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Touareg

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Personne à contacter Touareg

Message par Syfou Sam 10 Sep - 0:11

Touareg



"Le désert est mon berceau, j'y suis né
Le désert est ma route, j'y voyage
Le désert est mon tombeau, j'y mourrai",
dit un poème touareg.


Touareg  Images38

Quel est leur vrai nom ?

Les Touaregs sont des Berbères, peuple qui habite l'Afrique du nord depuis la préhistoire. On les a souvent appelés "les hommes bleus" à cause de la couleur de leurs vêtements et de leur peau foncée sur laquelle la teinture bleue à l'indigo déteint.

A l'époque des explorateurs, avant le début de la colonisation par la France au 19e siècle, on les surnommait aussi "les seigneurs du désert".

Dans quels pays et dans quel milieu naturel vivent-ils ?

Les Touaregs vivent dans le désert du Sahara. Les températures montent à plus de 50° l'été et descendent en dessous de zéro l'hiver pendant la nuit. Le climat est sec, les pluies sont rares et l'eau est le principal souci des Touaregs. On creuse des puits parfois de plus de 60 mètres pour atteindre les nappes d'eau souterraines. Dans certaines zones, après une petite pluie, on voit fleurir en quelques heures des tapis de fleurs éphémères. Les arbres sont rares, donc les piquets de tente constituent un bien précieux.

Touareg  Touare10
Spoiler:

Nomades, les Touaregs ont toujours parcouru avec leurs caravanes une immense région que les Français ont commencé à découper par des frontières en 1905. Ainsi, pour se déplacer le long des pistes de puits en puits et de pâturage en pâturage, ils doivent franchir les frontières qui séparent l'Algérie, la Mauritanie, le Mali, le Niger et le Burkina Faso.



Combien sont-ils ?
Ils sont environ 1,3 million, divisés en tribus, chacune sous la conduite d'un chef, l'Amenokal, qui est élu après de longues journées de palabres.



Quelles langues parlent-ils ?
Ils parlent le tamashek, une langue écrite dans un alphabet particulier, le tifinagh. On trouve à travers le désert des roches gravées depuis des siècles de paroles en tamashek. On voit aussi des textes écrits sur de l'os ou du cuir, car le papier n'est pas une matière traditionnelle pour les Touaregs.

Le soir, les familles aiment se réunir autour du feu pour boire le thé en chantant au rythme des battements de mains des poèmes en tamachek qui racontent l'histoire de leur peuple. Ce sont les mères qui apprennent à leurs enfants à écrire en tifinagh, car l'école est francophone.

Comment s'habillent-ils ?

Les hommes portent une ample robe, le boubou, sur un pantalon large retenu par une ceinture de cuir. Un proverbe dit : "La femme est la ceinture du pantalon. Sans la femme, l'homme est nu".

Un chèche, le taguelmoust, d'environ 4-5 mètres de long, s'enroule sur la tête pour protéger du soleil, du vent, du sable et du froid de la nuit. L'homme ne quitte jamais son chèche, qui peut être de différentes couleurs, rouge, jaune ou vert, et aussi de deux couleurs qui ont une signification spéciale : le blanc en signe de respect, et l'indigo de lin pour les jours de fête et quand il fait plus froid, car il est plus épais que le coton. Chaque manière de le draper, plus ou moins remonté sur la bouche et le nez, indique une attitude : respectueux, agressif, méfiant, triste, insolent...

Les femmes se couvrent la tête d'un voile qu'elles laissent davantage voler au vent. Les tissus de leurs robes et de leurs voiles sont teints aussi à l'indigo, qui donne une couleur bleue proche du noir et un aspect brillant. Elles se maquillent les yeux avec du khôl, une pâte très noire, se couvrent les mains de motifs peints au henné et portent de lourds bijoux en argent.

Comment sont leurs maisons ?

