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Actualité Espagnoles
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algeriedrs :: Actualité politique, économique, monétaire, financière, sociale et environnementale :: Actualité politique, sociale et environnementale internationale :: Actualité politique,sociale et environnementale en Europe
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Actualité Espagnoles
L'Espagne fait grève contre la baisse des salaires du public
Pour les syndicats, 75% des fonctionnaires faisaient grève mardi. Selon le gouvernement, ils n'étaient que 11%.
Ce fut à la fois une première et une répétition générale. En six ans de gouvernement socialiste, les syndicats n'avaient jamais convoqué de grève nationale dans l'Espagne de José Luis Rodríguez Zapatero. Mais depuis la mobilisation des fonctionnaires mardi, le divorce entre l'exécutif et les deux plus grandes centrales syndicales - Comisiones obreras (CCOO) et UGT - est officiellement consommé.
Pressés par leurs bases, les syndicats n'avaient d'autre choix que de rompre avec Zapatero. C'est, bien sûr, la mesure la plus spectaculaire du plan de réduction des déficits qui a mis le feu aux poudres : la baisse des salaires de la fonction publique, de 5% en moyenne dès le mois de juin, suscite l'indignation des employés publics. Mais, de l'aveu même des syndicats, c'est l'absence de toute concertation qui exaspère le plus. «Nous ne demandons même pas le retrait de la mesure», confie Julio Lacuerda, le secrétaire général de la Fédération des services publics d'UGT. Les syndicats ont conscience que ces décisions seront appliquées. Le plan d'austérité est exigé par les marchés, par l'Union européenne et… par les États-Unis, dont le président lui-même, Barack Obama, a appelé Zapatero.
Une guerre des chiffres
Dès lors, la manifestation des fonctionnaires sert de test pour chaque partie. Les premiers mesurent leurs forces avant de convoquer, «si nécessaire», une grève générale. L'exécutif, pour sa part, jauge le mécontentement avant d'annoncer de nouvelles mesures impopulaires. En premier lieu, la réforme du marché du travail, qui doit être dévoilée le 16 juin. En attendant, chacun se livre à une guerre des chiffres. Pour les syndicats, 75% des fonctionnaires faisaient grève mardi. Selon le gouvernement, ils n'étaient que 11%.
Surtout, les représentants des travailleurs refusent d'être les seuls à payer. «Pourquoi maintenons-nous nos troupes en Afghanistan? Pourquoi est-ce que l'on continue d'offrir 900 millions d'euros de subventions fiscales à l'Église catholique?», interroge Julio Lacuerda. Zapatero a certes annoncé la création d'un nouvel impôt sur les catégories aisées, inspiré de l'ISF français. Mais, selon ses propres déclarations, «99,99%» des Espagnols devraient y échapper.
lefigaro
Pour les syndicats, 75% des fonctionnaires faisaient grève mardi. Selon le gouvernement, ils n'étaient que 11%.
Ce fut à la fois une première et une répétition générale. En six ans de gouvernement socialiste, les syndicats n'avaient jamais convoqué de grève nationale dans l'Espagne de José Luis Rodríguez Zapatero. Mais depuis la mobilisation des fonctionnaires mardi, le divorce entre l'exécutif et les deux plus grandes centrales syndicales - Comisiones obreras (CCOO) et UGT - est officiellement consommé.
Pressés par leurs bases, les syndicats n'avaient d'autre choix que de rompre avec Zapatero. C'est, bien sûr, la mesure la plus spectaculaire du plan de réduction des déficits qui a mis le feu aux poudres : la baisse des salaires de la fonction publique, de 5% en moyenne dès le mois de juin, suscite l'indignation des employés publics. Mais, de l'aveu même des syndicats, c'est l'absence de toute concertation qui exaspère le plus. «Nous ne demandons même pas le retrait de la mesure», confie Julio Lacuerda, le secrétaire général de la Fédération des services publics d'UGT. Les syndicats ont conscience que ces décisions seront appliquées. Le plan d'austérité est exigé par les marchés, par l'Union européenne et… par les États-Unis, dont le président lui-même, Barack Obama, a appelé Zapatero.
Une guerre des chiffres
Dès lors, la manifestation des fonctionnaires sert de test pour chaque partie. Les premiers mesurent leurs forces avant de convoquer, «si nécessaire», une grève générale. L'exécutif, pour sa part, jauge le mécontentement avant d'annoncer de nouvelles mesures impopulaires. En premier lieu, la réforme du marché du travail, qui doit être dévoilée le 16 juin. En attendant, chacun se livre à une guerre des chiffres. Pour les syndicats, 75% des fonctionnaires faisaient grève mardi. Selon le gouvernement, ils n'étaient que 11%.
Surtout, les représentants des travailleurs refusent d'être les seuls à payer. «Pourquoi maintenons-nous nos troupes en Afghanistan? Pourquoi est-ce que l'on continue d'offrir 900 millions d'euros de subventions fiscales à l'Église catholique?», interroge Julio Lacuerda. Zapatero a certes annoncé la création d'un nouvel impôt sur les catégories aisées, inspiré de l'ISF français. Mais, selon ses propres déclarations, «99,99%» des Espagnols devraient y échapper.
lefigaro
Sphinx- Adminstrateur
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Humeur : Peu importe.
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Re: Actualité Espagnoles
Les Espagnols n'attendent rien des élections
Mariano Rajoy et le Partido Popular devraient remporter ces élections. Ministre de tous les gouvernements de José Maria Aznar, qui l'a mis en orbite et l'a choisi pour être son dauphin, il attend son heure depuis huit ans. Sans charisme et sans éclat. Il devrait l'emporter, à l'usure.
