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Partis politiques en Israël
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Partis politiques en Israël
le Likoud
Le Likoud est créé en 1973, lorsque le Gahal (droite nationale et libérale) et le Herout (droite nationale) décident de se rassembler pour les élections législatives. Il est l’héritier du sionisme révisionniste de Zeev Jabotinsky, qui s’opposait à la domination des partis de gauche (les travaillistes) sur le sionisme, et proposait une alternative de droite. Si, sur le plan politique, les deux formations politiques étaient divisées - le Herout, de Menahem Begin, prônait le Grand Israël, alors que le Gahal était plus proche des idées de gauche- sur le plan social et économique -, ils rejetaient tous les deux les idées avancées par la gauche. L’électorat du Herout était plutôt formé de juifs traditionnels, dont le niveau de vie était bas. De nombreux Juifs émigrés des pays arabes ont rejoint le parti.
Du fait des nombreuses fractions dont étaient formés les deux partis fondateurs, il faudra attendre 1988 pour que le Likoud devienne un parti unifié. Son premier leader fut Menahem Begin, qui devint Premier ministre d’Israël, en 1977, avec 43 mandats à la Knesset. Son élection mit fin à la domination des travaillistes, qui étaient au pouvoir depuis la création de l’Etat d’Israël, en 1948. Après les élections, Ariel Sharon, qui avait créé le parti « ShlomTsion » et obtenu deux mandats, rejoignit le Likoud. Les classes populaires, qui se sentaient rejetées par les travaillistes, furent celles qui provoquèrent ce changement politique. Le gouvernement de Begin fut surtout marqué par la signature des accords de Camp David, en 1979. Aux élections de 1982, le Likoud obtint 48 mandats à la Knesset et forma à nouveau le gouvernement. En 1983, Begin démissionna, suite à la guerre du Liban, et quitta la vie politique. Itzhak Shamir le remplaça alors à la tête du gouvernement.
En 1984, le Likoud obtint 41 sièges, et le Maarakh (travailliste), 44. Il y eut donc égalité entre le bloc de gauche et celui de droite. Cette situation entraîna la formation d’un gouvernement d’union nationale. Shimon Pérès devint Premier Ministre pour deux ans et, en 1986, Itzhak Shamir redevint Premier ministre. Aux élections de 1988, le Likoud obtint la majorité et Shamir fut à nouveau à la tête d’un gouvernement d’union nationale, jusqu’en 1990, date à laquelle les travaillistes abandonnèrent la coalition. En 1991, Shamir accepta le principe de négociations avec les Palestiniens et participa à la conférence de Madrid. Mais il refusa de s’engager réellement, de peur de perdre sa faible majorité.
En 1992, il fut battu par les travaillistes. Itzhak Rabin devint Premier ministre.
Le Likoud devint alors le parti de l’opposition. Les leaders du parti critiquèrent et manifestèrent leur opposition contre les Accords d’Oslo. En 1993, Binyamin Netanyahu fut élu à la tête du parti : un tournant vers un libéralisme économique fut alors initié.
En 1996, deux formations politiques, ’Tsomet’, de Raphaël Eytan, et ’Gesher’, de David Lévi, rejoignirent le Likoud. Netanyahu remporta les élections face à Shimon Pérès et devint Premier ministre. Il donna un coup d’arrêt au processus de paix et mena une politique économique très libérale. En 1997, Netanyahu signa avec Yasser Arafat l’accord sur Hébron, puis, un an plus tard, l’accord de Why Plantation. Au sein du Likoud, les critiques furent nombreuses concernant les manières d’agir de Netanyahu. Trois figures importantes, Dan Méridor, Roni Milo et Itzhak Mordechaï, quittèrent le Likoud pour créer un nouveau parti du Centre. En décembre 1998, Beni Begin quitta, lui aussi, le Likoud et créa le parti ’Hérout’. Il y fut rejoint par deux anciens députés du Likoud.