La tente, la khaïma, est l'habitat du nomade. En arrivant sur un lieu de campement, les dromadaires s'accroupissent sur leurs genoux recouverts d'un cal protecteur. On décharge les enfants installés par-dessus les bagages ou avec leur mère sur une selle en forme de plateau. On plante les piquets, on déroule les toiles de tente en poil de chameau et de chèvre et les nattes à étaler sur le sol et on installe le petit mobilier : coffres, coussins, plateaux, réchauds.

Pour les nuits froides et les tempêtes de sable, on ferme soigneusement les tentes, mais dans la journée, on se tient aussi dessous, à l'ombre, en ayant remonté le bas des toiles pour laisser circuler l'air.

Quels animaux vivent autour d'eux ?

Le dromadaire est le compagnon du Touareg, le moyen de transport des hommes et des marchandises, capable de se faire une réserve de 135 litres d'eau et de 50 kilos de nourriture avant de parcourir le désert pendant une semaine. Ses longs poils dans les narines et ses doubles rangées de cils lui font une bonne protection contre les tempêtes de sable. Sa laine est tissée pour faire des vêtements et son cuir donne les selles, les sacs, les ceintures, les sandales et les fourreaux des couteaux. Avec son urine, on désinfecte les plaies. Le méhari est le dromadaire blanc, fin et élancé, dressé pour la course.

Le Sahara est peuplé d'animaux plutôt petits, comme le fennec, sorte de renard qui se nourrit d'oiseaux, de reptiles et de rongeurs. On le repère à ses grandes oreilles pointues. La vipère à cornes se cache dans le sable, ne laissant que ses yeux dépasser pour guetter sa proie. Un dromadaire victime de son venin meurt en quelques minutes. La gerboise porte des moustaches aussi longues qu'elle. Elles lui servent d'antennes pour fuir par bonds de 3 mètres devant un danger. Pour le confort de ses petits, elle tapisse son terrier de poils de chameau.

Que mangent-ils ?

La femelle dromadaire donne son lait, ce qui a valu aux Touaregs d'inventer le lait en poudre. La chorba est le plat le plus courant. C'est une soupe épaisse que l'on cuit sur un feu alimenté avec des crottes de dromadaire. Le pain, ou taguella, est cuit en bordure du foyer, enfoui dans le sable et la cendre chaude. On en trempe des morceaux dans la chorba.

On élève aussi des chèvres qui donnent du lait et de la viande. La peau de chèvre cousue pour faire une outre sert de réserve pour l'eau que l'on transporte accrochée sous le ventre des ânes. Les dattes sont le principal fruit. Quand un groupe fait étape dans une oasis, il échange le lait, la viande et le cuir contre la semoule, la farine de blé, l'huile, le sucre, le thé et le tissu.

La cérémonie du thé est l'occasion de se réunir autour d'un petit réchaud à braises où l'on pose une théière pleine de feuilles de thé et de menthe très sucrée. On sert d'abord le premier thé, très fort, puis on rajoute de l'eau pour le deuxième thé, moins concentré, et enfin on sert le troisième, le plus léger. "Le premier thé est amer comme la vie, le second est fort comme l'amour et le dernier est doux comme la mort", dit-on.

Quels sont leurs croyances et leurs rites ?

Les Touaregs craignent les génies qui peuplent le désert, cachés dans les puits, les terriers et les rochers, car ils se nourrissent de la chair des cadavres. Il vaut mieux se voiler la bouche pour les empêcher d'y entrer. Pour se protéger, chaque Touareg porte autour du cou un talisman. C'est une petite boîte en cuir ou en argent qui contient des paroles du Coran, le livre sacré des musulmans. Comme tous les musulmans, les Touaregs prient 5 fois par jour, prosternés sur un petit tapis en direction de l'est où se trouve La Mecque, leur ville sainte en Arabie.

Comment sont leurs fêtes ?

