Direction générale de la Douanes

Bouderbala révèle une nouvelle stratégie de décentralisation

De larges prérogatives seront attribuées aux directions régionales des Douanes

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Le directeur général des Douanes algériennes, M. Mohammed Abdou Bouderbala a révélé, hier, vendredi, en marge de sa visite à la wilaya de Laghouat pour inspecter le nouveau siège de l’inspection des sections des Douanes, que ses services ont établi une nouvelle stratégie visant à décentraliser les Douanes algériennes.

Il a affirmé, dans ce cadre, que l’étude de cette stratégie a été achevée et que l’application de ce nouveau système entrera en vigueur dès la fin de l’année en cours. Il a révélé que d’importants moyens seront mis à la disposition des directions régionales, après qu’elles aient été renforcées par les ressources humaines et budgétaires nécessaires. Le responsable de cette institution a indiqué que le nombre du personnel de l’administration de la douane algérienne a atteint 20 mille douaniers, après l’adoption de la nouvelle politique de formation et le recrutement de 1600 douaniers par an. Il a, également, ajouté que son secteur a subventionné les opérations de recyclage des douaniers et amélioré leur niveau dans le but d’appliquer parfaitement les missions confiées à son administration.
M. Bouderbala n’a, également, pas omis de faire allusion à l’importance de la wilaya de Laghouat qu’il a qualifiée de centre de transit entre le nord et le sud et de passage des réseaux de trafic. Ce qui nécessite, selon lui, de renforcer l’activité des agents des Douanes de cette wilaya. Il a, notamment, précisé que cette wilaya enregistrera prochainement de nouvelles structures dans ce secteur, une fois que la réalisation de 20 logements soit achevées

alkhabar

la douane est un corp entre deux prèssion prèssion d'etat et prèssion mafieuse
seulemment les douaniers sont deux catègories ceux qui possède des diplomes et ceux qui possède l'èxpèrience et la ruse.les premiers gènèralemment sont orgeuilleus et ne savent pas travailler les deuxièmme moin grader mais ce sont des meneurs de tèrrain j'ai connu des agents qui ont plus de 20 ans et maitrisse leur travaille j'ai connu des divisionnaire qui ne savent pas c'est quoi une corrèspandance il ne sait pas faire la diffèrence entre une ordonnance un circulaire ou un decrèt...la corruption èxiste cèrte mais il y a des douaniers qui vivent uniquemment de leur salaire...l'etat algèrien à jouer un grand role pour la dèstruction de ce corps le faite que boutèf n'aime pas ce corps le rèsultat et devant vous.

