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Sphinx
Syfou
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Message par Syfou Ven 12 Mar - 16:43

Lancement d'une mission japonaise vers Vénus le 18 mai


Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer Jaxa-p10


La société japonaise Mitsubishi Heavy Industries a annoncé le 3 mars que la date du prochain et 17ème lancement de la fusée (Fusée peut faire référence à :] H-IIA était fixée au 18 mai 2010. Cette fusée décollera de la base de Tanegashima pour mettre sur orbite (En mécanique céleste, une orbite est la trajectoire que décrit dans l'espace un corps autour d'un autre corps sous...) la sonde (Une sonde spatiale est un vaisseau non habité envoyé par l'Homme pour explorer de plus près des objets du système...) vénusienne PLANET-C (PLANET-C, ou Venus Climate Orbiter (VCO), est un projet de sonde spatiale japonais dont l'objectif est l'exploration de...) de la JAXA (L'agence d'exploration aérospatiale japonaise (en japonais ?????????? — uch? k?k? kenky? kaihatsu kik? —,...) (Japanese Aerospace eXploration Agency).

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62508.htm


Dernière édition par Syfou le Dim 6 Mar - 22:03, édité 1 fois
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Message par Syfou Mar 27 Avr - 11:36

Les étonnantes images du Soleil

Le dernier satellite envoyé par la NASA a transmis les toutes premières vidéos d'éruptions solaires. Elles devraient permettre de mieux comprendre ces phénomènes à l'origine des aurores boréales et des orages magnétiques.


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Message par Sphinx Dim 13 Juin - 23:33

La navette Atlantis mise au garage

Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer Articl12

ESPACE - Elle a achevé avec succès sa dernière mission, après 25 ans de services...
Pour elle, il n'y aura pas d'allongement de la durée du travail. La navette spatiale américaine Atlantis s'est posée sans encombre mercredi, bouclant en beauté sa 32e et en principe dernière mission orbitale.


«Houston, Atlantis, les roues sont arrêtées.» A 8h48 locales, le Captain Ham a posé avec succès les 105 tonnes d'Atlantis sur le tarmac du Centre spatial Kennedy, après une descente de 69 minutes. La dernière pour la navette, après 25 ans de services et près de 200 millions de kilomètres parcourus. Des responsables de la Nasa n'ont toutefois pas totalement exclu de voir Atlantis voler une fois de plus soit pour un vol de secours ou si la Maison Blanche décidait une mission supplémentaire vers l'ISS.

Toutes les navettes américaines bientôt au garage
Il ne reste désormais plus que deux vols programmés de navette, celui de Discovery mi-septembre et d'Endeavour fin novembre. Ensuite, les trois orbiteurs seront envoyés au musée. En attendant la mise au point d'un nouvel engin, plus moderne, dont le développement doit commencer en 2015, les Etats-Unis devront s'en remettre à leurs partenaires internationaux, notamment les Russes et leur vaisseau Soyouz, pour envoyer des astronautes vers la Station Spatiale Internationale.

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Message par Sphinx Dim 18 Juil - 23:32

L’Algérie lance son deuxième satellite "Alsat-2A"

L’Algérie a procédé lundi avec succès au lancement du satellite à haute résolution Alsat-2A depuis le site de Sriharikota, situé à Chennaï (sud de l’Inde), indique un communiqué de l’Agence spatiale algérienne.

Alsat-2A est un satellite algérien d’observation de la terre à haute résolution, avec une résolution spatiale de 2,5 m et s’inscrit dans le cadre du programme spatial algérien horizon 2020 adopté par le gouvernement en 2006, précise la même source.

Ce satellite, lancé à 9h23 heure indienne locale (4h53 heure algérienne), est le deuxième a être mis en orbite après Alsat-1 lancé le 28 novembre 2002, rappelle le communiqué.



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Message par Syfou Lun 1 Nov - 23:31

Le robot humanoïde Robonaut-2 part en orbite

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Dans l'ISS, le robot effectuera des travaux à l'intérieur comme à l'extérieur de la station.

http://fr.rian.ru
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Message par Daûphin_zz_47 Dim 27 Fév - 13:46

" la maîtrise de l'Espace est un important préalable à la victoire militaire "
Dictionnaire des termes militaires, URSS, 1965.

L’espace est stratégique

Grâce à une profonde connaissance du sujet, l’auteur présente une formidable fresque de l’observation spatiale de la fin des années 1950 à nos jours. Il brosse ensuite l’histoire d’une success story qui met fin au duopole spatial des superpuissances. Il s’interroge enfin sur les choix récents des grands acteurs.

Dans le cadre de ses synergies géopolitiques, le Diploweb.com est heureux de vous présenter avec l’autorisation du CEDS et des éditions Economica cet extrait de l’ouvrage "Enjeux diplomatiques et stratégiques 2010", sous la direction de Pascal Chaigneau.[...]


1959-2009 : 50 années pour mondialiser l’observation spatiale.

Après le lancement de Spoutnik par les soviétiques le 4 octobre 1957, la vraie riposte, selon André Lebau, est apportée par les Discover, lourds de 750 kg, dotés de caméras d’une résolution inférieure à 10 mètres, discrets et efficaces lancés dès juin 1959 . Ne reculant devant rien, les soviétiques modifièrent le vaisseau spatial Vostok pour satelliser, dès 1961, d’impressionnants satellites d’observation Zenit dont la masse dépassait les 6 tonnes… La technologie de l’époque imposait de récupérer les pellicules des photographies prises au moyen de dispositifs plus ou moins acrobatiques, comme la pêche aérienne des capsules par des avions en vol trainant des câbles. Le risque que le précieux paquet soit récupéré par l’adversaire n’était pas exclu, ce qui ne manqua pas de se produire…

Le cinquantenaire de la mission initiale du programme CORONA, qui permit aux américains d’être les premiers à pouvoir regarder impunément dans le jardin du voisin, n’a pas été médiatisé en 2009. Démocratisée par l’application Google Earth, l’observation spatiale s’est aujourd’hui banalisée. A côté des satellites de reconnaissance militaire sans cesse plus perfectionnés, s’est ouvert un marché civil de l’observation dont les capteurs les plus récents, comme GeoEye-1 et Worldview-2, ont atteint une résolution de 41 cm . De tels moyens ont une vocation duale, civile et militaire.