Les grands rassemblements voient arriver de toutes les directions des tribus qui participent à des courses de dromadaires. De nos jours, le tourisme a fait renaître les festivals, surtout les rencontres musicales en Algérie, au Niger et au Mali. Les grands mariages sont aussi l'occasion de cérémonies où chacun se pare et apporte des cadeaux. La mariée reçoit en dot de sa famille une tente avec tout ce qu'il faut pour y vivre. En cas de divorce, l'homme s'en ira, et c'est la femme qui gardera tout.

Quelles œuvres d'art produisent-ils ?

Comme tous les peuples nomades, ils ne se déplacent qu'avec ce qui leur est vraiment nécessaire, et qui peut se transporter facilement. Ils fabriquent donc des objets utiles pour la vie quotidienne et pour les fêtes. Tous leurs objets en cuir sont magnifiquement décorés de motifs aux couleurs vives, agrémentés de longues franges souples : sacs, fourreaux de couteaux, selles de dromadaires, sandales.

Leurs bijoux sont d'une extrème finesse, mélangeant l'argent et le cuivre. Les orfèvres fabriquent et cisellent des boucles d'oreilles, colliers, bracelets, broches, et surtout les fameuses croix touaregs en argent. Chaque tribu a la sienne, qui permet de reconnaitre à quel groupe chacun appartient.

Quels sont leurs problèmes dans le monde actuel ?

En 1960, leur gigantesque territoire a été morcelé quand on a tracé les frontières entre les nouveaux pays africains qui étaient auparavant des colonies de la France. En 1974, l'Algérie a interdit le commerce par les caravanes de nomades. Ensuite, ce sont le Mali et le Niger qui ont fait la guerre aux Touaregs.

A la suite des sécheresses de 1973 et 1986 et des problèmes politiques, certains groupes sont allés jusqu'au Soudan et en Mauritanie pour se réfugier. De plus en plus nombreux à s'installer dans les bidonvilles autour des grandes villes, ils deviennent sédentaires malgré eux et restent souvent chômeurs. Dans cette situation misérable, ils perdent leur fierté et la richesse de leur culture basée sur le code de l'honneur, Ellelu en tamachek.

Certains pensent que pour s'adapter au monde moderne, recevoir une éducation complète, trouver de nouveaux emplois, la solution serait de devenir semi-nomade, c'est à dire s'établir dans un endroit fixe et d'y faire de l'agriculture, d'accompagner les touristes camper dans le désert, tout en continuant à nomadiser avec le bétail.

Dossier réalisé à partir de Le Sahara : Touaregs, Maures et Woodabe de C. Reisser et L. Quentin, Coll. Baluchon, éd. Nathan, et Touaregs, voix solitaires sous l'horizon confisqué, sous la direction de H. Claudot-Hawad et Hawad, Ethnies 20-21, Survival 1996.


A la frontière algérienne : Des centaines de Touareg persécutés fuient la Libye

Touareg  Une_6310

Le coordinateur du Mouvement touareg pour la Libye a dénoncé les exactions dont font l’objet les Touareg libyens de la part des pro-Gueddafi et des rebelles. Certains se sont agglutinés non loin de la frontière algérienne, alors qu’une soixantaine de familles ont pu entrer à Djanet

Dans un communiqué rendu public hier, le coordinateur du Mouvement touareg pour la Libye, Ishaq Ag Al Husseyni, fait état «de chasse aux Touareg et d’exécutions» par les rebelles au lendemain de la prise de Tripoli, qui ont suscité «des fuites collectives vers la frontière algérienne». Selon le signataire, le Sud libyen, «connu comme étant le territoire touareg, n’abrite pour ainsi dire plus aucun Touareg à l’heure actuelle. Ils ont tous été chassés manu militari. Un génocide qui doit cesser et l’opinion internationale doit contribuer activement à sa fin». Ishaq Ag Husseyni affirme que «depuis mercredi, les pro-Guedhafi se sont, à leur tour, donné à des exactions contre les Touareg au motif qu’ils auraient décidé de se ranger du côté du Conseil national de transition.

