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Personne à contacter Civilisation européenne

Message par Syfou Jeu 5 Mai - 11:35

L’Odyssée ?

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Statue de la personnification de l’Odyssée, placée
dans la Bibliothèque de Pantainos à Athènes, Musée
de l'Agora antique d'Athènes


L’Odyssée (en grec ancien Ὀδυσσεία / Odusseía) est une épopée grecque antique attribuée à l’aède Homère[note 1], qui l'aurait composée après l’Iliade, vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C. Elle est considérée comme l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature et, avec l’Iliade, comme l'un des deux poèmes fondateurs de la civilisation européenne.

L’Odyssée relate le retour chez lui du héros Ulysse, qui, après la guerre de Troie dans laquelle il a joué un rôle déterminant, met dix ans à revenir dans son île d'Ithaque, pour y retrouver son épouse Pénélope, qu'il délivre des prétendants, et son fils Télémaque. Au cours de son voyage sur mer, rendu périlleux par le courroux du dieu Poséidon, Ulysse rencontre de nombreux personnages mythologiques, comme la nymphe Calypso, la princesse Nausicaa, les Cyclopes, la magicienne Circé ou les Sirènes. L'épopée contient aussi un certain nombre d'épisodes qui complètent le récit de la guerre de Troie, par exemple la construction du cheval de Troie et la chute de la ville, qui ne sont pas évoquées dans l’Iliade. L’Odyssée compte douze mille cent neuf hexamètres dactyliques, répartis en vingt-quatre chants, et peut être divisée en trois grandes parties : la Télémachie (chants I-IV), les Récits d'Ulysse (chants V-XII) et la Vengeance d'Ulysse (chants XIII-XXIV).

L’Odyssée a inspiré un grand nombre d'œuvres littéraires et artistiques au cours des siècles, et le terme « odyssée » est devenu par antonomase un nom commun désignant un « [récit] de voyage plus ou moins mouvementé et rempli d'aventures singulières ».

Structure

L’Odyssée raconte le retour d’Ulysse, roi d’Ithaque, dans son pays, après la guerre de Troie dont l’Iliade ne raconte qu'une petite partie. L'Odyssée contient aussi un certain nombre d'épisodes qui complètent le récit de la guerre, par exemple la construction du cheval de Troie et la chute de la ville, qui ne sont pas évoquées dans l’Iliade. Le titre Odyssée (en grec ancien Ὀδυσσεία / Odusseía) est formé sur le nom grec d’Ulysse (Ὀδυσσεύς / Odusseús). Le sujet de l'épopée est résumé dans les premiers vers :

Ἄνδρα μοι ἔννεπε, Μοῦσα, πολύτροπον, ὃς μάλα πολλὰ
πλάγχθη, ἐπεὶ Τροΐης ἱερὸν πτολίεθρον ἔπερσε·
πολλῶν δ’ ἀνθρώπων ἴδεν ἄστεα καὶ νόον ἔγνω,
πολλὰ δ’ ὅ γ’ ἐν πόντῳ πάθεν ἄλγεα ὃν κατὰ θυμόν,
ἀρνύμενος ἥν τε ψυχὴν καὶ νόστον ἑταίρων.



La construction du poème fait se succéder trois « moments » principaux :

la Télémachie (chants I à IV) : Télémaque part demander des nouvelles de son père à Pylos et à Sparte, pour interroger Nestor et Ménélas. Pendant ce temps, à Ithaque, les prétendants festoient en attendant que Pénélope choisisse l'un d'eux, et complotent contre Télémaque.
les récits (d'Ulysse) chez Alcinoos (chants V à XII) : recueilli par le roi Alcinoos après son naufrage, Ulysse entend un aède réciter l'épisode du cheval de Troie (chant VIII), puis raconte ses aventures.
la vengeance d'Ulysse (chants XIII à XXIV) : rentré à Ithaque, Ulysse se fait reconnaître de ses proches, massacre les prétendants de Pénélope et ramène la paix dans l'île.

Structuration du poème dans l'Antiquité

La division actuelle de l'Odyssée en vingt-quatre chants est postérieure à la composition du poème : elle ne figure pas sur les papyri les plus anciens portant le texte de l'Odyssée, remontant au IIIe s. av. J.C. et date probablement de l'époque alexandrine.

Les commentaires anciens, c'est-à-dire principalement les scholies à Homère et le commentaire d'Eustathe, indiquent des titres d'épisodes qui ne coïncident pas toujours avec la division en chants, puisqu'ils correspondent souvent à des ensembles plus courts ou au contraire à des groupes d'épisodes. Victor Bérard a utilisé ces titres pour réaliser son édition de l'Odyssée.

