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Filature, surveillance et révélation d'un barbouze
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algeriedrs :: Zones de conflits dans le monde :: Batailles et guerres des services de renseignements :: Espionnage et contre-espionnage
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Filature, surveillance et révélation d'un barbouze
Christophe Labbé, journaliste de la Revue Le Point.
Certaines de ces officines sont prêtes à tout pour satisfaire le client, et donc pour lui apporter des informations illégales le plus précises possibles.
Patrick Baptendier dévoile également les noms de ceux qui ont selon lui commandé ces missions d'espionnage, le groupe Vincent Bolloré, les mutuelles du Mans Assurance, ou bien même la patronne des Patron (du MEDEF), Laurence Parisot, qui aurait fait appel au service du barbouze pour une de ses entreprises. Comme le montre cette vidéo, deux agents de Patrick Baptendier auraient surveillé en novembre 2005 les salariés d'une des sociétés de la Présidente du MEDEF.
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Certaines de ces officines sont prêtes à tout pour satisfaire le client, et donc pour lui apporter des informations illégales le plus précises possibles.
Patrick Baptendier dévoile également les noms de ceux qui ont selon lui commandé ces missions d'espionnage, le groupe Vincent Bolloré, les mutuelles du Mans Assurance, ou bien même la patronne des Patron (du MEDEF), Laurence Parisot, qui aurait fait appel au service du barbouze pour une de ses entreprises. Comme le montre cette vidéo, deux agents de Patrick Baptendier auraient surveillé en novembre 2005 les salariés d'une des sociétés de la Présidente du MEDEF.
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Syfou- Adminstrateur
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Re: Filature, surveillance et révélation d'un barbouze
La DCRI en échec [France]
La DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) est née par décret le 27 juin 2008, de la fusion des Renseignements Généraux et de la DST. Elle compte aujourd’hui près de 4.000 fonctionnaires dirigés par le Préfet Bernard Squarcini, nommé directeur de la DST en 2007 pour préparer cette fusion. Le chef du « contre-espionnage », proche du président Nicolas Sarkozy, est chargé d’animer un « FBI » à la Française. L’affaire de Tarnac a pour la première fois permis à ce service de s’illustrer dans la presse. Mais force est de constater, presque 6 mois après le déclenchement de « l’opération Taïga », que cette fameuse DCRI n’a, non seulement, rien prouvé contre les « mis en examen » et plus grave n’a rien empêcher des actions qui leur sont reprochés, malgré une filature exceptionnelle. A lui seul, du fond de sa cellule, Julien Coupat, a, bien malgré lui, démontré les faiblesses de la police d’élite française.
Le Monde, Charlie Hedbo, Libération. Les quotidiens qui ont eu accès au dossier d’instruction de l’affaire de Tarnac sont de plus en plus nombreux. La menace de l’avocate de Julien Coupat, Irène Terrel, au soir de la décision de la cour d’appel de Paris de refuser pour la 3ème fois la demande de remise en liberté de son client, a visiblement été mise à exécution. Bien sur les journalistes ne révèlent jamais leur source. Bien sur, les avocats nieront farouchement être les auteurs de ces graves manquements au secret de l’instruction, qu’ils dénoncent avec tant de force, quand les faits révélés sont contraire à l’intérêt de leur client. Peu importe finalement, ces péripéties, si courantes dans les dossiers d’instruction médiatiques, ou le secret de l’instruction n’est qu’un épouvantail. L’essentiel, ce sont ces révélations sur l’impressionnant dispositif de surveillance mis en place autour de Julien Coupat, de ses amis et de la commune Tarnac. L’épicerie était sur écoute, pour 3.000 euros par mois. Il y avait des caméras dans les arbres sur la route menant à la ferme du Goutailloux, et à l’entrée de l’appartement parisien de Julien Coupat. Les voitures étaient équipées de puces électroniques, permettant leur localisation à tout instant. Tous les membres de la communauté étaient fichés, surveillés, écoutés, leurs comptes bancaires épluchés. Un dispositif digne d’un très grand film d’espionnage !
Mais au final, les agents de la DCRI ressemblent plus à OSS 117, qu’à James Bond !
Selon, le patron de la DCRI, cette surveillance avait pour but « de détecter, de surveiller et d’anticiper le passage à l’acte pour éviter des drames ». Or, dans ce dossier, Julien Coupat et ces amis n’ont jamais été empéché d’agir. Ni à Vichy, où il leur est reproché des actions violentes contre la police, lors de la manifestation contre le sommet sur les politiques de lutte contre l’immigration. Ni dans la nuit du 25 au 26 octobre, où aurait été commis le premier acte de sabotage imputé à Julien Coupat et Gabrielle Hallez.
