côté que les sanctions visaient une chaîne de télévision, deux sociétés de télécommunications, et trois sociétés qui fournissent l'armée syrienne en équipements divers.
Il s'agit déjà du septième train de sanctions à l'encontre du régime de Bachar al-Assad, accusé par les Occidentaux de réprimer dans le sang le mouvement de contestation, qui a fait selon l'ONU plus de 2.700 morts depuis le début du mouvement mi-mars. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), 70.000 personnes sont passées par les prisons.
J'ai dit à plusieurs reprises que la répression du régime contre sa population doit s'arrêter totalement, que les manifestants détenus doivent être remis en liberté immédiatement et qu'un dialogue politique sincère doit s'engager en Syrie, a insisté Mme Ashton.
La pression internationale augmentera jusqu'à ce que le régime réponde aux appels à une fin immédiate de la violence, à la libération des prisonniers politiques et à des changements authentiques, a averti de son côté le chef de la diplomatie britannique, William Hague.
L'interdiction de nouveaux investissements dans le secteur pétrolier vise les compagnies européennes, mais aussi les sociétés syriennes actives à l'étranger.
Elle consiste à interdire tous prêts, achats de participations ou créations de joint-ventures avec le secteur pétrolier syrien, a précisé un diplomate.
Selon un autre diplomate, elles devraient avoir de l'effet car la Syrie a désespérément besoin de nouveaux investissements pétroliers.
Cette sanction vient compléter une précédente mesure: Damas est déjà visé par un embargo européen sur les importations et le négoce de pétrole syrien.
La Suisse est venue s'y associer vendredi en interdisant elle aussi limportation, lachat et le transport de pétrole et de produits pétroliers syriens.
Concernant l'UE, l'interdiction d'investissement ne porte toutefois que sur les nouveaux contrats, les anciens pouvant donc continuer à être honorés.
Le géant pétrolier français Total est une des principales compagnies étrangères en Syrie avec l'anglo-néerlandais Shell et la chinoise CNPC.
Total, qui poursuit actuellement ses activités de production en Syrie, a extrait quotidiennement en 2010 14.000 barils de pétrole brut du sol syrien et l'équivalent de 25.000 barils équivalents pétrole de gaz naturel, soit seulement 1,6% de sa production totale.
Des entreprises, dont les sièges sont en Autriche, en Allemagne et en Belgique impriment actuellement de la monnaie pour le compte de la banque centrale syrienne, selon des sources diplomatiques. Celles-ci n'auraient plus le droit de lui livrer pièces et billets, en vertu du nouveau train de sanctions.
L'Union européenne sanctionne surtout ses propres imprimeries car il y a d'autres pays sur les quatre autres continents qui sont capables d'imprimer notre monnaie. Il y a beaucoup de choix et l'UE punit ses entreprises, a commenté Adib Mayaleh, gouverneur de la Banque centrale syrienne à l'AFP.
TOTAL
ROYAL DUTCH SHELL
yo-ylf-sk-fj/aje/sym/sd
(©AFP / 23 septembre 2011 21h25)
BRUXELLES - L'Union européenne a décidé vendredi de renforcer encore ses sanctions contre le régime syrien en interdisant notamment tout nouvel investissement dans le secteur pétrolier ainsi que la fourniture au pays de pièces et billets de banques.
Compte tenu de la poursuite de la campagne brutale du régime syrien contre sa propre population, l'Union européenne a décidé aujourd'hui d'adopter des sanctions supplémentaires, a annoncé le chef de sa diplomatie, Catherine Ashton, dans un communiqué.
Les détails des nouvelles mesures seront connus samedi lorsqu'ils seront publiés au Journal officiel, qui permet leur entrée en vigueur.
Deux personnes et six sociétés seront ajoutées à la liste des sanctions européennes incluant gel d'avoirs et interdiction de visa. Au total, 56 individus et 18 sociétés sont désormais visés.
Le ministère français des Affaires étrangères a toutefois indiqué dès vendredi soir que les deux personnes visées par les nouvelles sanctions de l'UE étaient les ministres syriens de la Justice et de l'Information.