Si vous pouvez maintenant vérifier sans effraction si votre voisin dispose d’une piscine derrière son haut mur, vous est-il possible pour autant de surveiller les sites militaires des grandes puissances ? En fait, le gouvernement américain a mis en place des dispositions réglementaires qui interdisent la diffusion d’images sensibles par les sociétés d’imagerie spatiale, dont la National Geospatial-intelligence Agency (NGA) se trouve être de très loin le principal client. La NGA, qui a succédé à la NIMA (National Imagerie and Mapping Agency) en 2003, est la centrale d’achat en renseignement d’origine spatial de toutes les agences étatiques américaines. Elle peut peser de tout son poids sur un marché de l’imagerie qui n’est pas encore mature.

Dans ces circonstances, les puissances qui souhaitent disposer de la nécessaire autonomie d’information, préalable à toute souveraineté de décision, doivent disposer de leurs propres capteurs gouvernementaux. Le système pentapartite Hélios, dont le second satellite de deuxième génération vient d’être lancé le 18 décembre 2009, s’inscrit dans cette logique. On estime à une centaine le nombre de satellites d’observation en exploitation, dont une quarantaine de satellites gouvernementaux contrôlés par une vingtaine d’États. La Malaisie, les Émirats Arabes Unis et l’Afrique du Sud viennent de rejoindre ce club en 2009. L’état-major des armées estime aujourd’hui qu’une cinquantaine de pays ont marqué leur intérêt pour l’imagerie spatiale à des fins de sécurité .

En sens inverse de la prolifération des satellites espions, on assiste à la mise en commun de moyens au niveau mondial, pour faire face aux risques globaux. Dans un article intitulé La mondialisation de l’observation de la Terre diffusé fin 2008, le journaliste Théo Pirard rendait compte du 59e Congrès international d’astronautique. Lors de ce congrès, toutes les agences spatiales représentées se sont engagées à coopérer au projet GEOSS (Global Earth Observation System of Systems) qui a pour objet d’ausculter en permanence la planète pour en comprendre le fonctionnement et pour mieux en prévoir les évolutions, notamment climatiques. En la matière, l’Europe fait figure de précurseur avec son projet GMES-Kopernicus (Global Monitoring for Environment and Security) dont l’idée est lancée le 19 mai 1998 par le Baveno Manifesto . Le système GMES qui fédère déjà les moyens d’observation et de calcul européens existants, est conçu et exploité en coopération entre l’Agence spatiale européenne (ESA) et Eumetsat qui ont signé un Accord-cadre à ce sujet le 1er juillet 2009. Cinq satellites spécifiques Sentinelle sont programmés pour renforcer les moyens spatiaux du réseau GMES.

Autre initiative à signaler : la Charte Internationale « Espace et catastrophes majeures » créée en 2000 à l’initiative du CNES et de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). Cette fédération de solidarité rassemble aujourd’hui une dizaine d’agences spatiales qui s’engagent à fournir gratuitement, dans les délais les plus brefs, des images des sites frappés par une catastrophe naturelle aux services de secours qui en font la demande, ce qui arrive en moyenne deux fois par mois depuis sa création.

Au regard de l’évolution constatée depuis 50 ans dans le domaine de l’observation de la Terre, quels pourraient bien être les moyens disponibles en 2059 ?

Techniquement, il sera possible de disposer de capteurs à résolution métrique placés en orbite géostationnaire. Une telle évolution de la technologie permettra une révolution des usages, car les satellites d’observation, à l’instar des satellites de météorologie, assureront une surveillance permanente. Actuellement, pour obtenir des images de bonne résolution, les satellites d’observation sont situés sur des orbites élevées de quelques centaines de kilomètres qui sont parcourues en moins de deux heures. En combinant la cinématique du satellite et la rotation propre de la Terre, un même point ne peut être observé par un même satellite qu’à plusieurs heures d’intervalle.

Entre deux survols, les actions au sol peuvent être cachées à l’œil du ciel… En revanche, en observant un site depuis l’orbite géostationnaire où le satellite reste fixe par rapport au sol, il deviendra possible de filmer l’action de manière continue… Il est facile d’imaginer le gain opérationnel d’un tel moyen, notamment lors d’opérations antiguérilla, lorsqu’il sera possible d’établir que le paisible habitant d’un village est allé faire le coup de feu avec des rebelles avant de retourner dans ses foyers… Mais peut-être que d’ici-là, les citoyens du monde seront porteurs d’un implant d’identification communiquant leur localisation et leur état de santé à un big brother global qui veillera sur leur sécurité au prix de quelques restrictions à une certaine conception de la liberté… La plus grande incertitude reste politique : y aura-t-il encore plusieurs centaines d’États souverains, quelques ensembles régionaux structurés, ou une véritable gouvernance mondiale respectée de tous ?

En attendant un monde meilleur, l’observation spatiale demeure un moyen stratégique. En synthèse, se dessine une double tendance d’émiettement et d’union : prolifération des satellites gouvernementaux dans le domaine de la défense, fédération des moyens mondiaux pour affronter les enjeux globaux, telle la lutte contre les catastrophes naturelles ou l’évaluation des changements climatiques à venir.

L’homme étant décidément d’une curiosité incorrigible, consulter l’image de la piscine du voisin sur Google Earth ne lui suffit pas : il lui faut surplomber sa propriété pour la voir de ses propres yeux. C’est ainsi que des hommes se sont élancés dans l’espace…

1969-2009, y a-t-il une relève pour les Space cowboys ?

L’été dernier, les héros d’Apollo XI étaient de retour façon « Space cowboys ». L’Amérique et le monde ont célébré le quarantième anniversaire de l’exploit de Neil Armstrong et de Buzz Aldrin. Le temps d’un été, l’espace et le rêve qu’il engendre ont envahi les magasines et les chaînes de télévision sur le mode nostalgique. Avec Michael Collins, le troisième homme de la mission qui est resté en orbite lunaire, les héros de la classe 1930 ont volé la vedette aux cosmonautes, astronautes, spationautes et taïkonautes en service, dont non moins de 46 représentants ont séjourné dans l’espace en 2009, dans l’indifférence générale !