APRèS LA SAISIE DE 36 FUSILS DE CHASSE AU PORT D’ORAN

Quatre armes à feu et du matériel de transmission militaire saisis

Un ressortissant algérien répondant aux initiales L. A. a été appréhendé au port d’Oran et écroué pour les chefs d’inculpation d’importation et de détention illégale d’armes à feu ainsi que de matériels de transmission de guerre. Cette arrestation relance le débat sur les tenants et les aboutissants de l’affaire de trafic d’armes.
Les faits ont eu pour cadre le port d’Oran au cours d’un contrôle de bagages, samedi, lorsque le scanner s’est mis à clignoter. Le véhicule, appartenant à un émigré algérien vivant au Danemark, est minutieusement fouillé par les services des douanes. Ces derniers finiront par mettre la main sur quatre armes à feu, dont deux fusils, deux pistolets automatiques et du matériel de transmission militaire. Aucune information officielle n’a pu être vérifiée quant à la destination précise de ces armes de guerre. L’enquête, qui suit son cours, déterminera avec exactitude s’il s’agit bien d’un réseau chargé d’approvisionner les cellules terroristes dormantes ou d’un simple acte isolé. Cette affaire, instruite à la chambre d’instruction près le tribunal d’Oran, sera sans doute mise à contribution afin de dénouer une autre affaire de trafic d’armes. Période propice à l’importation illicite d’armes à feu ; l’été n’est pas une sinécure pour les services de sécurité. Activant notamment au port d’Oran, les éléments des Douanes algériennes ont avorté une tentative d’introduction frauduleuse d’armes à feu. Dans ce contexte, les éléments de la Police des frontières du port d’Oran, agissant sur la base des informations en leur possession, avaient réussi un important coup de filet en procédant à la saisie de quelque 36 fusils de chasse que tentait d’introduire frauduleusement, il y a deux semaines, un ressortissant algérien résidant en France. Les fusils de chasse étaient soigneusement dissimulés dans le coffre du véhicule de cet émigré ayant débarqué d’un navire assurant la liaison Oran-Alicante. Au moment de son arrestation, le mis en cause, accompagné de son épouse, avait également en sa possession une grande quantité de cartouches de calibre 12 et 16, ont indiqué des sources portuaires. L’apparition du phénomène du terrorisme et les descentes des groupes terroristes dans les villages reculés pour s’approprier les armes des habitants a poussé les pouvoirs publics à serrer encore plus l’étau en matière de réglementation, ce qui a favorisé la naissance d’un grand trafic d’armes de chasse et la création de filières de fabrication d’armes artisanales et de contrebande. Dans cette affaire, un couple résidant en Espagne a joué un rôle dans cette tentative avortée pour l’importation frauduleuse d’armes à feu dans le territoire algérien. Les deux affaires, selon les premiers éléments de l’enquête, ont un corollaire, à savoir celui de trafic d’armes international d’un pays vers un autre.

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Lutte contre le financement du terrorisme : Des experts américains pour former les douaniers algériens

Des agents spéciaux du Service de contrôle de l'immigration et des douanes des États-Unis (Immigration and Customs Enforcement, ICE) animent depuis, hier, à l'Ecole de formation et de recyclage des Douanes algériennes à Ben Aknoun, un atelier d'échange de techniques et d'expériences en matière de lutte contre la contrebande (argent en espèces - bulk cash smuggling - BCS). Selon un communiqué rendu public le même jour par l'ambassade des Etats-Unis à Alger, cette formation doit bénéficier à 35 officiers des Douanes algériennes et durera 5 jours. On précise que la formation en question sera, dans son volet théorique, centrée sur l'identification des mécanismes de blanchiment d'argent, le financement du terrorisme et la présentation des techniques d'investigation les plus efficaces pour déjouer des opérations de contrebande d'argent liquide. La même source précise que le volet pratique de l'atelier sera étalé sur deux jours et consistera en des exercices opérationnels à l'aéroport d'Alger « où les techniques et concepts enseignés seront mis en pratique en temps réel ». A signaler qu'il s'agit du deuxième atelier d'échange sur le BCS entre l'ICE et les services des Douanes algériennes.La première formation s'était déroulée du 11 au 14 novembre 2007 à l'Ecole supérieure de police d'Alger et avait vu la participation d'officiers de la DGSN, des Douanes algériennes ainsi que des représentants de la CTRF (Cellule du traitement du renseignement financier). Les autorités américaines sont persuadées qu'une étroite collaboration soutenue par un échange de ressources et d'expertises entre les services d'application de la loi à travers le monde permettra d'arrêter la circulation des fonds qui alimentent les activités illégales et financent les organisations terroristes et criminelles.L'Immigration and Customs Enforcement fait, rappelle-t-on, partie du groupe de travail sur le financement du terrorisme. Ce groupe interinstitutionnel comprend les représentants du Département d'Etat, du Trésor, de la Justice et de la Sécurité intérieure. En plus d'être chargé des échanges avec les services étrangers, l'ICE participe régulièrement à des séminaires et à des exercices opérationnels avec les personnels des services responsables de la conduite d'enquêtes sur le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme.