Et surtout pas, au cours de cette fameuse nuit du 07 au 8 novembre, où Julien Coupat et Yldune Lévy sont suivis, minute par minute, où ils sont vus s’arrêtant au bord d’une voie TGV, où ils sont, de l’aveu même des policiers, suspectés d’avoir déposé « une bombe » sur la voie. Les fonctionnaires de la DCRI ont donc laissé agir « un terroriste présumé », surveillé depuis des mois, et supposé capable d’un passage à l’acte dangereux, alors qu’ils pouvaient l’interpeller en flagrant délit. Le plus grand scandale de l’affaire de Tarnac, n’est-il pas là ?
Si les lois anti-terroristes, et les missions de la DCRI sont d’empêcher les terroristes d’agir, force est d’admettre que cette nuit là, les fonctionnaires présents et leur hiérarchie ont fait preuve de négligence ou d’incompétence.
Ils ont expliqué avoir « laisser-faire » pour ne pas « griller la filature ». Et pourtant, le rapport de la SDAT reconnaît que Julien Coupat se sait filer, qu’il développe des stratégies pour « détecter une surveillance policière », la preuve qu’un simple contrôle d’identité n’aurait rien changé à l’affaire.
D’ailleurs, les gendarmes n’ont pas pris autant de précaution avec Benjamin Rosoux, lui aussi probablement « pisté » et contrôlé « par hasard » au cours de cette même nuit, avec Gabrielle Hallez et Manon Glibert quelque part sur chemin de campagne dans l’est de la France.
Si ce déploiement de force policier se révèle finalement aussi couteux qu’inutile « pour éviter les drames », il s’avère aussi et surtout incapable d’apporter la moindre preuve matérielle de la culpabilité des neuf mis en examen.
Les révélations médiatiques de ces derniers jours l’ont longuement démontré, le dossier d’instruction ne contient pas de preuves à charge.
A ce stade, les policiers d’élite de la DCRI ont donc doublement échoué, à empécher les sabotages et à résoudre l’affaire.
Car au délà, de l’abscence de preuve de la culpabilité de Julien Coupat, et de ses amis, se pose un autre problème. Il y a eu cette nuit là, quatre sabotages. La distance séparant les lieux de ces actions concertées, et la surveillance de Julien Coupat, empêchent de lui imputer la responsabilité de ces faits. Il y a donc au moins 2 autres personnes impliquées dans ces sabotages et aujourd’hui encore totalement inconnues des services de police.
Si elles ont agi de concert avec Julien Coupat, elles doivent bien figurer quelque part dans les procès verbaux des filatures et des écoutes téléphoniques effectuées pendant six mois. Julien Coupat a forcément eu des contacts avec ces « complices présumés », qui ont tous été "fichés". Or là encore, le déploiement de moyens policiers s’avère totalement inopérant.
En même temps, qu'il publie l'entretien exclusif du chef du contre-espionnage, notre confrère du « Point » révèle dans son édition du 12 mars, « l’attentat auquel la France a échappé ».
Un jeune islamiste présumé a été interpellé le 16 décembre 2008 alors qu’il projetait, une attaque à la voiture piégée contre le siège de la DCRI. Cet exemple sert à démontrer l’efficacité du travail de la DCRI, largement commenté par Bernard Squarcini.
Il faut bien cela, dans la bataille médiatique de l’affaire de Tarnac, pour que la DCRI réponde aux critiques dont elle fait constamment l’objet.
http://blog.france3.fr
La DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) est née par décret le 27 juin 2008, de la fusion des Renseignements Généraux et de la DST. Elle compte aujourd’hui près de 4.000 fonctionnaires dirigés par le Préfet Bernard Squarcini, nommé directeur de la DST en 2007 pour préparer cette fusion. Le chef du « contre-espionnage », proche du président Nicolas Sarkozy, est chargé d’animer un « FBI » à la Française. L’affaire de Tarnac a pour la première fois permis à ce service de s’illustrer dans la presse. Mais force est de constater, presque 6 mois après le déclenchement de « l’opération Taïga », que cette fameuse DCRI n’a, non seulement, rien prouvé contre les « mis en examen » et plus grave n’a rien empêcher des actions qui leur sont reprochés, malgré une filature exceptionnelle. A lui seul, du fond de sa cellule, Julien Coupat, a, bien malgré lui, démontré les faiblesses de la police d’élite française.