D’une certaine manière, l’exploit du 21 juillet 1969 a peut-être stoppé l’élan de l’exploration habitée du système solaire. En effet, dans le prolongement du programme Apollo, Wernher Von Braun avait imaginé une mission vers Mars en utilisant des lanceurs Saturne V pour mettre en orbite des étages à propulsion nucléaire qui emporteraient deux vaisseaux avec des équipages de six hommes. Cette mission devait être lancée au début des années 1980. La proposition fut étudiée par le président Richard Nixon et repoussée en faveur de la navette spatiale .

De leur côté, les soviétiques avaient imaginé le Vaisseau lourd habité interplanétaire (ou TMK) conçu pour effectuer un survol de Mars et de Vénus sans atterrir. Il devait être lancé en 1971 et effectuer une mission d’une durée de 3 ans. Le projet ne fut jamais réalisé parce qu’il devait utiliser le lanceur lourd Herkules (ou N1) qui ne réussit jamais à voler et fut abandonné après le succès des missions Apollo .

Les deux superpuissances de la guerre froide ayant renoncé à reporter vers Mars le challenge lunaire gagné par l’Amérique, la conquête spatiale évolua vers une phase utilitaire marquée par le développement de véhicules réutilisables comme la navette spatiale et par les séjours de longue durée dans des stations spatiales placées en orbite basse.

La mission Apollo XI couronnait donc la victoire mythique des Horaces américains contre les Curiaces soviétiques. En effet, le défunt président Kennedy avait eu l’idée de génie de transformer l’affrontement Est-Ouest, qui risquait de dégénérer en conflit nucléaire généralisé, en pacifique Course à la Lune que l’Amérique venait de remporter. Bref, il y a quarante ans, les vols spatiaux habités étaient stratégiques !

Il s’en est fallu de peu qu’ils ne deviennent tactiques ! En effet, imaginant la possibilité de combats dans l’espace, les Soviétiques dotent les stations habitées Almaz d’un armement défensif. Selon l’historien de l’espace Jacques Villain, ils auraient même procédé à un essai de tir au canon dans l’espace en 1975 . Cette information dévoile le double jeu de l’URSS qui acceptait de réaliser, le 15 juillet 1975, le geste de détente très médiatisé du rendez-vous orbital et de l’arrimage des vaisseaux Apollo et Soyouz. Depuis cet événement symbolique, les vols spatiaux habités véhiculent l’image de la fraternité de l’humanité qui explore de manière pacifique le voisinage de son berceau.

Au bilan, l’année 2009 a vu s’envoler le 500e visiteur de l’espace. Parmi eux, on dénombre près de 300 Américains, une centaine de Soviétiques, puis de Russes et près de 70 autres nationalités invitées dont une trentaine d’européens. Seuls 5 Chinois doivent leur mission en orbite circumterrestre à la sinisation de la technologie russe et à l’existence d’un lanceur national.

Les vols spatiaux restent néanmoins une activité à risque puisqu’on déplore à ce jour 18 victimes en vol, dont 14 pour les seuls accidents des navettes Challenger (explosion lors du lancement le 28 janvier 1986) et Columbia (détruite lors de la rentrée dans l’atmosphère, le 1er février 2003) et 5 victimes à l’occasion d’entrainements au sol .

En dehors des Chinois qui ont effectué 3 missions depuis le 15 octobre 2003, mais aucune en 2009, toute l’activité des vols habités se concentre maintenant autour de la Station spatiale internationale (ISS) dont le nombre d’occupants permanents a doublé durant l’année 2009 en passant de trois à six.

Paradoxalement, alors que les navettes ont effectué 5 missions cette année, la NASA a décidé d’en arrêter définitivement l’exploitation fin 2010 ou début 2011, car au-delà de leur dangerosité, leur coût d’exploitation est jugé incompatible du développement du système de remplacement. Aussi, par un curieux retour de l’histoire, le Président Obama vient de tendre la main aux Chinois en leur proposant de coopérer à l’exploitation de la station spatiale internationale. Ainsi, il renforce son image d’ouverture tout en diversifiant potentiellement les possibilités d’accès à l’ISS avec le vaisseau Shenzhou. Bien entendu, les Chinois réservent leur réponse…

Est-ce à dire que les vols habités ne sont plus considérés comme stratégiques par les Américains ? Le fait que leur avenir ait attendu cinq mois la décision présidentielle constitue en soi un élément de réponse ! En effet, un comité dirigé par Norman Augustine a été chargé d’évaluer la question. Ce rapport, rendu public le 8 septembre 2009, proposait un choix d’options techniques et financières pour réorienter de manière crédible le programme spatial national vers la reconquête du leadership, avant même celle de la Lune. Le Président Obama a tranché le premier février 2010 en choisissant l’option n°2 qui abandonne purement et simplement le projet Constellation de retour sur la Lune. Relativement à cette question, le fier « Yes, we can ! » du candidat Barack, s’est donc transformé en un piteux « No, we cannot ! » rapporté par tous les médias .

En l’occurrence, il eût été plus adéquat de déclarer « No, we will not ! », car le programme lunaire envisagé nécessitait une rallonge de deux milliards de dollars par an par rapport à ce qui est demandé au congrès, ce qui correspond tout juste à une journée budgétaire du ministère de la Défense américain . Il s’agit bien d’une décision politique, car renoncer à la Lune est un moyen efficace de frapper les esprits sur la nécessité de faire des économies pour réduire le déficit budgétaire qui devrait atteindre le record de 1 556 Md$ en 2010. Le Président Obama ne s’en est pas caché en déclarant justement lors de la présentation du projet de budget 2011 : « L’une des décisions les plus fortes, et qui sera peut-être l’une des plus difficiles à faire voter au Congrès, est l’arrêt du programme Constellation . »

Après le couperet présidentiel, seuls les lobbies spatiaux, très actifs auprès des députés et des sénateurs, pourraient encore sauver la tête des space cow-boys lunaires.