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c'est de la poudre au yeux..etc les amèricains savent très bien combien un douanier touche la fin du mois....un sèrgent dans le corps de la gendarmerie touche mieux qu'un règionale des douanes et il est mieux rèspèter...vous cavez prèparer des douaniers socialiste pour un mode de vie capitaliste...etc un douanier de la mauritanie touche sept cents euro?imaginez la suite...quatre rèsponsable dee la ratp a l'aèroport houari boumèdienne touche l'èquivalent de 500 employè des e g s a et qui foute rien...appelè vous ça un etat arrètons notre hypocrètie..la douane au usa c'est l'èquivalent de la cia/fbi/nsa..etc la souverainte de l'etat est un progrès partagè par tous ces organismes .

un corps important autant que les autres chacun sa mission et des fois ils ce touchent a travers leurs missions:comme ce son les bras de l'état il faut que les chefs discutent pour résoudre des problemes ou des informations. la douane est a la merci de la maffia il faut avoir des gardes fous.mais il ne faut pas oublié de bien payer il y va de l'intéret de l'état.

65 douaniers, entre agents et officiers, impliqués dans des affaires de corruption…et 80 autres traduits en conseil de discipline

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La direction générale de la Douanes a levé cette année 65 affaires devant la justice contre des agents et cadres du secteur, accusés de corruption, et a traduit 80, entre agents et cadres, en conseil de discipline. Ce bilan de l’implication des douaniers dans des affaires de corruption a augmenté comparé à l’année dernière, durant la quelle 10 cas seulement avaient été enregistrés.

Invité par la radio nationale, l’inspecteur principal au sein de la direction générale de la douane algérienne, Abdelmadjid Mehrech, a révélé que 65 douaniers, entre agents et officiers, ont été traduit en justice pour leur implication dans des affaires de corruption. Abdelmadjid Mehrech a ajouté que 80 douaniers, entre agents et officiers, ont été traduits devant le conseil de discipline pour déterminer la sanction adaptée en fonction des cas. Et pour cause, 70 douaniers ont été remerciés pour des fautes professionnelles de troisième ou quatrième degrés. L’invité de la rédaction a affirmé que la hausse du nombre des cas résulte de la réactivation de nouvelles mesures entreprises par la douane pour lutter contre la corruption au sein de l’appareil. L’inspecteur principal auprès de la direction générale de la douane a déclaré l’existence d’une coopération entre les services de douane avec les différents services de sécurité au niveau des aéroports, à travers la double surveillance via des cameras visant la découverte des opérations de corruption, affirmant que ces opérations ont permis la découverte des deux affaires au niveau de l’aéroport d’Alger et le port d’Oran.

Abdelmadjid Mehrech a indiqué la création d’une commission spéciale au niveau de la direction générale de douane dont la mission est de luter contre la corruption. Il a révélé que cette commission a tracé un schéma, où la corruption est fortement présente, et qui concerne les centres comptant des douaniers qui seront en contact direct avec les importateurs et operateurs économiques ainsi que quelques services au niveau des ports et aéroports.

Quant au trafic et transfert de fonds, l’orateur a affirmé que la douane algérienne a mis en place un plan de lutte contre ces deux phénomènes précités. Et pour cause, les services de douane ont réussi à saisir au niveau des centres frontaliers 81 millions et 843 milles dinars algérien, 7.873 millions d’Euros, 335 mille et 233 dollars américain ainsi que des quantités de Dirham et de dinars Libyen.

Source:Echorouk Online

il faut ajouter d'autre garde fou:la tentation est facile d'autant que les corrupteurs ont les moyens infaillibles, cela implique la confiance c'est bien mais le contrôle c'est mieux.

la douanes est gèrer par djazouli bougèltia et son parrain boudèrballa abdou chasseur de garces ....assister par un colonel de la DRS de l'ouèst .il font semblants de travailler mais en rèalitè c'est le contraire....on ne gère pas une institution pareil selon l'envie de boutèf car ce dèrnier dètèstent la douanes....nom la corruption existent c'est une rèalitè et la buracratie favorise la corruption une paye pour un douanier qui se tèrmine dans les 10 premiers jour de la semmaine immaginner la suite.on pourra pas faire travailler un douanier dans un systèm capitaliste avec un èsprit socialiste et une paye de misère.....et aussi le fils de djazoulli le DRH c'est lui qui recrute les nouveaux fonctionnaires ........ce n'est pas sorcier de connaitre cette institution....aller voir le nombre de cadre qui ont donner leur dèmissions et qui attendent la rèponce..trouver vous logique un dg des impôts et sont amis le drh au sommet de la douane c'est comme un dg de la police policier de formation au sommet de la gendarmmerie c'est fou ce pays ...