Le Monde, Charlie Hedbo, Libération. Les quotidiens qui ont eu accès au dossier d’instruction de l’affaire de Tarnac sont de plus en plus nombreux. La menace de l’avocate de Julien Coupat, Irène Terrel, au soir de la décision de la cour d’appel de Paris de refuser pour la 3ème fois la demande de remise en liberté de son client, a visiblement été mise à exécution. Bien sur les journalistes ne révèlent jamais leur source. Bien sur, les avocats nieront farouchement être les auteurs de ces graves manquements au secret de l’instruction, qu’ils dénoncent avec tant de force, quand les faits révélés sont contraire à l’intérêt de leur client. Peu importe finalement, ces péripéties, si courantes dans les dossiers d’instruction médiatiques, ou le secret de l’instruction n’est qu’un épouvantail. L’essentiel, ce sont ces révélations sur l’impressionnant dispositif de surveillance mis en place autour de Julien Coupat, de ses amis et de la commune Tarnac. L’épicerie était sur écoute, pour 3.000 euros par mois. Il y avait des caméras dans les arbres sur la route menant à la ferme du Goutailloux, et à l’entrée de l’appartement parisien de Julien Coupat. Les voitures étaient équipées de puces électroniques, permettant leur localisation à tout instant. Tous les membres de la communauté étaient fichés, surveillés, écoutés, leurs comptes bancaires épluchés. Un dispositif digne d’un très grand film d’espionnage !
Mais au final, les agents de la DCRI ressemblent plus à OSS 117, qu’à James Bond !
Selon, le patron de la DCRI, cette surveillance avait pour but « de détecter, de surveiller et d’anticiper le passage à l’acte pour éviter des drames ». Or, dans ce dossier, Julien Coupat et ces amis n’ont jamais été empéché d’agir. Ni à Vichy, où il leur est reproché des actions violentes contre la police, lors de la manifestation contre le sommet sur les politiques de lutte contre l’immigration. Ni dans la nuit du 25 au 26 octobre, où aurait été commis le premier acte de sabotage imputé à Julien Coupat et Gabrielle Hallez.
Et surtout pas, au cours de cette fameuse nuit du 07 au 8 novembre, où Julien Coupat et Yldune Lévy sont suivis, minute par minute, où ils sont vus s’arrêtant au bord d’une voie TGV, où ils sont, de l’aveu même des policiers, suspectés d’avoir déposé « une bombe » sur la voie. Les fonctionnaires de la DCRI ont donc laissé agir « un terroriste présumé », surveillé depuis des mois, et supposé capable d’un passage à l’acte dangereux, alors qu’ils pouvaient l’interpeller en flagrant délit. Le plus grand scandale de l’affaire de Tarnac, n’est-il pas là ?
Si les lois anti-terroristes, et les missions de la DCRI sont d’empêcher les terroristes d’agir, force est d’admettre que cette nuit là, les fonctionnaires présents et leur hiérarchie ont fait preuve de négligence ou d’incompétence.
Ils ont expliqué avoir « laisser-faire » pour ne pas « griller la filature ». Et pourtant, le rapport de la SDAT reconnaît que Julien Coupat se sait filer, qu’il développe des stratégies pour « détecter une surveillance policière », la preuve qu’un simple contrôle d’identité n’aurait rien changé à l’affaire.
D’ailleurs, les gendarmes n’ont pas pris autant de précaution avec Benjamin Rosoux, lui aussi probablement « pisté » et contrôlé « par hasard » au cours de cette même nuit, avec Gabrielle Hallez et Manon Glibert quelque part sur chemin de campagne dans l’est de la France.
Si ce déploiement de force policier se révèle finalement aussi couteux qu’inutile « pour éviter les drames », il s’avère aussi et surtout incapable d’apporter la moindre preuve matérielle de la culpabilité des neuf mis en examen.
Les révélations médiatiques de ces derniers jours l’ont longuement démontré, le dossier d’instruction ne contient pas de preuves à charge.
A ce stade, les policiers d’élite de la DCRI ont donc doublement échoué, à empécher les sabotages et à résoudre l’affaire.
Car au délà, de l’abscence de preuve de la culpabilité de Julien Coupat, et de ses amis, se pose un autre problème. Il y a eu cette nuit là, quatre sabotages. La distance séparant les lieux de ces actions concertées, et la surveillance de Julien Coupat, empêchent de lui imputer la responsabilité de ces faits. Il y a donc au moins 2 autres personnes impliquées dans ces sabotages et aujourd’hui encore totalement inconnues des services de police.