Il y a quarante ans, l’homo américano sautillait sur la Lune. Dans quarante ans quels êtres humains danseront sur quelles planètes ? Il peut être amusant de prendre les paris…

En 2049, il est possible que les hommes aient installé une ou plusieurs bases sur la Lune. Chinois et Indiens développent un ambitieux programme de missions sélènes qui pourrait aboutir si l’impulsion politique ne fléchit pas. De même, un futur Président américain, peut très bien revenir sur la décision de Barack Obama. On peut même rêver d’un projet européen, pourquoi pas en coopération avec les Russes qui conservent une expertise respectée en matière de vols habités…

Au-delà se pose la question du voyage vers Mars. La NASA et l’ESA ont des projets à long terme qui visent un débarquement de l’homme sur Mars vers 2035. Il n’est donc pas absurde d’envisager qu’une grande coopération internationale aboutisse à une exploration humaine de cette planète avant la moitié du siècle en dépit des contraintes physiologiques, psychologiques techniques et financières d’une telle aventure. Si vous disposez d’un peu de temps à consacrer à cette aventure, sachez que l’ESA recrute des volontaires pour la simulation d’un vol spatial de 520 jours !

En dépit de son image pacifique, l’exploration spatiale habitée n’en demeure pas moins un enjeu stratégique pour toutes les puissances, car là où est le citoyen se trouve l’État qu’il représente. C’est pourquoi la nationalité du prochain homme qui foulera le sol de la Lune n’est pas anodine. En 2009, l’espace demeure un attribut de puissance et la Chine l’a bien compris en réalisant des vols habités par ses propres moyens. Il reste à déplorer que l’Europe, qui maîtrise la technologie spatiale, ne se soit pas dotée de cette capacité. Aurait-elle perdu l’ambition des pionniers qui ont décidé de son autonomie d’accès à l’espace ? C’était il y a un peu plus de trente ans et leur fille se nomme Ariane…

1979-2009 : histoire d’une success story qui met fin au duopole des superpuissances
Après deux comptes à rebours interrompus, les 15 et 23 décembre, le soir du 24 décembre 1979, c’était vraiment Noël à Kourou et partout en Europe pour tous ceux qui avaient contribué à la conception et à la réalisation du lanceur Ariane ! La légende rapporte qu’à l’occasion de ce premier lancement de la fusée européenne Ariane 1, le Directeur des opérations (DDO) passa outre quelques sécurités pour forcer le sort, avec le succès que l’on sait. En créant la société Arianespace le 26 mars 1980, l’Europe inventait le concept de lancements commerciaux à une époque où ce type d’activité était encore couvert par des accords intergouvernementaux.

Le 18 décembre 2009, également après deux reports techniques, le lanceur « lourd » Ariane 5 place en orbite héliosynchrone le satellite militaire français Hélios 2B, d’une masse de 4,2 tonnes. Ce 7e tir de l’année 2009, 49e lancement réalisé par une fusée Ariane 5 (35e succès consécutif) est le 193e vol d’une fusée Ariane. L’ensemble des versions de la Famille Ariane a satellisé 277 gros satellites, plus 41 microsatellites, en 30 années d’exploitation , soit plus de deux satellites commerciaux par mois en moyenne.

Que de chemin parcouru depuis 1972, lorsque l’échec du lanceur Europa II et l’abandon du programme correspondant contraignent les autorités franco-allemandes à demander la mise à poste des satellites Symphonie par des lanceurs américains Thor Delta [18]. Contraints d’accepter les conditions léonines interdisant l’exploitation de ces satellites en concurrence de ceux d’INTELSAT, les européens se lancent alors dans l’aventure du lanceur Ariane. D’une certaine manière, les Américains ont ainsi apporté le coup de pouce qui a obligé les Européens à coopérer efficacement entre eux pour acquérir leur autonomie d’accès à l’espace…

À l’issue de l’année 2009, quelle est la physionomie mondiale de l’activité de lancement spatial ?

Avec 75 tirs réussis sur 78 tirs effectués – contre 69 en 2008 – l’année 2009 réalise la meilleure performance en nombre de lancements réussis depuis l’an 2000 (81 tirs). Cependant, il convient de distinguer le marché des satellites commerciaux ouvert à la concurrence, de l’activité des lancements gouvernementaux qui relève du domaine de souveraineté des États.

Le marché des satellites commerciaux est dominé par le succès d’Ariane dont le carnet de commandes garantit trois années d’exploitation . Le lanceur Ariane 5 a effectué sept lancements dans l’année, ce qui est une première. Il a placé neuf gros satellites en orbite de transfert géostationnaire : huit d’entre eux (de masse de 3 à 4 tonnes environ) par quatre lancements doubles, le neuvième (en lancement simple) étant le satellite de télécommunications nord-américain TerreStar-1 (6,9 tonnes), qui est le plus gros et le plus puissant satellite de télécommunications jamais lancé. Un tir particulier a placé les satellites scientifiques Herschel et Planck de l’Agence spatiale européenne (ESA) au point de Lagrange L2 situé à 1,5 millions de kilomètres de la Terre . Le dernier lancement, survenu le 18 décembre 2009, concernait le satellite militaire d’observation Hélios qui a déjà été cité.

Le principal concurrent d’Arianespace, International Launch Services (ILS), qui exploite le lanceur russe Proton à partir de Baïkonour, a placé huit charges utiles commerciales en orbite en 7 lancements. On peut considérer que les lanceurs américains Atlas 5, Delta 2 et Falcon 1 ont réalisé quatre satellisations dans un cadre commercial, mais que les lanceurs chinois Longue marche, japonais H-2A et H-2B et indien PSLV ont essentiellement placé des charges utiles nationales .

En fait, la définition même de ce qu’est un « lancement commercial » n’est pas aisée. Doit-on compter l’ESA comme client d’Arianespace pour les satellites scientifiques, alors que tous les développements de la famille de lanceurs Ariane ont été investis par cette agence ? Doit-on exclure de la relation commerciale les satellites militaires européens dont les lancements par Arianespace sont payés au prix fort, à tel point que l’Italie a préféré faire appel à la société américaine Sea-Launch pour injecter en orbite son second satellite de télécommunications militaires Sicral 1B, le 20 avril 2009 ?