En 1999, le Likoud n’obtint que 19 sièges à la Knesset. Le soir même des élections, Netanyahu démissionna de la direction du parti. Ariel Sharon le remplaça. Le Likoud devint un parti d’opposition. Après l’échec du sommet de camp David, éclata la seconde Intifada. Ehud Barak fut forcé de démissionner, ce qui entraîna l’avancement des élections. En février 2005, Sharon fut élu Premier ministre. Il forma alors un gouvernement d’union nationale avec les travaillistes. Aux élections générales de 2003, le Likoud obtint 40 sièges après la fusion avec le parti des immigrants de l’ex-Union soviétique, de Natan Sharansky, ’Israël BeAlya’.
Le second gouvernement Sharon fut un composé des formations de droite, les travaillistes étant dans l’opposition. Lorsque Sharon annonça son plan de désengagement, une partie des députés du Likoud – ’les rebelles’ - s’opposèrent à Sharon. Après le départ des ministres de droite, le Premier ministre forma, avec les travaillistes, un gouvernement d’union nationale.
Ariel Sharon quitta le Likoud le 21 novembre 2005, à la suite de l’opposition continue d’une partie des cadres de son parti et, après la dissolution de son alliance gouvernementale avec les travaillistes, il fonda son propre parti, Kadima. Aux élections primaires du Likoud le 19 décembre 2005, Benyamin Netanyahou l’emporta sur Silvan Shalom. Il redevint alors l’homme fort du parti.
Selon les sondages, pour les élections du 28 mars 2006, le Likoud serait crédité de 15 à 17 sièges.
Le Likoud s’oppose à un retrait unilatéral des territoires palestiniens, est en faveur de la lutte contre le terrorisme, du déplacement de la barrière de sécurité vers l’est, de la poursuite de la politique économique libérale entamée par Netanyahu lorsqu’il était ministre des Finances et de la lutte contre la pauvreté.
Par:Debriefing.org
La création du Likoud (1973)
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Zeev Vladimir Jabotinsky
Lire aussi :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Likoud
Le Likoud est créé en 1973, lorsque le Gahal (droite nationale et libérale) et le Herout (droite nationale) décident de se rassembler pour les élections législatives. Il est l’héritier du sionisme révisionniste de Zeev Jabotinsky, qui s’opposait à la domination des partis de gauche (les travaillistes) sur le sionisme, et proposait une alternative de droite. Si, sur le plan politique, les deux formations politiques étaient divisées - le Herout, de Menahem Begin, prônait le Grand Israël, alors que le Gahal était plus proche des idées de gauche- sur le plan social et économique -, ils rejetaient tous les deux les idées avancées par la gauche. L’électorat du Herout était plutôt formé de juifs traditionnels, dont le niveau de vie était bas. De nombreux Juifs émigrés des pays arabes ont rejoint le parti.
Du fait des nombreuses fractions dont étaient formés les deux partis fondateurs, il faudra attendre 1988 pour que le Likoud devienne un parti unifié. Son premier leader fut Menahem Begin, qui devint Premier ministre d’Israël, en 1977, avec 43 mandats à la Knesset. Son élection mit fin à la domination des travaillistes, qui étaient au pouvoir depuis la création de l’Etat d’Israël, en 1948. Après les élections, Ariel Sharon, qui avait créé le parti « ShlomTsion » et obtenu deux mandats, rejoignit le Likoud. Les classes populaires, qui se sentaient rejetées par les travaillistes, furent celles qui provoquèrent ce changement politique. Le gouvernement de Begin fut surtout marqué par la signature des accords de Camp David, en 1979. Aux élections de 1982, le Likoud obtint 48 mandats à la Knesset et forma à nouveau le gouvernement. En 1983, Begin démissionna, suite à la guerre du Liban, et quitta la vie politique. Itzhak Shamir le remplaça alors à la tête du gouvernement.
