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Violence en tunisie

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Personne à contacter Violence en tunisie

Message par Syfou Mer 29 Déc - 0:06

Chômage, cherté de la vie, sentiment d’abandon
Des émeutes ébranlent la Tunisie

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Les manifestants dénoncent les inégalités interrégions et le chômage galopant qui touche essentiellement les jeunes diplômés de l’intérieur du pays. Chômage endémique, injustice sociale, pouvoir d’achat érodé, répression… La coupe est pleine.

Les Tunisiens n’en peuvent plus et le font savoir de la manière la plus forte. Hier, le centre de Tunis a été investi par des centaines de manifestants qui ont bravé la menace policière. Un rassemblement a été tenu devant le siège de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), sur la place Mohamed Ali, avant que les manifestants ne soient violemment dispersés par les forces de l’ordre.
Ce vent de contestation qui souffle sur la Tunisie, pays gouverné d’une main de fer depuis 23 ans, est la première du genre de par son ampleur. Longtemps étouffés par le régime policier de Ben Ali – au pouvoir depuis près d’un quart de siècle – plusieurs Tunisiens ont pris leur courage à deux mains et sont sortis dans la rue pour éructer leur colère d’être des laissés-pour-compte dans un pays présenté comme le plus stable du Maghreb. A l’origine de cette révolte qui se propage à travers plusieurs régions, la violente répression des émeutes de Sidi Bouzid, à 265 km du centre-ouest tunisien, qui ont éclaté après la tentative de suicide d’un jeune diplômé de l’université, vendeur sans permis de fruits et légumes, qui s’était fait confisquer sa marchandise par la police municipale.

Misère sociale

Désespéré, le jeune homme s’était aspergé d’essence pour s’immoler par le feu. Il a survécu mais se trouve dans un état critique.
Cinq jours plus tard, un autre jeune a mis fin à ses jours en s’électrocutant au contact de câbles électriques. Après ce triste épisode, toute la population de Sidi Bouzid s’est soulevée pour dénoncer une situation socioéconomique intenable. En signe de soutien aux émeutiers de Sidi Bouzid, plusieurs manifestations ont été organisées, ces trois derniers jours, dans différentes régions et villes tunisiennes, notamment à Bizerte, Sfax, Sousse et Nabeul.

«Les manifestants dénoncent les inégalités interrégions et le chômage galopant touchant essentiellement les jeunes diplômés de l’intérieur du pays», a fait savoir Jalal Zoghlami, militant tunisien des droits de l’homme, contacté par nos soins. Selon lui, les régions de l’intérieur et du sud tunisien souffrent depuis des années de chômage et de misère sociale due à un désinvestissement de l’Etat. Les manifestants sont, à ses yeux, «les oubliés du développement économique tunisien, concentré au niveau des grandes villes du Nord». Jalal Zoghlami estime que cette contestation d’ordre social et économique est loin de s’estomper. «Les manifestations ont commencé le 17 décembre à Sidi Bouzid. Elles se sont propagées à travers plusieurs villes du pays en seulement quelques jours. Je pense que cette grogne sociale est partie pour durer, tant que le gouvernement continue de faire mine d’ignorer les revendications des manifestants», estime-t-il. «De nombreuses études réalisées ces dernières années montrent le hiatus qui ne cesse de se creuser entre les différentes régions de la Tunisie», a-t-il relevé.
Selon lui, beaucoup d’investissements et de projets ont été réalisés sur le littoral aux dépens des villes de l’intérieur.
Ainsi, il n’est pas exclu de voir dans les jours à venir des émeutes éclater en plein Tunis.

Un modèle en faillite

«Le chômage est la conséquence immédiate, avec tout ce qui peut s’ensuivre», a expliqué Touhami Heni, responsable régional de l’UGTT. Il touche surtout les jeunes diplômés de l’université. Gagnés par le désespoir ambiant, plusieurs de ces jeunes s’adonnent à des activités informelles, comme vendre des fruits et légumes dans la rue. Officiellement, le chômage est de 14%. Mais réellement, comme le soulignent des opposants tunisiens, il avoisine les 30%. «La défaillance du modèle de développement, qui a provoqué une inégalité entre les régions, a débouché sur le fait que 90% de projets sont localisés dans les régions côtières et 10% restants dans les régions de l’intérieur», a indiqué l’opposant Rachid Khechana, repris par l’AFP. Selon lui, cette disparité s’est accentuée avec l’arrivée sur le marché du travail de plusieurs milliers de diplômés originaires de ces régions enclavées.
La population de Sidi Bouzid vit essentiellement d’élevage de bétail et de commerce informel, a encore précisé cet opposant. Cette région est limitrophe de Gafsa, une zone minière qui a connu, en 2008, des protestations similaires contre le chômage et la cherté de la vie. La Tunisie a déjà connu des émeutes de la faim et du chômage par le passé, certes de moindre importance.
Cette vague de manifestations est qualifiée par le gouvernement tunisien de «pure manipulation à des fins politiques». Cela, tout en prenant en «urgence» des mesures en faveur de la région de Sidi Bouzid, reconnaissant ainsi l’existence de besoins encore insatisfaits.
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Personne à contacter Re: Violence en tunisie

Message par Syfou Jeu 6 Jan - 20:17

En Tunisie, la révolte s'organise aussi sur Internet

VIDÉO - Face à la censure du pouvoir qui bloque l'accès aux informations sur les émeutes, un groupe d'«Anonymes» attaque depuis plusieurs jours des sites gouvernementaux.