Suivant les hypothèses retenues, 20 à 25 satellites commerciaux ont été mis à poste en 2009. La moitié d’entre eux est le fait d’Ariane 5, le tiers est réalisé par Proton (ILS) et le reliquat est attribuable aux autres lanceurs.

Avec plus de la moitié des tirs, l’activité des lancements gouvernementaux – hors vols habités – reste florissante, notamment aux États-Unis dont on peut citer sept utilisations militaires des lanceurs Delta 4 et Atlas 5. Les Russes, les Chinois et même les Japonais ont également satellisé des charges utiles à la défense.

Pour clore ce panorama 2009, l’activité des vols habités reste consommatrice de douze lancements dont trois vols de navettes, quatre missions du vaisseau Soyouz et cinq utilisations de vaisseaux-cargo utilisés pour le ravitaillement de la Station spatiale internationale, dont le premier exemplaire de l’HTV, véhicule de transport automatique japonais.

L’accès autonome à l’espace a toujours été considéré comme une capacité stratégique. Si l’on exclut la coopérative qu’est l’Agence spatiale européenne, une dizaine de pays seulement ont acquis la technologie des lanceurs spatiaux . De plus, le développement de ces engins est souvent dérivé de celui des missiles balistiques. A l’exception de l’Iran et du Japon, dont la militarisation nucléaire est anticonstitutionnelle, toutes les puissances spatiales (au sens du savoir faire en matière de lanceurs) sont également des puissances nucléaires.

Le 02 février 2009, la mise en orbite du satellite iranien Omid 1 par le lanceur national Safir 2, dérivé du missile Shahab 3B, a fait sensation, même si la masse de 27 kg placée en orbite reste modeste. Le signal est clair, non seulement l’Iran poursuit son projet de mise au point d’un armement nucléaire, mais ce pays prouve qu’il maitrise les techniques balistiques pour être en mesure d’assurer une dissuasion nucléaire crédible…

Techniquement, qu’est-ce qui caractérise l’époque actuelle en matière de lanceurs ? C’est très simple : le plus souvent, on fait du neuf avec du vieux !

International Launch Services (ILS) utilise le bon vieux lanceur soviétique Proton qui a fait son premier vol en 1965 et qui a été utilisé environ 340 fois depuis. De son côté, Arianespace commercialise également le lanceur Soyouz dont l’ancêtre, la fameuse R-7 Semiorka, est la toute première fusée à avoir placé un satellite artificiel en orbite autour de la Terre. Ce lanceur Soyouz, utilisé depuis toujours pour les vols habités, bat tous les records d’utilisation avec environ 1 750 vols et une fiabilité supérieure à 98 % pour les versions les plus récentes . À partir du premier semestre 2010, c’est depuis Kourou, en utilisant un pas de tir flambant neuf, que la fusée Soyouz-ST pourra injecter une charge utile de 2,7 tonnes en orbite de transfert géostationnaire.

Un autre pas de tir est également en cours de finition à Kourou, la Zone de Lancement Vega (ZLV), installée sur l’emplacement de l’ensemble de lancement ELA 1 d’où s’étaient élancées les premières fusées Ariane. Fruit d’une volonté constante de l’Italie, le « petit » lanceur européen Vega mesure 30,2 m de hauteur et pèse 132 tonnes. Il est composé de quatre étages : trois étages à propergols solides surmontés d’un étage d’injection en orbite à propulsion liquide. Ce nouveau venu fait exception à la règle du vieux, même si sa conception reprend des éléments des lanceurs Ariane 4 et Ariane 5. Le tir inaugural est espéré fin 2010. Ainsi, avec la future panoplie constituée de Vega, Soyouz-ST et Ariane 5 ECA la société Arianespace disposera d’une capacité de satellisation adaptable à la demande, depuis quelques centaines de kilos jusqu’à 9,6 tonnes en orbite de transfert géostationnaire.

Dans ces conditions, quels seront les lanceurs en service dans une trentaine d’années ?

En tenant compte du fait qu’il faut dix à quinze ans pour mettre au point un lanceur totalement nouveau, il est probable que des dérivés de certaines fusées actuellement utilisées seront encore en exploitation.

Il y a néanmoins des projets en cours qui pourraient déboucher dans la décennie à venir.

Le premier à citer est le lanceur américain Ares I, destiné à satelliser la future capsule Orion, dont le premier étage a réussi un lancement le 28 Octobre 2009. Le développement d’un nouveau lanceur lourd, baptisé Ares V, qui devait permettre de satelliser des charges proches de 190 tonnes en orbite basse serait sacrifié avec l’annulation du programme Constellation.

En Europe, hormis le lanceur Vega déjà évoqué, une « Ariane 5 ME » (pour Midlife Evolution) permettra l’injection d’une charge utile de 11,2 tonnes en orbite de transfert géostationnaire, vers 2020. Sachant que le premier vol commercial d’Ariane 5 a eu lieu en décembre 1999, le terme d’évolution à mi-vie présume d’une prolongation de la filière Ariane 5 jusqu’aux environs de 2040.

Y aura-t-il une fusée Ariane après Ariane 5 ?

Il est effectivement question de développer un nouveau lanceur européen, Ariane 6, pour un coût inclus dans une fourchette de 3,5 à 8 Md€, dont une partie pourrait être financée dans le cadre du grand emprunt français . Abandonnant la technique des lancements doubles, qui a fait le succès des générations précédentes, le lanceur Ariane 6 serait modulaire pour permettre de placer entre trois et six tonnes en orbite de transfert géostationnaire. Ce sera moitié moins que pour Ariane 5 ME, ce qui manque nettement d’ambition et confirme le pronostic d’une vie prolongée pour la filière Ariane 5.