En 1984, le Likoud obtint 41 sièges, et le Maarakh (travailliste), 44. Il y eut donc égalité entre le bloc de gauche et celui de droite. Cette situation entraîna la formation d’un gouvernement d’union nationale. Shimon Pérès devint Premier Ministre pour deux ans et, en 1986, Itzhak Shamir redevint Premier ministre. Aux élections de 1988, le Likoud obtint la majorité et Shamir fut à nouveau à la tête d’un gouvernement d’union nationale, jusqu’en 1990, date à laquelle les travaillistes abandonnèrent la coalition. En 1991, Shamir accepta le principe de négociations avec les Palestiniens et participa à la conférence de Madrid. Mais il refusa de s’engager réellement, de peur de perdre sa faible majorité.
En 1992, il fut battu par les travaillistes. Itzhak Rabin devint Premier ministre.
Le Likoud devint alors le parti de l’opposition. Les leaders du parti critiquèrent et manifestèrent leur opposition contre les Accords d’Oslo. En 1993, Binyamin Netanyahu fut élu à la tête du parti : un tournant vers un libéralisme économique fut alors initié.
En 1996, deux formations politiques, ’Tsomet’, de Raphaël Eytan, et ’Gesher’, de David Lévi, rejoignirent le Likoud. Netanyahu remporta les élections face à Shimon Pérès et devint Premier ministre. Il donna un coup d’arrêt au processus de paix et mena une politique économique très libérale. En 1997, Netanyahu signa avec Yasser Arafat l’accord sur Hébron, puis, un an plus tard, l’accord de Why Plantation. Au sein du Likoud, les critiques furent nombreuses concernant les manières d’agir de Netanyahu. Trois figures importantes, Dan Méridor, Roni Milo et Itzhak Mordechaï, quittèrent le Likoud pour créer un nouveau parti du Centre. En décembre 1998, Beni Begin quitta, lui aussi, le Likoud et créa le parti ’Hérout’. Il y fut rejoint par deux anciens députés du Likoud.
En 1999, le Likoud n’obtint que 19 sièges à la Knesset. Le soir même des élections, Netanyahu démissionna de la direction du parti. Ariel Sharon le remplaça. Le Likoud devint un parti d’opposition. Après l’échec du sommet de camp David, éclata la seconde Intifada. Ehud Barak fut forcé de démissionner, ce qui entraîna l’avancement des élections. En février 2005, Sharon fut élu Premier ministre. Il forma alors un gouvernement d’union nationale avec les travaillistes. Aux élections générales de 2003, le Likoud obtint 40 sièges après la fusion avec le parti des immigrants de l’ex-Union soviétique, de Natan Sharansky, ’Israël BeAlya’.
Le second gouvernement Sharon fut un composé des formations de droite, les travaillistes étant dans l’opposition. Lorsque Sharon annonça son plan de désengagement, une partie des députés du Likoud – ’les rebelles’ - s’opposèrent à Sharon. Après le départ des ministres de droite, le Premier ministre forma, avec les travaillistes, un gouvernement d’union nationale.
Ariel Sharon quitta le Likoud le 21 novembre 2005, à la suite de l’opposition continue d’une partie des cadres de son parti et, après la dissolution de son alliance gouvernementale avec les travaillistes, il fonda son propre parti, Kadima. Aux élections primaires du Likoud le 19 décembre 2005, Benyamin Netanyahou l’emporta sur Silvan Shalom. Il redevint alors l’homme fort du parti.
Selon les sondages, pour les élections du 28 mars 2006, le Likoud serait crédité de 15 à 17 sièges.
Le Likoud s’oppose à un retrait unilatéral des territoires palestiniens, est en faveur de la lutte contre le terrorisme, du déplacement de la barrière de sécurité vers l’est, de la poursuite de la politique économique libérale entamée par Netanyahu lorsqu’il était ministre des Finances et de la lutte contre la pauvreté.