Parmi les six nouvelles entités sanctionnées par Bruxelles figurent la société de télécommunications Syriatel, contrôlée par Rami Makhlouf, la holding Cham ainsi que la chaîne de télévision privée al-Dounya TV, précise aussi le porte-parole du ministère, Romain Nadal.
Des diplomates européens ont annoncé de leur côté que les sanctions visaient une chaîne de télévision, deux sociétés de télécommunications, et trois sociétés qui fournissent l'armée syrienne en équipements divers.
Il s'agit déjà du septième train de sanctions à l'encontre du régime de Bachar al-Assad, accusé par les Occidentaux de réprimer dans le sang le mouvement de contestation, qui a fait selon l'ONU plus de 2.700 morts depuis le début du mouvement mi-mars. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), 70.000 personnes sont passées par les prisons.
J'ai dit à plusieurs reprises que la répression du régime contre sa population doit s'arrêter totalement, que les manifestants détenus doivent être remis en liberté immédiatement et qu'un dialogue politique sincère doit s'engager en Syrie, a insisté Mme Ashton.
La pression internationale augmentera jusqu'à ce que le régime réponde aux appels à une fin immédiate de la violence, à la libération des prisonniers politiques et à des changements authentiques, a averti de son côté le chef de la diplomatie britannique, William Hague.
L'interdiction de nouveaux investissements dans le secteur pétrolier vise les compagnies européennes, mais aussi les sociétés syriennes actives à l'étranger.
Elle consiste à interdire tous prêts, achats de participations ou créations de joint-ventures avec le secteur pétrolier syrien, a précisé un diplomate.
Selon un autre diplomate, elles devraient avoir de l'effet car la Syrie a désespérément besoin de nouveaux investissements pétroliers.
Cette sanction vient compléter une précédente mesure: Damas est déjà visé par un embargo européen sur les importations et le négoce de pétrole syrien.
La Suisse est venue s'y associer vendredi en interdisant elle aussi limportation, lachat et le transport de pétrole et de produits pétroliers syriens.
Concernant l'UE, l'interdiction d'investissement ne porte toutefois que sur les nouveaux contrats, les anciens pouvant donc continuer à être honorés.
Le géant pétrolier français Total est une des principales compagnies étrangères en Syrie avec l'anglo-néerlandais Shell et la chinoise CNPC.
Total, qui poursuit actuellement ses activités de production en Syrie, a extrait quotidiennement en 2010 14.000 barils de pétrole brut du sol syrien et l'équivalent de 25.000 barils équivalents pétrole de gaz naturel, soit seulement 1,6% de sa production totale.
Des entreprises, dont les sièges sont en Autriche, en Allemagne et en Belgique impriment actuellement de la monnaie pour le compte de la banque centrale syrienne, selon des sources diplomatiques. Celles-ci n'auraient plus le droit de lui livrer pièces et billets, en vertu du nouveau train de sanctions.
L'Union européenne sanctionne surtout ses propres imprimeries car il y a d'autres pays sur les quatre autres continents qui sont capables d'imprimer notre monnaie. Il y a beaucoup de choix et l'UE punit ses entreprises, a commenté Adib Mayaleh, gouverneur de la Banque centrale syrienne à l'AFP.
TOTAL
ROYAL DUTCH SHELL
yo-ylf-sk-fj/aje/sym/sd
(©AFP / 23 septembre 2011 21h25)
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
Re: Sanction impériale contre les syriens
Syrie: Russie a proposé au Conseil de sécurité de l’ONU un projet de résolution
La Russie a proposé au Conseil de sécurité de l’ONU un projet de résolution sur la Syrie.
Selon le représentant permanent russe auprès des Nations unies, Vitaly Tchourkine, Moscou espère que ce projet aidera à mettre fin aux violences dans ce pays.
Quant au projet de résolution proposé par les pays occidentaux, il constitue une continuation de la politique tendant au renversement du régime actuel et favorise l’escalade de la violence en Syrie, estime le diplomate russe.
Les Etats-Unis et les autres pays occidentaux veulent que le CS des Nations unies soit ferme avec Damas et que la future résolution soit assortie d’un mécanisme de sanction.
ruvr.ru
La Russie a proposé au Conseil de sécurité de l’ONU un projet de résolution sur la Syrie.