Face aux enjeux d’indépendance, les autres puissances ne sont pas sans projet. Le Japon vient de faire la démonstration de bon fonctionnement de son lanceur lourd H-2B le 10 septembre 2009 en satellisant le module de ravitaillement HTV-1 de la station spatiale internationale. La Russie développe, depuis 1995, un nouveau lanceur Angara capable de placer jusque 25 tonnes en orbite basse. Son vol inaugural pourrait avoir lieu en 2012. L’Inde met au point son lanceur lourd GSLV-MK-3, également pour 2012. La Chine prépare, pour 2014, les fusées Longue Marche 5, d’une capacité de 20 tonnes en orbite basse . Les deux Corées qui ont fait des tentatives de satellisation infructueuses en 2009 et le Brésil pourraient bien entrer bientôt dans la danse…

De la valse des lanceurs à l’opéra de l’espace, il n’y a qu’un petit pas pour l’homme, que le passage à l’année 2010 invite symboliquement à franchir…

2010 : Odyssée deux

Tout le monde connaît le roman d’Arthur C. Clarke, 2001 : L’Odyssée de l’espace, magistralement porté à l’écran par Stanley Kubrick en 1968. La suite, 2010 : Odyssée deux, également adaptée au cinéma en 1984 par Peter Hyams, sous le titre 2010 : l’Année du premier contact, est moins connue . Il s’agit de l’aventure d’un équipage russo-américain envoyé vers Jupiter à bord d’un vaisseau spatial russe, pour éclaircir le mystère de la disparition de l’équipage de Discovery One…

En renonçant à considérer la conquête de l’espace comme la nouvelle frontière d’une Amérique sans complexes, le Président Obama donne l’impression de trahir la mémoire de son prestigieux prédécesseur John Fitzgerald Kennedy. Si l’on analyse plus finement cette décision, qui prévoit par ailleurs de développer le soutien aux acteurs privés du transport spatial ainsi que les programmes technologiques, l’actuel locataire de la Maison Blanche prend acte d’une mondialisation au sein de laquelle l’Amérique doit accepter de passer de la position d’unique hyperpuissance à celle d’acteur majeur qui doit défendre son leadership.

En donnant l’impression que la conquête de la Lune n’est plus un enjeu stratégique pour les États-Unis, le Président Obama désamorcera-t-il une nouvelle compétition lunaire impliquant notamment les Chinois et les Indiens, prenant ainsi le risque que la Lune devienne la banlieue de l’Asie au lieu de celle de l’Amérique ? Plus encore, la main tendue récemment à la Chine débouchera-t-elle sur une coopération internationale effective pour l’exploitation de la station spatiale et pour les futures missions habitées vers Mars ?

Dans cette perspective pacifique, la confiance grandissant avec la pratique de la collaboration, l’indépendance de chaque puissance spatiale évoluera peu à peu vers une interdépendance, pour les vols habités d’abord, mais également pour les autres applications, comme c’est déjà le cas dans le domaine des télécommunications. Les préoccupations de sécurité devenant globales, les informations issues de source spatiale seront de plus en plus partagées entre acteurs responsables dans l’intérêt général.

Cependant, la nouvelle donne profite à la Chine qui pourrait envisager à terme une appropriation de la Lune allant de pair avec une arsenalisation de l’espace dont la faisabilité est démontrée. Si la compétition entre puissances est relancée, l’autonomie d’accès à l’espace et la propriété des moyens d’observation spatiaux, gage d’une réelle autonomie de décision, seront revendiquées par un nombre croissant de nations.

Puisque tout se tient, la communauté internationale prépare l’avenir des activités spatiales à l’image des relations terriennes. Si la gouvernance mondiale s’améliore, alors l’espace se mettra au service de l’humanité toute entière ; si les tensions s’aggravent, la guerre en orbite n’est pas loin !

Enfin, sans nécessairement imaginer un premier contact avec une intelligence extraterrestre comme dans Odyssée deux, une menace naturelle, telle l’impact d’un objet géocroiseur , obligera un jour tous les États à coopérer pour la survie de notre espèce. Ce pourrait être le vendredi 13 avril 2029, ou le dimanche 13 avril 2036, ou seulement un peu plus tard, la collision de la Terre avec un astéroïde se produira à nouveau immanquablement, à moins que l’on ne développe les moyens de l’éviter .

Renseignement pris, le ciel semble dégagé […]

Par Jean-Luc LEFEBVRE*, le 29 décembre 2010

http://www.diploweb.com/L-espace-est-strategique.html
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Message par Droit_De_l'Homme Mar 1 Mar - 7:16

Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer 200px-NASA_logo.svg


La National Aeronautics and Space Administration, plus connue sous son abréviation NASA (« Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace »), est l'agence gouvernementale qui a en charge la majeure partie du programme spatial civil des États-Unis. La recherche aéronautique relève également du domaine de la NASA. Depuis sa création au début des années 1960 la NASA joue un rôle de leader mondial dans le domaine du vol spatial habité, de l'exploration du système solaire et de la recherche spatiale. Parmi les réalisations les plus marquantes de l'agence figurent les programmes spatiaux habités Apollo, la navette spatiale américaine, la station spatiale internationale (en coopération avec plusieurs pays), les télescopes spatiaux comme Hubble, l'exploration de Mars par les sondes spatiales Viking et MER, ainsi que celle de Jupiter et Saturne par les sondes Pioneer, Voyager, Galileo et Cassini-Huygens
La NASA a été créée le 29 juillet 1958 pour administrer et réaliser les projets relevant de l'astronautique civile jusque là pris en charge par les différentes branches des forces armées des États-Unis afin de rattraper l'avance prise par l'Union soviétique. La NASA reprend à cette époque les centres de recherche de la NACA, jusque là tournée vers la recherche dans le domaine de l'aéronautique. Elle est aujourd'hui dotée d'un budget de 17,6 milliards de dollars (2009) et emploie directement environ 23 000 personnes ainsi qu'un grand nombre de sous-traitants répartis entre 10 centres spatiaux situés principalement dans les États du Texas, de Californie et de Floride, de l'Alabama de Virginie et de Washington. Les missions marquantes en cours sont l'achèvement et l'exploitation de la station spatiale internationale, l'utilisation et la réalisation de plusieurs télescopes spatiaux dont le James Webb Space Telescope, les sondes spatiales MESSENGER, New Horizons et Mars Science Laboratory déjà lancées ou sur le point d'être lancées. La NASA joue également un rôle fondamental dans les recherches en cours sur le changement climatique.
Le programme spatial habité de la NASA est depuis 2009 en cours de restructuration à la suite du retrait de de la navette spatiale américaine programmé pour 2011 et de la remise en cause du programme Constellation confronté à des problèmes de conception et de financement. L'administration Obama, suivant les recommandations de la commission Augustine, a décidé d'abandonner le projet de retour d'astronautes sur le sol lunaire à l'horizon 2020 au profit d'une démarche d'exploration plus progressive qui doit être précédée par des recherches poussées notamment dans le domaine de la propulsion. Pour pallier l'absence actuelle de moyens de lancement, la NASA prévoit de s'appuyer au cours de la décennie 2010 sur le secteur privé qui doit prendre en charge la desserte en orbite basse de la station spatiale internationale.