Par:Debriefing.org
La création du Likoud (1973)
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Zeev Vladimir Jabotinsky
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Likoud
Syfou- Adminstrateur
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Age : 41
Emploi/loisirs : Les souvenirs s'envolent aussitot la la porte ouverte .
Humeur : Bien / H.M.D / Toujours.
Date d'inscription : 11/01/2010
Localisation : Dans un autre repère !
Re: Partis politiques en Israël
Le Likoud : plus au centre, ou plus à droite ?
L’un des organes qui sera déterminant à l’avenir pour l’actuel Premier ministre israélien – et pour le pays tout entier – est sans conteste le Comité Central du Likoud, formé de cadres et militants venus du terrain et des différents secteurs de population qui forment ce parti.
La composition de ce Comité Central peut-être une planche de salut ou au contraire au cauchemar pour le leader de la formation, à fortiori s’il est aux commandes de l’Etat et qu’il veut prendre des décisions délicates ou « historiques ». Tout le monde n’est pas Ariel Sharon, qui après avoir promis qu’il s’en remettrait au verdict des délégués pour le désengagement de Gaza, avait tout simplement tourné sa veste après le vote négatif des membres du Comité central. Au sommet du Likoud, on dit que l’actuelle et apparente ténacité du Premier ministre de mettre fin au gel provient du fait qu’il sait, grâce à des sondages, que la majorité des militants du Likoud sont de cet avis.
Au sein de l’appareil du Likoud, on ne cache pas que Netanyahou serait plus à l’aise avec un Likoud ayant une image de « centre-droit », plutôt que de droite franche. La composition actuelle de la liste des députés n’est pas non plus du goût du Premier ministre, qui aurait préféré des éléments plus dociles. C’est ainsi que se livre une lutte âpre et parfois féroce sur le terrain entre différents courants et tendances pour inscrire au Likoud des nouveaux membres et influer ainsi le moment venu sur la composition du Comité Central.
C’est vendredi dernier que s’est officiellement achevée la campagne d’adhésion au Likoud, car ce sont ces membres qui éliront un jour la liste pour la Knesset et le Président du mouvement. Lors du dernier recensement, en 2009, le Likoud comptait 85.000 membres inscrits, dont 10.000 considérés comme « idéologiques » c’est-à-dire proches des Juifs de Judée-Samarie. Lors des primaires, seuls 50.000 militants avaient voté, parmi eux la quasi-totalité de ces militants d’Eretz Israël ce qui leur donnait une force d’environ 20% dans le corps électoral interne au Likoud.
Lors de la campagne de 2010, les « hommes de Netanyahou » ont tenté par (presque) tous les moyens d’inscrire des éléments susceptibles de freiner l’ascension prévisible des tenants d’Eretz Israël. De l’autre côté, des personnalités telles qu’Effi Eitam, Tsipi Hotoveli, Yossi Dagan, Guilad Erdan, Dany Danon, Yariv Levin et nombre d’autres sillonnaient le pays, conférence sur conférence, réunion privée sur réunion privée, afin d’augmenter encore la représentation des fidèles d’Eretz Israël au sein du Likoud, sans parler des militants du courant « Manhigout Yehoudit » au sein du Likoud.
Malgré des informations inverses diffusées sur les médias officiels, il semble que les « Amis d’Eretz Israël » aient réussi leur pari. Entre 50.000 et 55.000 nouveaux membres se seraient inscrits au Likoud, ce qui en soi est déjà un acquis important, mais parmi eux, 12.000 militants « idéologiques ». Certes, ces militants sont au nombre total de 22.000 sur 135.000 membres du Likoud, mais lorsque l’on sait que de nombreux militants « plus neutres » ne se rendent pas aux votes, le poids de ces militants de droite au sein du Likoud sera encore plus important à l’avenir.