Les problèmes de la composition du poème :

analystes et unitaristes

L'articulation entre les différentes parties de l'Odyssée soulève plusieurs problèmes de cohérence :

des problèmes de cohérence narrative. La chronologie d'ensemble du poème n'est pas entièrement cohérente : le changement de point de vue entre Télémaque et Ulysse implique une immobilisation du temps pour le personnage qui est délaissé, un « temps mort ». D'autres détails contradictoires apparaissent d'un chant à l'autre. Au chant XVI, v.281-298, Ulysse ordonne à Télémaque d'ôter toutes les armes de la salle où festoient les prétendants, sauf deux glaives, deux lances et deux boucliers ; mais au chant XIX, v.3-33, les deux hommes enlèvent toutes les armes, sans exception.
des différences de style, parfois assez sensibles. Cependant, la langue, telle que des analyses linguistiques des formes permettent de la dater, reste globalement la même, exception faite pour les six cent vingt-quatre derniers vers.

Au XIXe siècle, ces problèmes de cohérence ont servi de point de départ aux thèses des chercheurs dits « analystes », qui décomposaient le poème en multiples épisodes, en arguant que celui-ci n'avait été composé qu’a posteriori à partir de plusieurs poèmes plus courts, assemblés de façon plus ou moins adroite. En 1859, A. Kirchhoff publie L’Odyssée d'Homère et sa formation, où il émet l'hypothèse que ces trois moments (la Télémachie, le Nostos d'Ulysse avec ses épisodes merveilleux, la vengeance d'Ulysse) correspondaient à l'origine à trois œuvres distinctes, qui auraient été réunies ensuite pour devenir l'Odyssée actuelle. Les critiques « unitaristes », en revanche, ont défendu l'idée selon laquelle le poème avait été composé directement dans la structure que nous lui connaissons au XXIe siècle, à l'aide d'arguments divers mettant en valeur la cohérence de l'œuvre.

Samuel Butler a émis l'hypothèse selon laquelle l’Odyssée a été écrite par une femme issue d'une communauté grecque ionienne et ayant trouvé asile sur les terres de la Sicile, à Trapani, au pied du mont Eriche. Il pense reconnaître l'auteur dans le personnage de Nausicaa.

De nos jours, la majorité des homéristes tend plutôt à admettre l'unité globale de l'œuvre, et attribue les disparités observables à la fois à la composition orale et à l'ambition du dessein narratif du poète.

.../...




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Personne à contacter Re: Civilisation européenne

Message par Syfou Jeu 5 Mai - 14:38

Détail des chants

Chants I à IV : le voyage de Télémaque

Chant I

L'histoire commence au moment où Ulysse, après bien des péripéties (qui ne sont évoquées qu'ensuite, aux chants IX à XII), se trouve retenu captif sur l'île de la nymphe Calypso qui désire l'épouser : incapable de rentrer chez lui à Ithaque pour retrouver sa femme Pénélope, il se morfond en pensant aux siens. Tous les dieux sont favorables à son retour, sauf Poséidon qui lui en veut d'avoir rendu aveugle son fils Polyphème, le Cyclope (cet épisode est narré au chant IX). Alors que Poséidon est parti festoyer en Éthiopie, les autres dieux se rassemblent et Athéna demande à Zeus de permettre à Ulysse de rentrer. Zeus y consent ; Athéna réclame que l'on envoie Hermès demander à Calypso de libérer Ulysse, puis fait part à Zeus de son projet de venir en aide à Télémaque. Cependant, ce n'est qu'au chant V, après les premières aventures de Télémaque guidées par Athéna, qu'Hermès est effectivement envoyé chez Calypso et qu'Ulysse apparaît en personne.

Athéna se rend alors sur l'île d'Ithaque. Pénélope y est harcelée par des dizaines de prétendants appartenant aux familles nobles de l'île et des îles environnantes : Ulysse ayant disparu depuis bientôt vingt ans (dix années de guerre à Troie et dix autres d'errances), Pénélope est en devoir de choisir un nouvel époux pour régner sur Ithaque, mais elle diffère indéfiniment le moment de choisir, car elle espère toujours le retour d'Ulysse. Dans l'intervalle, les prétendants se sont installés au palais d'Ulysse, dont ils dilapident les provisions en festins continuels. Athéna, déguisée en humain, conseille à Télémaque, le fils d'Ulysse, d'assembler les Achéens afin de dénoncer les agissements des prétendants de Pénélope, puis de partir vers Pylos et Sparte pour tenter d'apprendre ce qu'est devenu Ulysse.