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Message par Droit_De_l'Homme Mar 1 Mar - 7:17

Succès de la 1ère sortie orbitale de Discovery


Deux astronautes de Discovery ont conclu avec succès lundi la première des deux sorties orbitales de l'ultime mission de l'orbiteur, a indiqué la Nasa. Un problème technique passager est toutefois survenu concernant avec le bras robotique de la Station spatiale internationale (ISS).

En dépit de ce contretemps de près de 20 minutes, deux heures après le début de la sortie, Steve Bowen, 47 ans, et Alvin Drew, 48 ans, ont pu exécuter les tâches prévues.

Les deux opérateurs du bras de 17,6 mètres de long, Scott Kelly, commandant de l'ISS et Mike Barratt, un des spécialistes de l'équipage de Discovery, sont allés travailler à un autre poste informatique dans le laboratoire Destiny et ont pu ainsi faire repartir le bras, a expliqué la Nasa.

"Ce ne fut qu'une pause", a dit un porte-parole du Centre spatial de la Nasa à Houston, Kyle Herring, après la fin de la sortie. "Ce n'était pas grand chose", a-t-il dit.

Steve Bowen "a attendu tranquillement, attaché à l'extrémité du bras" paralysé, durant 15 à 20 minutes maximum avant de reprendre le cours normal des activités, a précisé ce porte-parole.

Le bras a permis de déplacer une pompe à ammoniac défectueuse et d'autres équipements durant la sortie orbitale.

Steve Bowen, qui a effectué sa sixième sortie orbitale et Alvin Drew, pour qui c'était la première, ont réintégré la chambre de décompression de la Station, bouclant une marche de six heures et 34 minutes dans l'espace.

Deuxième sortie prévue mercredi
La seconde sortie orbitale de la mission aura lieu mercredi avec ces deux mêmes astronautes.

Lors de leur excursion dans l'espace lundi, ils ont installé une rallonge entre les deux modules américains pour permettre un accès à une source électrique de secours après l'installation mardi sur Unity --première contribution des Etats-Unis à l'ISS-- du module de fret multifonctionnel Leonardo livré par Discovery.

Il s'agit de la 154e sortie d'astronautes dans l'espace dans le cadre de la construction de l'ISS, débutée en 1998 et qui devrait être achevée cette année.

(ats / 01 mars 2011 03:45)
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Message par Sphinx Ven 1 Juil - 13:50

France:Ariane: tir prévu vendredi pour lancer deux satellites de télécommunications

Un nouveau tir de la fusée européenne Ariane 5 est programmé
dans la nuit de vendredi à samedi pour lancer depuis Kourou (Guyane française)
deux satellites de télécommunications, selon un communiqué de la société Arianespace.


Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer Photo_11

Un nouveau tir de la fusée européenne Ariane 5 est programmé dans la nuit de vendredi à samedi pour lancer depuis Kourou (Guyane française) deux satellites de télécommunications, selon un communiqué de la société Arianespace.
Pour le quatrième tir de l'année depuis le centre spatial guyanais, Arianespace a prévu une fenêtre comprise entre 18h43 et 20h06 heure de Kourou (23h43 à samedi 01h06 heure de Paris).
Ce 203e vol d'Ariane 5 emportera une charge de plus de 9 tonnes au décollage, dont le satellite Astra 1N (opérateur luxembourgeois SES Astra) et le satellite BSAT-3c/JCSAT-110R (opérateurs japonais B-SAT Corporation et SKY Perfect JSAT Corporation).
Astra 1N offrira des services de télédiffusion directe DTH (Direct-to-Home) sur toute l’Europe avec une durée de vie opérationnelle d’environ 15 ans.
Quant à BSAT-3c/JCSAT-110R, d'une durée de vie de 16 ans, il est optimisé pour fournir sur tout l'archipel japonais des liaisons de télévision directe depuis son orbite géostationnaire, indique Arianespace.

Source:© 2011 AFP
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Message par abdelmalek Lun 18 Juil - 10:06

un pays comme l’Algérie doit miser sur les satellites et les lanceurs:car l'avenir des grandes nations ce trouve dans la recherche technologique et la maitrise de l'espace; nous n"avons pas le droit d'être en arrière,
les physiciens et les biophysiciens ne sont pas une denrées rares; alors faire bouger et regarder le ciel c'est l'avenir du pays.
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Message par fennec dz Lun 18 Juil - 10:19

oui celui qui maitrise l'image,se maitrise ,se protege et on va dire maitriser le petit monde(a l'echelle humanitaire)
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Message par Invité Jeu 4 Aoû - 0:42

Satellite : la bataille des images

http://www.france24.com/fr/20110723-Satellites-bataille-images-aerospatiale-concurrence-commerce-international-intelligence-economique

Autrefois exclusivement militaire, le marché des images satellite s'ouvre au privé. Les entreprises capables de fournir ces clichés de la Terre vu du ciel se livrent une véritable bataille dans la course à l’innovation technologique. Le Journal de l’Intelligence Economique d'Ali Laïdi revient sur un marché évalué à plusieurs milliards de dollars !

Aujourd’hui, plus besoin d’être une agence de renseignement ou même un corps d’armée pour bénéficier des milliers de clichés que prennent quotidiennement les satellites qui gravitent au dessus de la planète. Les applications civiles de ces images satellites sont toujours plus nombreuses, comme par exemple dans l’agriculture, l’urbanisme, l’humanitaire ou la logistique.