C4EST UN TRAVAILLE P2NIBLE/L4ACTION DES CHEFS ET LA R2ACTION dans bas. il faut revoir la copie :la paye doit être en fonction de la responsabilité:la prime des affaires élucider ne doit pas être a la 13 eme mois :les agents sur le terrain doivent être mieux rémunérés :avec des grades qui augmente a chaque bonne action.

Révision du code et refonte du schéma organisationnel: Un service aérien pour les douanes

Soumis à de fortes pressions par les barons du marché noir et le lobbying efficace des gros importateurs, ainsi qu’à l’ampleur de la contrebande, le gouvernement va soumettre, dès l’année prochaine au Parlement, un avant-projet de loi portant réaménagement et modification du code des douanes.

Des sources au fait du dossier évoquent une refonte importante du code des douanes, dont la mouture initiale est soumise actuellement aux avis des experts étrangers et des consultants professionnels.

Les appréciations de l’expertise internationale sont la dernière étape avant la finalisation par les pouvoirs publics. Les mêmes sources estiment que cette révision devrait répondre aux nouvelles exigences du marché international, notamment dans les chapitres les plus délicats de l’activité douanière, comme les contentieux, les facilitations, la police maritime, le recouvrement fiscal, la lutte contre la contrefaçon et la contrebande.

Cependant, cette refonte du code devrait exiger en parallèle, de la part de l’administration douanière, une batterie de mesures et d’actions. C’est ainsi que le gouvernement a accepté un plan de redéploiement et de développement, proposé par l’administration douanière, caractérisé par un programme de modernisation interne de ses services et une professionnalisation accrue de ses ressources humaines avant l’année 2015.

Ce plan propose des réaménagements du schéma structurel et organisationnel actuel des douanes, afin d’atténuer les effets de la centralisation et la bureaucratisation des services qui nuisent à l’activité marchande et commerciale.
Après la réorganisation de l’administration centrale et de l’inspection générale, l’institution de Bouderbala entend concentrer ses efforts sur des projets de réaménagement des services extérieurs déconcentrés et du Centre national de l’informatique et des statistiques (CNIS).

De plus, un projet de création, organisation et fonctionnement de l’école nationale des douanes est en cours d’examen par les instances concernées. Toujours selon ce programme, il est question de réorganiser

complètement les Centres nationaux des transmissions des douanes (CNTD) et de formation douanière (CNFD), dont les projets sont en cours d’élaboration.
Selon une correspondance officielle, dont nous possédons une copie, les Douanes algériennes entendent revaloriser le segment dit des «facilitations douanières», considéré comme un levier de compétitivité pour les entreprises, en envisageant de lancer d’autres actions complémentaires comme la promotion des normes et pratiques recommandées par la convention de Kyoto, la promotion des formules de dédouanement à domicile, l’introduction du paiement électronique des droits et taxes et le renforcement des contrôles a posteriori.

Dans le volet des techniques douanières, l’administration de Bouderbala a lancé une série d’actions, comme l’élaboration d’un recueil de décisions de classement tarifaire, des textes juridiques régissant la valeur en douane, des procédures de renseignement quant à l’origine des marchandises.

Concernant la mise en place d’un système performant de lutte contre la fraude, l’administration douanière cherche à pérenniser certaines actions, considérées comme efficaces, telles que la création d’une coordination avec des intervenant dans la chaine logistique du commerce international, et l’adoption des cahiers de charges pour l’exportation de certains produits sensibles à la fraude.
Dans le même registre, nos sources font état de la création prochaine d’un service aérien propre aux douanes, afin de renforcer la surveillance et la lutte contre la contrebande frontalière, notamment dans les vastes régions désertiques du Sud.

Hani Rabah

ils ont un grands roles de sécurités de l'économies nationales ,donc beaucoup de prérogatives doivent être les leurs: RG,l'aviations avec les techniques infra rouge : ect....bien les payer est important ,sinon les conséquences sont horribles.

la femme actuellement joue un role dans touts les domaines pourquoi pas une DG des douanes.