La protestation tunisienne s'organise sur Internet. Solidaires de la gronde sociale qui se propage depuis la mi-décembre, après l'immolation d'un vendeur ambulant, les internautes ont décidé de hausser le ton contre la censure imposée par le président Zine El Abidine Ben Ali. Car la main mise du pouvoir sur les médias et sur Internet est telle que les émeutes en cours dans plusieurs régions du pays sont pratiquement passées sous silence par la presse locale.

Déjà dans les limbes du classement sur la liberté de la presse dans le monde établi par Reporters sans frontières, la chape de plomb s'est encore alourdie ces dernières semaines. Au-delà de la censure imposée aux médias locaux, l'accès à plusieurs sites d'informations étrangers a été bloqué. Des articles de France 24, du Nouvel Observateur, de l'Express, mais aussi de la BBC ou encore d'Al Jazeera étaient ainsi inaccessibles en début de semaine.

Autres victimes de la censure : les réseaux sociaux, qui ont joué un rôle clé dans la transmission d'informations au début des émeutes. Premier visé : Facebook, qui compte près de deux millions d'utilisateurs dans le pays. Si le régime n'en a pas bloqué totalement l'accès, une stratégie particulière a été mise en place afin d'activer des blocages ciblés. Les internautes sont ainsi nombreux à ne plus pouvoir accéder à leur compte Facebook, Twitter ou encore Gmail. D'après le site Assabilonline cité par RSF, plus de cent pages Facebook relatives à la contestation de ces dernières semaines seraient actuellement inaccessibles. Parmi lesquelles, celle du groupe Facebook intitulé en langue arabe «M. Le Président, les Tunisiens s'immolent par le feu», déjà fort de plus de 12 000 membres.

Cyber-attaques

Mais ces mesures radicales n'ont pas suffi à éteindre la grogne du peuple tunisien. Et encore moins celle des internautes bien décidés à faire sauter ce verrou qui les empêche de s'exprimer depuis l'arrivée au pouvoir de Zine El Abidine Ben Ali, il y a 23 ans. La riposte s'est organisée sur la toile via le groupe «Anonymous» (les «Anonymes»), qui a bloqué l'accès à plusieurs sites officiels et gouvernementaux ces derniers jours. Mercredi, des cyber-attaques ont visé le site de l'agence tunisienne de l'Internet, celui du gouvernement tunisien ou encore celui de la banque Zitouna.

«Anonymous» se présente comme un groupe d'internautes attachés à la liberté d'expression. Il reproche notamment aux grands médias internationaux de ne pas évoquer suffisamment la situation en Tunisie. «Il est de la responsabilité de la presse libre et ouverte de relater ce que la presse soumise à la censure ne peut pas rapporter. Le peuple de Tunisie nous a demandé son aide et nous avons répondu en lançant une nouvelle opération, Opération Tunisie», annonce ainsi une lettre ouverte des «Anonymes» diffusée sur la toile.

Manque de leadership

Ces derniers avaient déjà fait parler d'eux lorsqu'ils avaient été associés à un élan de soutien au site WikiLeaks, en partie privé de financements après sa révélation de milliers de télégrammes diplomatiques secrets du département d'Etat américain. Les organismes financiers Paypal et Mastercard avaient alors été attaqués par des internautes, qui voulaient les punir d'avoir coupé les financements de WikiLeaks.

Plusieurs sites Internet tunisiens non-officiels se faisaient l'écho mercredi de l'offensive d'«Anonymous». La contestation née autour du web en Tunisie paraît toutefois pour l'instant peu structurée et dépourvue de leadership. Grâce à la toile, «on découvre une société civile vivante, en marge des partis politiques», note toutefois Souhayr Belhassen, présidente de la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH), une ONG basée à Paris. «Internet a servi d'instrument de mobilisation de la société civile. C'est un moyen de communication dont la vitesse dépasse celle des autorités», renchérit cette tunisienne, établissant un parallèle avec la Birmanie ou l'Iran après l'élection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad.

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Personne à contacter Re: Violence en tunisie

Message par Sphinx Mer 12 Jan - 12:58

L'armée se déploie à Tunis pour affronter la révolte sociale

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La contestation et la colère a gagné Tunis. La tension est si vive que l'armée tunisienne a finalement été déployée mercredi à dans la capitale tunisienne "où la tension est montée au lendemain d'affrontements entre la police et des manifestants qui ont éclaté dans la nuit dans la banlieue ouest populaire", rapporte l'AFP.