Lire la suite sur:
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Odyss%C3%A9e


Les quatre piliers de la civilisation européenne

(Premier pilier) par Charles Magne

Au hasard de mes lectures estivales, je me suis interrogé sur les traits essentiels de la civilisation européenne. Au cours de cette réflexion, il m’est apparu qu’elle reposait sur quatre piliers fondamentaux : l’homogénéité ethnique, la démocratie politique, l’esprit de science et les droits de propriété. Or, coïncidence fortuite ou volonté délibérée, le système politique qui nous régit ne semble plus avoir d’autre fin que de saper ces quatre piliers. Il nous faut donc en rappeler l’architectonique si nous voulons éviter de vivre au milieu des ruines.

L’homogénéité ethnique fondement de toute civilisation. A ceux qui seraient tentés, après la lecture de cet article, de nous faire un procès en sorcellerie raciale nous tenons à déclarer solennellement, ici, que nous ne sommes adeptes ni du grand démon paléo-nazi, ni de ses avatars néo-fascistes. Lorsque nous parlons d’homogénéité ethnique, nous ne nous référons en aucune manière au concept sulfuro-fumeux de pureté raciale.

L’homogénéité ethnique, telle que nous la percevons, se base sur une simple notion de seuil. Qu’elle soit sous-tendue par une réalité biologique, c’est une autre affaire dont la nature est seule responsable. C’est donc elle que nos adversaires devraient traduire en justice, s’ils concevaient quelque amertume à l’exposé de vérités non-conformes à l’idéologie dominante.

Pour illustrer ce que l’on tente d’apprécier au travers du concept d’homogénéité ethnique, on soutiendra que la présence de dix Africains en Belgique ne pose pas de problème majeur. Mais que la présence de dix millions conduirait à une réalité ethno-culturelle radicalement différente de celle qui a prévalu, sur notre territoire, pendant les 5.000 dernières années. Une réalité dont le peuple de souche, s’il était consulté, ne voudrait sans doute pas.

Sans contredit possible, l’homogénéité ethnique semble nécessaire à la manifestation de la civilisation. Pourquoi ? D’abord parce qu’il n’existe pas de civilisation pluriethnique. Ensuite, parce que le substrat ethnique permet l’incarnation du phénomène. L’identification va de pair avec l’identité. Plus simplement, lorsqu’on parle de civilisation égyptienne, chinoise, grecque, maya ou indoue on associe immédiatement un peuple à un fait de civilisation précis. L’idée ne viendrait à personne de mettre les Chinois à la place des Egyptiens et les Mayas à la place des Grecs.

Qu’on le regrette ou non, le fait de civilisation colle à la peau. Certes, on objectera que les empires grecs, romains et turcs dominaient plusieurs ethnies. Cela est incontestable. Néanmoins, tous ces empires sont nés d’une civilisation originelle qui a imposé, manu-militari, son mode d’organisation à d’autres peuples (Delenda est Carthago). La civilisation romaine est née à Rome dans un contexte mono-ethnique. Quand la ville est devenue cosmopolite, la civilisation qu’elle avait engendrée s’est effondrée.

Et c’est bien le sort qui nous attend si nos hommes politiques s’acharnent à poursuivre leur projet chimérique de société multiculturelle1. En vérité, ce à quoi aspirent nos apprentis-dictateurs c’est la création d’un Etat multiracial qui rendra la démocratie impossible. Ainsi, espèrent-ils pouvoir surfer, enfin seuls, au sommet des vagues ethniques et devenir les arbitres des inévitables conflits multiracistes.

Le constat du lien entre civilisation et homogénéité ethnique mérite cependant d’être approfondi. Ainsi, voit-on bien qu’une Europe qui serait peuplée uniquement d’allogènes ne porterait plus de civilisation européenne. Toutefois, cette projection – juste et réaliste – ne nous indique pas quel est le véritable moteur de la civilisation. Depuis des décennies, les intellectuels d’inspiration marxiste affirment que le langage est l’infrastructure déterminante de la civilisation. Autrement dit, le fait de parler français conduirait nécessairement à l’émergence de la civilisation française.

Cette idée saugrenue a, d’ailleurs, servi de justification idéologique, tardive, à la colonisation de l’Afrique et du Congo en particulier. La propagande de l’époque diffusait, alors, le message très socialisant qu’il suffisait d’apprendre à parler et à écrire notre langue aux bons sauvages pour en faire des êtres civilisés.

Or, si l’Afrique a en effet connu un développement économique rapide du XIXe siècle, jusqu’au départ des colons, elle ne l’a pas dû à la conversion linguistique des autochtones mais à l’administration coloniale qui imposait des modes d’organisation et de gestion efficaces, jusque là inconnus de cette partie du monde..