Mohamed Abdou Bouderbala, directeur général des douanes algériennes

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« La sécurisation des frontières est notre priorité»

La surveillance de la frontière ouest, devenue un point de passage de toutes sortes de fléaux, est une priorité des douanes algériennes. Vingt-huit nouveaux centres de contrôle dont huit opérationnels seront réalisés le long de la frontière ouest du pays. Ces centres seront dotés de moyens sophistiqués nécessaires au contrôle, à la surveillance et à la protection des frontières en collaboration avec les autres corps, tels que les gardes-frontières, pour lutter contre la contrebande.


« Il faut prioriser la sécurisation des frontières », a affirmé Mohamed-Abdou Bouderbala, directeur-général des douanes algériennes lors de l’inauguration du poste de surveillance Puits 05 dans la commune frontalière d’El-Abed relevant administrativement de la wilaya de Tlemcen où il a assisté à la cérémonie de sortie de la seconde promotion issue de l’École nationale des douanes d’Ouled Mimoun, située à une trentaine de kilomètre du chef-lieu de wilaya. Cette sécurisation des frontières ne saurait se faire sans la « réinstauration de l’autorité de l’Etat dans cette région », a ajouté le directeur général des douanes algériennes. Cette sécurisation des frontières ne saurait se faire sans la conjugaison des efforts entre les corps de sécurité pour lutter contre la contrebande et protéger l’économie nationale, a insisté le directeur général des douanes. « L’unique moyen d’éradiquer ces fléaux qui rongent l’économie nationale est de conjuguer les efforts des différents corps de sécurité dont les garde-frontières », a souligné M. Bouderbala. Pour ce faire, Mohamed Abdou Bouderbala a révélé que la région ouest du pays sera renforcée de 23 nouveaux centres de contrôle dont 8 sont opérationnels, répartis à travers la bande frontalière s’étendant sur 170 kilomètres, dans le cadre de la lutte contre la contrebande. Ces centres dont 2 maritimes et 21 terrestres viennent renforcer le secteur et seront dotés de moyens sophistiqués nécessaires au contrôle, à la surveillance des frontières dans le cadre du rôle des services douaniers dans la protection des frontières aux côtés d’autres corps, tels que les gardes-frontières, pour un meilleur maillage et une meilleure couverture de cette zone frontalière, a souligné Mohamed Abdou Bouderbala, ajoutant que « tous les moyens mis en œuvre et renforcés continuellement visent à contrecarrer les agissements néfastes des trafiquants qui portent atteinte à l’économie nationale. C’est une lutte acharnée et sans merci qui sera menée et accentuée contre tous ceux qui veulent piller les richesses du pays », allusion à l’exportation frauduleuse vers le Maroc de quantités importantes de carburant. Aussi, le patron des douanes a-t-il indiqué que « beaucoup d’efforts sont consentis pour offrir les meilleures conditions de travail aux douaniers afin de les aider dans leur mission, à savoir lutter contre la contrebande et protéger l’économie nationale. »
« Il est impératif de suivre tout ce qui se passe sur la frontière par la conjugaison des efforts de l’ensemble des institutions afin de mieux protéger le pays et son économie, de réduire les pertes occasionnées par la contrebande, notamment celles portant sur les produits alimentaires, les carburants et les drogues », a souligné à ce propos M. Bouderbala. « L’enjeu est de défendre l’économie nationale et de protéger la santé publique d’autant que les contrebandiers excellent dans l’invention de moyens et méthodes pour réussir leurs plans, auxquels il faut faire échec en se mobilisant et en utilisant tous les moyens et les techniques possibles », a indiqué M. Bouderbala, qui a révélé la mise en place de postes douaniers sur l’autoroute Est-Ouest pour renforcer la surveillance après l’achèvement des stations de péage. Sur sa lancée, M Bouderbala a précisé que le contrôle des marchandises qui s’effectue au poste fixe à l’entrée de Maghnia sur la RN35 sera maintenu avant d’annoncer la mise en place de nouveaux contrôles sur l’autoroute menant à Maghnia dans le but d’« assurer la disponibilité des produits