"On a le choix entre l'austérité et l'austérité", proteste Miguel Angel Aranda, 33 ans, quatrième génération de bouchers à Villacañas, qui tourne en rond dans son magasin, désert.
Chômage, croissance en panne, fermeture d'entreprises, crise immobilière... Le marasme économique occupe le premier plan de la campagne en Espagne, avant les élections de ce dimanche. L'Express est allé prendre le pouls de la population à Villacañas, une ville particulièrement touchée de Castille.
L'intégralité de l'article:
http://www.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/actualite/monde/europe/les-espagnols-n-attendent-rien-des-elections_1051757.html?p=5
Daûphin_zz_47- Adm
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Re: Actualité Espagnoles
L'Espagne n'utilisera qu'environ 60 mrd EUR de l'aide aux banques (ministre)
Madrid (awp/afp) - L'Espagne ne prévoit d'utiliser qu'environ 60 milliards d'euros sur les cent milliards offerts par la zone euro pour renflouer ses banques, a déclaré le ministre de l'Economie Luis de Guindos dans un entretien publié lundi par l'International Herald Tribune (IHT).
Deux premiers audits indépendants évaluaient en juin à 62 milliards d'euros les besoins du secteur financier espagnol, fragilisé par son exposition au secteur immobilier sinistré depuis l'éclatement de la bulle en 2008.
Mais le gouvernement attend encore les résultats des audits de quatre cabinets qui lui permettront de fixer le montant dont ont besoin ses banques.
"Je ne pense pas que cela sera très différent" par rapport aux 62 milliards d'euros, a indiqué le ministre au IHT.
Quant à l'hypothèse de voir l'Espagne présenter une demande de sauvetage global auprès de la zone euro, condition fixée par la Banque centrale européenne (BCE) pour acheter des obligations espagnoles, de concert avec les fonds de secours européens, et faire ainsi baisser ses coûts d'emprunts très élevés, "c'est quelque chose qui reste complètement ouvert", précise le ministre.
Le chef du gouvernement, Mariano Rajoy, a déclaré à plusieurs reprises que l'Espagne attendait d'en savoir plus sur les conditions fixées par la BCE en échange de son intervention, avant de se décider à y faire appel.
La pression monte en ce sens depuis plusieurs semaines, le pays devant faire face au mois d'octobre à de lourdes échéances de dette alors qu'il est forcé de concéder des taux d'intérêt très élevés pour se financer auprès d'investisseurs méfiants.
"Le gouvernement espagnol admet que l'intervention de la BCE sur le marché secondaire ne doit pas entraîner une diminution de l'effort de réduction du déficit public, et nous devons rassurer la BCE en lui assurant que nous allons respecter notre engagement", a ajouté Luis de Guindos au Herald Tribune.
Au prix d'un effort de rigueur historique, visant à récupérer 102 milliards d'euros, entre coupes budgétaires et hausses d'impôts, sur les deux ans et demi à venir, le gouvernement espère ramener le déficit public de 8,9% en 2011 à moins de 3% en 2014.
AWP
Madrid (awp/afp) - L'Espagne ne prévoit d'utiliser qu'environ 60 milliards d'euros sur les cent milliards offerts par la zone euro pour renflouer ses banques, a déclaré le ministre de l'Economie Luis de Guindos dans un entretien publié lundi par l'International Herald Tribune (IHT).
Deux premiers audits indépendants évaluaient en juin à 62 milliards d'euros les besoins du secteur financier espagnol, fragilisé par son exposition au secteur immobilier sinistré depuis l'éclatement de la bulle en 2008.
Mais le gouvernement attend encore les résultats des audits de quatre cabinets qui lui permettront de fixer le montant dont ont besoin ses banques.
"Je ne pense pas que cela sera très différent" par rapport aux 62 milliards d'euros, a indiqué le ministre au IHT.
Quant à l'hypothèse de voir l'Espagne présenter une demande de sauvetage global auprès de la zone euro, condition fixée par la Banque centrale européenne (BCE) pour acheter des obligations espagnoles, de concert avec les fonds de secours européens, et faire ainsi baisser ses coûts d'emprunts très élevés, "c'est quelque chose qui reste complètement ouvert", précise le ministre.
Le chef du gouvernement, Mariano Rajoy, a déclaré à plusieurs reprises que l'Espagne attendait d'en savoir plus sur les conditions fixées par la BCE en échange de son intervention, avant de se décider à y faire appel.
La pression monte en ce sens depuis plusieurs semaines, le pays devant faire face au mois d'octobre à de lourdes échéances de dette alors qu'il est forcé de concéder des taux d'intérêt très élevés pour se financer auprès d'investisseurs méfiants.
"Le gouvernement espagnol admet que l'intervention de la BCE sur le marché secondaire ne doit pas entraîner une diminution de l'effort de réduction du déficit public, et nous devons rassurer la BCE en lui assurant que nous allons respecter notre engagement", a ajouté Luis de Guindos au Herald Tribune.
Au prix d'un effort de rigueur historique, visant à récupérer 102 milliards d'euros, entre coupes budgétaires et hausses d'impôts, sur les deux ans et demi à venir, le gouvernement espère ramener le déficit public de 8,9% en 2011 à moins de 3% en 2014.
AWP
Droit_De_l'Homme- Adm
-
Nombre de messages : 1184
Age : 43
Emploi/loisirs : Universel
Date d'inscription : 22/07/2010
Localisation : Sur Terre.!.(Lune prévue)
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