La preuve en est que la décolonisation de l’Afrique a été suivie d’un effondrement rapide de son économie. Ceci, alors que l’on continuait d’y parler français, anglais, afrikaans ou portugais. Fait exceptionnel à la surface de la planète, presque tous les pays de ce continent sont – pour employer l’euphémisme à la mode - en croissance négative constante depuis quarante ans. C’est à dire qu’ils détruisent chaque année plus de richesses qu’ils n’en produisent. Ainsi en va-t-il de l’agriculture africaine dont le volume de production n’a cessé de baisser alors que celui de la population n’a cessé d’augmenter.

Une fois de plus, les faits sociaux sont venus invalider les théories environnementalistes à la Lyssenko. Malgré la maîtrise du français par une partie de ses habitants, le Congo ne s’est pas couvert de cathédrales gothiques ou de centrales nucléaires. Si l’on en croit l’ONU, la seule chose dont il se soit couvert c’est de cadavres - plus de 2 millions au cours de ces dernières années. On notera, au passage, que toutes ces victimes ont été assassinées dans d’horribles conditions, allant parfois jusqu’à des actes d’anthropophagie, résultant de rivalités inter-tribales chroniques3.

Si le langage n’est pas le moteur de la civilisation c’est qu’il est lui-même le produit d’une réalité plus fine : le code génétique. C’est en tout cas ce qu’a

révélé le décodage du génome humain. Celui-ci a fait apparaître un ensemble de gènes interagissant pour donner aux seuls êtres humains la faculté de parler. Cette information a été passée sous silence par les médias officiels car elle ruine bon nombre de théories gauchistes. Elle est pourtant de la première importance. Elle confirme, ce que l’on savait déjà par l’observation : l’intelligence, dont le langage est l’outil, est largement déterminée par des facteurs génétiques - même si les gènes requièrent un certain environnement pour réaliser leur potentiel4.

Ceci explique que certains individus sont plus doués que d’autres pour l’expression orale, l’écriture, l’apprentissage des langues étrangères ou pour les mathématiques – la forme la plus abstraite du langage. Replacée dans une perspective darwinienne d’évolution par sélection naturelle, cette découverte éclaire d’un jour nouveau la manière dont se forment les langues et les civilisations.

Si l’on accepte l’hypothèse standard selon laquelle l’humanité actuelle dérive d’un groupe unique de préhominiens, il est indéniable que ce groupe s’est différencié en races puis en divers sous-groupes ethniques. Tout au long de ce processus de différenciation de légères variations génétiques sont apparues. Certaines de ces mutations sont visibles à l’œil nu : couleur de la peau, des yeux, des cheveux, forme des os. D’autres sont plus subtiles, comme la densité des fibres musculaires rouges (courtes) et blanches (longues) ou encore la résistance à certaines maladies.

Par analogie, on peut donc supposer, qu’au sein de ces groupes d’infimes variations, dans le code des gènes du langage, se soient produites. Ces variations surviennent probablement dès qu’un groupe se détache d’un autre. Elles conduisent naturellement à l’apparition des nouvelles langues. Ainsi, les Européens qui parlaient à l’origine une langue commune (l’indo-européen) se sont-ils différenciés en quatre rameaux linguistiques principaux : le celte, le slave, le germain et le latin qui se sont à leur tour subdivisés.

Comme par hasard, ces quatre rameaux correspondent à des types physiques (légèrement) distincts. Chacun de ces groupes a constitué une forme de société originale qui est rentrée en compétition avec les autres. Sans cette compétition-différenciation, ni la philosophie grecque, ni l’art celte, ni la renaissance italienne, ni la littérature française, ni la musique allemande n’auraient vu le jour.

La négation de cette évidence par la pensée unique n’a rien de surprenant. En effet, le processus naturel de compétition-sélection- différenciation conduit nécessairement à des inégalités entre les individus et entre les groupes. Or, la manifestation de ces inégalités est la phobie de tous les gauchistes (SAINT TROTSKY, PITIÉ, PITIÉ, CACHEZ-MOI CES INEGALITÉS QUE JE NE SAURAIS VOIR). Afin de les dissimuler, ils prônent simultanément le métissage universel et la société multiethnique.

Or, dans une perspective darwinienne, le métissage universel serait une véritable involution qui ramènerait l’humanité à un magma indifférencié impropre à la formation de hautes cultures. Quant à la société multiethnique, elle n’aboutit qu’à l’importation sur le territoire de la civilisation européenne d’ethnies appartenant à d’autres civilisations (l’inverse n’étant pas au programme bien entendu), ce qui revient à fragiliser la première au profit des secondes.

Ainsi, sommes-nous, pauvres Gaulois, livrés à l’arbitraire des démolisseurs de civilisations. Le mois prochain nous verrons comment leur travail de sape progresse méthodiquement vers les autres parties de notre Bastion.

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