Au printemps 2011, au Centre Européen de l’Imagerie Satellite, à Madrid, des experts analysaient ainsi des clichés spatiaux des grandes capitales arabes. Il s’agissait de préparer, pour le compte de l’Union Européenne, d’éventuels plans d’évacuations des ressortissants européens en cas de dérapage des révolutions arabes.

C’est ce qu’on appelle la Géo-information. Un service dont l’Union Européenne est très consommatrice, notamment dans sa politique de défense et de sécurité. Mais pour le directeur du centre, Tomaz Lovrencic, il y a dorénavant d’autres clients que les Etats ou les institutions : "Le secteur commercial fournit un nombre de services extrêmement important, et nous sommes très heureux qu’au cours de ces dernières années, l’offre et la demande ait toujours été croissant. Et je pense que ce n’est que le début !".

Au siège d’Astrium à Toulouse, le directeur technique d’Astrium Géo-Information, Philippe Delclaux, attribue l’essor de ce marché en partie au succès de Google Earth : "c’est un phénomène qui, en 2005, a sensibilisé beaucoup d'acteurs privés à cette information géographique et surtout à la richesse qu’elle pouvait contenir".

Pour répondre à cette demande, des opérateurs comme Astrium Géo-Information diversifient leurs activités. Ils veulent être prêts à répondre à une demande croissante des entreprises comme des particuliers dans les domaines les plus variés : du génie civil à la géologie en passant l’exploration pétrolière et l’agriculture.

Pour Henri Douche, Chef de projet Agriculture chez Astrium GEO-Information "si il y a un développement de ces services, c'est parce qu'il y a une rentabilité économique pour l’investisseur". Qui dit technologie rentable dit profit pour les fournisseurs d’images spatiales. Et ils sont de plus en plus nombreux, note Gérard Brachet, consultant en politique spatiale et président de l’académie de l’air et de l’espace.

Les principaux opérateurs sont américains, mais les sociétés européennes, comme Astrium Géo-Information, sont assez bien positionnées dans la bataille pour gagner des marchés, explique Gérard Brachet. "Avec les programmes SPOT successifs, nous disposons en Europe d’atouts très sérieux et la crédibilité du service rendu est très bien établie", poursuit-il.

La concurrence internationale est pourtant rude. Les deux principales sociétés américaines (Digital Globe et GeoEye) bénéficient de contrat de longue durée avec le Pentagone : "l'approvisionnement du département de la défense américaine en imagerie leur permet d’avoir un business déjà consolidé, qui se suffit à lui-même", déplore Gérard Brachet.

Mais il reste de la place pour la concurrence. L’opérateur israélien, ImagSat International, est "à la pointe de la technologie", estime Gérard Brachet. Le Brésil et la Chine entretiennent quant à eux un programme de coopération spatiale. Pas de quoi concurrencer les opérateurs les plus performants cependant : Brésil et Chine sont des acteurs relativement récents dans les activités spatiales. En plus de ne pas avoir encore atteint les standards internationaux en termes de qualité d’image, ils fournissent une partie des données gratuitement ! Histoire de se faire connaître avant de partir à la conquête des grands marchés !


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Message par Syfou Jeu 16 Fév - 22:08

Un lanceur Proton orbitalise un satellite néerlandais

Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer 19337310

Tiré mardi depuis le cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, le lanceur russe Proton a mis mercredi matin en orbite le satellite néerlandais SES-4 (NNS-14), a annoncé à RIA Novosti une source au sein de l'Agence fédérale spatiale russe (Roskosmos).

"L'engin spatial étranger s'est séparé du bloc d'accélération Briz-M à l'heure prévue", a fait savoir l'interlocuteur de l'agence.
Le lancement du satellite néerlandais était initialement prévu pour le 26 décembre 2011. Le tir a toutefois été reporté à plusieurs reprises en raison de problèmes techniques liés au bloc d'accélération.

Le satellite de télécommunication NSS-14 couvrira l'Europe de l'Est, l'Afrique du Nord et les deux Amériques. Conçu par la société américaine Space Systems/Loral pour l'opérateur néerlandais SES World Skies, le NSS-14 sera le plus grand et le plus puissant satellite de type SES. Basé sur la plate-forme Space Systems/Loral 1300, le satellite a une durée de vie d'au moins 15 ans.

Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer 18819810

MOSCOU, 15 février - RIA Novosti
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Message par Daûphin_zz_47 Dim 18 Mar - 14:32

Publiant des photos de lances missiles algériens "S 300 ", des satellites israëliens surveillent des bases militaires algériennes depuis 2006 Arrow

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Message par Daûphin_zz_47 Mer 9 Jan - 13:34

Liban : des appareils d'espionnage satellitaires, saisis!

IRIB- Les Douanes de l'aéroport de Beyrouth ont saisi 3 appareils de télécommunication sophistiqués, en connexion avec des satellites, appareils qui devaient être livrés aux terroriste, en Syrie.
Ces appareils avaient été importés, par un citoyen syrien de la Turquie. Malgré les efforts déployés, par l'armée libanaise, pour empêcher l'introduction d'armes et d'équipements militaires et de télécommunication, le Liban est toujours considéré, comme un passage sûr, pour l'introduction d'armes, de munitions et d'appareil de télécommunication, à destination des terroristes armés, en Syrie, en raison de la collaboration de certains éléments inféodés et liés aux courants pro-occidentaux, qui occupent certains postes gouvernementaux.

http://french.irib.ir
----
Satellite espion ?

Un satellite de reconnaissance, ou satellite espion (selon la terminologie des médias), est un satellite artificiel de communication ou d'observation de la Terre, utilisé pour des applications militaires ou de renseignement. Ce type de satellite collecte généralement des informations sur les installations civiles et militaires d'autres pays, ou bien leurs communications.

Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer Kh-4b_corona
Satellite KH-4B Corona

Satellites espions pour voir, écouter, communiquer et naviguer Lacrosse_sat
Satellite Lacrosse en construction.
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