Le régime de Ben Ali se sent en danger. Mercredi, des renforts militaires, soldats en armes, camions, jeeps et blindés, ont fait leur apparition dans Tunis pour la première fois depuis le déclenchement des affrontements que connaît la Tunisie depuis quatre semaines.

"Ces renforts étaient postés à des carrefours du centre de Tunis et à l'entrée de la cité Ettadhamen (Solidarité) où des dégâts d'une nuit de violences étaient visibles", fait remarquer l'AFP.

"Un blindé tout feu allumé et des soldats en armes étaient positionnés à l'entrée de ce gros faubourg où des carcasses de voitures et d'un bus incendiés n'avaient pas encore été enlevées, près du siège de la sous-préfecture attaqué la veille", précise encore l'agence de presse Française.

Ainsi, à Tunis, les unités d'intervention spéciales ont été chargées de surveiller toutes les places publiques et les différentes institutions étatiques. Des soldats en armes patrouillent également dans les plus importantes rues de la capitale, signalent plusieurs sources concordantes.

Secouée depuis près d'un mois par une révolte sociale sans précédent, la Tunisie compte chaque jour de plus en plus de morts. Si selon le gouvernement tunisien, "les troubles sociaux " ont fait 21 morts et "des dégâts matériels considérables", l'opposition et les syndicats qui épaulent les jeunes tunisiens dans leur protestation, estiment que plus de 50 personnes ont été tuées par les services de sécurité dans "les trois derniers jours".

Ce bilan macabre risque de s'alourdir à n'importe quel moment vu que les affrontements entre les jeunes manifestants et policiers tunisiens perdurent encore dans plusieurs villes tunisiennes. Et pour faire face à cette mobilisation de la société civile, le régime de Ben Ali a, semble-t-il, utilisé tous les moyens de la répression.

Pour preuve, à Kasserine, ville située à 290 km au sud de la capitale Tunis, des "snipers ont été postés sur les toits" pour abattre les émeutiers, rapportent plusieurs témoins oculaires. Des syndicalistes ont même fait état de tirs des forces de police sur des cortèges funèbres !

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Personne à contacter Re: Violence en tunisie

Message par Droit_De_l'Homme Jeu 20 Jan - 4:06

Un plan de 800 voitures piégées dévoilé par Slim Chiboub, le gendre de Ben Ali

Slim Chiboub, l’un des gendres du président déchu, a révélé à la police que les pro Ben Ali ont piégé pas moins de 800 voitures pour commettre une série d’attentat à l’explosif à travers tout le pays, principalement à Tunis pour jeter le pays dans le chaos.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le site de la revue Le point a rapporté que Slim Chiboub qui etait à la tête du Comité Olympique Tunisien (COT) a révélé ces informations devant la police après son arrestation le samedi dernier alors qu’il tentait de quitter la Tunisie à destination de la Libye. Il leur a assuré que pas moins de 800 voitures bourrées d'explosifs ont été disséminées à travers tout le pays, principalement à Tunis. Selon lui les pro Ben Ali voulait commettre des attentats à l’explosif pour se venger et déstabiliser davantage le pays. Chiboub a accusé les dirigeants de la police tunisienne. Cette information est prise très au sérieux par l'armée, qui passe actuellement la capitale au peigne fin. Une opération délicate d'autant que l'armée redoute une situation extrême. Slim Chiboub, époux de la deuxième fille de Ben Ali, issue de son premier mariage, a longtemps fait figure de favori avant la montée en puissance du clan Trabelsi. Leïla Trabelsi, l'épouse de l'ex-président tunisien Ben Ali, lui préférait Sakher el-Materi, marié à une fille du couple Ben Ali-Trabelsi. La mésentente publique entre « la régente » et Slim Chiboub a sans doute valu à ce dernier d'être libéré samedi, il aurait été exfiltré à destination d'un pays du Golfe. Ben Ali a quitté la Tunisie vendredi après vingt-trois années passées au pouvoir.

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Personne à contacter Re: Violence en tunisie

Message par Syfou Jeu 27 Oct - 23:55

ALERTE - Tunisie : troubles à Sidi Bouzid (centre) après l'annonce des résultats

TUNIS - Des violences ont éclaté jeudi soir à Sidi Bouzid, ville du centre de la Tunisie où a commencé la révolution, après l'annonce par la commission électorale des résultats des élections du 23 octobre, a-t-on appris auprès de témoins et du ministère de l'Intérieur.

Plus de 2.000 jeunes ont mis à sac le local du parti islamiste Ennahda, vainqueur du scrutin, et jeté des pierres sur les forces de l'ordre, après l'annonce de l'invalidation de six listes d'Hechmi Haamdi, richissime homme d'affaires qui avait notamment remporté le scrutin dans la circonscription de Sidi Bouzid.


(©AFP / 27 octobre 2011 23h44)
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