Depuis, tous les Touareg du Sud libyen ont fui vers les localités algériennes de Tarat et de Tinalkom, à 150 km de Djanet. Les insurgés et les pro- Guedhafi ne font plus la différence entre un Touareg libyen et un autre des pays limitrophes». Ils semblent décidés à les mettre «hors de la Libye», lit-on dans le communiqué du coordinateur. Or, précise ce dernier, «les 600 000 Touareg libyens n’ont pas l’intention de se sacrifier, de quitter leur nation et de se retrouver exilés au motif qu’ils auraient, dans un premier temps, soutenu un camp et dans un second temps l’autre camp». Le coordinateur a appelé à «la cessation immédiate de ces exactions pour l’intérêt et pour la cohésion de toute la Libye».

Colonnes entières

Selon lui, la Libye de demain aura besoin de toutes ses forces vives pour se reconstruire et «pour ne pas laisser une porte ouverte au chaos, à la guerre civile et à la mise sous tutelle étrangère». Il rappelle que les participants à la conférence d’Alger sur la sécurité et le développement dans le Sahel doivent féliciter l’Algérie pour avoir accueilli les réfugiés touareg et l’encourager à ouvrir davantage ses frontières pour les nouveaux et ce, jusqu’à ce qu’une solution durable soit trouvée. Ces parties ne doivent pas abandonner les nombreuses familles qui appellent au secours «au prétexte qu’elles représentaient une source d’insécurité et d’instabilité dans la sous-région, du seul fait qu’elles reviennent de la Libye, fuyant les atrocités et autres crimes dont elles font l’objet».

La coordination a par ailleurs «regretté le silence préoccupant de la France sur ce sujet, elle qui a œuvré pour la libération de la Libye et qui a toujours eu et entretenu des liens étroits avec le peuple touareg». Cette déclaration poignante et alarmante intervient au moment où des colonnes entières de Touareg quittent la Libye en direction de la frontière algérienne. Un important groupe, dont des femmes et des enfants, ayant fui la région de Oubari, a été signalé au village de Tarat, non loin de la frontière avec Illizi. «Elles sont dans le dénuement le plus total, vivant une situation des plus dramatiques. Privées de tout, sans aucun soutien, elles ne peuvent ni rebrousser chemin, de peur de subir des représailles, ni avancer vers l’Algérie, qui a refusé de les accueillir…», déclare notre interlocuteur.

Maisons brûlées

Il cite d’autres personnes, installées à Tinalkom, à près de 150 km de Djanet, sur le territoire libyen et qui souffrent le martyre, en ces temps où la température ne descend que rarement sous les 40 °C. «Bon nombre de ces fuyards étaient soupçonnés par les hommes d’El Gueddafi, d’être proches des rebelles. Situées dans la zone de Gatte, leurs maisons ont été brûlés et leurs jardins dévastés et tous leurs biens pillés. D’autres, qui avaient adopté une position de neutralité vis-à-vis de la rébellion, ont subi le même sort. Les hommes d’El Gueddafi les ont sévèrement châtiés à Sabha, Oubari, Tahalat et Ghat, et parmi eux, il y a eu de nombreux morts et blessés.

Quelques-uns ont pu rejoindre Djanet et sont actuellement en Algérie, loin de tous les regards et sans aucun soutien humanitaire», note un autre membre du Mouvement. Selon lui, la situation devient inquiétante, d’autant que l’Algérie n’ouvre ses portes qu’a quelques Touareg. «Des régions entières ont été vidées de leurs habitants. C’est le cas de Ghadamès, Diridj, Mazda et Sinewen abandonnées par leur population après qu’une trentaine de personnes eurent été exécutées par des hommes armés. Un drame humanitaire que l’Occident, notamment les pays engagés auprès des rebelles libyens, ne veut pas voir.»