à la population au prix en vigueur et de lutter contre la contrebande. ». Lors de sa visite dans la wilaya de Tlemcen, le patron des douanes a procédé à l’inauguration de postes de surveillance – le poste maritime de Honaïne, du Puits 5, El Assa et Magoura –, des nouveaux sièges de brigades des douanes dans la région de Sebdou et notamment dans les zones proches de la frontière comme El-Abed et Magoura, et inspecté les travaux de réalisation d’une nouvelle inspection principale de la recette des douanes à Ghazaouet dont le port bénéficiera d’un nouveau scanner à rayons X, les postes de surveillance de Bab El-Assa dans la région de Maghnia.
Outre ces nouveaux centres, des moyens matériels et humains affectés vers la zone frontalière ouest et particulièrement des hélicoptères pour la surveillance de la frontière du côté de Bechar (3 postes de surveillance), une vingtaine de brigades canines seront également mutées vers cette zone frontalière pour la surveillance et la détection des stupéfiants et autres fléaux, dont la contrebande, portant atteinte à l’économie nationale.
Ainsi, le renforcement du dispositif de surveillance et de contrôle au niveau des frontières demeure une priorité pour les douanes algériennes pour protéger l’économie nationale des pratiques des contrebandiers. Il faut savoir que ce programme de surveillance des frontières comporte la réalisation de 83 postes de contrôle à travers l’ensemble du pays. Ces postes seront dotés de moyens matériels et humains imposants. C’est ainsi que les 134 nouveaux agents de contrôle douanier dont 53 femmes, issus de la deuxième promotion de l’École nationale des douanes d’Ouled Mimoun, située à une trentaine de kilomètre du chef-lieu de wilaya, seront affectés aux frontières algéro-marocaines, aux ports et aéroports de l’ouest du pays. Il est à souligner que cette promotion baptisée au nom du martyr du devoir Ahmed Bouchachoua, assassiné par les terroristes en 2010 dans une embuscade, comporte également sept Mauritaniens. Lors de la cérémonie, le directeur général des douanes et le wali de Tlemcen, Abdelwahab Noui, ont passé en revue la nouvelle promotion et assisté à des exercices de simulation de contrôle aux frontières et de lutte contre les trafiquants de drogue.
Pour une meilleure efficience, la direction générale des douanes algériennes a fait commande de 6 hélicoptères auprès du ministère de la Défense nationale, de scanners et d’appareils de contrôle pour fouiller des camions dans les différents axes routiers, souligne Boudjaltia Djazouli, chef de cabinet du directeur général des douanes algériennes, qui souligne que « la réalisation de ces postes de surveillance est suivie attentivement par le Président Abdelaziz Bouteflika ».
Concernant la formation, l’objectif est de porter le nombre des douaniers à 30.000 à l’horizon 2015 afin d’encadrer les nouveaux postes créés et de couvrir l’ensemble du territoire national.
L’institution douanière « a besoin d’intensifier ses efforts en vue de renforcer ses effectifs, en accordant l’importance à la maîtrise des nouvelles technologies pour faire face aux défis de la mondialisation », avait indiqué le directeur général des douanes algériennes. Le DG des douanes a estimé qu’après une formation appropriée et la fourniture des moyens nécessaires, « il est désormais attendu plus d’efficience du douanier », car le but, a-t-il souligné, « est de protéger nos frontières et l’économie nationale ».
Ces mesures prises par la direction des douanes algériennes rentrent dans le cadre du processus de modernisation du secteur des douanes qui se sont fixé comme objectif la protection de l’économie nationale.

eldjazaircom.dz

les frontiéres sont des passoirs qu'il faut maitriser;pas seulement la défense de l'économie mais aussi les autres problémes qu'il faut mettre au devant de notre responsabiliter actuelle et futur::il y a toutes les maladies africaine que nous pestes la vie: :la trans africaine a fait remonter des maladies inconnues chez :il faut visiter les services de dermatologie et autres.

La douane algérienne saisie d'un lot de 600 d'instruments
électroniques d'espionnage qatari

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