Si elles ont agi de concert avec Julien Coupat, elles doivent bien figurer quelque part dans les procès verbaux des filatures et des écoutes téléphoniques effectuées pendant six mois. Julien Coupat a forcément eu des contacts avec ces « complices présumés », qui ont tous été "fichés". Or là encore, le déploiement de moyens policiers s’avère totalement inopérant.
En même temps, qu'il publie l'entretien exclusif du chef du contre-espionnage, notre confrère du « Point » révèle dans son édition du 12 mars, « l’attentat auquel la France a échappé ».
Un jeune islamiste présumé a été interpellé le 16 décembre 2008 alors qu’il projetait, une attaque à la voiture piégée contre le siège de la DCRI. Cet exemple sert à démontrer l’efficacité du travail de la DCRI, largement commenté par Bernard Squarcini.
Il faut bien cela, dans la bataille médiatique de l’affaire de Tarnac, pour que la DCRI réponde aux critiques dont elle fait constamment l’objet.
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Syfou- Adminstrateur
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Re: Filature, surveillance et révélation d'un barbouze
Comment bien réussir une filature ?
On peut toujours avoir besoin de faire une filature au cours de notre vie ! Alors dans ces cas-là, il est toujours mieux de savoir comment faire une filature ! Alors voici comment vous pouvez réaliser une filature, tout simplement !
Étapes de réalisation
1.Premièrement, il faut bien sûr marcher sans faire de bruit. C'est ce qu'il y a de plus essentiel pour bien commencer une filature !
2.En plus de marcher sans faire le moindre bruit, économisez vos mouvements. Réfléchissez, anticipez les mouvements et les déplacements que vous pourriez faire.
3.Lorsque vous avez besoin de regarder de chaque côté de vous, tournez vos yeux au lieu de tourner votre tête. Vous attirerez moins les regards de cette façon.
4.Évitez de vous tenir en pleine vue sur l'horizon. Camouflez-vous un peu, si possible, ne soyez pas le centre d'attraction ou la seule évidence de l'endroit.
5.Il est sage d'éviter de porter des bijoux ou des objets qui pourraient briller au soleil. Vous avez plus de chance de passer inaperçu en procédant ainsi.
6.Pour terminer, faites attention à votre ombre, elle pourrait vous trahir ! Pensez à ce détail, beau temps, mauvais temps !
http://www.commentfaiton.com/fiche/voir/24678/comment-bien-reussir-une-filature
On peut toujours avoir besoin de faire une filature au cours de notre vie ! Alors dans ces cas-là, il est toujours mieux de savoir comment faire une filature ! Alors voici comment vous pouvez réaliser une filature, tout simplement !
Étapes de réalisation
1.Premièrement, il faut bien sûr marcher sans faire de bruit. C'est ce qu'il y a de plus essentiel pour bien commencer une filature !
2.En plus de marcher sans faire le moindre bruit, économisez vos mouvements. Réfléchissez, anticipez les mouvements et les déplacements que vous pourriez faire.
3.Lorsque vous avez besoin de regarder de chaque côté de vous, tournez vos yeux au lieu de tourner votre tête. Vous attirerez moins les regards de cette façon.
4.Évitez de vous tenir en pleine vue sur l'horizon. Camouflez-vous un peu, si possible, ne soyez pas le centre d'attraction ou la seule évidence de l'endroit.
5.Il est sage d'éviter de porter des bijoux ou des objets qui pourraient briller au soleil. Vous avez plus de chance de passer inaperçu en procédant ainsi.
6.Pour terminer, faites attention à votre ombre, elle pourrait vous trahir ! Pensez à ce détail, beau temps, mauvais temps !
http://www.commentfaiton.com/fiche/voir/24678/comment-bien-reussir-une-filature
Daûphin_zz_47- Adm
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Localisation : tlc
Re: Filature, surveillance et révélation d'un barbouze
Un Irano-Américain condamné à mort pour espionnage
Amir Mirzaï Hekmati est un ancien Marine né aux Etats-Unis d’une famille iranienne. Sa condamnation à mort pour «espionnage et collaboration avec un pays hostile» intervient à un moment où les relations sont tendues entre Washington et Téhéran depuis que l’Iran a menacé de fermer le détroit d’Ormuz.
La condamnation à mort de l’Irano-Américain ne va pas améliorer les relations entre Téhéran et Washington. Jugé le 27 décembre 2011, Amir Mirzaï Hekmati, âgé de 28 ans, a été condamné à mort pour collaboration avec un pays hostile et espionnage pour la CIA.