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Personne à contacter Re: Touareg

Message par abdelmalek Lun 21 Nov - 10:20

un peuple fiére:les hommes bleues ont le caractères de la fiéreté que nous avons hérités de nos ancêtres berbéres:mais nous avons des frontiéres que l'homme moderne doit respecté:on conséquence nous sommes obligés que chacun soit dans sa case ,mais le liens ne doit pas être cassé :le respectés de leur personnalité de leur histoire de leur langue est un patrimoine pour nous tous.
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Personne à contacter Re: Touareg

Message par Syfou Sam 29 Sep - 20:49

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Hommage aux Touareg

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Le 6e Festival international du film (FIFA) Issni N’ourgh, qu’abrite depuis mercredi dernier la ville d’Agadir, au Maroc, se veut, selon les organisateurs, un hommage aux Touareg d’ailleurs.


Agadir (Maroc).
De notre envoyé spécial

Lors de son allocution inaugurale, le directeur du FIFA, Rachid Bouksim, a souligné l’importance de cet hommage. «Notre saga continue à étinceler dans un contexte universel marqué par la problématique touarègue qui reflète non seulement un chevauchement d’intérêts; elle prédit plutôt un cataclysme politique qui risque de déloger la région. L’hommage qu’on réserve au cinéma Imouhagh, cette année, suscite plusieurs contemplations de l’histoire, la mémoire et les droits de l’homme.» A l’occasion, l’artiste peintre et poète Hawad et son épouse, Hellène Claudot, ont mis en place une exposition sur les Touareg. «Ces tableaux reflètent la situation difficile que vivent les Touareg spoliés de leurs biens.», nous a dit Hawad.

Dans le même sillage, un film intitulé Asshak a été projeté au public au niveau de la salle de la Chambre de commerce d’Agadir. Cette production cinématographique de la réalisatrice Ulrike Koch essaye d’expliquer, via l’image, le quotidien du peuple targui dans le Sahara caractérisé par la chaleur torride et le froid glacial. «Les Touareg observent l’ässhäk, une sorte de code moral qui garantit la survie de leur communauté. il signifie le respect de tout être vivant et un comportement digne», explique cette réalisatrice suisse dans le synopsis de son long métrage.

Par ailleurs, notons que le Festival international du film amazigh Issni N’ourgh d’Agadir a acueilli, cette année, des réalisateurs venus de la region de Siwa qui presenteront un documentaire sur les Amazighs de l’Égypte. «Cette histoire retrace l’itinéraire des Amazighs d’Égypte qui se sont installés depuis 3000 ans, en provenance de l’Afrique du Nord, représentant environ 24 000 personnes vivant dans l’île de Siwa», tel est le résumé de ce documentaire.

Rappelons que sept productions cinématographiques algériennes sont en compétition lors de ce festival. Ainsi, dans la catégorie long métrage, on enregistre la participation des films Le Sang et l’argent de Idir Saoudi, et de Vava Moh de Yazid Smaïl. Ce dernier a remporté, pour rappel, l’Olivier d’or du Festival national culturel du film amazigh qui s’est tenu, en mars dernier, à Tizi Ouzou.
Pour ce qui est de la section court métrage, on note la présence de Yidir de Tahar Houchi, Encre et le monde de Sofiane Bellali et Banc Public du chanteur kabyle Djamel Allam, tandis que Matoub Lounès, le combat éternel de Tahar Yami et Tiâawinine, ça coule la source de Djamel Aït Iftène, sont en lice en catégorie documentaire.

En marge des projections, un colloque est au programme.
Le jury de ce festival est présidé par Rachid Niny, journaliste marocain, assisté, entre autres, par Djamila Amzal, une actrice connue notamment par sa participation dans des films kabyles comme La Colline oubliée de Abderahmane Bouguermouh et La Montagne de Baya» de Azeddine Meddour.