Selon le représentant permanent russe auprès des Nations unies, Vitaly Tchourkine, Moscou espère que ce projet aidera à mettre fin aux violences dans ce pays.
Quant au projet de résolution proposé par les pays occidentaux, il constitue une continuation de la politique tendant au renversement du régime actuel et favorise l’escalade de la violence en Syrie, estime le diplomate russe.
Les Etats-Unis et les autres pays occidentaux veulent que le CS des Nations unies soit ferme avec Damas et que la future résolution soit assortie d’un mécanisme de sanction.
ruvr.ru
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
Re: Sanction impériale contre les syriens
Les sanctions américaines contre la Syrie. Une partie du projet impérial ou un véritable effort humanitaire en dépit des sanctions énormes dommages personnels et sociaux faire?
Les sanctions annoncées par Washington sont signe d'une pression internationale accrue sur le régime après la répression de manifestants
Etats-Unis à geler les avoirs des Président Syrien Bachar Al-Assad et les hauts fonctionnaires
Bachar al-Assad est d'avoir ses biens personnels aux États-Unis gelés dans le cadre de sanctions contre son régime. Photographie: Zohra Bensemra / Reuters
Les Etats-Unis d'imposer des sanctions sur le président syrien Bachar al-Assad pour les atteintes aux droits humains dans une escalade de la pression internationale sur son régime.
Les sanctions annoncées par la marque Trésor américain la première fois que M. Assad a été ciblé personnellement par la communauté internationale pour la répression de son gouvernement sur les manifestants.
Lire la suite:
http://www.ikners.com/?p=15543
Syfou- Adminstrateur
-
Nombre de messages : 5687
Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
algeriedrs :: Politiques,relations extérieures et diplomatie :: Politique étrangère, diplomatie et coopération internationale :: Sanctions internationales
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 26 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» Guide 2013 de Recrutement de l’Armée Algérienne
Ven 26 Avr - 15:19 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Ven 26 Avr - 15:14 par ZIGHOUD15
» National security2 of Algéria
Lun 20 Fév - 15:04 par ZIGHOUD15
» Les exercices militaires russo-biélorusse
Mer 28 Sep - 16:45 par ZIGHOUD15
» nouvelle grille de lecture du monde
Sam 20 Aoû - 18:47 par ZIGHOUD15
» Lobbyisme et démocratie
Sam 19 Mar - 9:19 par ZIGHOUD15
» La fin des « guerres à bon marché » pour les États-Unis
Jeu 10 Mar - 14:04 par ZIGHOUD15
» BRICS
Jeu 10 Mar - 13:58 par ZIGHOUD15
» LA MATRICE DU TERRORISME
Ven 10 Sep - 20:41 par ZIGHOUD15
» Dhû-l-Qarnayn ou le bicornu ....
Sam 21 Aoû - 22:46 par ZIGHOUD15
» Définition et conception ?!
Lun 21 Juin - 17:39 par abdelmalek
» Gendarmerie Nationale
Sam 19 Juin - 12:12 par abdelmalek
» Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS)
Mer 16 Juin - 10:31 par abdelmalek
» إنتخابات الجزائر الجددة
Mar 24 Sep - 1:02 par Sphinx
» Zouaves ! qui sont ?
Dim 22 Sep - 22:22 par Sphinx
» Les alliés locaux de la colonisation algérienne
Mar 25 Juin - 22:18 par Sphinx
» Carthage et l'occident ...
Ven 21 Juin - 21:38 par Sphinx
» الأمير عبد القاد ر بن محي الدین
Lun 17 Juin - 23:35 par Sphinx
» Wilaya 5 historique en Oranies ( 1954/1962 )
Sam 6 Oct - 19:16 par Sphinx
» dépenses militaires mondiales
Dim 6 Mai - 16:38 par ZIGHOUD15
» algerian barkhane la citadelle
Ven 27 Avr - 16:27 par ZIGHOUD15
» cabale
Mer 25 Avr - 16:06 par ZIGHOUD15