La télévision iranienne avait diffusé ses aveux, dans lesquels il reconnaissait avoir travaillé pour l’armée américaine, en Irak et en Afghanistan.
La télévision avait également diffusé des photos montrant Amir Mirzaï Hekmati en tenue militaire américaine, dans ces deux pays.
Dans ses aveux, l’Irano-Américain avait affirmé qu’il avait pour mission d’infiltrer les services de renseignement iraniens. Cette affaire risque d’alourdir le climat déjà tendu entre l’Iran et les Etats-Unis, notamment après les nouvelles sanctions américaines contre l’Iran, à cause de son programme nucléaire, et les menaces de Téhéran de fermer le détroit d’Ormuz.
Le chef du Pentagone, Leon Panetta, a d’ailleurs mis en garde Téhéran contre toute tentative de fermer ce détroit. Les Etats-Unis utiliseront la force si l’Iran cherchait à bloquer ce canal stratégique, a averti Leon Panetta.
Mais Téhéran a également montré ses muscles, en annonçant l’organisation de nouvelles manœuvres dans le détroit d’Ormuz.
Par RFI
- Spoiler:
- Photo extraite d'une vidéo non datée et non située de Amir Mirzaï Hekmati.
Reutersvia Reuters TV
Amir Mirzaï Hekmati est un ancien Marine né aux Etats-Unis d’une famille iranienne. Sa condamnation à mort pour «espionnage et collaboration avec un pays hostile» intervient à un moment où les relations sont tendues entre Washington et Téhéran depuis que l’Iran a menacé de fermer le détroit d’Ormuz.
La condamnation à mort de l’Irano-Américain ne va pas améliorer les relations entre Téhéran et Washington. Jugé le 27 décembre 2011, Amir Mirzaï Hekmati, âgé de 28 ans, a été condamné à mort pour collaboration avec un pays hostile et espionnage pour la CIA.
La télévision iranienne avait diffusé ses aveux, dans lesquels il reconnaissait avoir travaillé pour l’armée américaine, en Irak et en Afghanistan.
La télévision avait également diffusé des photos montrant Amir Mirzaï Hekmati en tenue militaire américaine, dans ces deux pays.
Dans ses aveux, l’Irano-Américain avait affirmé qu’il avait pour mission d’infiltrer les services de renseignement iraniens. Cette affaire risque d’alourdir le climat déjà tendu entre l’Iran et les Etats-Unis, notamment après les nouvelles sanctions américaines contre l’Iran, à cause de son programme nucléaire, et les menaces de Téhéran de fermer le détroit d’Ormuz.
Le chef du Pentagone, Leon Panetta, a d’ailleurs mis en garde Téhéran contre toute tentative de fermer ce détroit. Les Etats-Unis utiliseront la force si l’Iran cherchait à bloquer ce canal stratégique, a averti Leon Panetta.
Mais Téhéran a également montré ses muscles, en annonçant l’organisation de nouvelles manœuvres dans le détroit d’Ormuz.
Par RFI
Sphinx- Adminstrateur
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Localisation : S.B.A
Comment bien réussir une filature .
Merci pour toutes ces informations, qui vont bien m'aider dans mes prochains romans. j'avais oublié quelques détails très importants. Cordialement NC.Airouane a écrit:Comment bien réussir une filature ?
On peut toujours avoir besoin de faire une filature au cours de notre vie ! Alors dans ces cas-là, il est toujours mieux de savoir comment faire une filature ! Alors voici comment vous pouvez réaliser une filature, tout simplement !
Étapes de réalisation
1.Premièrement, il faut bien sûr marcher sans faire de bruit. C'est ce qu'il y a de plus essentiel pour bien commencer une filature !
2.En plus de marcher sans faire le moindre bruit, économisez vos mouvements. Réfléchissez, anticipez les mouvements et les déplacements que vous pourriez faire.
3.Lorsque vous avez besoin de regarder de chaque côté de vous, tournez vos yeux au lieu de tourner votre tête. Vous attirerez moins les regards de cette façon.
4.Évitez de vous tenir en pleine vue sur l'horizon. Camouflez-vous un peu, si possible, ne soyez pas le centre d'attraction ou la seule évidence de l'endroit.
5.Il est sage d'éviter de porter des bijoux ou des objets qui pourraient briller au soleil. Vous avez plus de chance de passer inaperçu en procédant ainsi.
6.Pour terminer, faites attention à votre ombre, elle pourrait vous trahir ! Pensez à ce détail, beau temps, mauvais temps !
http://www.commentfaiton.com/fiche/voir/24678/comment-bien-reussir-une-filature
christine8404- Membre
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