Hafid Azzouzi
Source:elwatan

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Personne à contacter Re: Touareg

Message par Daûphin_zz_47 Dim 28 Oct - 13:20

Mali: plusieurs Touareg tués par des hommes en uniforme de l'armée à Diabali

Touareg  Thumbnail.php?file=photo_1351089996119_1_0_905544420

Plusieurs civils touareg ont été tués par des hommes en uniformes de l'armée malienne à Diabali (centre du Mali) où, le 8 septembre, 16 personnes avaient été abattues par des militaires maliens, a appris mercredi l'AFP de sources concordantes à Bamako, Nouakchott et Ouagadougou.

Un témoin cité mardi par l'agence de presse en ligne mauritanienne Sahara Medias a affirmé avoir vu "une patrouille de l'armée malienne venant de la caserne de Diabali" bloquer un groupe de nomades touareg qui se rendaient vers la Mauritanie proche, arrêtant neuf d'entre eux.

Sahara Medias, citant une source militaire malienne, a ajouté que dans des véhicules de l'armée rentrant à la caserne de Diabali, se trouvaient les cadavres de quatre de ces neuf nomades touareg arrêtés et que les cinq autres étaient portés disparus.
Ces informations ont été confirmées à l'AFP par des sources au sein de la communauté touareg de Diabali.

Sollicité à plusieurs reprises par l'AFP à Bamako, le gouvernement malien s'est pour l'instant refusé à tout commentaire sur cet incident.

A Ouagadougou où il vit, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, un responsable de la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) a de son côté affirmé mardi que "neuf civils touareg" avaient "été enlevés (lundi) et assassinés par l'armée malienne sous le prétexte qu'ils étaient proches du MNLA".
"Les militaires les ont enlevés à 60 km au nord de Sokolo (près de Diabali) et les ont transportés dans leur base à Diabali où ils les ont sauvagement assassinés", a affirmé M. Assaleh à l'AFP.

Selon Sahara Media, l'unité impliquée serait la même que celle qui s'était rendue coupable le 8 septembre dans la région de Diabali du massacre de sept Maliens et neuf Mauritaniens de la secte musulmane Dawa.

Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz avait alors qualifié de "crime odieux" la fusillade, mais avait appelé à ne pas accabler le Mali voisin, assurant que cela n'aurait pas eu lieu sans les "circonstances politiques et sécuritaires difficiles que traverse ce pays frère".
Le nord du Mali est occupé depuis près de sept mois par des groupes islamistes armés, dont Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui en ont évincé le MNLA.

Ce sont les rebelles touareg laïcs du MNLA qui, alors alliés aux groupes islamistes armés, avaient lancé l'offensive en janvier pour obtenir l'indépendance du nord du Mali, représentant les deux tiers du territoire malien qu'ils dénomment l'Azawad.
L'armée malienne avait été très rapidement laminée par cette offensive des groupes armés.

Une intervention militaire internationale est en préparation pour reprendre le nord du Mali, où les islamistes appliquent la charia (loi islamique) avec brutalité: meurtres, lapidations, amputations, viols, coups de fouet en public et destructions de mausolées de saints musulmans.

Source: AFP
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Personne à contacter Re: Touareg

Message par Syfou Mer 12 Déc - 0:32

Quelques photos des Touareg d'Algérie Smile

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Personne à contacter Re: Touareg

Message par Daûphin_zz_47 Sam 15 Déc - 13:08

La Sebiba,la fête des touareg de Djanet

La Sebiba est une fête tribale Touarègue qui a lieu chaque année à Djanet dans le sud de l’Algérie selon le calendrier lunaire musulman.
La grande majorité des voyageurs sahariens quitte l’oasis de Djanet sans même connaître l’existence de la Sebiba. Pourtant, se rendre à Djanet pendant la fête et y assister, représente un véritable voyage à part entière à la rencontre de la culture Touarègue.

http://www.i-voyages.net/Xdossiers/dossiers.php?val=116_la+sebiba+fete+des+touareg+djanet


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