Et tout Premier ministre ou chef de l’opposition issu du Likoud ne pourra faire l’économie de ce noyau de plus en plus important au sein d’un parti qui a de plus en plus tendance à se rapprocher du centre et à abandonner allégrement les principes sionistes sur lesquels il a été fondé.
israel7.com
L’un des organes qui sera déterminant à l’avenir pour l’actuel Premier ministre israélien – et pour le pays tout entier – est sans conteste le Comité Central du Likoud, formé de cadres et militants venus du terrain et des différents secteurs de population qui forment ce parti.
La composition de ce Comité Central peut-être une planche de salut ou au contraire au cauchemar pour le leader de la formation, à fortiori s’il est aux commandes de l’Etat et qu’il veut prendre des décisions délicates ou « historiques ». Tout le monde n’est pas Ariel Sharon, qui après avoir promis qu’il s’en remettrait au verdict des délégués pour le désengagement de Gaza, avait tout simplement tourné sa veste après le vote négatif des membres du Comité central. Au sommet du Likoud, on dit que l’actuelle et apparente ténacité du Premier ministre de mettre fin au gel provient du fait qu’il sait, grâce à des sondages, que la majorité des militants du Likoud sont de cet avis.
Au sein de l’appareil du Likoud, on ne cache pas que Netanyahou serait plus à l’aise avec un Likoud ayant une image de « centre-droit », plutôt que de droite franche. La composition actuelle de la liste des députés n’est pas non plus du goût du Premier ministre, qui aurait préféré des éléments plus dociles. C’est ainsi que se livre une lutte âpre et parfois féroce sur le terrain entre différents courants et tendances pour inscrire au Likoud des nouveaux membres et influer ainsi le moment venu sur la composition du Comité Central.
C’est vendredi dernier que s’est officiellement achevée la campagne d’adhésion au Likoud, car ce sont ces membres qui éliront un jour la liste pour la Knesset et le Président du mouvement. Lors du dernier recensement, en 2009, le Likoud comptait 85.000 membres inscrits, dont 10.000 considérés comme « idéologiques » c’est-à-dire proches des Juifs de Judée-Samarie. Lors des primaires, seuls 50.000 militants avaient voté, parmi eux la quasi-totalité de ces militants d’Eretz Israël ce qui leur donnait une force d’environ 20% dans le corps électoral interne au Likoud.
Lors de la campagne de 2010, les « hommes de Netanyahou » ont tenté par (presque) tous les moyens d’inscrire des éléments susceptibles de freiner l’ascension prévisible des tenants d’Eretz Israël. De l’autre côté, des personnalités telles qu’Effi Eitam, Tsipi Hotoveli, Yossi Dagan, Guilad Erdan, Dany Danon, Yariv Levin et nombre d’autres sillonnaient le pays, conférence sur conférence, réunion privée sur réunion privée, afin d’augmenter encore la représentation des fidèles d’Eretz Israël au sein du Likoud, sans parler des militants du courant « Manhigout Yehoudit » au sein du Likoud.
Malgré des informations inverses diffusées sur les médias officiels, il semble que les « Amis d’Eretz Israël » aient réussi leur pari. Entre 50.000 et 55.000 nouveaux membres se seraient inscrits au Likoud, ce qui en soi est déjà un acquis important, mais parmi eux, 12.000 militants « idéologiques ». Certes, ces militants sont au nombre total de 22.000 sur 135.000 membres du Likoud, mais lorsque l’on sait que de nombreux militants « plus neutres » ne se rendent pas aux votes, le poids de ces militants de droite au sein du Likoud sera encore plus important à l’avenir.
Et tout Premier ministre ou chef de l’opposition issu du Likoud ne pourra faire l’économie de ce noyau de plus en plus important au sein d’un parti qui a de plus en plus tendance à se rapprocher du centre et à abandonner allégrement les principes sionistes sur lesquels il a été fondé.
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